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Préparez-vous à plonger dans l'univers d'un homme solidaire vendeur de papier peint depuis 40 ans ne vivant que pour une unique chose , son travail! Quand soudain une jeune femme va prendre la tête de la direction des ventes pour un salaire inespéré, qui lui a permis d'acheter à crédit un appartement trop grand pour elle, dont une pièce reste obstinément vide. La première mission de la jeune femme est claire: licencier l'ancêtre sans délais. Ils devraient s'affronter. Mais l'être humain trouve parfois d'étonnantes ressources pour braver la logique d'entreprise en se réinventant un destin.....
Ce livre me fait penser à Albert Camus , car il relève un peu du registre de l'absurde. il travaille depuis 40 ans sans but précis , tient parfois des propos déroutants . Mais derrière ce personnage ne se cacherait-il pas une vraie réalité? Thierry Beinstingel aborde un sujet qui touche un grand nombre de personnes le mal être au travail , un monde impitoyable où règne la peur du licenciement.
Ce livre me fait penser à Albert Camus , car il relève un peu du registre de l'absurde. il travaille depuis 40 ans sans but précis , tient parfois des propos déroutants . Mais derrière ce personnage ne se cacherait-il pas une vraie réalité? Thierry Beinstingel aborde un sujet qui touche un grand nombre de personnes le mal être au travail , un monde impitoyable où règne la peur du licenciement.
Il est dans la grosse pile.
La violence des cadres en entreprise : vaste sujet !
Et la faculté d' adaptation dont ils doivent faire preuve, en théorie, pour accompagner et soutenir leur(s) équipe(s) face aux inéluctables changements ....!
Il y a ceux que j'appellent "les gros cadres" et les "petits cadres de bases". Je suis un petit cadre de base, coincée entre "la-haut" en "en bas".
Persuadée que la notion d'encadrement ne peut exister sans une parfaite connaissance des "siens" (en bas....) et de la façon de les protéger de ceux "d'en haut", ma fait vivre un pari difficile.
Je n'ai pas lu ce livre, mais je peux affirmer que la place est rude à tenir quand on souhaite être honnête devant l'employeur et soutenant devant ceux que l'on "manage" (je déteste ce terme).
J'ai été victime d'un cadre odieux, ce qui m'a décidée à reprendre des études et à devenir cadre moi même.
Ca a des cotés pratiques : quand je suis en difficulté, je me demande comment aurait réagi ce cadre qui m'en a fait tellement bavé : je fais le contraire et ... ça marche !
Bien sûr, je caricature un peu, quoique ..................
Et la faculté d' adaptation dont ils doivent faire preuve, en théorie, pour accompagner et soutenir leur(s) équipe(s) face aux inéluctables changements ....!
Il y a ceux que j'appellent "les gros cadres" et les "petits cadres de bases". Je suis un petit cadre de base, coincée entre "la-haut" en "en bas".
Persuadée que la notion d'encadrement ne peut exister sans une parfaite connaissance des "siens" (en bas....) et de la façon de les protéger de ceux "d'en haut", ma fait vivre un pari difficile.
Je n'ai pas lu ce livre, mais je peux affirmer que la place est rude à tenir quand on souhaite être honnête devant l'employeur et soutenant devant ceux que l'on "manage" (je déteste ce terme).
J'ai été victime d'un cadre odieux, ce qui m'a décidée à reprendre des études et à devenir cadre moi même.
Ca a des cotés pratiques : quand je suis en difficulté, je me demande comment aurait réagi ce cadre qui m'en a fait tellement bavé : je fais le contraire et ... ça marche !
Bien sûr, je caricature un peu, quoique ..................
me fait vivre, pardon !
Beinstingel, c'est très bien - en tout cas les trois précédents que j'ai lus ; tu peux y aller.
J'achète , Feint !
Je dis ça, je l'ai pas encore lu - mais je l'ai acheté !
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