Lynwood Miller
de Sandrine Roy

critiqué par Incertitudes, le 7 mai 2020
( - 40 ans)


La note:  étoiles
My name is Miller. Lynwood Miller.
J'ai bien aimé ce premier petit polar de Sandrine Roy. Qui est autant un polar qu'une romance en fait entre un ancien agent des forces spéciales et une jeune fille aux capacités surnaturelles.Parce que oui il y a aussi un poil de fantastique. La petite Eli peut déplacer des objets par la pensée et s'introduire dans l'esprit des gens.

C'est difficile de ne pas s'attacher à elle car elle est si fragile. Mais forcément de tels pouvoirs attirent bien des convoitises. On va suivre Lynwood et ses amis dans leur enquête en Allemagne à la recherche des agresseurs d'Eli car elle a le chic de se mettre dans des guêpiers pas possibles.

Après, j'ai trouvé que la passion embrasant cet ours un peu rapide. Là, c'est typiquement le coup de foudre. Il pense à elle toutes les deux pages. C'est mignon mais bon. On dirait presque les premiers émois amoureux d'un collégien alors qu'il est censé être un soldat aguerri.

Ça ne m'empêchera pas de lire les suivants cela dit. Mon petit doigt me dit qu'on n'en a pas fini avec elle.