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"Comme tous ceux qui ont connu ce qu'était l'enseignement avant 1968 son jugement est plutôt sévère sur toutes les nouveautés apportées à la pédagogie"
Dans le secondaire certains mais pas tous, un oncle à moi né en 1939 vous dirait le contraire, ont regretté l'avant 1968 où on laissait des élèves en fin d'études sans accès au secondaire et la période 1969-1976 où les filières donnaient les transition/pratique aux instituteurs spécialisés, les voie II quasiment qu'à des PEGC (professeur de collège enseignant 2 ou 3 matières comme mathématiques-sciences ou français-arts plastiques, très majoritairement des anciens instituteurs) et les voie I aux certifiés en priorité.
Par contre en primaire, où on savait d'ailleurs gérer un peu mieux l'hétérogénéité, et surtout où on se souciait de faire progresser les élèves avant de boucler à tout prix le programme, les enseignants qui ont connu l'avant et l'après 1968 sont très nombreux à voir combien cette pédagogie traditionnelle était en décalage avec les exigences de la société moderne. On mémorisait mal (c'est-à-dire sans mettre trop de sens) plus qu'on comprenait bien. Aujourd'hui avec un usage intelligent de la photocopie, on tartine moins mais on approche de façon plus variée, mieux et plus souvent une notion.
Toutefois entre 1969 et 1984 on demanda beaucoup et dans tout aux enseignants du primaire (mathématiques modernes, disciplines d'éveil, faire de réelles activités sportives, des lectures qui s'inspiraient d'écrits sociaux, insister sur l'oral, grammaire intuitive, activités motivante d'expression écrite ...).
Au regard de ce que je sais en matière d'histoire de l'éducation et de ce que j'ai vécu (en primaire légèrement avant 1968 comme élève), comme enseignant dès le milieu des années 1970, ce livre est le reflet d'un malaise vécu surtout entre 1969 et 1978 (nouvelles instructions) voire à la limite jusqu'en 1985 (parution d'autres textes).
En tout cas cet ensemble "disparition des devoirs, des cours magistraux, des notes, des classements, de la discipline, de la dictée, de la leçon de choses voire de la récitation, introduction des mathématiques modernes, de la grammaire structurale, de l'éveil, des enquêtes et travaux de groupe" joue les Cassandre.
Nicole Ruppert-Gambini aurait dû écrire avec un recul qu'on ne peut lui demander
"souhait de disparition des devoirs écrits" en application de leur interdiction depuis 1956. Devoirs écrits qui n'ont jamais complètement disparus mais se sont allégés (écriture de mots d'orthographe à la maison pour les mémoriser pratiquée quasiment dans toutes les classes entre 1968 et 1984). Et leçons données en grand nombre à mémoriser à la maison.
"suppression de certaines formes de cours magistraux, des classements mensuels". Et heureusement car cela mettait en échec !
"suppression de la discipline" est complètement fantaisiste, par contre grosses difficultés pour imposer des exercices rébarbatifs à des élèves qui pouvaient avoir accès à des connaissances plus attractives ailleurs qu'à l'école et qui osaient dire maintenant à la maîtresse qu'ils n'aimaient pas certaines activités. Les travaux de groupe sont difficiles à supporter pour des enseignants qui exigeaient de leurs élèves qu'ils ne bougent pas de leur place et demandent une disposition différente des tables (le temps du travail de groupe ou définitivement).
"suppression des notes" envisagée pour 1968-69 avec un système de lettres au collège et des appréciations en primaire. Le système "très mal ,mal, passable, assez bien, bien, très bien" voir "vu, passable, assez bien, bien, très bien"a remplacé le 1 à 10 déjà plus employé par certains instituteurs avant 1968.
"variation dans le type de dictée, avec l'introduction de l'auto-dictée préparée à la maison". Au passage pour l'auto-dictée on peut parler de devoirs (qui n'ont donc pas disparus).
La récitation prend le nom de poésie, on incite parfois les enfants à choisir dans un fichier la poésie qu'ils veulent apprendre. La rédaction devient expression écrite et on déconseille de poser des sujets comme la cueillette des champignons et une veillée qui n'appartiennent pas l'univers des élèves de l'école.
La leçon de choses, l'histoire et la géographie sont rassemblées dans les disciplines d'éveil pour insister qu'il ne s'agit plus de faire mémoriser ce que l'enfant ne comprend pas mais de rendre l'élève plus actif (observation, hypothèses, enquêtes et travaux de groupe ...) et de lier certaines choses comme Saint-Louis en histoire avec des maladies comme la peste en sciences et situer le Proche-Orient en géographie.
Introduction des mathématiques modernes et de la grammaire structurale sans qu'on donne la possibilité au plus grand nombre d'instituteur de se recycler. Instituteurs qui à l'époque n'avaient pas plus haut qu'un baccalauréat souvent littéraire. Ceux qui avaient fait l'Ecole normale n'avaient pas étudié là avant 1970 les mathématiques modernes et la grammaire structurale mais étaient un peu plus disposé à faire l'effort intellectuel de les comprendre.
Nicole Ruppert-Gambini était passé directement de la terminale à la gestion d'une classe de primaire, comme beaucoup en région parisienne, forcément sans l'appui d'une formation de plusieurs semaines, elle ne pouvait rentrer dans ce nouveau moule facilement.
On doit entendre son cri, toutefois on n'a pas à la laisser aboyer sans expliquer les raisons de sa détresse. Et elle "a pris de plein fouet" de CC.RIDER sonne extrêmement juste.
Au fait regrettez-vous de voir épargner aux élèves d'après 1970 coups de règles sur les doigts, scotch sur la bouche, sous le bureau du maître, un coup de pied ou une paire de claques, cahier mal tenu au dos avec des épingles pour faire la tournée des classes
... Et le bonnet d'âne jusque parfois aux années de l'Occupation ! La discipline c'était cela aussi ...
Au fait l'école de Jules Ferry avait déjà commencé à se rénover officiellement dès 1923 (nouvelles instructions) et sous les coups de boutoir des adeptes des méthodes Freinet.
Pour savoir comment elle fonctionnait de 1920 à 1940 de façon banale (sans méthodes Freinet) et adaptée à son époque je vais présenter par une fiche spécifique "La Maîtresse d’école : Trente années de la carrière d’une institutrice".
Comme Sacha Guitry l'aurait dit, il faut être contre l'école de son époque certes mais plutôt tout contre pour valoriser ce qui permet de cultiver chez l'élève le désir d'apprendre.
Dans le secondaire certains mais pas tous, un oncle à moi né en 1939 vous dirait le contraire, ont regretté l'avant 1968 où on laissait des élèves en fin d'études sans accès au secondaire et la période 1969-1976 où les filières donnaient les transition/pratique aux instituteurs spécialisés, les voie II quasiment qu'à des PEGC (professeur de collège enseignant 2 ou 3 matières comme mathématiques-sciences ou français-arts plastiques, très majoritairement des anciens instituteurs) et les voie I aux certifiés en priorité.
Par contre en primaire, où on savait d'ailleurs gérer un peu mieux l'hétérogénéité, et surtout où on se souciait de faire progresser les élèves avant de boucler à tout prix le programme, les enseignants qui ont connu l'avant et l'après 1968 sont très nombreux à voir combien cette pédagogie traditionnelle était en décalage avec les exigences de la société moderne. On mémorisait mal (c'est-à-dire sans mettre trop de sens) plus qu'on comprenait bien. Aujourd'hui avec un usage intelligent de la photocopie, on tartine moins mais on approche de façon plus variée, mieux et plus souvent une notion.
Toutefois entre 1969 et 1984 on demanda beaucoup et dans tout aux enseignants du primaire (mathématiques modernes, disciplines d'éveil, faire de réelles activités sportives, des lectures qui s'inspiraient d'écrits sociaux, insister sur l'oral, grammaire intuitive, activités motivante d'expression écrite ...).
Au regard de ce que je sais en matière d'histoire de l'éducation et de ce que j'ai vécu (en primaire légèrement avant 1968 comme élève), comme enseignant dès le milieu des années 1970, ce livre est le reflet d'un malaise vécu surtout entre 1969 et 1978 (nouvelles instructions) voire à la limite jusqu'en 1985 (parution d'autres textes).
En tout cas cet ensemble "disparition des devoirs, des cours magistraux, des notes, des classements, de la discipline, de la dictée, de la leçon de choses voire de la récitation, introduction des mathématiques modernes, de la grammaire structurale, de l'éveil, des enquêtes et travaux de groupe" joue les Cassandre.
Nicole Ruppert-Gambini aurait dû écrire avec un recul qu'on ne peut lui demander
"souhait de disparition des devoirs écrits" en application de leur interdiction depuis 1956. Devoirs écrits qui n'ont jamais complètement disparus mais se sont allégés (écriture de mots d'orthographe à la maison pour les mémoriser pratiquée quasiment dans toutes les classes entre 1968 et 1984). Et leçons données en grand nombre à mémoriser à la maison.
"suppression de certaines formes de cours magistraux, des classements mensuels". Et heureusement car cela mettait en échec !
"suppression de la discipline" est complètement fantaisiste, par contre grosses difficultés pour imposer des exercices rébarbatifs à des élèves qui pouvaient avoir accès à des connaissances plus attractives ailleurs qu'à l'école et qui osaient dire maintenant à la maîtresse qu'ils n'aimaient pas certaines activités. Les travaux de groupe sont difficiles à supporter pour des enseignants qui exigeaient de leurs élèves qu'ils ne bougent pas de leur place et demandent une disposition différente des tables (le temps du travail de groupe ou définitivement).
"suppression des notes" envisagée pour 1968-69 avec un système de lettres au collège et des appréciations en primaire. Le système "très mal ,mal, passable, assez bien, bien, très bien" voir "vu, passable, assez bien, bien, très bien"a remplacé le 1 à 10 déjà plus employé par certains instituteurs avant 1968.
"variation dans le type de dictée, avec l'introduction de l'auto-dictée préparée à la maison". Au passage pour l'auto-dictée on peut parler de devoirs (qui n'ont donc pas disparus).
La récitation prend le nom de poésie, on incite parfois les enfants à choisir dans un fichier la poésie qu'ils veulent apprendre. La rédaction devient expression écrite et on déconseille de poser des sujets comme la cueillette des champignons et une veillée qui n'appartiennent pas l'univers des élèves de l'école.
La leçon de choses, l'histoire et la géographie sont rassemblées dans les disciplines d'éveil pour insister qu'il ne s'agit plus de faire mémoriser ce que l'enfant ne comprend pas mais de rendre l'élève plus actif (observation, hypothèses, enquêtes et travaux de groupe ...) et de lier certaines choses comme Saint-Louis en histoire avec des maladies comme la peste en sciences et situer le Proche-Orient en géographie.
Introduction des mathématiques modernes et de la grammaire structurale sans qu'on donne la possibilité au plus grand nombre d'instituteur de se recycler. Instituteurs qui à l'époque n'avaient pas plus haut qu'un baccalauréat souvent littéraire. Ceux qui avaient fait l'Ecole normale n'avaient pas étudié là avant 1970 les mathématiques modernes et la grammaire structurale mais étaient un peu plus disposé à faire l'effort intellectuel de les comprendre.
Nicole Ruppert-Gambini était passé directement de la terminale à la gestion d'une classe de primaire, comme beaucoup en région parisienne, forcément sans l'appui d'une formation de plusieurs semaines, elle ne pouvait rentrer dans ce nouveau moule facilement.
On doit entendre son cri, toutefois on n'a pas à la laisser aboyer sans expliquer les raisons de sa détresse. Et elle "a pris de plein fouet" de CC.RIDER sonne extrêmement juste.
Au fait regrettez-vous de voir épargner aux élèves d'après 1970 coups de règles sur les doigts, scotch sur la bouche, sous le bureau du maître, un coup de pied ou une paire de claques, cahier mal tenu au dos avec des épingles pour faire la tournée des classes
... Et le bonnet d'âne jusque parfois aux années de l'Occupation ! La discipline c'était cela aussi ...
Au fait l'école de Jules Ferry avait déjà commencé à se rénover officiellement dès 1923 (nouvelles instructions) et sous les coups de boutoir des adeptes des méthodes Freinet.
Pour savoir comment elle fonctionnait de 1920 à 1940 de façon banale (sans méthodes Freinet) et adaptée à son époque je vais présenter par une fiche spécifique "La Maîtresse d’école : Trente années de la carrière d’une institutrice".
Comme Sacha Guitry l'aurait dit, il faut être contre l'école de son époque certes mais plutôt tout contre pour valoriser ce qui permet de cultiver chez l'élève le désir d'apprendre.
Autre bourde dans la citation sur BABELIO "conseillers pédagogiques qui, sur demande de l'intéressé, viennent dans les classes, faire des démonstration de leçons".
Jamais un conseiller pédagogique ne fera dans une classe une leçon. Il donne des pistes pour en faire et explique ce que les programmes demandent.
Avoir passé tant d'années dans l'enseignement primaire et si mal le connaître, voilà la grande performance de son auteur.
Jamais un conseiller pédagogique ne fera dans une classe une leçon. Il donne des pistes pour en faire et explique ce que les programmes demandent.
Avoir passé tant d'années dans l'enseignement primaire et si mal le connaître, voilà la grande performance de son auteur.
Cher collègue, avez-vous vraiment lu ce livre ? A vous lire, j'en doute très fortement. Je ne vois ci-dessus que reprises, paraphrases et extrapolations basées sur ma propre critique. Pour étayer votre propos, vous utilisez également toutes les citations que j'ai publiées chez Babélio et rien d'autres. Sur des éléments aussi parcellaires, vous vous permettez surtout d'exposer vos idées personnelles sur la question. Libre à vous, mais permettez-moi de vous faire remarquer que, si c'est le cas, vous n'êtes plus tout à fait dans l'esprit du site "Critiques libres"...
J'ai écrit ailleurs:
"On se doute que je ne vais pas lire ce livre, d'après ce que je dis dans le forum".
Je démontre que, d'après ce que vous nous dites du contenu du livre, cette personne accumule les fausses affirmations. Elle bâtit un raisonnement sur des choses fausses, si vous aviez été compétent pour les relever je n'aurais pas eu à le faire (mais vous n'avez pas été dans l'enseignement primaire donc je le comprends).
Au regard de ce que vous écrivez, on comprend que perdue par un flot intense de nouvelles mesures spécifiques à la dernière période où elle enseigne, cette personne se soit renfermée sur ses certitudes et n'ait pas essayé de comprendre le sens des adaptations demandées. J'explique rapidement certes mais de façon assez utile pourquoi cette période est critique (sans ou avec jeu de mots, comme vous voulez)
Des idées personnelles il y en a bien moins que des faits précis.
A la phrase "Cher collègue, avez-vous vraiment lu ce livre ?" (réponse d'ailleurs fournie, avant que vous posiez la question, comme on l'a vu)
je réponds "Cher collègue, quelles connaissances avez-vous de ce qu'elle décrit pour faire autre chose que de répéter ce qu'elle écrit ?"
Ceci étant bien entendu que l'on parle de l'enseignement primaire.
Dans mes dires sur le forum je n'avais pas mis en cause le contenu de votre critique, vous me voyez obligé de le faire pour vous répondre. En effet mon désir était d'apporter des éclaircissements pas de critiquer la critique. Vous-mêmes portez des affirmations qui vous autorise à parler au nom d'un collectif. Je vous cite :
" comme tous ceux qui ont connu ce qu'était l'enseignement « avant » son jugement est plutôt sévère sur toutes les « nouveautés »".
Je réponds cette fois "Cher collègue, vos idées personnelles sur la question , vous en faites une idée qui fait consensus par décret"
C'est parce que vous avez écrit cela que vous m'avez mis en obligation morale de vous répondre. Je fais partie de la catégorie qui a connu l'enseignement avant et après 1968 et je ne vous reconnais pas le droit de parler en mon nom !
Faites encore des critiques sur des sujets où je suis compétent comme sur la Première Guerre mondiale et si au regard de ce que vous écrivez le contenu du livre me semble comporter des inexactitudes graves j'hésiterais beaucoup à les relever si je n'ai pas lu le livre.
Mais là vous m'avez fait cautionner vos idées et celles de cette dame. Ce qui est inacceptable !
Je pense que vous n'avez pas saisi pourquoi j'ai réagi, vous le savez maintenant. Les choses étant dites, je ne désespère pas que vous les compreniez.
"On se doute que je ne vais pas lire ce livre, d'après ce que je dis dans le forum".
Je démontre que, d'après ce que vous nous dites du contenu du livre, cette personne accumule les fausses affirmations. Elle bâtit un raisonnement sur des choses fausses, si vous aviez été compétent pour les relever je n'aurais pas eu à le faire (mais vous n'avez pas été dans l'enseignement primaire donc je le comprends).
Au regard de ce que vous écrivez, on comprend que perdue par un flot intense de nouvelles mesures spécifiques à la dernière période où elle enseigne, cette personne se soit renfermée sur ses certitudes et n'ait pas essayé de comprendre le sens des adaptations demandées. J'explique rapidement certes mais de façon assez utile pourquoi cette période est critique (sans ou avec jeu de mots, comme vous voulez)
Des idées personnelles il y en a bien moins que des faits précis.
A la phrase "Cher collègue, avez-vous vraiment lu ce livre ?" (réponse d'ailleurs fournie, avant que vous posiez la question, comme on l'a vu)
je réponds "Cher collègue, quelles connaissances avez-vous de ce qu'elle décrit pour faire autre chose que de répéter ce qu'elle écrit ?"
Ceci étant bien entendu que l'on parle de l'enseignement primaire.
Dans mes dires sur le forum je n'avais pas mis en cause le contenu de votre critique, vous me voyez obligé de le faire pour vous répondre. En effet mon désir était d'apporter des éclaircissements pas de critiquer la critique. Vous-mêmes portez des affirmations qui vous autorise à parler au nom d'un collectif. Je vous cite :
" comme tous ceux qui ont connu ce qu'était l'enseignement « avant » son jugement est plutôt sévère sur toutes les « nouveautés »".
Je réponds cette fois "Cher collègue, vos idées personnelles sur la question , vous en faites une idée qui fait consensus par décret"
C'est parce que vous avez écrit cela que vous m'avez mis en obligation morale de vous répondre. Je fais partie de la catégorie qui a connu l'enseignement avant et après 1968 et je ne vous reconnais pas le droit de parler en mon nom !
Faites encore des critiques sur des sujets où je suis compétent comme sur la Première Guerre mondiale et si au regard de ce que vous écrivez le contenu du livre me semble comporter des inexactitudes graves j'hésiterais beaucoup à les relever si je n'ai pas lu le livre.
Mais là vous m'avez fait cautionner vos idées et celles de cette dame. Ce qui est inacceptable !
Je pense que vous n'avez pas saisi pourquoi j'ai réagi, vous le savez maintenant. Les choses étant dites, je ne désespère pas que vous les compreniez.
lire "qui vous autorisent"
"Vous-même" plutôt que "Vous-mêmes"
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