Deux fois par semaine de Christine Orban
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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CONFIDENCE D'UNE EXPERIENCE UNIQUE
je découvre CHRISTINE ORBAN cette semaine.... elle n'en est pourtant pas à son premier roman mais c'est ça la magie des livres... on les choisit à un moment de notre vie car ils font écho à quelque chose... une sensibilité particulière pour accueillir un nouvel ouvrage... rentrée littéraire oblige... il faut faire des choix de lectures. j'ai privilégié ce roman car c'est inédit de faire le récit d'une analyse... son déroulement n'est pas banal et nous transporte aux fins fonds du fonctionnement humain, l'intriguant psychisme d'un être qui souffre... et ce cliché du psy rendu encore plus risible... n'en restez pas là... tentez cette expérience inouïe non par curiosité mais par besoin existentiel...
Les éditions
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Deux fois par semaine [Texte imprimé], roman Christine Orban
de Orban, Christine
Albin Michel / LITT.GENERALE
ISBN : 9782226168092 ; 16,00 € ; 01/09/2005 ; 191 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (4)
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Deux fois par semaine chez le psy
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 2 novembre 2008
Touchée
Critique de Agnes (Marbaix-la-Tour, Inscrite le 19 février 2002, 59 ans) - 4 mai 2008
Un livre moins dense, intense que celui de Marie Cardinal, mais une belle écriture pour faire part de son désarroi face à la maladie, à la mort et à ses interrogations par rapport à la thérapie, à son efficacité dont elle doute, alors qu'elle ne peut visiblement pas s'en passer.
Janou, je ne trouve pas du tout ce livre vide de sens, il faut pouvoir lire entre les lignes et vibrer au ressenti d'un texte poignant.
bof
Critique de Janou (, Inscrite le 14 novembre 2005, 48 ans) - 21 juin 2006
on s'ennuie à mourir tout au long du roman, bien sur il y a l'émotion que peut susciter la peine de l'auteur qui souffre de la perte d'un être cher mais pour moi le livre est vide de sens...
Rendez-vous chez le psy
Critique de Laure256 (, Inscrite le 23 mai 2004, 52 ans) - 17 février 2006
C’est donc le récit détaillé de ces deux rendez-vous par semaine que nous propose ce roman, avec tout le doute, le mal-être, l’artifice qui règne autour du divan. Le psy aussi est décrit avec ses clichés habituels, derrière elle, elle l’entend se limer les ongles ou se racler la gorge, et quand il est loquace, elle a droit à un « hum » synonyme d’encouragement à parler. Il y a la phase de résistance et la phase d’attachement (le transfert ?), les descriptions répétitives des chaussures ou de sa jupe, et toujours l’impossibilité à parler. Si le lecteur cherche à savoir comment elle sort du gouffre ou comment elle exprime la souffrance de l’accompagnement du mari qui se meurt, c’est peine perdue : il n’y a rien là-dessus. Seulement une description minutieuse - et je l’avoue très réussie – de ce qu’est le début d’une analyse chez un psy, le déroulement immuable et bien réglé des séances. La fin me laisse un peu sur ma faim : une larme d’émotion pour l’homme habituellement de marbre, une modeste compassion, mais poursuivra-t-elle sa cure, comment surmontera-t-elle le deuil ? Comme un goût d’inachevé…
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