Une brique peu digeste

L’aubergiste Beer raconte son histoire, qui commence à Anvers au XVIème siècle. Il épousa successivement trois femmes qui moururent en couches. Seule la dernière lui laissa un fils, anormalement poilu, dont il s’occupa peu. La sage-femme resta à ses côtés comme gouvernante.
Dans son auberge circulent de nombreux personnages et il s’entoure d’une Famille de libres penseurs ou protestants très attachés au concept de liberté, contraints de se réunir en dehors de la ville pour écouter des prêches interdits.
Les temps sont troublés entre les tentatives de répression et celles de révolte, entre la famine due au gel, le carnage perpétré par les Espagnols, etc. La vie est rude.
Un jour, une expédition menée dans le nord afin de trouver un passage vers l’est revient bredouille, mais ramène une bien étrange cargaison : une femme « sauvage » et sa fille, habillées en peau d’animaux.
L’affrontement religieux tourne à la catastrophe.
Ce roman traduit du néerlandais est long et alambiqué. J’ai eu du mal à le lire et ai été tentée de l’arrêter à de nombreuses reprises. L’Histoire s’entremêle à l’histoire des nombreux personnages et surtout événements historiques, difficiles à suivre.

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  La femme sauvage [Texte imprimé], roman Jeroen Olyslaegers traduit du néerlandais (Belgique) par Françoise Antoine

  de Olyslaegers, Jeroen Antoine, Françoise (Traducteur)
  Stock / La Cosmopolite (Paris)
  ISBN : 9782234092327 ; 23,90 € ; 31/01/2024 ; 506 p. ; Broché

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