Blues pour un chat noir
de Boris Vian

critiqué par Déhellair, le 26 mars 2005
( - 39 ans)


La note:  étoiles
échantillon de Vian
Cinq nouvelles, quatre dont je me souvienne.
La première, Blues pour un chat noir, un chat tombé dans un égout à la suite d'un combat l'opposant à un coq qui après avoir été secouru par des prostituées, des passants, des GI, anime une conversation plutôt drôle et évoque ses blessures de guerre ainsi que son statut très honorable d'ancien combattant.
Puis Martin m'a téléphoné, une nuit ivre de Jazz, de danse, et de cafées en cafés à Paris, l'amour de la zizique...
L'écrevisse ou la maladie tournée en dérision, la maladie lucrative...
Enfin Les chiens, le désir et la mort: un peu du registre de J'irai cracher, sinistrement bien inspiré. La denière, je vous l'ai dit m'a moins marqué.
Vian éclatant de drôlerie, d'ironie, d'absurdité, de violence, d'humour noir voire lugubre. Vian, la littérautre qui vit.