Les vaisseaux d'Omale: L'Aire hodgqine
de Laurent Genefort

critiqué par Kabuto, le 1 avril 2024
(Craponne - 64 ans)


La note:  étoiles
Fin de cycle
Je termine cette saga dédiée à l’univers d’Omale avec ce cinquième tome. Le temps à passé, la paix règne enfin, et la nature véritable de cet étrange monde clos est désormais plus ou moins bien connue. A savoir, Un œuf en matière indestructible de la taille d’une galaxie englobe en son centre un soleil. Il abrite une mosaïque d’écosystèmes différents. Les humains partagent leur aire avec deux autres races extraterrestres, les Chiles et les Hodgqins. On ne sait rien des autres aires adjacentes. On ne sait toujours pas qui a fabriqué ce monde ni dans quel but il a été façonné, mais il a fallu une puissance énorme pour construite une telle entité. Il reste cependant encore une avancée importante qui démarre ici, la conquête de l’espace et l’exploration des deux satellites qui gravitent autour de l’unique étoile. Peut-être les derniers mystères seront-ils dévoilés avec cette avancée technologique. Comparable au volume précédent, c’est une belle aventure dans un monde original soigneusement décrit par l’auteur. En conclusion, je trouve ce cycle ambitieux et plutôt bien fait et je me pencherai bien volontiers vers les autres récits de L. Genefort.