L'île des morts de Phyllis Dorothy James
L'île des morts de Phyllis Dorothy James
(The Skull Beneath the Skin)
(The Skull Beneath the Skin)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Critiqué par Natilette, le 20 juillet 2004
(GRAND COURONNE, Inscrite le 15 juin 2004, 44 ans)
Critiqué par Natilette, le 20 juillet 2004
(GRAND COURONNE, Inscrite le 15 juin 2004, 44 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (41 505ème position).
Visites : 4 444 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : (41 505ème position).
Visites : 4 444 (depuis Novembre 2007)
Un tout petit peu déçue....
J'ai lu ce livre en pensant que je resterais scotchée sur mon fauteuil... mais réellement l'intrigue commence vers la page 200 (moitié du livre). Mis à part cette "lenteur" de démarrage. L'histoire tient la route et les personnages sont très bien dans le rôle que l'auteur leur a donné...
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Les éditions
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L'Île des morts [Texte imprimé] P. D. James
de James, Phyllis Dorothy
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253041139 ; 6,99 € ; 01/03/1987 ; 400 p. ; Poche
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Dix petits nègres?
Critique de Mallollo (, Inscrite le 16 janvier 2006, 42 ans) - 11 février 2010
Est-ce qu’on peut comparer P.D. James à Agatha Christie? Sans attendre de réponse trop sérieuse (Agatha est la maman d’Hercule Poirot, trop inimitable pour être égalé), je dirais que non.
L’île aux morts rassemble tous les ingrédients de la bonne enquête anglo-anglaise : une détective débutante dont l’activité principale est le sauvetage de chats perdus (secondée par une secrétaire vieille-fille), et dont le nom – plus qu’improbable – est Cordélia. Un château victorien coquet sur une île privée, le tout hérité par un riche écrivain. Une comédienne spécialisée dans le théâtre élisabéthain, dont la carrière prend l’eau et dont l’ultime excentricité sera de vouloir se produire dans le théâtre du château avec une troupe d’amateurs. Une cousine, un mari, un fils adoptif, un ancien amant mourant, un domestique caricatural complètent le tableau. Ah, j’oubliais : des menaces de mort très victoriennes qui amènent Cordélia à enquêter secrètement tout en assurant la protection de la destinataire… Clarissa, la comédienne. Bon, et tant qu’à faire, avouons l’exécution des menaces de mort, et donc le meurtre de Clarissa quelques heures avant le lever du rideau. Sur une île dont le nombre d’habitant est compté et bien défini (pour la touche « Dix petits nègres »).
Le décor est planté, les suspects suspectés. Et l’enquête, bien que menée par un duo d’inspecteurs de choc, venus du « continent », sera doublée des investigations secrètes de Cordélia. Qui les premiers parviendront à mettre la main sur le meurtrier ? Qui est-il ? Le professeur Moutarde, avec la petite cuiller, dans la cuisine ?
Je vous laisse à votre enquête et conclus sur le sempiternel mot de la fin : l’intrigue est intrigante, les rebondissements rebondissants, l’ambiance anglaise… définitivement anglaise. Mais ce qu’il manque pour faire monter la mayonnaise, c’est une vraie force et personnalité au personnage principal, Cordélia, un peu faible dans le rôle de l’héroïne-qui-résout-l’affaire, mais pas assez pour faire un vrai anti-héros dont l’unique réussite est de retrouver les toutous à leurs mémères. Trop en demi-teinte pour concurrencer Agatha Christie, c’est dommage.
L’île aux morts rassemble tous les ingrédients de la bonne enquête anglo-anglaise : une détective débutante dont l’activité principale est le sauvetage de chats perdus (secondée par une secrétaire vieille-fille), et dont le nom – plus qu’improbable – est Cordélia. Un château victorien coquet sur une île privée, le tout hérité par un riche écrivain. Une comédienne spécialisée dans le théâtre élisabéthain, dont la carrière prend l’eau et dont l’ultime excentricité sera de vouloir se produire dans le théâtre du château avec une troupe d’amateurs. Une cousine, un mari, un fils adoptif, un ancien amant mourant, un domestique caricatural complètent le tableau. Ah, j’oubliais : des menaces de mort très victoriennes qui amènent Cordélia à enquêter secrètement tout en assurant la protection de la destinataire… Clarissa, la comédienne. Bon, et tant qu’à faire, avouons l’exécution des menaces de mort, et donc le meurtre de Clarissa quelques heures avant le lever du rideau. Sur une île dont le nombre d’habitant est compté et bien défini (pour la touche « Dix petits nègres »).
Le décor est planté, les suspects suspectés. Et l’enquête, bien que menée par un duo d’inspecteurs de choc, venus du « continent », sera doublée des investigations secrètes de Cordélia. Qui les premiers parviendront à mettre la main sur le meurtrier ? Qui est-il ? Le professeur Moutarde, avec la petite cuiller, dans la cuisine ?
Je vous laisse à votre enquête et conclus sur le sempiternel mot de la fin : l’intrigue est intrigante, les rebondissements rebondissants, l’ambiance anglaise… définitivement anglaise. Mais ce qu’il manque pour faire monter la mayonnaise, c’est une vraie force et personnalité au personnage principal, Cordélia, un peu faible dans le rôle de l’héroïne-qui-résout-l’affaire, mais pas assez pour faire un vrai anti-héros dont l’unique réussite est de retrouver les toutous à leurs mémères. Trop en demi-teinte pour concurrencer Agatha Christie, c’est dommage.
Un bon whodunit à l'anglaise
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 30 mars 2008
Par moments, on jurerait lire un Agatha Christie ! C'est vous dire la qualité et le style du roman (et de P.D. James en général). Très bon polar à l'anglaise, qui démarre lentement, c'est vrai, mais reste un excellent cru de l'auteur.
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