La fille qui marchait sur l'eau de Siddharth Dhanvant Shanghvi
( The last song of dusk)
Catégorie(s) : Littérature => Asiatique
Moyenne des notes : (basée sur 5 avis)
Cote pondérée : (11 945ème position).
Visites : 5 488 (depuis Novembre 2007)
Un conte tragique sur l'amour...
Voilà l'histoire magnifique d'Anuradha Gandharva... Une femme douce et belle dans l'Inde des années 20... Avec son époux Vardhamnn et va affronter les coups du butoir de l'existence... La naissance de son enfant, les rouages d'une fabuleuse histoire se déroule devant nous et laissant son parfum se délier dans l'air... Je ne peux pas raconter la trame profonde sans dévoiler quelques ressorts, mais voilà la saga d'une famille sur laquelle pèse la fatalité mais qui ne cède jamais...
Les éditions
-
La fille qui marchait sur l'eau [Texte imprimé] Siddharth Dhanvant Shanghvi trad. de l'anglais (Inde) par Bernard Turle
de Shanghvi, Siddharth Dhanvant Turle, Bernard (Traducteur)
Éd. des 2 terres / EDITIONS DES DEUX TERRES
ISBN : 9782848930091 ; 22,50 € ; 27/08/2004 ; 455 p. ; Broché
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (4)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
La fille qui marchait sur l'eau ... de rose !
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 7 mars 2008
Il y a un personnage très intéressant, l'éponyme, que l'auteur n'a pas traité avec toute la finesse nécessaire. Dommage !
Difficile pour moi de rentrer dans ce livre qui ne sent pas l'Inde et qui est trop inspiré par les belles sagas américaines qui savent si bien faire pleurer Margie !
L'intime magie des personnages
Critique de Philduch (Aix en Provence, Inscrit le 17 février 2006, 57 ans) - 7 janvier 2007
Un pur moment de poésie
Critique de Marinette (laon, Inscrite le 1 juillet 2004, 44 ans) - 7 août 2006
La fille qui marchait sur l’eau est une saga familiale indienne, se déroulant plus exactement à Bombay. Nandini Gandharva peintre et modèle devient l’égérie (de par sa singularité, son audace, sa franchise) de tous les artistes du Bombay des années vingt. Déconcertante et attirante, elle fascine tout autant qu’elle fait peur. Jeune fille, au passé douloureux, orpheline, elle ne semble pas être faite pour le conformisme, elle aime étonner et choquer. Elle laisse tout de même entrevoir derrière cette force d’expression une certaine faiblesse , une sorte de manque de maîtrise qui se caractérise entre autres par des crises d’épilepsie, où tout son corps semble l'abandonner, elle qui mise tout sur lui. Autour d’elle évoluent de nombreux personnages : la belle Anuradha , son mari Vardhman et leur deuxième fils Shloka, l’ont accueillie auprès d’eux dans leur maison si mystérieuse et étant doté d’un esprit à part entière.
Et toute une famille d’artistes et de beau monde Indien, Afghan ou encore Irlandais gravite autour d’elle. Nous faisons alors connaissance des plus extravagants artistes, ainsi que des nobles familles anglaises.
La douceur du ton, les odeurs, la poésie les animaux, les paysages, laissent entrevoir un monde onirique et merveilleux qui se mêle à la cruauté d’une destinée malheureuse. Tout ce qui accompagne les personnages, les arbres, les fleurs, jusqu'à la maison qu'ils occupent a une âme. Nous pénétrons alors dans un monde étonnant où le réalisme côtoie le fantastique, où la maison, personnage en elle-même, a une emprise totale sur la famille d'Anuradha.
C’est un roman magnifique, qui traite avec beaucoup de charme et de douceur, de l'amour et de l'amitié, de la mort et de la vie, de la douleur et de la joie!!! O
n en ressort emplie d’émotions, de saveurs, de senteurs envoûtantes, "La fille qui marchait sur l’eau" est un véritable petit bijou.
Voyage en Inde
Critique de Léa001 (, Inscrite le 10 mai 2006, 45 ans) - 8 juin 2006
Au-delà d'une très belle histoire d'amour et de courage, c'est aussi dans un voyage à travers l'Inde sous l'occupation britannique que ce roman nous emmène. Si l'auteur dépeint, peut-être de manière trop chatoyante pour être vraie, le côté lumineux des années 20, les familles aisées plutôt que la dure réalité de la rue, c'est avec plaisir que nous le suivons, à travers ses personnages hauts en couleurs, à travers soirées mondaines (dans l'une desquelles nous croiserons Ghandi), balades en bord de mer et galeries d'art contemporain, etc...
Un livre à lire, sans hésitation.
Forums: La fille qui marchait sur l'eau
Il n'y a pas encore de discussion autour de "La fille qui marchait sur l'eau".