Un sac de billes de Joseph Joffo
Un sac de billes de Joseph Joffo
Catégorie(s) : Littérature => Romans historiques
Critiqué par Veneziano, le 25 mai 2005
(Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 47 ans)
Critiqué par Veneziano, le 25 mai 2005
(Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 47 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 15 avis)
Cote pondérée : (768ème position).
Discussion(s) : 2 (Voir »)
Visites : 18 007 (depuis Novembre 2007)
Moyenne des notes : (basée sur 15 avis)
Cote pondérée : (768ème position).
Discussion(s) : 2 (Voir »)
Visites : 18 007 (depuis Novembre 2007)
Etre enfant sous l'occupation
Ce livre est assez bouleversant et ne laisse pas indemne, dans la même mesure que L'Ami retrouvé de Fred Uhlmann. Il est d'autant plus secouant qu'il concerne des enfants.
Je n'en ai pas de souvenirs très précis car je l'ai lu enfant moi-même, un an avant L'ami retrouvé.
Sur l'occupation et le nazisme, je vous conseille également les excellents livres Le Grand Voyage de Jorge Semprun et Lune noire de John Steinbeck.
Connectez vous pour ajouter ce livre dans une liste ou dans votre biblio.
Les éditions
-
Un sac de billes [Texte imprimé] Joseph Joffo illustrations de Claude Lapointe
de Joffo, Joseph Lapointe, Claude (Illustrateur)
le Livre de poche / Le Livre de poche. Jeunesse
ISBN : 9782013224581 ; 5,30 € ; 14/09/2007 ; 442 p. ; Broché -
Un Sac de billes [Texte imprimé] Joseph Joffo
de Joffo, Joseph
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253029496 ; 5,90 € ; 01/01/1992 ; 414 p. ; Broché -
-
Un sac de billes
de Baudouin, Maxime (Acteur) Joffo, Joseph
Audiolib
ISBN : SANS000008461 ; 14/04/2021 ; Livre audio -
Un sac de billes [Texte imprimé] Joseph Joffo illustrations, Claude Lapointe
de Joffo, Joseph Lapointe, Claude (Illustrateur)
le Livre de poche / Le Livre de Poche Jeunesse
ISBN : 9782019110246 ; 5,90 € ; 11/01/2017 ; 448 p. ; Poche
»Enregistrez-vous pour ajouter une édition
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (14)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
jojo et momo
Critique de Jfp (La Selle en Hermoy (Loiret), Inscrit le 21 juin 2009, 76 ans) - 9 mai 2021
Joseph Joffo, à travers ses propres souvenirs, raconte d’une plume enlevée l’incroyable périple de Joseph et Maurice, ces deux enfants juifs fuyant Paris occupé pour rejoindre leurs frères aînés réfugiés à Menton. L’histoire a été largement popularisée par le cinéma (Jacques Doillon, Christian Duguay) mais la lecture du roman éclaire certains aspects qui ont pu sembler incohérents aux spectateurs. C’est qu’il s’est passé tant de choses tout au long de cette course-poursuite à travers une France partagée en deux, avec une zone que l’on dit "libre" mais qui va rapidement s’avérer tout aussi mortelle que celle placée directement sous la botte allemande. Fort heureusement nos deux débrouillards vont trouver sur leur chemin de bonnes âmes qui vont les aider à survivre et poursuivre leur errance jusqu’aux retrouvailles dans Paris libéré, sans leur père qui hélas n’a pas réussi à échapper au génocide nazi. Joseph Joffo a mis tout con cœur dans ce récit haletant qui témoigne d’une page peu glorieuse de l’histoire de la France, avec tout de même de beaux portraits d’hommes et de femmes qui n’ont pas été complètement formatés par l’idéologie douteuse qui prévalait en ces temps que l’on espère ne jamais revivre…
Une témoignage qui reste marquant
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 23 novembre 2019
Ce roman est un des premiers à avoir évoqué les souffrances de la communauté juive en France et l’innommable politique nazie pendant la seconde guerre mondiale et les années qui l’ont précédée.
Joseph Joffo, décédé il y a bientôt un an, a été longtemps considéré comme auteur de la lecture scolaire par excellence ; ses autres livres sont pratiquement inconnus.
Actuellement, ma bibliothécaire a dû aller le rechercher dans la cave en m’informant que les maîtres d’école se tournent vers d’autres ouvrages lorsqu’il s’agit d’aborder le thème de la Shoah. Certes il y a eu après ce récit beaucoup d’autres ouvrages relatant, témoignant ou évoquant ce drame absolu, mais « Un sac de billes » reste une référence à lire ou à relire.
L’auteur a le mérite de se remettre dans la peau de l’enfant qu’il était lorsqu’il écrit ce récit presque 30 ans après la fin du conflit. Il parvient ainsi à ne pas le rendre trop émotionnel et à conserver une narration d’une grande lisibilité.
Joseph Joffo, décédé il y a bientôt un an, a été longtemps considéré comme auteur de la lecture scolaire par excellence ; ses autres livres sont pratiquement inconnus.
Actuellement, ma bibliothécaire a dû aller le rechercher dans la cave en m’informant que les maîtres d’école se tournent vers d’autres ouvrages lorsqu’il s’agit d’aborder le thème de la Shoah. Certes il y a eu après ce récit beaucoup d’autres ouvrages relatant, témoignant ou évoquant ce drame absolu, mais « Un sac de billes » reste une référence à lire ou à relire.
L’auteur a le mérite de se remettre dans la peau de l’enfant qu’il était lorsqu’il écrit ce récit presque 30 ans après la fin du conflit. Il parvient ainsi à ne pas le rendre trop émotionnel et à conserver une narration d’une grande lisibilité.
Incontournable
Critique de Ndeprez (, Inscrit le 22 décembre 2011, 48 ans) - 8 avril 2015
Collégiens , Lycéens , Etudiants , Profs , Travailleurs (travailleuses comme dirait Arlette) , Chômeurs , Rmistes , Cadres , Ouvriers , PDG, Retraités mais surtout ceux qui peuvent être tentés de glisser dans l'urne un bulletin pour un parti créé par un type parlant de point de détail : Lisez ce livre !
On ne peut être qu'ému devant la débrouillardise du jeune Joseph et de son ainé Maurice obligés de fuir Paris pour gagner la zone libre.
Ce serait une erreur de le considérer comme un livre d'ado , il peut se lire à tout âge de la vie.
Une fois fini , procurez vous "Suite Française" d'Irène Némirovski
On ne peut être qu'ému devant la débrouillardise du jeune Joseph et de son ainé Maurice obligés de fuir Paris pour gagner la zone libre.
Ce serait une erreur de le considérer comme un livre d'ado , il peut se lire à tout âge de la vie.
Une fois fini , procurez vous "Suite Française" d'Irène Némirovski
L'étoile jaune
Critique de Paquerette01 (Chambly, Inscrite le 11 juillet 2008, 53 ans) - 1 mars 2012
Ce livre est celui de la peur, de l'angoisse, de la souffrance. Il aurait pu être le livre de la haine mais il est en fin de compte, un cri d'espoir et d'amour.
A conseiller
Critique de Monde Vrai (Long Beach, Inscrit le 6 décembre 2011, - ans) - 13 février 2012
Après le grand chambardement créé par Hitler en 39; les juifs sont pourchassés... On a donc là l'histoire de ces deux garçons qui doivent quitter la zone occupée pour aller en zone libre, ou ils constateront d'ailleurs que la suspicion et la délation de ces bourgeois au regard réprobateur - qu'ils doivent avoir à l'esprit à chaque instant - ne sont là-bas que plus puissantes ! Plusieurs anecdoctes font la véracité du livre, parmi lesquelles les deux SS parlant seulement des juifs "riches", ce patronage qui n'accepte que les gamins bien sous tous rapports et non eux, leurs moindres habitudes et certitudes à revoir, l'absurde, la méchanceté gratuite et la déraison régnant en maître, avec le fait qu'il y avait beaucoup plus à craindre des français que des nazis. Enfin les réflexions qui parsèment l'oeuvre comme celles concernants leurs vêtements qu'ils devaient planquer la nuit sous le matelas, ou bien celles ironiques à propos de leur retour à paris ou encore au sujet de ce "Reich" qui devaient durer 1000 ans ne la rendent que davantage déchirante et à faire couler toutes les larmes du corps d'un être humain normalement constitué.
Simple et émouvant
Critique de Chameau (, Inscrit le 10 novembre 2010, 44 ans) - 29 mars 2011
1941. Paris sous l’Occupation. Un enfant de 10 ans, Joseph, raconte. Son père tient un salon de coiffure. Un jour, lui et son frère Maurice, doivent porter l'étoile jaune avec l'inscription «Juif». A l'école Ferdinand Flocon, les autres se moquent d’eux et pendant la recréation, ils se battent avec quelques camarades. Joseph fait un échange avec un copain : L'étoile jaune contre un sac de billes.
Le soir, rentrés à la maison, leur père leur fait le récit de sa vie. Lorsqu'il était petit, il habitait en Russie. Le tsar qui régnait à l’époque, envoyait des émissaires pour ramasser les petits garçons. Ils les emmenaient dans des camps pour qu’ils deviennent soldats. Le père n'a pas voulu et il est parti. Il est arrivé à Paris où il a réussi à gagner de l'argent comme coiffeur. Maintenant c'est à eux, ses fils, de partir. Ils doivent s'enfuir à Menton en zone libre où leurs frères Henri et Albert vivent depuis le début de l'année. Les parents doivent encore régler quelques affaires avant de partir à leur tour. On leur dit de nier qu'ils sont juifs.
Joseph et Maurice prennent alors l'argent et partent à la gare d'Austerlitz. Direction Dax. Ils passent sans embûches la ligne de démarcation à Hagetmau et après une longue route pleine de péripéties, ils retrouvent finalement leurs grands frères. Mais quatre mois plus tard, leurs parents sont arrêtés à Pau…
Ce n’est que le début des pérégrinations de la famille Joffo qui, au gré des évènements de la guerre, va être dispersée puis réunie, de nouveau séparée et, à la Libération, retrouvée à Paris. Enfin presque : la tragédie est passée par là…
On s’en doute le récit est largement autobiographique. Tout est vu par les yeux innocents de Joseph. C’est l’originalité de ce livre. Ce qui permet de ressentir toute l’absurdité et l’horreur des situations (l’épisode avec la Gestapo niçoise) et surtout la peur, l’angoisse des jeunes héros.
C’est un récit sensible, avec beaucoup de tendresse et même de l’humour malgré la tension palpable page après page. Un livre captivant, touchant, un cri d’amour pour une famille prise dans la tourmente nazie.
Ce livre est donc une réussite mais il faut savoir, pour être tout à fait juste, que Joseph Joffo a fait appel à un nègre littéraire (Patrick Cauvin en l'occurrence) qui l'a remanié et réécrit (même chose pour ses autres livres, avec d'autres nègres).
Le soir, rentrés à la maison, leur père leur fait le récit de sa vie. Lorsqu'il était petit, il habitait en Russie. Le tsar qui régnait à l’époque, envoyait des émissaires pour ramasser les petits garçons. Ils les emmenaient dans des camps pour qu’ils deviennent soldats. Le père n'a pas voulu et il est parti. Il est arrivé à Paris où il a réussi à gagner de l'argent comme coiffeur. Maintenant c'est à eux, ses fils, de partir. Ils doivent s'enfuir à Menton en zone libre où leurs frères Henri et Albert vivent depuis le début de l'année. Les parents doivent encore régler quelques affaires avant de partir à leur tour. On leur dit de nier qu'ils sont juifs.
Joseph et Maurice prennent alors l'argent et partent à la gare d'Austerlitz. Direction Dax. Ils passent sans embûches la ligne de démarcation à Hagetmau et après une longue route pleine de péripéties, ils retrouvent finalement leurs grands frères. Mais quatre mois plus tard, leurs parents sont arrêtés à Pau…
Ce n’est que le début des pérégrinations de la famille Joffo qui, au gré des évènements de la guerre, va être dispersée puis réunie, de nouveau séparée et, à la Libération, retrouvée à Paris. Enfin presque : la tragédie est passée par là…
On s’en doute le récit est largement autobiographique. Tout est vu par les yeux innocents de Joseph. C’est l’originalité de ce livre. Ce qui permet de ressentir toute l’absurdité et l’horreur des situations (l’épisode avec la Gestapo niçoise) et surtout la peur, l’angoisse des jeunes héros.
C’est un récit sensible, avec beaucoup de tendresse et même de l’humour malgré la tension palpable page après page. Un livre captivant, touchant, un cri d’amour pour une famille prise dans la tourmente nazie.
Ce livre est donc une réussite mais il faut savoir, pour être tout à fait juste, que Joseph Joffo a fait appel à un nègre littéraire (Patrick Cauvin en l'occurrence) qui l'a remanié et réécrit (même chose pour ses autres livres, avec d'autres nègres).
Pas vraiment bouleversant...
Critique de OC- (, Inscrit le 4 mars 2011, 28 ans) - 16 mars 2011
Un livre qui se lit facilement, mais qui, pour ainsi dire, n'est ni particulièrement émouvant ni particulièrement marquant. On en apprend un peu sur la guerre, et c'est là le seul intérêt que j'y ai trouvé.
A recommander plutôt aux plus jeunes.
A recommander plutôt aux plus jeunes.
la guerre vue par un enfant devenu grand
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 28 décembre 2009
Ce témoignage change de tous ces écrits dramatiques à mort. L'innocence de Jo, son enfance perdue, ce drame historique qui n'a pas touché que des adultes...pfiou, j'ai adoré! on voit d'un autre oeil cette période. On se rend compte que tout le monde n'est pas mort (parce que dans tous les livres qu'on lit on n'entend parler que des morts!) ça fait du bien de parler un peu des vivants!
Contre la haine et l'intolérance
Critique de Incertitudes (, Inscrit le 4 décembre 2008, 40 ans) - 21 décembre 2008
Un sac de billes est un livre que j'ai lu pour la première fois et étudié en classe de sixième. Le relire récemment, bien des années plus tard, m'a permis de me rappeler des souvenirs et surtout à quel point le livre me touche toujours.
Joseph Joffo, qui s'est attaché dans ses livres à raconter ses souvenirs d'enfance, en est le narrateur et le personnage principal avec son frère Maurice de deux ans son aîné. Il raconte leur fuite à travers la France durant l'Occupation. Ce jeu de piste, un peu à la manière d'un jeu vidéo avec des gentils, des méchants, est passionnant à suivre.
Sauf que c'est tout sauf un jeu, c'est la triste vie de l'époque. Joffo ne pointe pas un regard moralisateur sur la guerre. Il en dénonce l'absurdité ("qu'est ce que je lui ai fait de mal ? Il ne me connaît pas et moi non plus...Parce que je suis juif ? Mais c'est quoi un juif ?") et lui reproche de lui avoir volé son enfance, ce qui est aussi terrible.
De même pour raconter son histoire, il se met à hauteur de l'enfant qu'il était à 10 ans, ce qui nous permet une plus grande immersion dans sa vie et de vraiment nous identifier à son personnage. On pleure avec lui, on tremble avec lui, on court avec lui et on rit avec lui. On accueille ses rares moments de détente, pourtant très simples : partie de football sur la plage, séance de cinéma avec le même soulagement que lui. Un peu de répit dont on sait par avance qu'il sera de courte durée.
Enfin, le livre est un portrait d'une France lors des pires heures de son histoire où régnait la peur, la délation, l'intolérance et la haine. Mais aussi, j'ai l'impression, beaucoup plus de solidarité et d'astuce par rapport à aujourd'hui.
Un livre à lire absolument pour son rythme trépidant, sa tension de bout en bout, son humanité tout en ayant à l'esprit que plus jamais une telle chose ne doit arriver.
Joseph Joffo, qui s'est attaché dans ses livres à raconter ses souvenirs d'enfance, en est le narrateur et le personnage principal avec son frère Maurice de deux ans son aîné. Il raconte leur fuite à travers la France durant l'Occupation. Ce jeu de piste, un peu à la manière d'un jeu vidéo avec des gentils, des méchants, est passionnant à suivre.
Sauf que c'est tout sauf un jeu, c'est la triste vie de l'époque. Joffo ne pointe pas un regard moralisateur sur la guerre. Il en dénonce l'absurdité ("qu'est ce que je lui ai fait de mal ? Il ne me connaît pas et moi non plus...Parce que je suis juif ? Mais c'est quoi un juif ?") et lui reproche de lui avoir volé son enfance, ce qui est aussi terrible.
De même pour raconter son histoire, il se met à hauteur de l'enfant qu'il était à 10 ans, ce qui nous permet une plus grande immersion dans sa vie et de vraiment nous identifier à son personnage. On pleure avec lui, on tremble avec lui, on court avec lui et on rit avec lui. On accueille ses rares moments de détente, pourtant très simples : partie de football sur la plage, séance de cinéma avec le même soulagement que lui. Un peu de répit dont on sait par avance qu'il sera de courte durée.
Enfin, le livre est un portrait d'une France lors des pires heures de son histoire où régnait la peur, la délation, l'intolérance et la haine. Mais aussi, j'ai l'impression, beaucoup plus de solidarité et d'astuce par rapport à aujourd'hui.
Un livre à lire absolument pour son rythme trépidant, sa tension de bout en bout, son humanité tout en ayant à l'esprit que plus jamais une telle chose ne doit arriver.
La vie et le regard d’un enfant sous l’occupation
Critique de Ichampas (Saint-Gille, Inscrite le 4 mars 2005, 60 ans) - 16 avril 2007
Pour un premier livre, la réussite est au rendez-vous. Il s’adresse tant aux ados qu’aux adultes. Joseph et son frère font preuve d’une grande insouciante et en même temps d’une grande maturité face aux événements. Si vous ne l’avez pas lu, empressez-vous de le faire, un très bon moment à passer malgré la dureté de l’histoire.
Une belle leçon de courage
Critique de Costilou (Neuilly sur seine, Inscrit le 31 mars 2006, 33 ans) - 31 mars 2006
Ce livre raconte l'histoire de deux jeunes frères qui tentent de rejoindre la zone libre durant la seconde guerre mondiale.
C'est une vraie leçon de courage, de fraternité et de vie.
J'ai admiré la grande maturité de ces deux jeunes enfants.
Je conseille aux collégiens de lire ce livre qui est passionnant et envoûtant
C'est une vraie leçon de courage, de fraternité et de vie.
J'ai admiré la grande maturité de ces deux jeunes enfants.
Je conseille aux collégiens de lire ce livre qui est passionnant et envoûtant
Emouvant
Critique de Pierre666 (Strasbourg, Inscrit le 13 octobre 2005, 43 ans) - 6 novembre 2005
C'est un des premiers livres que j'ai lu de bout en bout quand j'étais ado. J'ai été très touché et marqué par le parcours de ce "môme", par son courage et sa ténacité à vivre, et surtout pour avoir eu le don de partager si brillement son histoire.
ps: je n'ose pas le relire de peur de briser cette magie.
ps: je n'ose pas le relire de peur de briser cette magie.
le livre qui m'a donné envie de lire!
Critique de Charlenn13 (, Inscrite le 29 octobre 2005, 34 ans) - 6 novembre 2005
J'ai lu ce livre en 3ème et pour la 1ère fois j'ai lu un livre en entier!
Ce livre m'a beaucoup ému; il est émouvant, triste, il y a aussi de la souffrance mais de l'amour ,de la joie, de l'espoir , de la tendresse ,de l'émotion et aussi un peu d'humour.
Ce livre se passe pendant la seconde guerre mondiale, ce sont 2 frères juifs qui vont devoir partir pour ne pas se faire tuer par les allemands...
Je vous conseille de le lire, il est vraiment très bien.
Ce livre m'a beaucoup ému; il est émouvant, triste, il y a aussi de la souffrance mais de l'amour ,de la joie, de l'espoir , de la tendresse ,de l'émotion et aussi un peu d'humour.
Ce livre se passe pendant la seconde guerre mondiale, ce sont 2 frères juifs qui vont devoir partir pour ne pas se faire tuer par les allemands...
Je vous conseille de le lire, il est vraiment très bien.
mon livre préféré
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 31 octobre 2005
J'adore la seconde guerre mondiale et ma passion pour cette période est née grâce à ce roman qui m'a émue , émue à un tel point que 5 ans après l'avoir lu je m'en souviens encore ..Un amour fraternel , de la solidarité, de l'amour , de la joie , intemporel , face au pire crime de l'Humanité .
Forums: Un sac de billes
Sujets | Messages | Utilisateur | Dernier message | |
---|---|---|---|---|
Joseph Joffo nous a quitté. | 3 | Patman | 7 décembre 2018 @ 17:04 | |
Un sac de billes: je n'arrive pas à le lire!! | 9 | Didine843 | 24 mai 2011 @ 23:55 |