Les larmes de la girafe de Alexander McCall Smith
( Tears of the giraffe)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers , Littérature => Africaine
Moyenne des notes :
(basée sur 2 avis)
Cote pondérée :
(13 296ème position).
Visites : 5 926 (depuis Novembre 2007)
rafraichissant
Depuis qu'elle a ouvert la première agence de détectives au féminin du Botswana
la très pulpeuse Mma Ramotswe a trouv
le bonheur... D'autant qu'entre deux enquêtes à mener, elle doit penser à son prochain mariage avec le plus courtois et le plus généreux des hommes, Mr. J.-L. Matekoni. Se méfiera-t-elle assez de la bonne acariâtre ? Regrettera-t-elle la promotion de Mma Makutsi au poste d'assistante-détective ? Se remettra-t-elle de ses soudaines responsabilités de mère de famille ? En tout cas, elle réussira à rendre le sourire à une mère qui l'avait perdu depuis dix ans..
Un roman agréable tendre et frais un vrai bonheur à la lecture une Afrique haute en couleur avec des personnages rieur et plein de bon sens j’ai adoré passé un moment en compagnie de cette enquêtrice aux rondeurs avantageuses une cure de jouvence pour un après midi de grisaille
Note 4.5/5
Envoyer à un(e) ami(e)
Version imprimable
Les éditions
-
Les larmes de la girafe [Texte imprimé] par Alexander MacCall Smith trad. de l'anglais par Élisabeth Kern
de McCall Smith, Alexander Kern, Élisabeth (Traducteur)
10-18 / 10-18. Série Grands détectives
ISBN : 9782264036025 ; 7,10 € ; 06/11/2003 ; 238 p. ; Broché
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (1)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
Encore meilleur
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 10 juillet 2006
Fort de son succès, l’auteur prend plus de pages pour camper le petit monde de Mma Ramotswe ; son nouveau mari au cœur d’or, son assistante ambitieuse et les mœurs d’une Afrique moderne marquée par le traditionalisme. Toujours traversées la même candeur, les saynètes savoureuses respirent l’humanité et font sourire. Ce n’est pas une simplicité niaise, mais bien celle proche du bonheur, celle dont on oublie les mérites, qui colore un texte plein de sagesse et de douce ironie.
Voilà un fruit sucré au milieu de l’été. Un pur délice.
Forums: Les larmes de la girafe
Il n'y a pas encore de discussion autour de "Les larmes de la girafe".
haut de page