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Bananamooon 28/05/2005 @ 19:12:22
Non ! on ne peut pas se moquer de tout et son contraire ! je m'insurge ;-))
En fait, c'est un groupe islandais, ils chantent en islandais et une langue qu'ils appellent hopelandais.
En passant, l'Islande est un pays merveilleux qui ouvre le coeur et l'esprit, il nous est arrivé d'être seuls devant des paysages grandioses d'une beauté à couper le souffle ! inoubliable on se sent bien petit devant la force de la nature ...
mais en s'y mettant à plusieurs (l'union fait la force !) on finira par l'avoir ! j'ai confiance, j'ai même aucun doute la-dessus


bravo, Julius !
Comment pourrait-on se moquer d'un pays qui a vu naître Björk et son génie ? Quant à Sigur Ros, il suffit de voir (mais écouter suffit aussi ) une de leurs prestations pour être époustouflé par la magie et le talent.

Bananamooon 28/05/2005 @ 19:22:57
;-) n'empêche, je serai incapable de te dire de quoi ils parlent, mais j'en ai eu un aperçu en anglais, ça n'a pas l'air stupide.

Julius 28/05/2005 @ 19:33:50
Salut Bananamoon
en regardant sur internet ils passent le 12 juillet à Paname ! je vais voir s'il reste des places ! excellent !

Veneziano
avatar 28/05/2005 @ 21:18:20
Le champ des partisans??? ;-))))
Blague à part. "Le chant des partisans", chanté par Yves Montand, c'était quelque chose. Une musique poignante et envoûtante. Un truc à aller mourir au combat sans trop tergiverser. Mais justement, maintenant, je trouve: trop de "mourir" et trop de "combat". J'ai envie d'autre chose, et pour tout dire, du contraire.


J'avais justement fait exprès de joindre cette chanson avec une deuxième, davantage chargée d'espoir, et une troisième plus joyeuse.

Bananamooon 28/05/2005 @ 23:49:04
Salut Bananamoon
en regardant sur internet ils passent le 12 juillet à Paname ! je vais voir s'il reste des places ! excellent !


le seul problème, c'est qu'en plus d'être nulle en islandais, je suis encore pire en géographie, du coup je n'ai pas la moindre idée de l'endroit où se trouve Paname. (nord sud est ouest? )

Julius 29/05/2005 @ 10:35:51
Si tu connais pas Paname, c'est que tu dois être belge ! Paris bien sûr ! la plus belle ville du monde !
Voir Paris et s'en aller vivre ailleurs, tu connais pas l'expression ... ça y est j'ai pris des places, ceux qui veulent vérifier mes 31 ans et qui croient que j'ai moins vu ce que je peux écrire, z'ont qu'à venir ...
Alors comme ça je suis un marrant ... le simplet quoi ! aah je te remercie pas du compliment ;-) pour la peine je vais pas voter, c'est quoi cette europe où tu te fais traiter de marrant ...

Saule

avatar 29/05/2005 @ 10:42:54

En passant, l'Islande est un pays merveilleux qui ouvre le coeur et l'esprit, il nous est arrivé d'être seuls devant des paysages grandioses d'une beauté à couper le souffle ! inoubliable on se sent bien petit devant la force de la nature ...
mais en s'y mettant à plusieurs (l'union fait la force !) on finira par l'avoir ! j'ai confiance, j'ai même aucun doute la-dessus

Si ils sont comme les suédois, ça doit pas être triste ! Qu'est-ce qu'ils peuvent picoler le w-e ici en Suède, c'est pire que les anglais. Et niveau musique c'est vraiment pénible, quoique quand on est bourré ça passe !

Isaline 29/05/2005 @ 19:54:49
Dans les transports

Texte : Thomas Fersen
Musique : Thomas Fersen Extrait de l'album :
Les ronds de carotte



Moi qui fait ce trajet
Les yeux fermés,
Distrait par un décret
Sans intérêt,
J'ai raté l'arrêt.
Ainsi je resterai
Pendu par la main
Dans les transports en commun.

Je finis ma nuit
Sur la barre d'appui
Sauf si l'on prend mon pied
Pour un vieux papier.
Dans les courbes les chromes
Aimantent les mains,
Mes doigts meurent sous la paume
De mon prochain.

"Robespierre", je vais m'asseoir,
"Danton","Desmoulins",
Je traverse l'histoire
Sur un strapontin,
Une banquette de moleskine,
Un banc de sardine.
La foule
Est mon berceau.

Je me dépêche vers toi
À l'heure où l'on s'écrase.
Elle appuie de tout son poids,
Mais la foule est courtoise.
Je reçois l'accolade
Des camarades.
L'hiver, le froid l'est moins
Dans les transports en commun.

Je me rends, mains en l'air,
Par le funiculaire,
Vers la chaude prison
De ta combinaison.
Je poursuis mon rêve
Dans les transports en grève
Et le dernier cahot
Me réveille au dépot

Dans les transports en commun
Les filles sont nerveuses,
Les hommes ont le pied marin
Et la main baladeuse.
Sur la banquette
Où je me jette,
Je tords, le temps est long,
Mon ticket de carton.

Car l'allure est modeste
À cause des travaux,
Et mon coeur, sous ma veste,
Est un moineau.
Au hasard je rencontre
Le cadran d'une montre...
Si je te dis en plus
Que j'ai raté le bus,

Avec ce retard là
Tu ne m'ouvriras pas.
Autant faire demi-tour
Et remettre l'amour.
Dans le bois, je gratte
Nos deux prénoms
Avec la date
De péremption.

Dans les transports en commun...

Isaline 29/05/2005 @ 20:09:01
Quatrième de couverture
Paroles : Vincent Delerm, extrait de l’album Kensington Square (2004)

23 juillet, Paris s'éteint
Et sur le Quai des Grands Augustins
Nous tournons les pages à l'improviste
Devant l'étalage d'un bouquiniste
Je ne vous connais pas, je vous frôle,
Là sur le Quai, épaule contre épaule.
Nous jetons en même temps un oeil sur
Les quatrièmes de couverture.

Une biographie de Signoret
Voilà le genre de choses qui vous plaît.
Un storyboard de Fellini
Le genre de truc qui vous fait lever la nuit.
Je vous devine à Juan-les-Pins
Un Press-Pocket entre les mains
Emportez-vous à Maisons-Laffite
Ce Boris Vian en 10/18?
Je connais bien votre poignet
Je connais vos mains, votre bracelet.
J'aime la manière dont vous reposez
Tristan Corbière sur le côté
Qu'allez-vous donc penser de moi si
J'attrape en rayon "Les années Platini"?
Finalement, je préfère me rabattre
Sur la NRF de 54
300 pages sur la guerre d'Espagne
Le genre de chose qui nous éloigne
Un vieux Sempé en Livre de poche
Le genre de truc qui nous rapproche
Guide du Routard du Sri Lanka
Dieu soit loué, on ne se connaît pas.
Hitchkock-Truffaut : les "Entretiens"
Nous avons tant de choses en commun. .

23 juillet, Paris s'éteint
Et sur le Quai des Grands Augustins
Nous tournons les pages à l'improviste
Devant l'étalage d'un bouquiniste
Je ne vous connais pas, je vous frôle,
Là sur le Quai, épaule contre épaule

Veneziano
avatar 30/05/2005 @ 11:57:24
Vincent Delerm est plus agréable à lire qu'à entendre.
J'espère, là, ne pas trop froisser, par ce qui n'est qu'un avis personnel.

Isaline 31/05/2005 @ 07:48:05
Vincent Delerm est plus agréable à lire qu'à entendre.
J'espère, là, ne pas trop froisser, par ce qui n'est qu'un avis personnel.


le tout c'est qu'il soit agréable pour quelque chose!... alors si l'écouter t'est difficile, voire insupportable, n'hésite pas à lire ses textes... ou ceux de son père, leur style d'écriture se ressemble et vaut le détour...
bonne journée.
une isaline pas du tout froissée...

Veneziano
avatar 31/05/2005 @ 08:44:21
Vincent Delerm est plus agréable à lire qu'à entendre.
J'espère, là, ne pas trop froisser, par ce qui n'est qu'un avis personnel.


le tout c'est qu'il soit agréable pour quelque chose!... alors si l'écouter t'est difficile, voire insupportable, n'hésite pas à lire ses textes... ou ceux de son père, leur style d'écriture se ressemble et vaut le détour...
bonne journée.
une isaline pas du tout froissée...


C'est bien ce que je fais. Merci à toi.

Lyra will 31/05/2005 @ 16:55:14
Zazie
J'arrive

2004 "Rodéo"



Le temps de passer chez moi
Verser la mousse dans le bain
Le temps de repasser ma robe
D'aller chercher le pain
Le temps de bercer mon enfant
Le temps qu'elle lâche ma main
Qu'elle lâche ma main

Le temps pour un dernier verre
Parler de tout et de rien
Le temps de finir le concert
Le temps du dernier refrain
Le temps de remettre ma vie entière
Entre vos mains
Entre vos mains

Le temps de m'y faire
Je prends mes affaires
Et puis j'arrive
Le temps qu'il me reste
Pour ceux que je laisse
Là, sur l'autre rive
Et sourire
Tant que je respire
Si j'y arrive
Et j'arrive

Juste le temps passé avec toi
Autant, tant que tu veux
A peine le temps de croire en moi
Pas le temps de croire en Dieu
Et me lasser de cette vie-là
Ca je sais pas si je peux
Je sais pas si je peux

Le temps de m'y faire
Je prends mes affaires
Et puis j'arrive
Le temps de dire adieu
A ceux
De l'autre rive
Et puis sourire
Jusqu'au dernier soupir
Si j'y arrive
Et j'arrive

Le temps du voyage
Je prends mes bagages
Et puis j'arrive
Je prends mon courage
A deux mains
Si ça m'arrive
Je prends juste encore
Le temps de vivre
Et j'arrive
J'arrive

Bananamooon 31/05/2005 @ 18:03:54
Si tu connais pas Paname, c'est que tu dois être belge ! Paris bien sûr ! la plus belle ville du monde !
Voir Paris et s'en aller vivre ailleurs, tu connais pas l'expression ... ça y est j'ai pris des places, ceux qui veulent vérifier mes 31 ans et qui croient que j'ai moins vu ce que je peux écrire, z'ont qu'à venir ...
Alors comme ça je suis un marrant ... le simplet quoi ! aah je te remercie pas du compliment ;-) pour la peine je vais pas voter, c'est quoi cette europe où tu te fais traiter de marrant ...



non non je ne suis pas belge, seulment nullissime en géographie, et ce à toutes les échelles, surtout régionale !
De toute façon, Paris c'est trop loin de chez moi, sniffff !
Ben c'est pas vexant de te "traiter" de marrant ! ;-D je t'assure que c'est un compliment. Sinon t'as qu'à plus l'ouvrir ! Na !

Julius 31/05/2005 @ 19:22:02
KC ! tu m'as micro cassé ! après "marrant" "t'as qu'à plus l'ouvrir" manque plus que tu me traites de banane ! je veux du respect, je demande pas la lune quand même ! hein Bananamoon ?

Bananamooon 31/05/2005 @ 21:43:18
KC ! tu m'as micro cassé ! après "marrant" "t'as qu'à plus l'ouvrir" manque plus que tu me traites de banane ! je veux du respect, je demande pas la lune quand même ! hein Bananamoon ?


Oh la la la la la la !!!! Là on a atteint les sommets ! ;-) pourtant j'en fréquente, des comiques ! En plus, là j'ai compris tout de suite, d'habitude faut toujours qu'on me fasse les gros yeux et je fais "aaahhh, j'ai compris!!" alors que la blague reste totalement obscure.

Bananamooon 31/05/2005 @ 21:47:45
Un classique de la musique irlandaise, quel qu'en soit l'interprète.
Mais pour moi, la plus belle version reste encore celle de Sinéad O'connor (voix magnifique, pour ceux qui connaissent) : presque à capella, avec du tin whistle comme seul accompagnement.


Danny Boy
---------
Ah Danny boy, the pipes,
the pipes are calling
From glen to glen,
and down the mountain side

The summer's gone,
and all the flowers are falling
'Tis you, 'tis you
must go and I must bide

But come ye back
when summer's in the meadow
Or when the valley's hushed
and white with snow

And I'll be here
in sunshine or in shadow
Oh Danny boy, oh Danny boy,
I love you so

But if you come,
and all the flowers are falling
And I am dead,
as dead I may well be

You'll come and find
the place where I am lying
And kneel and say
an "Ave" there for me

And I will hear,
though soft your tread above me
And o'er my grave
will warmer sweeter be

And you will bend
and tell me that you love me
And I will sleep
in peace until you come to me

But if I live
and should you die for Ireland
Let not your dying thoughts
be just of me

But say a prayer to God
for our dearest Ireland
I know He'll hear
and help to set her free

And I will take your pike
and place my dearest
And strike a blow,
though weak the blow may be

Twill help the cause
to which your heart was nearest
Oh Danny Boy, Oh, Danny boy
I love you so.

Lyra will 01/06/2005 @ 16:47:31
Bon, ce n'est pas très gai, c'est vrai, mais :

Zazie
J'arrive

2004 "Rodéo"




Le temps de passer chez moi
Verser la mousse dans le bain
Le temps de repasser ma robe
D'aller chercher le pain
Le temps de bercer mon enfant
Le temps qu'elle lâche ma main
Qu'elle lâche ma main

Le temps pour un dernier verre
Parler de tout et de rien
Le temps de finir le concert
Le temps du dernier refrain
Le temps de remettre ma vie entière
Entre vos mains
Entre vos mains

Le temps de m'y faire
Je prends mes affaires
Et puis j'arrive
Le temps qu'il me reste
Pour ceux que je laisse
Là, sur l'autre rive
Et sourire
Tant que je respire
Si j'y arrive
Et j'arrive

Juste le temps passé avec toi
Autant, tant que tu veux
A peine le temps de croire en moi
Pas le temps de croire en Dieu
Et me lasser de cette vie-là
Ca je sais pas si je peux
Je sais pas si je peux

Le temps de m'y faire
Je prends mes affaires
Et puis j'arrive
Le temps de dire adieu
A ceux
De l'autre rive
Et puis sourire
Jusqu'au dernier soupir
Si j'y arrive
Et j'arrive

Le temps du voyage
Je prends mes bagages
Et puis j'arrive
Je prends mon courage
A deux mains
Si ça m'arrive
Je prends juste encore
Le temps de vivre
Et j'arrive
J'arrive

Julius 07/06/2005 @ 21:13:18
Les Wriggles
Julie la ptite olive

Julie la p'tite olive
Rêvait de voyager
Mais elle était captive
D'un rameau d'olivier
Elle tanait ses copines à longueur de journée
Avec les Philippines et St Germain des prés

C'est bon Julie arrête de nous les briser
Tu sais bien que notre vie finira dans un panier
On est nées pour faire de l'huile d'olive
C'est comme ça c'est la nature
Et c'est très bon avec les endives

Julie la p'tite olive l'entendait pas de cette oreille
Comme elle avait la verve vive elle prit à parti le soleil
"Vous Monsieur vous tournez pres de 24 h par jour
Le monde vous le connaissez vous en avez déjà fait le tour
Moi je suis prisonnière de cette grosse branche en bois
Dites-moi donc c'qu'il se passe sur terre
Oh oui siouplait racontez-moi..."

C'est bon Julie arrête de les lui briser
Tu sais bien que notre vie finira dans un saladier
On est nées pour faire copines avec les endives
Le soleil lui y s'en tape y connaît rien a l'huile d'olive

Mais l'astre du jour par sa requête fut ému
Et lui dit rayonnant d'amour : "je vais commencer au début"
Au bout d'une dizaine de mois
Il finissait le préambule
Le big bang et tous ces trucs-là
La naissance des premières cellules
Et Julie l'écoutait passionnée attentive
Ouvrant grand ses oreilles pour n'en point perdre un mot
Mais hélas la vendange tardive des olives
Coupa leur entretien
Avec tout le rameau

Cette fois Julie c'est terminé
Allez monte dans le camion qui nous emmène chez Puget
T'etais née pour faire de l'huile d'olive
Maintenant tu fermes ta gueule et tu dis bonjour aux endives

Mais Julie ignorait que le soleil ce gros bavard
De lumière l'avait gavée pendant qu'il comtait ses histoires
Et arrivée au pressoir
Le propriétaire agricole eut besoin d une chaise pour s'asseoir
Et s'écria :

"Oh la bestiole
Allez non de non
C'qu'boudiou j'hallucinions
Par les baloches du cornu
j'ai dû abusé du litron
Cette olive on dirait qu'c'est la couille de Godzilla
Va m'en falloir des endives
Pour contenter c'te bête là"

Et Julie que la joie innonde
Grâce au miracle de la nature
S'est tapée 4 tours du monde
Dans les salons d'l'agriculture

Dans les salons d'l'agriculture.

Veneziano
avatar 08/06/2005 @ 19:09:15
De Luz Casals : ENTRE MIS RECUERDOS

Cuando la pena cae sobre mí
el mundo deja ya de existir
Miro hacia atrás y busco entre mis recuerdos.
Para encontrar la niña que fuí
y algo de todo lo que perdí.
Miro hacia atrás y busco entre mis recuerdos.
Sueño con noches brillantes al borde
de un mar de aguas claras y puras,
y un aire cibierto de azahar.
Cada momento era especial,
días sin prisa, tardes de paz.
Miro hacia atrás y busco entre mis recuerdos.
Yo quisiera volver a encontrar la pureza
nostalgia de tanta inocencia que tan poco tiempo duró.
Con el veneno sobre mi piel
frente a las sombras de la pared.
Miro hacia atrás y busco entre mis recuerdos.
Y si las lágrimas vuelven,
ellas me harán más fuerte.

Yo quisiera volver a encontrar la pureza
nostalgia de tanta inocencia que tan poco tiempo duró.
Cuando la pena cae sobre mí
quiero encontrar aquello que fuí.
Miro hacia atrás y busco entre mis recuerdos.
Vuelvo hacia atrás y busco entre mis recuerdos.

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