Nouveaux aperçus d'esthétisme

Publié en 1962, soit 4 ans après "Le Belvédère", "Deuxième Belvédère" (qui sera suivi d'un "Troisième" en 1971, et même d'un "Quatrième en 1995, après sa mort survenue, elle, en 1991) prolonge les visions esthètes d'André Pieyre de Mandiargues, qui emmène ici son lectorat dans un voyage initiatique au coeur des peintres (Dubuffet, Ernst), écrivains (Supervielle), au coeur du Mexique, de l'Espagne (Salamanque) et aborde des sujets aussi étranges que la mort (et le suicide).
Difficile de parler de cet écrivain parfois assez sulfureux et licencieux - mais pas ici, autant le dire tout de suite, "Deuxième Belvédère", presque aussi magistral que le premier du nom, n'est pas un livre érotique. Cette deuxième critique de ma part sur cet écrivain, cette critique sur le deuxième opus de sa série d'essais sur la beauté, l'art, et sur ses ressentis, n'est pas aussi longue (et réussie ; si, si, vous pouvez le dire) que pour "Le Belvédère", mais sachez que si vous avez lu le premier et l'avez aimé, nul doute que le second vous plaira autant. C'est du même niveau, ou presque, ma note est presque la même, j'ai juste préféré le premier au second, mais c'est un simple avis subjectif.

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  Deuxième Belvédère

  de Pieyre de Mandiargues, André
  B. Grasset / Les Cahiers Rouges
  ISBN : 9782246156123 ; 12,90 € ; 04/05/1990 ; 264 p. ; Broché

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