Chant 1 de la Belgariade : Le pion blanc des présages de David Eddings
( Pawn of prophecy)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
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Magnifique
Cette série de roman est tout bonnement splendide. Eddings peut être considéré comme le nouveau Tolkien. Pour ma part, j'ai préféré La belgariade, les personnages sont très attachants, l'histoire est très bien écrite...
Cette série est constitué de 5 livres:
- Le pion blanc des présages
- La reine des sortilèges
- Le gambit du magicien
- La tour des maléfices
- La fin de partie de l'enchanteur
Elle se poursuit encore dans "La Malloré"
Les éditions
-
Le Pion blanc des présages [Texte imprimé] David Eddings [trad. de l'anglais par Dominique Haas]
de Eddings, David Haas, Dominique (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris).
ISBN : 9782266033756 ; 9,90 € ; 01/01/1990 ; 348 p. ; Poche
Les livres liés
- Chant 1 de la Belgariade : Le pion blanc des présages
- Chant 2 de la Belgariade : La Reine des sortilèges
- Chant 3 de La Belgariade : Le gambit du magicien
- Chant 4 de la Belgariade : La tour des maléfices
- Chant 5 de la Belgariade : La fin de partie de l'enchanteur
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Les critiques éclairs (12)
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Classique mais efficace
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 11 novembre 2024
Il faut toutefois reconnaître que ce premier tome ne contient pas de passages véritablement épiques auxquels on pourrait s'attendre dans un récit de fantasy tandis que la fin est un peu abrupte mais j'attends de voir ce que nous réserve la suite car l'intrigue prendra peut-être plus d'ampleur à ce moment-là.
Ce premier chant de la Belgariade fut donc une plaisante petite découverte et même si l'on sent bien que l'on a affaire à une formule assez classique, à partir du moment où cela est bien fait, cela ne me pose aucun problème. Un début relativement calme donc mais qui donne quand même bien envie de découvrir ce qu'il va advenir de Garion et ses compagnons.
L'Orbe ou l'Anneau
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 13 octobre 2021
« Le pion blanc des présages » est le premier tome d’une trilogie titrée « La Belgariade » relevant des sagas de fantaisie à l'américaine. La quatrième de couverture proclame que cet ouvrage est un « cycle majeur qui trouve sa place aux côtés du « Seigneur des Anneaux ». Cette affirmation demande à être précisée. L’auteur (ou plutôt les auteurs car Eddings a écrit avec son épouse semble-t-il) s’est très largement inspiré du chef-d’œuvre absolu de Tolkien. L’ennui, c’est que l’élève n’arrive pas à la cheville du maître. Il fait du Tolkien sans le souffle, sans la mystique et sans l’esprit ! Par exemple, il a juste remplacé l’anneau magique par une boule magique et le hobbitt par un valet de ferme. Et on pourrait continuer longtemps dans les comparaisons sur les personnages. Le pire vient de la faiblesse de l’intrigue. Il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome. On présente les personnages et on commence une très longue quête de l'Orbe un brin ennuyeuse. Seul point positif : le style est très fluide, ce qui permet une lecture aisée et agréable.
Linéaire
Critique de Isa795 (, Inscrite le 12 décembre 2013, 42 ans) - 20 décembre 2013
HORS NORMES
Critique de Heymymy (, Inscrit le 10 juin 2010, 55 ans) - 10 juin 2010
A vous lire, on décèle facilement plus de déceptions que d'enthousiasmes quant à ce double cycle de David (et Leigh) Eddings.
Pour rappel, cette saga débute en 1982, et de l'aveu même d'Eddings, il l'a d'abord rédigé pour... l'aspect commercial du genre "Fantasy". De fait, c'est d'une honnêteté absolu de la part de l'écrivain.
Ensuite, quasi tout le monde dénonce la gênante parenté avec le monument "Seigneur des Anneaux" (un p... de classique DEFINITIF, rien à dire là dessus, mais n'y a-t-il pas de place pour d'autres alors ?)
En fait, si ce n'est l'accroche même de ce cycle, les similitudes avec Tolkien sont en fin de compte très peu nombreuses, ici, le ton est donné, pas de la GRANDE littérature, seulement de la Fantasy commerciale, oui, mais de la Fantasy qui s'assume comme moderne et nous projette dans l'univers le plus cohérent (voir la Quête et ses repères géographiques, jamais vu plus précis et détaillés, on ressent chaque différence de "pays", d'autochtones...) qu'il m'ait été donné de lire. Ici, pas de dialectes créés pour la cohésion de l'ensemble (Lisez Tad Williams pour cela ou le "SDA", bien sur), mais une cohésion dans l'évolution de personnages très bien écrits : Belgarath et Polgara qui auront plus tard leur propre fabuleuse préquelle, Garion, qui, de naïf gamin, embrasse son destin (à reculons) au fil des pages, Silk, le gentil fourbe, pour beaucoup dans la réussite de l'humour, Mandorallen et son savoureux "parler", j'en passe...
David Eddings a, au fil des années, perdu presque entièrement cette fabuleuse recette qui a donné vie à "La Belgariade", "La Mallorée" et le double cycle d'Emouchet (autre monument fantasy INCONTESTABLE) en se contentant de souffler sur les braises de ces réussites initiales (sa femme est morte et ses grands écrits avec elle, semble-t-il) mais cessez de comparer à Tolkien ou à Robin Hobb (grande saga que "l'Assassin Royal" mais updaté de 30 ans par rapport à ces Eddings là et au souffle TOTALEMENT opposé à cette grande aventure "tout public" à laquelle nous convie Eddings).
Comparez plutôt avec le cycle de Shannara de Terry Brooks (plus ou moins même époque, copie TRES carbone du "SDA" où l'aspect commercial là aussi et l'opportunisme crasse méritent bien plus vos "méchants" papiers. Là, c'est de la daube !
Depuis, tellement de grands cycles de fantasy ont été écrits que l'impact et le souffle épique de David Eddings s'en trouvent malheureusement amoindris mais ce serait oublier que cette fabuleuse saga représente le summum d'une Fantasy monderne américaine née vers la fin des années 70.
Depuis, j'ai beaucoup lu d'autres cycles (Williams, Jordan, Hayden, Hobb...) qui m'ont pour la plupart enchanté, c'est vrai, mais vous savez quoi ? Voilà déjà 25 ans que je replonge dans les relectures des premiers Eddings (Garion et Emouchet, donc) chaque fois que la nostalgie de ces univers se réveille en moi. Et, cela, c'est quelque chose que même "Le Seigneur de Anneaux", dans son incontestable magnificence, n'a pas réussi à multi-susciter.
Correct mais pour l'instant sans plus.
Critique de MEISATSUKI (, Inscrite le 2 octobre 2009, 48 ans) - 31 mars 2010
Mais si vous voulez tenter une quête médiévale pour une première lecture Fantasy, tournez vous plutôt vers l'Assassin Royal.
"La Belgariade" n'est pas le "Seigneurs des Anneaux" !
Critique de PJKP (Bruxelles, Inscrit le 11 avril 2004, 66 ans) - 26 novembre 2007
Je me suis beaucoup amusé à dévorer les 10 tomes (si on ajoute les 5 de "la Mallorée").
Bien sûr, l'histoire est convenue et prévisible !
Là, où les auteurs me séduisent (on oublie souvent que Madame Eddings a co-écrit avec son époux une partie des ouvrages) c'est dans leur manière de rendre vivants leurs personnages, de nous les rendre sympathiques ou antipathiques. L'humour de Silk est aussi à relever.
Bien sûr, l'histoire est manichéenne (elle est écrite par des Américains après tout) ! Bien sûr ! Bien sûr !
Il est évident que les Eddings ont privilégié l'action à une sorte de réflexion plus philosophique que l'on rencontre dans "Le Seigneur des Anneaux", ouvrage nettement plus barbant se traînant péniblement en longueur.
D'une certaine façon, La Belgariade, c'est un peu de l'Alexandre Dumas...
Merci à vous, Mr & Mrs Eddings pour ces dizaines d'heures de lecture-plaisir !
une autre collection
Critique de Eragone (, Inscrite le 13 janvier 2006, 33 ans) - 14 janvier 2006
Archi-classique
Critique de Belial (Anvers, Inscrit le 25 août 2005, 45 ans) - 4 septembre 2005
La Belgariade est en quelque sorte une version simplifiée du Seigneur des Anneaux : les enjeux et la structure du récit y sont très similaires, à tel point qu’on a souvent l’impression de lire une deuxième fois le même livre. David Eddings a su rendre ses romans plus accessibles de par la simplicité de son écriture et de l’univers qu’il a créé. Le Seigneur des Anneaux pour les Nuls ? Pas seulement. Les personnages de la Belgariade sont épais, humains et crédibles, tout le contraire de ceux de Tolkien. En outre une bonne dose d’humour et des dialogues savoureux viennent relever l’intérêt d’un scénario déjà-vu. Au final, une lecture qui peut se révéler distrayante voire jouissive, mais que je ne recommanderais qu’aux adeptes.
Extrait : « - Des courtisans. Pas un seul homme digne de ce nom dans le tas.
- Un mal nécessaire, mon cher Barak, fit Silk par-dessus son épaule au grand bonhomme. Il faut de petites gens pour accomplir les tâches insignifiantes qui permettent à un royaume de tourner. »
Excellent
Critique de Le Cid (Perpignan, Inscrit le 12 juillet 2005, 33 ans) - 26 août 2005
A lire: de bon moments garantis pour les soirées d'hiver au coin du feu.
Convenu et mal écrit
Critique de TinyZou (, Inscrite le 1 mai 2005, 44 ans) - 29 juillet 2005
Selon moi, les personnages sont convenus, à peine attachants, et l'histoire est plaquée sur Tolkien, à quelques variantes près. De plus, le style d'écriture m'a semblé indigeste _ bien que l'on puisse me répondre que cela vient de la traduction. Des expressions telles que "ce matin, il l'avait vraiment mauvaise" n'aident pas à instaurer une ambiance épique. L'auteur a sans doute voulu créer un climat plus contemporain dans son roman, pour le rendre plus accessible. Pour ma part, cela m'a plutôt semblé ridicule.
Je ne conseillerais ce livre qu'à ceux qui n'ont pas l'habitude de lire de la Fantasy : l'histoire leur semblera peut-être moins prévisible, les personnages moins caricaturaux et le style distrayant.
Attention
Critique de NimReplica (Jumet, Inscrit le 24 février 2005, 45 ans) - 25 février 2005
Pour finir, en réaction au commentaire de Nelle, ce n'est pas de la Science-fiction mais une saga d'héroïc fantasy (très accessible je lui accorde :-) ).
Oui mais...
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 49 ans) - 29 novembre 2004
Les personnages sont sympathiques mais pas supers originaux et l'histoire me parait prévisible. Mais je n'en suis qu'au tome 2, j'espère être détrompée par la suite. En tout cas c'est de la S.F très accessible, pour ceux qui voudraient s'initier au genre, c'est un livre que je conseille.
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