Guy Bourdin
de Alison M. Gingeras

critiqué par JPGP, le 29 décembre 2023
( - 77 ans)


La note:  étoiles
Guy Bourdin : femmes entre elles
Dans ce ilvre les images de Guy Bourdin sont une sophistication intrigante. Et ce en des récits surréalistes aux couleurs éclatantes.

Le créateur, qui a commencé sa carrière comme peintre et est devenu photographe autodidacte dans les années 1950. Ill a été immédiatement imprégné de références surréalistes entre autres parsa longue amitié avec Man Ray.

Il a toujours dépasser le stade de la provocation qui a toujours été associée à son travail. De fait tout chez lui est de l'ordre de la mépaphore où se lient des réalités contradictoires dans une photographie expérimentale.

S'y jouent souvent des drames insolites qui semblent dépeindre des situations quotidiennes, mais tout en déborde dans un appel au subconscient et à l'imagination du voyeur.

Ces récits fascinants aux couleurs hyperréalistes sont le fruit d'une rigueur formelle là où tout s'entremêle en scénarios de thriller aux indices énigmatiques.

Jean-Paul Gavard-Perret