Hurlements de Alexis Laipsker

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Hurlements de Alexis Laipsker

Catégorie(s) : Littérature => Francophone , Littérature => Policiers et thrillers

Critiqué par Seb, le 7 juin 2023 (Inscrit le 24 août 2010, 48 ans)
La note : 9 étoiles
Moyenne des notes : 9 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 6 étoiles (23 561ème position).
Visites : 2 621 

Belle découverte

Habitué des polars j’ai découvert l’auteur et ce roman suite à un cadeau de départ. Il faut croire que mes collègues ne m’appréciaient guère s’ils ont voulu me rendre ainsi hommage, tant le livre est sombre.Véritable page turner, les cliffhangers sont très réussis et nous incitent à lire encore un chapitre. Ces derniers sont d’ailleurs très courts et donnent du rythme à l’investigation. Le duo principal fonctionne bien et le commissaire Venturi est particulièrement attachant. Je note deux bémols mais qui n’entachent en rien la qualité du roman. Tout d’abord la psychologie et les origines pathologiques du tueur qui auraient méritées d’être approfondies selon moi. Enfin une fin un peu rapide et un happy ending trop convenu.
Si vous ne connaissez pas Alexis Laipsker, foncez, vous ne serez pas déçu

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8 étoiles

Critique de Incertitudes (, Inscrit le 4 décembre 2008, 40 ans) - 16 juin 2025

Enquête menée à un train d'enfer. Chapitres de deux pages pas plus qui donnent du rythme. Un duo mal assorti : à nouveau Venturi le cow-boy mal léché (clin d’œil à Lino ?) et une jeune criminologue qui sera bien la seule à lui tenir tête. On n'est pas vraiment sur un jeu de séduction entre les deux. Mais plus sur une relation père/tonton-fille.

Ce sont des crimes horribles qui sont commis, des corps de femmes horriblement mutilés qui sont retrouvés, et je me demande où Alexis Laipsker va chercher tout ça. En même temps, le second degré n'a jamais l'air d'être très loin. En plus de l'humour de Venturi qui rappelle les répliques cinglantes de Dirty Harry, on retrouve un médecin véreux nommé Fernand Naudin. Là encore, la référence aux Tontons est flagrante.

La perversité du méchant fait froid dans le dos. Et comme un pervers en cache toujours un autre, Ventura et Montalvert, dans les dernières lignes, sont déjà à sauter sur une autre affaire. Comme une bonne vieille série télévisée policière.

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