La petite fille de Monsieur Linh de Philippe Claudel
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Moyenne des notes : (basée sur 86 avis)
Cote pondérée : (910ème position).
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L'oubli des mauvaises choses
Monsieur Linh a quitté un pays en guerre, un village en ruine et ravagé pour un ailleurs autrement plus étrange. Une ville, immense, bondée de gens qui vont et viennent, où l'on parle une langue différente de la sienne. Qu'importe pour ce vieil homme, il a auprès de lui sa petite fille, Sang Diû. Un bébé de quelques semaines qu'il a sauvé, après la mort de ses propres parents, dont le fils de Monsieur Linh. Homme seul et égaré, il s'est réfugié dans un dortoir avec d'autres exilés mais il ne s'intègre pas auprès d'eux. C'est en se baladant dans les rues de la ville qu'il fait la connaissance d'un homme, gros et imposant, Monsieur Bark. Entre eux deux, une bienveillante relation s'établit...
L'histoire de Monsieur Linh entraîne le lecteur d'entrée de jeu ! C'est la magie des mots, du style de Philippe Claudel, c'est la puissance d'une histoire sans tralala. Tout passe par l'émotion et la pureté. C'est ouah ! Au coeur du roman, la personnalité de Monsieur Linh est lumineuse, bien qu'étant un être marqué et désamparé. Pourtant cet homme est d'une grande noblesse, sa petite fille nichée dans le creux de ses bras, calme et silencieuse et on souhaite au vieillard des jours meilleurs. L'auteur, fidèle à ses proses écorchées, n'en reste pas là... et c'est un "ravissement" qui laisse sans voix !
Les éditions
-
La petite fille de monsieur Linh [Texte imprimé], roman Philippe Claudel
de Claudel, Philippe
Stock
ISBN : 9782234057746 ; 15,75 € ; 23/08/2005 ; 162 p. ; Broché -
La petite fille de monsieur Linh [Texte imprimé], roman Philippe Claudel
de Claudel, Philippe
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253115540 ; 5,90 € ; 29/08/2007 ; 192 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (85)
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Une critique simple
Critique de Leo_lepetitami (, Inscrit le 19 juin 2021, 34 ans) - 19 juin 2021
Message de la modération : Probable lecture / critique imposées pour exercice scolaire
Décevant
Critique de Mbark (, Inscrite le 19 juin 2021, 25 ans) - 19 juin 2021
Message de la modération : Probable lecture / critique imposées pour exercice scolaire
Mystère
Critique de Jorrom (, Inscrit le 19 juin 2021, 25 ans) - 19 juin 2021
Message de la modération : Probable lecture / critique imposées pour exercice scolaire
Une bonne lecture avec des points négatifs
Critique de M. Bark (, Inscrit le 19 juin 2021, 104 ans) - 19 juin 2021
Message de la modération : Probable lecture / critique imposées pour exercice scolaire
Derrière le silence
Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 48 ans) - 18 octobre 2020
Ce court roman montre le parcours d’un vieillard déraciné, sans repère, mais à la volonté et à la fierté intactes. Une histoire douce-amère et émouvante.
Beau et prenant
Critique de Nomade (, Inscrite le 14 février 2005, 13 ans) - 10 février 2019
Ce roman est bien écrit et surtout il m'a procuré des sentiments qui m'ont laissé sans voix. Gorge nouée. Et puis, il y a cette fin. Pas n'importe laquelle. Celle qui vous permet de fermer l'ouvrage avec de nouvelles émotions.
trop de guimauve..
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 3 janvier 2018
Dès le début, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond avec ce bébé. Il ne pleure pas, ne bouge pas et personne ne s’y intéresse. Monsieur Linh, arrivé en France sur un boat people est pris en charge par une association et personne ne s’inquiète du soi-disant « enfant » qu’il porte collé contre lui.
Donc, on saisit dès le départ qu’il y a subterfuge. Je comprends que Monsieur Linh tente de se donner une raison de vivre, un sens à sa vie, et que cela passe nécessairement par l'autre, qu'il soit réel ou imaginaire..
Le livre se lit tout doucement, agréablement, vautré sur son canapé et lors de la lecture, on est envahi d’une immense paix, d’une sorte de sérénité.
Malgré tout, on glisse dans le sentimentalisme, dans le convenu, dans le sans surprise, dans le surfait, dans le cliché.
« On pensait trouver une petite maison, dans l’arrière-pays, dans un village au milieu des champs, près des forêts, d’une rivière, un petit village où tout le monde se serait connu et dit bonjour.. »
« Sur la photo jaunie, il finit par distinguer un homme jeune debout devant une curieuse maison, légère, aérienne, dressée sur des pattes en bois, et au côté de cet homme, une femme, plus jeune que l’homme sans doute, très belle, avec des cheveux amples ramenés en une longue tresse. »
Et cette remarque qui m’a surprise :
« Il demande à la jeune fille son prénom : Sara »
« Et que veut-il dire ? »
« Il veut dire Sara, c’est tout. Rien d’autre »
« Le vieil homme hoche la tête, il se dit qu’un pays où les prénoms ne signifient rien est un bien curieux pays'
Question : pourquoi l’auteur prend il comme exemple « Sara » ? Tout le monde sait que Sara signifie « princesse ».
Il y a bien quelques tentatives de garder le lecteur éveillé ou surpris, par exemple, le transfert de Monsieur Linh dans une sorte d’institut psychiatrique, l’accident de circulation à la fin du récit, sauvé in extremis comme si l’auteur voulait que le lecteur conserve sa tranquillité d’esprit, en nous laissant miroiter une fin heureuse..
On a quand même l’impression que le texte est assez poussif, on a noirci trop de pages pour arriver au bout de l’histoire.
Agréable à lire
Critique de Catinus (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans) - 28 juin 2016
Se lit tout doucement, tout agréablement …
Poétique, vrai, et surtout humain
Critique de Krys (France-Suisse, Inscrite le 15 mars 2010, - ans) - 11 novembre 2015
L'écriture est superbe, l'histoire belle, et l'auteur nous embarque au fond de l'être humain : dans toute sa splendeur et toute son horreur.
Ce petit récit est vite lu et ne manquera pas de vous plaire !
Livre trop mou
Critique de Kata001 (, Inscrite le 25 mai 2015, 24 ans) - 27 septembre 2015
C'est aussi une histoire banale, on devine à peu près la fin.
Poignant
Critique de Lectrice passion (Auch, Inscrite le 16 octobre 2014, 46 ans) - 29 octobre 2014
Monsieur Bonjour
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 21 août 2014
Le récit est à la fois poétique, touchant et prenant dans son déroulement, mais le style est moins travaillé que dans d’autres ouvrages de l’auteur que j'ai lus.
J’ai deviné assez tard qui était réellement la petite fille en question mais d’une certaine manière l’auteur commet un mensonge au début du récit qui détourne le lecteur de la solution de mystère qui monte au fil des pages.
Sans conteste une très bonne histoire qui peut franchement émouvoir.
Court mais intense en émotion
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 13 août 2014
Un roman que je conseille fortement car c'est vraiment une très belle histoire sur l'exil, l'amitié et la tendresse.
Très beau
Critique de Vigneric (, Inscrit le 26 janvier 2009, 55 ans) - 23 juillet 2014
Finalement, c'est mon seul reproche : Beaucoup trop vite fini...
Sobre, poétique ce court récit m’a totalement bouleversée
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 31 mai 2012
Une amitié improbable car ces deux hommes qui ne parlent pas la même langue, se comprennent malgré tout en partageant leur solitude. D’ailleurs, à certains moments je n’ai pu m’empêcher de penser au livre Des Souris et des Hommes car Monsieur Linh et Monsieur Bark sont tellement différents tout comme le sont Lenny et George.
J’avoue qu’en plus la fin du livre offre un tout autre éclairage et à répondu à toutes les interrogations qui m’avaient interpellée pendant ma lecture. Ainsi on comprend mieux les moqueries des autres réfugiés, le regard que les autres portent parfois sur Monsieur Linh ainsi que son admission dans ce qui semble être un asile. Récit intense de la folie ordinaire qui reste probablement le seul refuge possible.
Facile à lire (je l’ai lu en une journée) mais difficile à oublier car une fois le livre refermé, impossible de ne pas penser à Monsieur Linh.
Je finirai cette critique par une phrase tirée de la chanson de Michel Berger, Mademoiselle Chang, qui m’est venue à l’esprit après avoir refermé ce livre si intense et bouleversant car elle correspond en tous points à ce que doit ressentir Monsieur Linh : « Loin de ses origines, de son histoire, Elle cherche à perdre la mémoire. Loin de la mousson et du ciel bleu noir, Dans un monde qui n'a rien à voir, Déracinée par le hasard... »
Efficace
Critique de Fa (La Louvière, Inscrit le 9 décembre 2004, 49 ans) - 24 février 2012
Il y a des sentiments dans ce petit volume, à la pelle, même. On y retrouve l'amour des proches disparus, la "petite fille" comme seule raison de vivre pour ce vieil homme déraciné parvenu seul dans un pays qu'il ne connaît pas. L'amitié qui nait aussi avec un autre solitaire.
Personnellement cela m'a ému, à travers la recherche des personnages de tenter de se donner une raison de vivre, un sens à leur vie, qui passe nécessairement par l'autre, qu'il soit réel ou imaginé à travers simple petite poupée.
Evidemment, on glisse parfois vers le sentimentalisme et le trait, à force de se vouloir clair, manque parfois de nuance. Cela dit, ce petit livre reste efficace pour faire battre les coeurs.
Très beau mais...
Critique de MEloVi (, Inscrite le 6 juillet 2011, 40 ans) - 7 février 2012
Une fin Particulière
Critique de Pandorama (, Inscrite le 9 septembre 2011, 29 ans) - 9 septembre 2011
Le livre est très bien écrit, et les description sont juste passionnantes.
Je le conseille vivement.
La grande déception
Critique de Romanova (Casablanca, Inscrite le 19 mars 2011, 38 ans) - 30 avril 2011
Très moyen
Critique de Célia S. (Sambreville, Inscrite le 13 avril 2011, 29 ans) - 13 avril 2011
Bref récit émouvant
Critique de Saumar (Montréal, Inscrite le 15 août 2009, 91 ans) - 31 mars 2011
C’est une belle histoire d’amitié entre ces deux amis et une histoire d’amour entre Monsieur Linh et sa petite-fille, toujours si sage. C’est pour elle qu’il a subi tous ces déboires. Une fin tourmentée, tout de même, qui se termine sur une note d’espoir.
une vraie belle histoire
Critique de Mariebel (Paris, Inscrite le 1 novembre 2008, 37 ans) - 27 juillet 2010
Un beau livre qui se lit d'une traite. Un beau moment d'émotion.
Magnifique
Critique de Blabla:) (, Inscrite le 20 juillet 2010, 27 ans) - 25 juillet 2010
RAS
Critique de Lu7 (Amiens, Inscrite le 29 janvier 2010, 38 ans) - 13 juillet 2010
Idéal pour l'exercice de lecture en diagonale
Critique de Yeaker (Blace (69), Inscrit le 10 mars 2010, 51 ans) - 9 juillet 2010
Court mais beau .
Critique de Pat (PARIS, Inscrit le 21 mars 2010, 60 ans) - 24 juin 2010
La fin est surprenante .
Ce livre m'a donné envie de lire d'autres livre de cette auteur .
Belle amitié et texte très bien écrit
Critique de Pitchou (Morges - Suisse, Inscrite le 8 mai 2010, 35 ans) - 15 juin 2010
J'ai beaucoup apprécié la force de l'amitié entre Monsieur Bark et Monsieur Linh. Ils ne se comprennent pas par des mots car ils parlent des langues différentes mais leur amitié est plus forte que tous les mots de la terre, ils laissent parler leur coeur, c'est très beau, très émouvant!
De plus, j'ai beaucoup ri avec leur "bonjour" et leur "Tao laï" ils étaient comiques tous les deux et tellement tendres l'un envers l'autre.
Il y a également la fameuse chute que je n'ai même pas vu venir pour sa petite fille. En effet, j'ai bien eu quelques interrogations tout le long du livre sans jamais me le dire clairement (pour ne pas dévoiler la fin).
Bref excellente histoire, à ne pas manquer et surtout à savourer!
Simple et complexe à la fois
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 4 mai 2010
Je n'ai pas compris la fin ...
Critique de Tiaa-du-70 (, Inscrite le 30 avril 2010, 30 ans) - 30 avril 2010
Suspense jusqu'à la fin
Critique de Mamen (, Inscrite le 12 avril 2010, 60 ans) - 17 avril 2010
Encore et encore
Critique de Natka (, Inscrite le 24 février 2010, 40 ans) - 24 février 2010
Magnifique
Critique de Babouchkay (, Inscrite le 2 février 2010, 28 ans) - 9 février 2010
Pendant les premiers chapitres, j'étais un peu perdue, tout était un peu flou mais j'aime le style de l'auteur qui consiste à ne pas tout dévoiler. Au fil des pages j'ai appris à apprécier ce roman et ce fut vraiment un plaisir de le lire.
à trop réfléchir, on découvre vite la fin...
Critique de Lili971 (, Inscrite le 27 décembre 2009, 41 ans) - 27 décembre 2009
Ils sont un peu à l'écart de la société, et c'est ensemble qu'ils arrivent à revivre.
Le point négatif est cette impression de survoler le roman. Tout semble flou, puisque Claudel choisit de ne pas décrire certains lieux en profondeur, ni les gens qui apparaissent dans le roman.
Attention spoiler dans la suite
La seconde chose est ce bébé. On se demande au milieu du roman, pourquoi ce titre, alors que peu de choses sont dites sur cette petite fille: rien sur son age, ni sur son apparence. Elle ne pleure jamais, ce qui est rare pour un bébé qui est trimballé de droite à gauche dans le froid. Alors on se questionne et on se rend vite compte que jamais il n'est dit qu'elle mange. Elle est souvent installée sur un banc, ou sur un fauteuil (dans l'hôpital où monsieur Linh est emmené) comme si elle était sans vie. On comprend vite que Mr Linh a été traumatisé par la mort des siens au point de *****
Voilà ce qui reste décevant dans ce roman, étant donné que la révélation de **** est censée être le point de chute.
On a beaucoup de compassion pour cet homme, qui, au final, ne demande qu'une chose, retrouver cet homme qui est devenu son ami, et protéger sa petite fille. Ces deux petites choses pourtant si simples pour l'Homme qui exige tant chaque jour, font son bonheur.
Critique Emo :p
Critique de Criticoeur (, Inscrit le 13 novembre 2009, 33 ans) - 13 novembre 2009
Le contenu de l'histoire est assez inquiétant dans le sens où la force que dégage l'histoire est très sereine mais trop brumeuse. Cela vous transporte dans un état d'esprit. Cette ambiance nous projette dans une autre sphère.
Le choix de l'auteur est très réfléchi puisque le personnage principal est un vieil homme appelé monsieur Linh. Philippe claudel travaille le charme de l'histoire en essayant de le rapprocher d'une tragédie. Dans ce cas-ci, il met l'accent sur l'émotion.
Sa seule et unique rencontre
Critique de Misouu (, Inscrite le 13 novembre 2009, 32 ans) - 13 novembre 2009
L'auteur ne nous livre pas assez de détails sur la vie de monsieur Linh. D'où vient-il? Son métier, ses traditions? On ne sait même pas dans quelle ville et dans quel pays il s'est expatrié. En effet, c'est un réfugié, mais avec toujours dans les bras sa petite Sang Diû qu'il ne la lâchera pour rien au monde.
L'écrivain fait de son oeuvre une histoire émouvante. L'auteur évoque le pays de ce vieux bonhomme, les moeurs des habitants: tout le monde se connaissait, ils étaient tous soudés comme une grande famille. Le suspens règne car on ressent cette peur qu'il ne retrouve pas son ami et que celui-ci se sente à nouveau seul dans un pays si étrange, sans odeur, sans goût, comme il le décrit. Mais grâce à cet homme, ses manques sont comblés et au fur et à mesure, il laisse derrière lui son passé douloureux.
Attachant? Bien sûr que ce roman l'est! D'une part on éprouve cette facilité a sentir à la place du personnage, à percevoir ses sentiments et d'autre part, le décor est tellement bien décrit qu'on s'imagine à sa place. Dans un sens, cela nous fait rêver. En tout cas, l'auteur a réussit son oeuvre, j'ai adoré!
Surprenant
Critique de Flo29 (, Inscrite le 7 octobre 2009, 52 ans) - 16 octobre 2009
Je le conseillerai quand même, il est bien écrit.
Une petite réserve...
Critique de FranBlan (Montréal, Québec, Inscrite le 28 août 2004, 82 ans) - 7 mai 2009
Oui, l'histoire est belle, émouvante, les thèmes abordés des plus touchants et le récit très habilement raconté, trop habilement peut-être?
Je ne favorise point les comparaisons, mais je ne peux m'empêcher de songer à Soie, d'Alessandro Baricco ou Balzac et la petite tailleuse chinoise, de Dai Sijie qui demeurent, un peu dans le même genre de récits poétiques, des souvenirs de lecture impérissables, plutôt qu'un subtil malaise inexplicable...
attendrissement
Critique de Phineus (Bordeaux, Inscrit le 16 février 2009, 87 ans) - 18 février 2009
Incroyable !!!! Et tellement touchant !
Critique de Pélisse (, Inscrite le 26 octobre 2008, 38 ans) - 22 novembre 2008
J'ai été tellement émue par l'histoire, les personnages, l'écriture de Philippe Claudel, et les thèmes abordés (l'exil, la solitude, l'amour, la vieillesse) qu'il n'a été impossible de fermer l'oeil de la nuit après avoir achevé la dernière phrase du livre !
Tendrement émouvant
Critique de Loras (, Inscrite le 13 juin 2007, 37 ans) - 15 octobre 2008
Hommage à l'amitié
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 22 septembre 2008
En effet, je crois que l'amitié est ce qui sauve Monsieur Linh du désespoir et l'empêche de sombrer pour devenir un zombie parqué dans un centre pour vieillards. Il réagit et ce qui le fait réagir est justement le lien qui le rattache à Monsieur Bark, son ami si différent de lui et en même temps si proche de par le vulnérabilité et la nostalgie du passé.
La condition de réfugié est admirablement dépeinte et ce qu'éprouve Monsieur Linh, sa détresse et sa confusion sont décrites avec justesse et beaucoup de sensibilité.
Difficile d'en dire plus sans dévoiler trop de détails du récit mais ce livre, dès les premières pages, m'a touché droit au coeur. Quel beau personnage pathétique que ce vieil homme qui se rattache à des bribes de son passé comme une poignée de terre de son pays, une vieille photo toute jaunie et surtout son trésor inestimable : sa petite fille.
Très beau et surtout, très prenant.
agréable
Critique de AntoineBXL (Bruxelles, Inscrit le 9 août 2008, 45 ans) - 11 août 2008
Jusqu'à la dernière page je me suis dit "Pas mal, ce bouquin". Après la lecture des trois dernières lignes mon opinion tend plutôt vers "c'est un bon livre".
Des sentiments contradictoires
Critique de Tameine (Lyon, Inscrite le 9 juin 2008, 59 ans) - 24 juillet 2008
Mais c'est un joli livre, silencieux et lent qui fait du bien.
Comment se faire avoir en beauté
Critique de Mallollo (, Inscrite le 16 janvier 2006, 42 ans) - 21 juillet 2008
Pas d'exception pour moi avec La petite fille de monsieur Linh! J'ai bu l'eau à la source et c'était très rafraîchissant. Une rencontre touchante, une belle amitié entre deux hommes qui ne peuvent finalement rien connaître l'un de l'autre, une petite-fille à la fois omniprésente et tellement effacée...
On peut lire ce roman comme un conte: c'est très doux, un peu lisse mais pas désagréable.
Tout simplement ennuyant !
Critique de Zoha (, Inscrite le 18 juin 2008, 34 ans) - 18 juin 2008
Dès les premières pages, ce livre nous endort un peu. Après 3O pages, on en a déjà marre ! C'est vrai que l'écriture est assez, même très simple mais c'est une histoire vague, qui répète les mêmes choses. C'est une histoire assez monotone, il ne se passe rien pour nous prendre en haleine et c'est ce qui est vraiment dommage. Certes je ne connais pas l'auteur et c'est son premier livre mais je suis déçue car notre professeur nous a dit que c'était un livre intéressant. Elle s'est tout simplement trompée !
La fin ? Tout simplement ridicule ! Je ne suis pas là pour critiquer l'auteur car je le respecte mais c'est vraiment ennuyeux, je ne recommanderais ce livre à personne. C'est vrai que ça vous touche par l'émotion mais il n'y a pas ce petit quelque chose en plus et c'est très dommage ..
Sur ce, à ceux qui veulent risquer de le lire,
Bon courage ^^'
Sauvé par le gong !
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 16 juin 2008
Tristesse poétique
Critique de Lindy (Toulouse, Inscrite le 28 mai 2006, 46 ans) - 8 juin 2008
Le banc des rencontres
Critique de Jlc (, Inscrit le 6 décembre 2004, 81 ans) - 27 mai 2008
Ce récit m’a paru être l’opposé du livre de Cormac Mc Carthy « La route ». Si l’un et l’autre sont des romans d’amour, écrits au présent, si l’un et l’autre racontent une odyssée, si l’un et l’autre ne sont ni datés ni vraiment situés, ce qui leur donne une certaine universalité, « La petite fille de Monsieur Linh » est un récit pétri de délicatesse, de tristesse toujours teintée d’optimisme, de confiance parfois amère, d’humanité, quand l’autre est un brassage noir de déshumanisation et de méfiance quand ce n’est pas de défiance. Certes « La route » est un livre plus fort, plus fondamental, plus écrit que celui de Claudel mais je voulais les rapprocher car ils sont peut-être les deux facettes de nos existences.
Un très beau roman dans lequel je me suis laissé embarquer ; un de ceux qu’on n’oublie pas.
Prévisible
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 8 avril 2008
Emouvant
Critique de Soleada (, Inscrite le 21 janvier 2007, 35 ans) - 18 mars 2008
Quelle écriture! Je cours lire ses autres oeuvres.
les petites lignes de monsieur Claudel
Critique de Bertrand-môgendre (ici et là, Inscrit le 9 mars 2006, 69 ans) - 18 mars 2008
Une impression d'écriture précipitée transpire entre les lignes.
Faux jugement ? Erreur d'appréciation ? C'est une impression qui n'a pas plus de valeur critique qu'elle n'apporte aucune proposition en retour (qui, de surcroît, ne servirait à rien, puisque le livre est imprimé depuis longtemps).
« et puis là, les deux hommes se disent longuement au revoir en se disant bonjour. ».
Une phrase à retenir de ce livre, avant que l'ennui conforte sa présence au fil des pages.
L'importance du non -dit
Critique de Alma (, Inscrite le 22 novembre 2006, - ans) - 23 février 2008
Le vieil homm et l'enfant
Critique de Amanda m (, Inscrite le 10 janvier 2008, 57 ans) - 15 février 2008
Philippe Claudel ne dit pas grand-chose, ou plutôt utilise un style très épuré, dépouillé. Mais en fait il en dit beaucoup plus ainsi. Parce que c’est poignant, ces détresses qui se rejoignent, se mélangent, s’apaisent mutuellement. Parce que c’est touchant, cet amour que porte Monsieur Linh à sa petite fille.
Oh, on aura peut-être compris rapidement ce qu’il faut comprendre, mais ça n’en est que plus touchant et nous en apprend beaucoup plus sur la folie due à l’exil, à l’arrachement, à la guerre et ses atrocités.
Exercice de style
Critique de Norway (Entre le Rhin, la Méditerranée et les Alpes !, Inscrite le 7 septembre 2004, 49 ans) - 11 février 2008
En effet, le thème du soin porté aux réfugiés traverse ce roman sans beaucoup d'explication. De plus, l'amitié entre un homme et un vieillard qui a une petite fille n'est pas racontée d'une façon à tenir en haleine le lecteur car rien ne se passe.
Ce roman est très bien écrit, l'exercice de style est intéressant, mais manque de profondeur. Cela me rappelle Neige de Maxence Fermine, c'est beau, mais creux.
La fin est extraordinaire et me continuera de me marquer. Je ne vais pas l'oublier de sitôt, c'est une très belle fin de roman. Mais cela ressemble plus à une fin de nouvelle qu'à celle d'un roman.
Finale quand tu nous tiens
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 15 janvier 2008
Dans une fable, chaque instant et chaque objet sont symboliques. Je me pose encore de nombreuses questions. Pourquoi échanger ces paquets de cigarettes en guise de geste d’amitié? Pourquoi cet ami s’appelle Bark? Quelle est l’intention derrière la ritournelle récurrente autre que d’attendrir? Etc. Et bien sûr, ce revirement de dernière seconde…
un livre qui se lit assez vite
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 13 décembre 2007
c'est une histoire émouvante même si le style est uniquement narratif
personnellement j'ai eu très peur de la fin mais finalement tout finit bien
De l’Asie du sud-est à la France
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 23 octobre 2007
Monsieur Linh, un vieillard, vient de perdre sa famille dans la guerre, dans un pays du sud-est de l’Asie (que Philippe Claudel ne nommera pas mais on pense au Viet-nam ou au Cambodge). Il ne lui reste que sa toute petite fille et l’on comprend qu’il a fui la zone et est évacué vers un pays, pas plus nommé, mais qui ressemblerait furieusement à la France.
C’est sur le bateau qui l’emmène en exil qu’on fait la connaissance de Monsieur Linh :
« C’est un vieil homme debout à l’arrière d’un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise. Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul désormais à savoir qu’il s’appelle ainsi.
Debout à la poupe du bateau, il voit s’éloigner son pays, celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l’enfant dort. Le pays s’éloigne, devient infiniment petit, et Monsieur Linh le regarde disparaître à l’horizon, pendant des heures, malgré le vent qui souffle et le chahute comme une marionnette. »
La suite est le quotidien de réfugiés déboussolés qui débarquent en terra incognita, sans avenir ni perspectives, ballotés de services sociaux en dortoirs provisoires, coupés de relations humaines stabilisantes, … Monsieur Linh, accompagné de Sang Diu, sa petite fille, n’y coupera pas et Philippe Claudel nous brosse cela très bien : le dortoir misérable de transit dans lequel M. Linh cohabite avec deux familles, sa dépendance totale aux services sociaux, son non-avenir stérilisant …
Seule petite lumière dans ces perspectives lugubres, la rencontre improbable avec Bark, monsieur Bark, gros homme un peu largué, qui vient de perdre sa femme et qui a une culpabilité évidente vis à vis du pays d’origine de Monsieur Linh. Philippe Claudel leur noue une relation faite de petits riens, de méprises et d’incompréhensions formelles mais de complicité et d’entente réelles. Il touche juste, à petits coups, et c’est très fort.
Mais viendra le temps d’une affectation définitive pour Monsieur Linh et Sang Diu, les séparant de Bark, et là encore P. Claudel fait très fort. Très fort jusqu’à la fin pour laquelle une naïveté naturelle (Bienheureux les simples d’esprit, ils seront assis à la droite de Dieu !) m’a obscurci l’entendement et laissé tomber dans le piège. Pas vu venir et la surprise n’en est que plus belle !
Philippe Claudel est habile et son écriture très naturelle, très « coulée ». Un vrai petit bonheur.
L'émotion dans la simplicité des détails
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 25 mai 2007
J’ai rarement lu un auteur avec cette capacité à rendre ses personnages aussi attachants et émouvants que s’ils existaient dans la réalité et qu’on les côtoyait tous les jours. À mon avis, ce livre est réellement un chef-d’œuvre de sensibilité.
Tendresse, oubli, surprise, besoin
Critique de Printemps (, Inscrite le 30 avril 2005, 66 ans) - 17 décembre 2006
un livre touchant pour une fin ahurissante
Critique de Pascale Ew. (, Inscrite le 8 septembre 2006, 57 ans) - 8 septembre 2006
enfin un livre sans violence
Critique de Letille (, Inscrit le 3 avril 2006, 69 ans) - 4 septembre 2006
Très surprenant...
Critique de Marafabian (, Inscrit le 11 août 2006, 52 ans) - 11 août 2006
Quelle épreuve !
Critique de BackwardsMan (, Inscrit le 23 avril 2006, 64 ans) - 10 août 2006
Je n'ai absolument pas trouvé dans le livre ce qu'on avait pu m'en dire pour m'inciter à le lire.
Que de clichés, que de répétitions, que de lourdeurs.
On devine tout très vite, hélas... Quelle prévisibilité !
Quant au style, il me donne la tenace impression de quelqu'un qui s'écoute écrire, hélas encore.
Qu'un livre aussi court m'ait semblé si long est mauvais signe, quel ennui !
Bon, vais-je tenter les âmes grises ????
une histoire très touchante
Critique de Hamnesa (montluçon, Inscrite le 16 juin 2006, 41 ans) - 22 juin 2006
Ce roman m'a beaucoup ému...à lire, je le conseille vivement pour ceux qui ne l'ont pas encore fait
Intemporel
Critique de Ondatra (Tours, Inscrite le 8 juillet 2002, 43 ans) - 21 juin 2006
inoubliable
Critique de Choubibou69 (, Inscrite le 5 juin 2006, 49 ans) - 5 juin 2006
La magie de l'auteur nous amène à suivre Mr Linh, à croire que tout est possible et à garder en mémoire cette belle histoire.
Les émotions simples
Critique de Nothingman (Marche-en- Famenne, Inscrit le 21 août 2002, 44 ans) - 20 mars 2006
Après "Les âmes grises", Philippe Claudel change radicalement de style, nous livrant une histoire simple, épurée. Mais une histoire, pleine d'intensité, de profondeur et d'universalité, dans laquelle l'émotion est toujours poignante.
La douleur intérieure d'un homme
Critique de Véro lé la (, Inscrite le 5 février 2006, 53 ans) - 18 mars 2006
Courte histoire que l'on n'oublie pas.
ne lisez pas la fin...
Critique de Leodagane (, Inscrite le 14 février 2006, 55 ans) - 4 mars 2006
Mais j'avais deviné la "surprise" très tôt, et du coup la fin m'a laissée... sur ma faim !
Alors pour ceux qui ne veulent pas être déçus, arrêtez la lecture deux pages avant la fin !!!
pas emballée
Critique de Elfe (, Inscrite le 15 septembre 2004, 68 ans) - 15 février 2006
Une très forte amitié
Critique de S.J (Brinay (18), Inscrite le 27 janvier 2006, 38 ans) - 30 janvier 2006
C'est ça qui m'a touché ainsi que l'amour d'un vieillard pour sa petite fille.
C'est simple et tendre, plutôt bien écrit;
Seul hic:on ne comprend pas bien la fin.
S.J -20 ans -le 30 janvier 2006
Extérieur à tout
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 20 janvier 2006
Une partie de l'histoire m'a également fait penser à un magnifique film vu récemment "L'Arc - The Bow" de Kim Ki-Duk, qui relate la difficile relation entre un homme seul et âgé qui a recueilli une fillette à l'âge de sept ans et l'élève sur un bateau au milieu de la mer en attendant qu'elle ait dix-sept ans et qu'il puisse l'épouser. Difficultés de la relation, de la promiscuité, de l'incompréhension.
Beaucoup d'émotion dans ce film tout comme dans ce roman de Philippe Claudel, dans un style assez différent des "Ames grises, ai-je trouvé, parce que plus intériorisé, témoignant d'une autre forme de tristesse, plus proche de l'espoir résigné.
Peut-être certaines longueurs, certains passages prévisibles mais l'écriture demeure belle et fluide, une véritable émotion s'en dégage. J'ai aimé l'ambiance, le poids de l'incommunicabilité entre les êtres, celui de la folie douce aussi qui peu à peu se dégage du récit.
FABULEUX
Critique de Alandalus (BORDEAUX, Inscrite le 1 juillet 2004, 67 ans) - 20 décembre 2005
Dès le début, je me suis laissée emporter par la magie de l'écriture de Philippe Claudel. Plus que lire, j'avais l'impression de glisser sur les lignes. C'était tout doux.
Une infinie tendresse enveloppe ce livre.
Et puis on peut réfléchir sur l'émigration, l'amitié, la solitude. Le regard de l'autre qui est si dévastateur, parfois. Le désarroi de l'étrange. L'importance ou non de la langue.
Le tout en douceur.
Je me demande...
Critique de Nasien (, Inscrit le 7 décembre 2005, 76 ans) - 7 décembre 2005
A la folie, pas du tout...
Critique de Laudine (, Inscrite le 24 octobre 2005, 45 ans) - 1 décembre 2005
Il faut être attentif aux moindres détails pour ne pas passer à côté du message. Après avoir refermé le livre je me suis repassée le fil de l'histoire, et là j'ai été épaté par la construction de l'intrigue.
L'effet de surprise est tel, qu'il rend ce roman touchant et émouvant.
A la fois simple et percutant
Critique de Saint-Germain-des-Prés (Liernu, Inscrite le 1 avril 2001, 56 ans) - 28 octobre 2005
Belle écriture, rien à jeter, aucun détail superflu, rien que monsieur Linh, sa petite fille et un inconnu, rien que la pureté et l’innocence. Un livre tout en émotion…
pas convaincue ...
Critique de Calamity_jane (Montreuil, Inscrite le 20 mai 2005, 44 ans) - 25 octobre 2005
Je l'ai commencé hier après midi, et je l'ai fini tout à l'heure, et j'avoue, sans honte, m'être relativement ennuyée à la lecture de ce court roman.
J'ai trouvé ça très long malgré les 156 pages, très lent, il ne s'y passe pas grand chose. J'ai continué parce que je lisais dans les critiques qu'il y avait une chute intéressante ... Mais bon, je ne l'ai pas trouvée si extraordinaire, cette fameuse chute !
Enfin, tout ceci ne m'empechera pas de lire "les ames grises", qui est, parait-il, très bon :-)
de la tendresse à l'état pur
Critique de ADE (MARSEILLE, Inscrite le 10 octobre 2005, 46 ans) - 14 octobre 2005
Comment fait-il avec simplement trois personnages principaux pour nous apporter cette émotion au fil des pages !
Ce livre est très "beau" et il est vrai qu'on ne peut sortir indemne de cette histoire mais je vous rassures, futur lecteur, il y a une touche d'optimisme tout de même!
Lisez le vite!!!!
Tao-Laï
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 7 octobre 2005
Il ne faut pas s'en priver !
Simple comme « Bonjour »
Critique de Pitibeni (Marseille, Inscrit le 25 décembre 2004, 48 ans) - 30 septembre 2005
Troublant, déconcertant !
Critique de Voni (Moselle, Inscrite le 1 septembre 2005, 64 ans) - 26 septembre 2005
Certes, la sortie de ce nouveau roman après le succès des “âmes grises” qui plus est sort sur les écrans, s’avérait somme toute bien délicate. Mais, dans un registre quelque peu différent, Philippe Claudel, mon chouchou régional, démontre à nouveau son talent.
Dubitative ?
Oh oui ! je l’ai été dès les premiers chapitres et pourtant je me suis laissée porter et mener jusqu’au bout sombrant probablement dans une forme de naïveté.
Au fil des pages, je me suis laissée convaincre de l’éventuelle priorité de l’auteur à ne privilégier que la profondeur des émotions liant ces deux hommes esseulés et tellement désemparés que seule leur rencontre retient dans la vie.
L’espace, le temps sont épurés pour ne laisser place qu’à cette intense et vitale relation.
Après avoir tourné la dernière page, je suis restée troublée et déconcertée un bien long moment face à ma crédulité…
Comme tout s’explique, j’ai maintenant bien envie de recommencer le livre pour vérifier cette prouesse d’écriture dans laquelle je me suis laissée prendre. Très fort, M. Claudel !
L'invraisemblance... fait mouche !
Critique de RoiLire (SAINT PAUL EN FORET, Inscrit le 22 septembre 2005, 65 ans) - 22 septembre 2005
Mais c'est tout de même inférieur aux "Âmes grises".
magnifique
Critique de Mival (, Inscrite le 17 septembre 2005, 51 ans) - 17 septembre 2005
A recommander à tous les gens qu'on apprécie
Amitié muette
Critique de Ardigazna (, Inscrite le 9 novembre 2004, 51 ans) - 3 septembre 2005
Touchant, sensible, ce roman fait l’économie de personnages, de noms de lieux, de descriptions, pour se concentrer sur la relation muette qui se noue entre deux hommes qui portent le deuil, entre un vieillard et sa petite-fille. Parfois, le lecteur peut se montrer dubitatif, mais le dénouement lui apportera bien des éclaircissements. D’une facture simple et somme toute assez classique, ce court récit nous a beaucoup ému, sans nous convaincre autant que "Les âmes grise".
Pudeur et émotion
Critique de Nounours (FLEVILLE DVT NANCY, Inscrite le 27 janvier 2005, 59 ans) - 3 septembre 2005
P.S. : Surtout ne pas dévoiler la fin du roman à ceux qui ne l'ont pas encore lu (et qui ne savent pas ce qu'ils ont raté de ne pas l'avoir encore lu !).
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Question d'un lecteur. | 4 | Soldatdeplomb4 | 29 juin 2016 @ 00:36 |
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