Ravage de René Barjavel
Catégorie(s) : Littérature => Francophone , Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
Moyenne des notes : (basée sur 40 avis)
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Franchement pas super !
Tout d'abord il faut le déconseiller aux plus jeunes et à ceux qui n'aiment pas la lecture.
Ravage n'est pas franchement le meilleur bouquin pour susciter l'éveil à la lecture des plus novices. Ce livre est tout de même une belle oeuvre de Barjavel qui reste encore une fois dans le futurisme et le procès de la société. En revanche les personnages sont des plus ennuyeux et n'attirent franchement pas le lecteur. On a plus envie de sauter des pages que de continuer dans ces descriptions qui durent.
Enfin, Ravage est un bon bouquin pour ceux qui aiment le style de son auteur, mais n'est pas franchement un conte à faire lire aux anti-lecteurs !
Les éditions
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Ravage [Texte imprimé] René Barjavel [dossier par Yves Ansel]
de Barjavel, René Ansel, Yves (Editeur scientifique)
Gallimard / Folio plus (Paris).
ISBN : 9782070394289 ; 5,87 € ; 22/03/1996 ; 361 p. ; Poche -
Ravage [Texte imprimé] René Barjavel
de Barjavel, René
Gallimard / Collection Folio.
ISBN : 9782070362387 ; 8,60 € ; 27/09/1972 ; 313 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (39)
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Désuet
Critique de Lili87 (, Inscrite le 23 janvier 2017, 40 ans) - 21 août 2019
Une fois passé le premier quart du roman, on est plongé dans un récit catastrophique très bien narré. L'auteur mélange des passages au passé et d'autres au présent pour être au cœur de l'action. Pour moi, c'est le meilleur moment du roman, je m'imaginais dans film catastrophe.
Les deux dernières parties sont moins agréables, surtout si on est une lectrice et non un lecteur...
En 2052
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 11 novembre 2017
En 2052, d’après le Barjavel de 1942, la société dépend intégralement de l’électricité pour tous ses besoins : déplacements, fournitures diverses dont l’eau, contrôles de quoi que ce soit, … Ce n’est pas mal vu quand on imagine, à 35 ans du terme fatidique, ce qui passerait si d’électricité il n’y avait plus.
Ca devient donc très vite le très grand bazar lorsqu’il y a un très gros souci sur l’électricité ! Surtout dans une ville comme Paris (et d’abord la population ne vit plus que dans les villes, pas faux) où vivent François Deschamps, héros principal, et notamment Blanche, son amoureuse d’enfance, en train de mal tourner via un escroc à la célébrité. Très vite, dans la situation d’anarchie apparue, François prend les choses en main et décide de ramener Blanche, et ceux qui les suivent, vers leur campagne natale, du côté de la Drôme si j’ai bien compris.
Périple dangereux puisque la règle devient le « chacun – pour – soi ». Mais le but sera finalement atteint et François fondera quasiment une communauté sectaire, bannissant tout ce qui pourrait ramener l’homme vers le progrès (donc les livres, la lecture, l’écriture). La vision de certaines valeurs développées par René Barjavel peuvent laisser songeur … a minima ! Sa position vis-à-vis des femmes aussi, ramenées littéralement au simple rôle de procréatrices … Oui, il y a beaucoup de choses à redire.
En même temps, j’ai l’impression que c’est davantage un miroir mettant en valeur les thèses en vogue au moment de l’écriture de « Ravage », le cœur de la guerre quand même. Sont-ce celles de Barjavel himself ? Ne connaissant pas son œuvre davantage, je serais bien en peine de me prononcer. Ce qui est sûr, c’est que ce roman, d’anticipation plus que de S.F., est bien dans la ligne des romans S.F. en général : ce n’est pas l’optimisme qui prédomine ! L’Homme et les progrès qu’il impulse ont toujours une face sombre et c’est celle-ci qui est mise en avant …
L'apocalypse moderne c'est ne plus avoir d’électricité.
Critique de Manu2793 (Voiron, Inscrit le 15 novembre 2010, 37 ans) - 1 juillet 2015
Grâce à "Ravage" Barjavel signe là un bon roman de science-fiction. On sera intrigué par des ressemblances du monde décrit par Barjavel et le nôtre, pourtant celui-ci a écrit le livre en pleine seconde guerre mondiale. On regrettera la trop grande distance entre le lecteur et les personnages. Il s'agit tout de même d'un grand classique de Science-fiction que tout fan du genre ne peut pas rater. Le thème soulevé l'Homme et la technique: fardeau menant inéluctablement à sa fin ou avancée permettant de le libérer du travail.
Mon préféré de Barjavel
Critique de FrèreGallagher (, Inscrit le 7 janvier 2013, 36 ans) - 4 octobre 2013
Ce livre pourrait clairement être imposé dans les collèges, s'il était peut-être un peu moins "cru" et gore parfois! En effet certains passages sont très violents.
Les paragraphes se succèdent entre chaos, moment de répit, espoir, désespoir. Barjavel se laisse aller à la création d'un monde revenu à zéro, sur fond de critique sociale et morale. Ravage est un carrefour entre l'instinct de survie, l'oisiveté, la nature, la violence, le courage et l'espoir.
A lire impérativement, pour savoir agir le jour où notre société s'écroulera!
la technologie crée l'oisivité
Critique de Jaafar Romanista (Rabat, Inscrit le 3 février 2013, 36 ans) - 23 août 2013
un livre un peu pessimiste, mais une leçon de vie.
Le charme de " La nuit des temps" et " Le grand secret" manque, mais quand même ça reste un bon SF.
A lire mais il y a mieux dans le genre
Critique de Amnezik (Noumea, Inscrit le 26 décembre 2006, 57 ans) - 14 août 2012
Sans avoir vraiment été transporté dans ce monde futur je dois bien reconnaître que la lecture du roman reste globalement agréable et suffisamment intéressante pour que l’on ait envie d’en savoir plus au fil des pages. Dommage toutefois que les personnages manquent de profondeur, bien qu’ils évoluent au fur et à mesure de leur périple on reste tout de même sur une impression de coquille vide. Faut dire aussi que j’ai toujours un peu de mal quand, au sein d’un groupe, on trouve un chef auto-proclamé, qu’il soit suivi ou non par ledit groupe ça persiste à me hérisser, d’autant qu’en l’occurrence l’on n’arrive pas à ressentir de sympathie pour le personnage de François… D’autre part l’on découvre, dans la dernière partie du roman, que la nouvelle société instaurée sous l’autorité de François est loin d’être idéale et libertaire (la notion de démocratie est balayée) ; à se demander si finalement ce n’était pas mieux “avant”.
Très bon
Critique de Mathieu (, Inscrit le 28 février 2005, 40 ans) - 27 décembre 2011
Mon passage préféré ? Celui-ci, sans aucun doute :
"Le sous-sol de la Brasserie abritait l’immense bac à sérum où plongeait la « mère », bloc de viande de près de cinq cents tonnes.
Un dispositif automatique la taillait en forme de cube, et lui coupait, toutes les heures, une tranche gigantesque sur chaque face. Elle repoussait indéfiniment. Une galerie courait autour du bac. Le dimanche, le bon peuple consommateur était admis à circuler. Il jetait un coup d’œil attendri à la » mère » et remontait à la brasserie en déguster un morceau, un garni de graines de soja géant coupées en tranches, et frites à l’huile de houille".
Rien que pour les blocs de viande, il faut le lire !
L'esprit d'un visionnaire
Critique de Plume84 (Vecoux, Inscrite le 26 août 2011, 40 ans) - 26 août 2011
Ce nouveau monde, similaire au nôtre par la complexité et la fragilité de ces réseaux, est frappé par un événement qui le paralyse.
Comment s'en sortir sans eau potable, sans électricité, sans moyens de transport? Et surtout, est-ce que cette épreuve servirait de leçon au genre humain?
pas trop !
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 19 avril 2011
Très franchement je n'ai pas du tout aimé ce livre et je me suis promis d'en finir avec cet auteur. A chaque époque ses modes !
Barjavel parvient à condenser sur un seule page une telle succession de faits qu'à la dernière page j'étais presque rassuré !
Un vrai régal...
Critique de Slipknot (, Inscrit le 17 février 2011, 33 ans) - 17 février 2011
Je n'aime guère la science fiction, mais je me suis retrouvé à apprécier cette dérive de l'imagination.
Ce livre laisse à réfléchir.
Sous des allures de tueries, Barjavel exprime son avis très prudent quant au progrès.
A lire, j'ai adoré...
Des gens qui crèvent et qui crèvent !
Critique de Jamoco (, Inscrite le 26 décembre 2010, 36 ans) - 26 décembre 2010
Tourmente
Critique de Lejak (Metz, Inscrit le 24 septembre 2007, 50 ans) - 25 octobre 2009
Relu il y a peu, je n'ai pas été déçu et mes impressions d'ados ne se sont pas effondrées avec le poids des années passées.
Ravage impressionne d'abord par l'anéantissement total et fulgurant de la civilisation (digne des meilleures scènes de cinéma du genre). La société de Barjavel, structurée par le progrès, s'effondre littéralement lorsque celui-ci s'éteint comme on souffle la flamme d'une bougie. l'Homme voit tomber son vêtement magnétique, et tombe avec lui l'être civilisé. L'Homme "moderne" se retrouve à nu, et c'est du dénuement que surgit la bête. l'Homme devient animal.
Barjavel était-il contre le progrès ? pas fondamentalement mais étant donné le contexte historique (guerre 39-40), on pourrait opérer un rapprochement avec Tolkien. En effet, dans le Seigneur des anneaux, les "machines" ne servent qu'à la guerre (images d'usines noires, assourdissantes et asservissantes). De surcroît, Barjavel est issu du monde paysan et semble également défendre le modèle rural cher à ses racines.
Cette thématique du "retour à la terre" a souvent nui au roman, du fait que l'auteur a travaillé dans des cercles approuvés par le pouvoir pétainiste ("travail, famille, ...). Mais qui a lu également "La nuit des temps" sait que Barjavel n'a rien d'un fascisant. Néanmoins, il est vrai que la fin de Ravage reste trouble sur ses intentions d'alors ...
Je retiendrai avant tout la noirceur et l'élan du récit. Dans Ravage, Barjavel est le héraut moderne de l'Apocalypse !
A ne pas rater, la scène où la troupe de survivants pénètrent dans un asile d'aliénés abandonné ... ou presque !
j'adore
Critique de La méchante martine (, Inscrit le 25 juin 2009, 42 ans) - 25 juin 2009
le goût de la lecture
Critique de Pachni (, Inscrite le 4 mai 2008, 46 ans) - 5 mai 2008
C'est celui là et pas un autre qui fait qu'aujourd'hui lire est devenu vital pour moi.
Un bon Barjavel
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 19 avril 2008
Barjavel montre bien à quel point nous sommes dépendants de nos machines et de la technologie et général, et la catastrophe qui résulterait de la perte de ces machines.
Un bémol toutefois, effectivement la fin est très sujette à critique avec un monde redevenu rural, une polygamie obligatoire, une sorte de dictature et un déni du passé.
pardon?
Critique de Aline&& (, Inscrite le 8 juin 2007, 36 ans) - 21 août 2007
Sans blague je l'ai lu il y a longtemps mais je me souviens bien que j'ai adoré!
D'abord parce que l'on voit bien que Barjavel était plutôt visionnaire , je crois que ce livre est sorti dans les années 50 et déjà il parle d'électricité omniprésente , de téléphone à image, de train à grande vitesse!.. donc là déjà respect!
Ensuite parce que plus visionnaire encore il nous montre et nous fait nous rendre compte à quel point on devient dépendant de toute cette électricité,ces machines qui font tout pour nous et en fin de compte on ne sait plus faire grand chose de nos mains.. la preuve pour une panne d'électricité (dont les ennemis qui la programment savent les conséquences catastrophiques) tout tombe dans le chaos!
Non vraiment ce livre est admirable!
Bon j'avoue que la fin m'avait laissée une impression bizarre mais pour tout le reste il est bien!
Carnage!
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 30 juillet 2006
Barjavel lance un cri d'alerte et rappelle au lecteur la nature même de l'homme, et ce que la technologie lui fait perdre. Je suis à peu près d'accord... les hommes, grâce au progrès faits à tous les niveaux, deviennent un peu des fiottes! :) On ne sait plus se débrouiller par nous-mêmes... on nous enlève l'électricité, l'eau courante et le feu, et nous voilà perdus!
Par contre la fin m'a déçue... un monde à la Charles Ingalls, où François règne en tout puissant... ce refus total de toute innovation... cette polygamie exagérée (non mais dit ohhhh!!!)...
Un début et un milieu de livre tellement poignants, un fin tellement décevante...
Un futur... pas vraiment bâti dans la nature!
Critique de Elyria (, Inscrite le 25 mars 2006, 33 ans) - 31 mars 2006
Tout à coup, l'électricité s'arrête, les hommes retrouvent leurs origines les plus profondément ancrées en eux.
Une étude fort intéressante de voir comment on se comporterait et ça donne à réfléchir!
Malsain
Critique de Manu_C (, Inscrit le 19 août 2004, 55 ans) - 25 novembre 2005
Décidément, le plus glauque et le plus malsain des livres de Barjavel que j’ai pu lire.
Mon premier livre de SF
Critique de Enzo (, Inscrit le 21 novembre 2005, 55 ans) - 22 novembre 2005
La scene du conseil des Ministres est hilarante, avec un ministre des sports incapable de faire à pied Passy-Trocadéro (400 mètres à tout casser) et un ministre de la Guerre qui a dépensé les fonds secrets de l'armée... à fabriquer des baïonnettes 1916 (on est en 2150...).
En bref, un excellent roman, critique de la société qui n'a pas pris une ride.
Tout juste moyen
Critique de Shayne (Sambreville, Inscrit le 2 octobre 2005, 42 ans) - 24 octobre 2005
Mais par contre, l'évolution de l'histoire m'a fort déçu : quelle est la vraie cause de ce "ravage"? D'où vienent tous ces incendies qui anéantissent subitement tout le pays? Et qu'en est-il des autres continents? Toutes cettes questions restent sans réponse.
De plus, les descriptions du Chaos sont assez lourdes et difficilement représentables (le passage avec le voyage en radeau en est un bel exemple : impossible de s'y retrouver).
Un lecteur faisait remarquer le machisme de Barjavel, notamment pour le passage où les femmes doivent porter les bagages pour maintenir les hommes en forme. Celà m'a drôlement fait penser à "La ferme de animaux" d'Orwell, où les animaux doivent céder les meilleurs repas aux cochons, afin que ceux-ci soient aptes à diriger la ferme (et l'ont sait comment cette histoire se termine...)
Moi c'est la fin que j'ai trouvée à la limite du totalitarisme : relecture de l'histoire (cacher aux héritiers les technologies du passé), polygamie obligatoire, destruction des livres, l'art de l'écriture réservée à une classe privilégiée, pendaisons, ou encore le culte de la personnalité du patriarche.
Bref, une idée de départ intéressante exploitée en une histoire banale et ennuyeuse.
j'aime bien
Critique de RenéBarjavel (, Inscrit le 30 septembre 2005, 46 ans) - 30 septembre 2005
Un rien machiste, Barjavel...
Critique de Lynnie (Bxs, Inscrite le 20 juin 2005, 33 ans) - 20 juin 2005
Tous ça montre clairement la façon de penser de Barjavel. Blanche aurait selon lui dû rester à l'école des futures femmes au foyer et est punie de son écart par l'anéantissement de ses rêves. L'auteur démontre dans son livre que c'est absolument normal que les femmes portent les bagages de façon plutôt sûr de lui. François son héros donc le porteur de ses idéaux est une forte personnalité qui tient à protéger les femmes mêmes contre leur gré. Il instaure également la polygamie, système dont les hommes profitent pleinement mais dont nombre de femmes se serait passées. Quant à la confiance de Blanche envers François et sa non-jalousie par rapport aux autres compagnes de son mari, elle me semble un peu irréaliste. Je trouve que Barjavel a dans ce bouquin une tendance machiste. Si quelqu'un a déjà lu ce livre, est ce qu'il peut me dire son avis?
Intéressant mais un peu simpliste
Critique de JEANLEBLEU (Orange, Inscrit le 6 mars 2005, 56 ans) - 13 avril 2005
Un livre à recommander aux jeunes lecteurs à condition, à mon avis, d'avoir un débat avec eux après la lecture sur le modernisme pour éviter que ce côté "retour à la terre" ne soit trop pris au premier degré.
on peut mieux faire
Critique de NimReplica (Jumet, Inscrit le 24 février 2005, 45 ans) - 9 mars 2005
mon avis
Critique de Mysteek (, Inscrite le 16 février 2005, 33 ans) - 16 février 2005
La panne
Critique de B1p (, Inscrit le 4 janvier 2004, 51 ans) - 12 décembre 2004
Qui s'est souvenu de "Ravage" pendant les pannes d'électricité d'il y a plusieurs mois à New York et en Italie où ces gens désorientés dormaient dans les rues n'a pu qu'être interpellé par la similitude inquiétante.
Et puis, parmi les différents Barjavel, c'est peut-être le meilleur : le dysfonctionnement de la société qui y est traité est plus signifiant que dans ses autres romans, et surtout on y évite le romantisme un peu gavant qu'on retrouve, par ex, dans "la Nuit des Temps".
Incontournable. Pour une fois, je suis d'accord avec les profs de français qui rendent sa lecture obligatoire à l'école.
J'ai détesté
Critique de Fascagat (Toulouse, Inscrite le 27 juin 2004, 42 ans) - 9 décembre 2004
C'est un livre du genre fantastique pour moi avec cette ville démesurée, la barbarie qui s'y installe.
Pour moi ce livre part dans tous les sens.
intéressant
Critique de Piper (, Inscrite le 3 novembre 2004, 34 ans) - 3 novembre 2004
Attention à l'interprétation
Critique de Rat noir (, Inscrit le 14 août 2004, 40 ans) - 17 août 2004
Cela dit, je n'accuse pas Barjavel d'être un facho : à l'époque, on ne pouvait pas publier n'importe quoi.
Mon préféré de Barjavel
Critique de Aethus (Evreux, Inscrit le 13 janvier 2004, 38 ans) - 13 janvier 2004
pas suffisamment abouti
Critique de Virgile (Spy, Inscrit le 12 février 2001, 45 ans) - 1 juin 2002
J'ai aussi regretté que cette histoire soit traitée si peu en profondeur, j'ai l'impression qu'on pouvait tirer tellement de l'idée de départ, c'est dommage, on se cantonne à une petite région comme si aucune autre communauté n'avait survécu ailleurs sur le globe ou qu'elles s'étaient toutes ralliées mystérieusement à celle la, c'est la seule chose qui rend le tout invraisemblable: le fait que tout soit trop simple que chaque élément s'emboîte si bien, que tout soit tout blanc ou tout noir...
Et la fin, avec ce refus primaire du "progrès" sans aucun discernement m'a semblé ridicule et caricatural.
Malgré tout ce livre m'a bien diverti et m'a permis d'oublier les "lourdeurs" d'un certain Louis-Ferdinand!
Du même auteur je conseillerais néanmoins plus volontiers la nuit des temps qui m'a laissé un meilleur souvenir.
Un livre qui fait des ravages !
Critique de Maxou (Bruxelles, Inscrit le 6 septembre 2001, 46 ans) - 16 février 2002
A l'époque...
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 20 septembre 2001
Défense 2
Critique de Patman (Paris, Inscrit le 5 septembre 2001, 62 ans) - 20 septembre 2001
Sur un plan purement littéraire, Barjavel est et reste pour moi un grand auteur.
Un grand livre de SF
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 13 juillet 2001
L'idée de départ du livre me semble brillante. Que ferions nous sans l'électricité et les machines aujourd'hui ? L'idéologie ouvertement écologiste et en faveur d'un certain retour à la nature me semble saine.
Je pense au contraire de ce que j'ai pu lire plus haut que c'est un livre qui peut susciter chez pas mal de lecteurs une envie certaine...
La défense...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 21 mai 2001
Pas évident...
Critique de Anonyme (, Inscrit(e) le ??? (date inconnue), - ans) - 21 mai 2001
Une opinion de mémoire
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 31 mars 2001
Forums: Ravage
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