Une chanson de Vincent Delerm dédiée très amicalement à FéeClo (et Kilis pour Bukowski ;-)
Tu fais partie des filles
Qui ramassent des jonquilles
J'appartiens à ce clan
Qui caresse les juments
Tu fais partie de la sorte
Qui va chez Pier Import
Et qui trouve super naze
De mettre les gens dans des cases
Tu fais partie de celles
Qu'ont déjà eu la varicelle
J'appartiens à la race
Des anciens délégués de classe
T'es dans la catégorie
De celles qui lisent Bukowski
En trouvant super naze
De mettre les gens dans des cases
Tu fais partie des filles
Qui ramassent des jonquilles
J'appartiens à ce clan
Qui caresse les juments
Tu fais partie de la sorte
Qui va chez Pier Import
Et qui trouve super naze
De mettre les gens dans des cases
Tu fais partie de celles
Qu'ont déjà eu la varicelle
J'appartiens à la race
Des anciens délégués de classe
T'es dans la catégorie
De celles qui lisent Bukowski
En trouvant super naze
De mettre les gens dans des cases
Voici une chanson écrite par Gainsbourg que j'aime bien :
Amours des feintes
Paroles et Musique: Serge Gainsbourg 1990
© 1990 - Editions Melody Nelson
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Cartes en quinte
S'édifiant
Le palais d'un prince
Catalan
Amours des feintes
Seul un can-
Délabre scint-
Ille au vent
Où l'on emprunte
Des sentiments
Le labyrinthe
Obsédant
Et comme si de rien n'était
On joue à l'émotion
Entre un automne et un été
Mensonge par omission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Etrange crainte
En écoutant
Les douces plaintes
Du vent
Amours des feintes
Au présent
Et l'on s'éreinte
Hors du temps
Et pourtant maintes
Fois l'on tend
A se mainte-
Nir longtemps
Le temps ne peut-il s'arrêter
Au feu de nos passions
Il les consume sans pitié
Et c'est sans rémission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Couleur absinthe
Odeur du temps
Jamais ne serai
Comme avant
Amours des feintes
Au loin j'entends
Là-bas qui tinte
Le temps
De ces empreintes
De nos vingt ans
Ne restent que les teintes
D'antan
Qui peut être et avoir été
Je pose la question
Peut-être étais-je destinée
A rêver d'évasion.
Amours des feintes
Paroles et Musique: Serge Gainsbourg 1990
© 1990 - Editions Melody Nelson
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Cartes en quinte
S'édifiant
Le palais d'un prince
Catalan
Amours des feintes
Seul un can-
Délabre scint-
Ille au vent
Où l'on emprunte
Des sentiments
Le labyrinthe
Obsédant
Et comme si de rien n'était
On joue à l'émotion
Entre un automne et un été
Mensonge par omission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Etrange crainte
En écoutant
Les douces plaintes
Du vent
Amours des feintes
Au présent
Et l'on s'éreinte
Hors du temps
Et pourtant maintes
Fois l'on tend
A se mainte-
Nir longtemps
Le temps ne peut-il s'arrêter
Au feu de nos passions
Il les consume sans pitié
Et c'est sans rémission
Amours des feintes
Des faux-semblants
Infante défunte
Se pavanant
Couleur absinthe
Odeur du temps
Jamais ne serai
Comme avant
Amours des feintes
Au loin j'entends
Là-bas qui tinte
Le temps
De ces empreintes
De nos vingt ans
Ne restent que les teintes
D'antan
Qui peut être et avoir été
Je pose la question
Peut-être étais-je destinée
A rêver d'évasion.
En voici encore une autre, que j'aime au moins autant :
Jane Birkin
Les dessous chics
Musique: Serge Gainsbourg, Jean-Pierre Sabard 1983
C'est ne rien dévoiler du tout
se dire que lorsqu'on est à bout
c'est tabou
les dessous chics
c'est une jarretelle qui claque
dans la tête comme une paire de claques-
les dessous chics
ce sont des contrats résiliés
qui comme descas résilles
ont filé-
les dessous chics
c'est la pudeur des sentiments
maquillés outrageusement
rouge sang
les dessous chics
c'est se garder au fond de soi
fragile comme un bas de soie-
les dessous chics
c'est des dentelles et des rubans
d'amertume sur un paravent
désolant-
les dessous chics
ce sarait comme un talon aiguille
qui transpercerait le cœur des filles
Jane Birkin
Les dessous chics
Musique: Serge Gainsbourg, Jean-Pierre Sabard 1983
C'est ne rien dévoiler du tout
se dire que lorsqu'on est à bout
c'est tabou
les dessous chics
c'est une jarretelle qui claque
dans la tête comme une paire de claques-
les dessous chics
ce sont des contrats résiliés
qui comme descas résilles
ont filé-
les dessous chics
c'est la pudeur des sentiments
maquillés outrageusement
rouge sang
les dessous chics
c'est se garder au fond de soi
fragile comme un bas de soie-
les dessous chics
c'est des dentelles et des rubans
d'amertume sur un paravent
désolant-
les dessous chics
ce sarait comme un talon aiguille
qui transpercerait le cœur des filles
Tu as bon goût Veneziano pour ces 2 Gainsbourg.
Merci. Gainsbourg fait aussi de belles chansons tristes et sait parler de sensualité sans être obscène.
Pour les amateurs de Bretagne - puisqu'il est question de Breton dans le forum consacré aux langues - , je vous livre les paroles d'une chanson populaire, dédiée à un port de pêche très joli, où vous me croiserez très probablement fin juillet. La chanson est à connaître si vous séjournez dans les Côtes-d'Armor, si vous ne voulez pas passer pour un extra-terrestre, ce qui m'est arrivé, le jour où on me l'a fait connaître.
Loguivy de la mer
Ils reviennent encore à l'heure des marées
S'asseoir sur le muret le long de la jetée
Ils regardent encore au-delà de Bréhat
Respirant le parfum du vent qui les appelle
Mais il est révolu, le temps des Terres-Neuvas
{Refrain:}
Loguivy de la mer, Loguivy de la mer
Tu regardes mourir, les derniers vrais marins
Loguivy de la mer, au fond de ton vieux port
S'entassent les carcasses des bateaux déjà morts.
Ils ont connu le temps où la voile était reine
Ils parlent de haubans, de focs et de misaines
De tout ce qui fait le charme de leur vie
Et qu'ils emporteront avec eux dans l'oubli
Mais il est révolu le temps des Cap-Horners
Il reste encore chez nous d'la graine d'aventuriers
{au Refrain}
Je n'ai jamais su dire ce que disent leurs yeux
Perdu dans ces visages burinés par le vent
Ces beaux visages d'hommes, ces visages de vieux
Qui savent encore sourire et dire à nos vingt ans
Remettez vos cabans et rompez les amarres
Allez-y de l'avant, mais tenez bon la barre.
Loguivy de la mer
Ils reviennent encore à l'heure des marées
S'asseoir sur le muret le long de la jetée
Ils regardent encore au-delà de Bréhat
Respirant le parfum du vent qui les appelle
Mais il est révolu, le temps des Terres-Neuvas
{Refrain:}
Loguivy de la mer, Loguivy de la mer
Tu regardes mourir, les derniers vrais marins
Loguivy de la mer, au fond de ton vieux port
S'entassent les carcasses des bateaux déjà morts.
Ils ont connu le temps où la voile était reine
Ils parlent de haubans, de focs et de misaines
De tout ce qui fait le charme de leur vie
Et qu'ils emporteront avec eux dans l'oubli
Mais il est révolu le temps des Cap-Horners
Il reste encore chez nous d'la graine d'aventuriers
{au Refrain}
Je n'ai jamais su dire ce que disent leurs yeux
Perdu dans ces visages burinés par le vent
Ces beaux visages d'hommes, ces visages de vieux
Qui savent encore sourire et dire à nos vingt ans
Remettez vos cabans et rompez les amarres
Allez-y de l'avant, mais tenez bon la barre.
Parce que c'est une des chansons du cd qui tourne en boucle dans ma voiture depuis deux semaines. J'aurais voulu vous trouver les paroles des "ordures télévisuelles", bien plus drôle mais moins romantique ;o)
Serre-moi
TRYO
Embrasse moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
Te supplier de me revenir et tout faire
ô tout pour te voir partir et viens!
Emmene moi là bas
Donne moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole moi
Et laisse toi tranquille a la fois
Mille fois entrelassons nous
Et lassons nous meme en dessous
Serre moi encore serre moi
Jusqu'a etouffer de toi
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'ou l'amour tire son charme
Papillons de fleurs en fleurs
D'amour en amour de coeur
Ce qui n'ont qu'une etoile
Ou ceux qui brulent leur voiles
J'aime tes larmes quand tu aime
Ta sueur le sang, rendons nous amants
Qui se passionne, qui se saigne
J'aime quand mon ecorché est vivant
Je ne donne pas long feu
A nos tragédies, à nos adieux
Reviens moi, reviens moi
Tu partira mieux comme ça
A force de se tordre,
On en finirai par se mordre
A quoi bon se reconstruire,
Quand on est adepte du pire
Malgré nous, Malgré nous,
A quoi bon se sentir plus grand
Que nos, deux grains de folie dans le vent
deux ames brulantes deux enfants
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'ou l'amour tire son charme
des Papillons de fleurs en fleurs
D'amour en amour de coeur
Ce qui n'ont qu'une etoile
Ou ceux qui brulent leur voiles
Embrasse moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
Te supplier de me revenir et tout faire
Pour te voir partir et viens!
Emmene moi là bas
Donne moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole moi
Et laisse toi tranquille a la fois
Mille fois entrelassons nous
Elassons nous meme en dessous
Serre moi encore serre moi
Jusqu'a etouffer de toi {x2}
Serre moi encore serre moi
Serre-moi
TRYO
Embrasse moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
Te supplier de me revenir et tout faire
ô tout pour te voir partir et viens!
Emmene moi là bas
Donne moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole moi
Et laisse toi tranquille a la fois
Mille fois entrelassons nous
Et lassons nous meme en dessous
Serre moi encore serre moi
Jusqu'a etouffer de toi
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'ou l'amour tire son charme
Papillons de fleurs en fleurs
D'amour en amour de coeur
Ce qui n'ont qu'une etoile
Ou ceux qui brulent leur voiles
J'aime tes larmes quand tu aime
Ta sueur le sang, rendons nous amants
Qui se passionne, qui se saigne
J'aime quand mon ecorché est vivant
Je ne donne pas long feu
A nos tragédies, à nos adieux
Reviens moi, reviens moi
Tu partira mieux comme ça
A force de se tordre,
On en finirai par se mordre
A quoi bon se reconstruire,
Quand on est adepte du pire
Malgré nous, Malgré nous,
A quoi bon se sentir plus grand
Que nos, deux grains de folie dans le vent
deux ames brulantes deux enfants
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui n'savent plus trop
D'ou l'amour tire son charme
des Papillons de fleurs en fleurs
D'amour en amour de coeur
Ce qui n'ont qu'une etoile
Ou ceux qui brulent leur voiles
Embrasse moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je depunaiser tes ailes ?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brulant
Te supplier de me revenir et tout faire
Pour te voir partir et viens!
Emmene moi là bas
Donne moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole moi
Et laisse toi tranquille a la fois
Mille fois entrelassons nous
Elassons nous meme en dessous
Serre moi encore serre moi
Jusqu'a etouffer de toi {x2}
Serre moi encore serre moi
Ma Solitude
Georges Moustaki
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi ça et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais vraiment pas jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Georges Moustaki
Pour avoir si souvent dormi
Avec ma solitude
Je m'en suis fait presqu'une amie
Une douce habitude
Ell' ne me quitte pas d'un pas
Fidèle comme une ombre
Elle m'a suivi ça et là
Aux quatre coins du monde
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Quand elle est au creux de mon lit
Elle prend toute la place
Et nous passons de longues nuits
Tous les deux face à face
Je ne sais vraiment pas jusqu'où
Ira cette complice
Faudra-t-il que j'y prenne goût
Ou que je réagisse?
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Par elle, j'ai autant appris
Que j'ai versé de larmes
Si parfois je la répudie
Jamais elle ne désarme
Et si je préfère l'amour
D'une autre courtisane
Elle sera à mon dernier jour
Ma dernière compagne
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
Non, je ne suis jamais seul
Avec ma solitude
La samba
de Pierre Barouh
Etre heureux c'est plus ou moins ce qu'on cherche
J'aime rire chanter et je n'empêche
Pas les gens qui sont bien d'être joyeux
Pourtant s'il est une samba sans tristesse
C'est un vin qui ne donne pas l'ivresse
Un vin qui ne donne pas l'ivresse
Non ce n'est pas la samba que je veux
J'en connais que la chanson incommode
D'autres pour qui ce n'est rien qu'une mode
D'autres qui en profitent sans l'aimer
Moi je l'aime et j'ai parcouru le monde
En cherchant ses racines vagabondes
C'est la chanson de samba qu'il faut chanter
On m'a dit qu'elle venait de Bahia
Qu'elle doit son rythme et sa poésie
À des siècles de danses et de douleur
Mais quel que soit le sentiment qu'elle exprime
Elle est blanche de forme et de rimes
Blanche de forme et de rimes
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Mais quel que soit le sentiment qu'elle exprime
Elle est blanche de forme et de rimes
Blanche de forme et de rimes
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Mais quel que soit le sentiment qu'elle exprime
Elle est blanche de forme et de rimes
Blanche de forme et de rimes
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
de Pierre Barouh
Etre heureux c'est plus ou moins ce qu'on cherche
J'aime rire chanter et je n'empêche
Pas les gens qui sont bien d'être joyeux
Pourtant s'il est une samba sans tristesse
C'est un vin qui ne donne pas l'ivresse
Un vin qui ne donne pas l'ivresse
Non ce n'est pas la samba que je veux
J'en connais que la chanson incommode
D'autres pour qui ce n'est rien qu'une mode
D'autres qui en profitent sans l'aimer
Moi je l'aime et j'ai parcouru le monde
En cherchant ses racines vagabondes
C'est la chanson de samba qu'il faut chanter
On m'a dit qu'elle venait de Bahia
Qu'elle doit son rythme et sa poésie
À des siècles de danses et de douleur
Mais quel que soit le sentiment qu'elle exprime
Elle est blanche de forme et de rimes
Blanche de forme et de rimes
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Mais quel que soit le sentiment qu'elle exprime
Elle est blanche de forme et de rimes
Blanche de forme et de rimes
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Mais quel que soit le sentiment qu'elle exprime
Elle est blanche de forme et de rimes
Blanche de forme et de rimes
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Elle est nègre bien nègre dans son coeur
Surtout pour la version de Jo Lemaire + Flouze qui ne manquait pas de punch.
Je suis venu te dire que je m'en vais, Serge Gainsbourg
Je suis venu te dire que je m'en vais
Et tes larmes n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours anciens et tu pleures
Tu suffoques, tu blêmis à present qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Oui je t'aimais, oui, mais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tes sanglots longs n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours heureux et tu pleures
Tu sanglotes, tu gémis a présent qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Car tu m'en a trop fait
Je suis venu te dire que je m'en vais
Et tes larmes n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours anciens et tu pleures
Tu suffoques, tu blêmis a présent qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Je t'aimais, oui, mais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tes sanglots longs n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours heureux et tu pleures
Tu suffoques, tu gémis a présent qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Car tu m'en a trop fait
Je suis venu te dire que je m'en vais, Serge Gainsbourg
Je suis venu te dire que je m'en vais
Et tes larmes n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours anciens et tu pleures
Tu suffoques, tu blêmis à present qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Oui je t'aimais, oui, mais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tes sanglots longs n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours heureux et tu pleures
Tu sanglotes, tu gémis a présent qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Car tu m'en a trop fait
Je suis venu te dire que je m'en vais
Et tes larmes n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours anciens et tu pleures
Tu suffoques, tu blêmis a présent qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Je t'aimais, oui, mais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tes sanglots longs n'y pourront rien changer
Comme dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m'en vais
Tu t'souviens des jours heureux et tu pleures
Tu suffoques, tu gémis a présent qu'a sonné l'heure
Des adieux à jamais (ouais)
Je suis au regret
D'te dire que je m'en vais
Car tu m'en a trop fait
En liaison avec les défilés du 14 juillet et en hommage à Joe Dassin pour les vingt-cinq ans de sa mort, voici, me semble-t-il, une chanson adaptée :
Joe Dassin
Les Champs-Elysées
Paroles et Musique: Pierre Delanoé
Je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui
N'importe qui et ce fut toi, je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler, pour t'apprivoiser
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Tu m'as dit "J'ai rendez-vous dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main, du soir au matin"
Alors je t'ai accompagnée, on a chanté, on a dansé
Et l'on n'a même pas pensé à s'embrasser
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Hier soir deux inconnus et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis par la longue nuit
Et de l'Étoile à la Concorde, un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour chantent l'amour
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Joe Dassin
Les Champs-Elysées
Paroles et Musique: Pierre Delanoé
Je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui
N'importe qui et ce fut toi, je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler, pour t'apprivoiser
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Tu m'as dit "J'ai rendez-vous dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main, du soir au matin"
Alors je t'ai accompagnée, on a chanté, on a dansé
Et l'on n'a même pas pensé à s'embrasser
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Hier soir deux inconnus et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis par la longue nuit
Et de l'Étoile à la Concorde, un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour chantent l'amour
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Bien sur qu'on a perdu la guerre, bien sur que je le reconnais
bien sur la vie nous mets le compte, bien la vie c'est une enclume
bien sur que j'aimerais bien te montrer qu'ailleurs on ferait pas que fuir
et bien sur j'ai pas les moyens et quand les poches sont vides alors allons rire
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine
Bien sur que les montagnes sont belles, bien sur qu'il y a des vallées
Et les enfants sautent sur les mines, bien sur dans une autre vallée
Bien sur que les poissons ont froids à se traîner la dans la mer
Bien sur que j'ai encore en moi comme un veau avalé de travers
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais
Bien sur j'ai la ville dans le ventre, bien sur j'ai vendu ma moto
bien sur je te trouve très jolie, j'ai vraiment envie de te sauter
bien sur la vie nous fait offense, bien sur la vie nous fait misère
on ira aussi vite que le vent, même si on a bien souvent ramper
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais
non non non non
Bien sur que je te trouve très belle, bien sur je t'emmènerai à la mer
y'a rien d'autre a faire qu'à se saouler, attendre le jugement dernier
Transplanter la haut dans le Ciel, y parait que c'est pas pareil !
y parait que la vie n'est jamais aussi belle que dans tes rêves que dans tes rêves
Et si l'on ne fait rien,
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine
Y parait que les petits moineaux...
Petit petit petit petit
raphael, ne partons pas fâchés.....(non chéri, ce serait trop bête ...)
bien sur la vie nous mets le compte, bien la vie c'est une enclume
bien sur que j'aimerais bien te montrer qu'ailleurs on ferait pas que fuir
et bien sur j'ai pas les moyens et quand les poches sont vides alors allons rire
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine
Bien sur que les montagnes sont belles, bien sur qu'il y a des vallées
Et les enfants sautent sur les mines, bien sur dans une autre vallée
Bien sur que les poissons ont froids à se traîner la dans la mer
Bien sur que j'ai encore en moi comme un veau avalé de travers
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais
Bien sur j'ai la ville dans le ventre, bien sur j'ai vendu ma moto
bien sur je te trouve très jolie, j'ai vraiment envie de te sauter
bien sur la vie nous fait offense, bien sur la vie nous fait misère
on ira aussi vite que le vent, même si on a bien souvent ramper
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais
non non non non
Bien sur que je te trouve très belle, bien sur je t'emmènerai à la mer
y'a rien d'autre a faire qu'à se saouler, attendre le jugement dernier
Transplanter la haut dans le Ciel, y parait que c'est pas pareil !
y parait que la vie n'est jamais aussi belle que dans tes rêves que dans tes rêves
Et si l'on ne fait rien,
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine
Y parait que les petits moineaux...
Petit petit petit petit
raphael, ne partons pas fâchés.....(non chéri, ce serait trop bête ...)
Arno – Vide
La chambre est noire, ma belle
Je suis rentré trop tard, ma belle
La nuit a pêté, ma belle
Je ne suis pas où tu es, ma belle
Le lit a froid, ma belle
Je caresse le chat, ma belle
Je lui demande pourquoi, ma belle
Tu es partie comme ça, ma belle
Et dans le vide,
Je te cherche toi
Je suis tes pas,
Ton cœur qui bat
C'est dans ce vide
Que je me perds parfois
Tu me tues comme ça
J'en deviens gaga
Je m'assieds un peu, ma belle
Je pense à nous deux, ma belle
Je me sers un café, ma belle
Je resterai éveillé, ma belle
Et comme hier soir, ma belle
Je suis rentré trop tard, ma belle
La ville était noire, ma belle
Je ne sais pas où tu dors, ma belle
Et dans ce vide,
Je te cherche toi
Je suis tes pas,
Ton cœur qui bat
C'est dans ce vide
Que je me perds parfois
Je me tue comme ça
J'en deviens gaga
Et dans ce vide,
Je te cherche toi
Je suis tes pas,
Ton cœur qui bat
C'est dans le vide
Que je me perds parfois
Je me tue comme ça
M'attend-tu toi?
La chambre est noire, ma belle
Je suis rentré trop tard, ma belle
La nuit a pêté, ma belle
Je ne suis pas où tu es, ma belle
Le lit a froid, ma belle
Je caresse le chat, ma belle
Je lui demande pourquoi, ma belle
Tu es partie comme ça, ma belle
Et dans le vide,
Je te cherche toi
Je suis tes pas,
Ton cœur qui bat
C'est dans ce vide
Que je me perds parfois
Tu me tues comme ça
J'en deviens gaga
Je m'assieds un peu, ma belle
Je pense à nous deux, ma belle
Je me sers un café, ma belle
Je resterai éveillé, ma belle
Et comme hier soir, ma belle
Je suis rentré trop tard, ma belle
La ville était noire, ma belle
Je ne sais pas où tu dors, ma belle
Et dans ce vide,
Je te cherche toi
Je suis tes pas,
Ton cœur qui bat
C'est dans ce vide
Que je me perds parfois
Je me tue comme ça
J'en deviens gaga
Et dans ce vide,
Je te cherche toi
Je suis tes pas,
Ton cœur qui bat
C'est dans le vide
Que je me perds parfois
Je me tue comme ça
M'attend-tu toi?
De la main gauche
de Danielle Messia, chantée par Catherine Ribeiro
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais parlé
Elle hésite, elle est si gauche
Que je l'ai toujours cachée
Je la mettais dans ma poche
Et là, elle broyait du noir
Elle jouait avec les croches
Et s'inventait des histoires
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais compté
C’est celle qui faisait les fautes
Du moins on m'l'a raconté
Je m'efforçais de la taire
Pour trouver le droit chemin
Une vie sans grand mystère
Où l'on n’se donne pas la main
Des mots dans la marge étroite
Tout tremblants qui font des dessins
Je me sens si maladroite
Et pourtant je me sens bien
Tiens voilà, c'est ma détresse
Tiens voilà, c'est la vérité
Je n'ai jamais eu d'adresse
Rien qu'une fausse identité
Je t'écris de la main bête
Qui n'a pas le poing serré
Pour la guerre elle n'est pas faite
Pour le pouvoir n'est pas douée
Voilà que je la découvre
Comme un trésor oublié
Une vue que je retrouve
Pour les sentiers égarés
On prend tous la ligne droite
C'est plus court, oh oui, c'est plus court
On voit pas qu'elle est étroite
Il n'y a plus d’place pour l'amour
Je voulais dire que je t'aime
Sans espoir et sans regrets
Je voulais dire que je t'aime, t'aime
Parce que ça sent le vrai
de Danielle Messia, chantée par Catherine Ribeiro
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais parlé
Elle hésite, elle est si gauche
Que je l'ai toujours cachée
Je la mettais dans ma poche
Et là, elle broyait du noir
Elle jouait avec les croches
Et s'inventait des histoires
Je t'écris de la main gauche
Celle qui n'a jamais compté
C’est celle qui faisait les fautes
Du moins on m'l'a raconté
Je m'efforçais de la taire
Pour trouver le droit chemin
Une vie sans grand mystère
Où l'on n’se donne pas la main
Des mots dans la marge étroite
Tout tremblants qui font des dessins
Je me sens si maladroite
Et pourtant je me sens bien
Tiens voilà, c'est ma détresse
Tiens voilà, c'est la vérité
Je n'ai jamais eu d'adresse
Rien qu'une fausse identité
Je t'écris de la main bête
Qui n'a pas le poing serré
Pour la guerre elle n'est pas faite
Pour le pouvoir n'est pas douée
Voilà que je la découvre
Comme un trésor oublié
Une vue que je retrouve
Pour les sentiers égarés
On prend tous la ligne droite
C'est plus court, oh oui, c'est plus court
On voit pas qu'elle est étroite
Il n'y a plus d’place pour l'amour
Je voulais dire que je t'aime
Sans espoir et sans regrets
Je voulais dire que je t'aime, t'aime
Parce que ça sent le vrai
Voici une autre chanson écrite par Gainsbourg et interprété par Régine - bien avant qu'elle n'entre dans la Ferme-Célébrités, puisqu'elle date de 1965 - : son objet me semble tout à fait convenir à notre site. J'espère qu'elle plaira à ceux qui ne la connaissent pas encore.
Régine
Les petits papiers
Paroles et Musique: Serge Gainsbourg 1965
© Sidonie 1965
Laissez parler
Les p'tits papiers
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p'tits papiers
Papier de riz
Ou d'Arménie
Qu'un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer
Un peu d'amour
Papier velours
Et d'esthétique
Papier musique
C'est du chagrin
Papier dessin
Avant longtemps
Laissez glisser
Papier glacé
Les sentiments
Papier collant
Ça impressionne
Papier carbone
Mais c'est du vent
Machin Machine
Papier machine
Faut pas s'leurrer
Papier doré
Celui qu'y touche
Papier tue-mouches
Est moitié fou
C'est pas brillant
Papier d'argent
C'est pas donné
Papier-monnaie
Ou l'on en meurt
Papier à fleurs
Ou l'on s'en fout
Laissez parler
Les p'tits papiers
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p'tits papiers
Papier de riz
Ou d'Arménie
Qu'un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer
Régine
Les petits papiers
Paroles et Musique: Serge Gainsbourg 1965
© Sidonie 1965
Laissez parler
Les p'tits papiers
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p'tits papiers
Papier de riz
Ou d'Arménie
Qu'un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer
Un peu d'amour
Papier velours
Et d'esthétique
Papier musique
C'est du chagrin
Papier dessin
Avant longtemps
Laissez glisser
Papier glacé
Les sentiments
Papier collant
Ça impressionne
Papier carbone
Mais c'est du vent
Machin Machine
Papier machine
Faut pas s'leurrer
Papier doré
Celui qu'y touche
Papier tue-mouches
Est moitié fou
C'est pas brillant
Papier d'argent
C'est pas donné
Papier-monnaie
Ou l'on en meurt
Papier à fleurs
Ou l'on s'en fout
Laissez parler
Les p'tits papiers
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
Laisser brûler
Les p'tits papiers
Papier de riz
Ou d'Arménie
Qu'un soir ils puissent
Papier maïs
Vous réchauffer
Très jolie chanson Kilis ! Je ne connaissais pas, j'aurais loupé quelque chose :0)
Raphaël
Caravane
2005
Sonnerie - polyphonique
Est-ce que j'en ai les larmes aux yeux
Que nos mains ne tiennent plus ensemble
Moi aussi je tremble un peu
Est-ce que je ne vais plus attendre
Est-ce qu'on va reprendre la route,
Est-ce que nous sommes proches de la nuit
Est-ce que ce monde a le vertige
Est-ce qu'on sera un jour puni
Est-ce que je rampe comme un enfant
Est-ce que je n'ai plus de chemise
C'est le Bon Dieu qui nous fait
C'est le Bon Dieu qui nous brise
Est-ce que rien ne peut arriver
Puisqu'il faut qu'il y ait une justice
Je suis né dans cette caravane
Et nous partons allez viens
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Et parce que ma peau est la seule que j'ai
Que bientôt mes os seront dans le vent
Je suis né dans cette caravane
Et nous partons allez viens
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Caravane
2005
Sonnerie - polyphonique
Est-ce que j'en ai les larmes aux yeux
Que nos mains ne tiennent plus ensemble
Moi aussi je tremble un peu
Est-ce que je ne vais plus attendre
Est-ce qu'on va reprendre la route,
Est-ce que nous sommes proches de la nuit
Est-ce que ce monde a le vertige
Est-ce qu'on sera un jour puni
Est-ce que je rampe comme un enfant
Est-ce que je n'ai plus de chemise
C'est le Bon Dieu qui nous fait
C'est le Bon Dieu qui nous brise
Est-ce que rien ne peut arriver
Puisqu'il faut qu'il y ait une justice
Je suis né dans cette caravane
Et nous partons allez viens
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Et parce que ma peau est la seule que j'ai
Que bientôt mes os seront dans le vent
Je suis né dans cette caravane
Et nous partons allez viens
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Allez viens
Tu lu tu, tu lu tu...
Benjamin Biolay – Nuits blanches
Dans mes nuits blanches
il y a des avalanches
et des skieurs
qui font du hors piste
Dans mes nuits blanches
les photos de vacances
sont les seuls souvenirs
qui subsistent
Dans mes nuits blanches
il y a des Comanches
des kamikazes
et des terroristes
Dans mes nuits blanches
il y a des Apaches
des natures mortes
et des chansons tristes
Dans la nuit noire
j'aperçois les voitures
sur le boulevard
de ceinture
Dans la nuit claire
je perçois le murmure
d'un canadair
dans l'azur
Dans mes nuits blanches
il y a des pages blanches
les mots croisés
du Reader's Digest
Dans mes nuits blanches
il y a des turbulences
des messages en morse
des S.O.S.
Dans mes nuits blanches
les baigneurs font la planche
les grands requins blancs
font le reste
Dans mes nuits blanches
je vois les Appalaches
j'entends souffler
le vent de l'ouest
Dans la nuit noire
j'aperçois les voitures
sur le boulevard
de ceinture
dans la nuit claire
je perçois le murmure
d'un canadair
dans l'azur
Dans mes nuits blanches
il y a des avalanches
et des skieurs
qui font du hors piste
Dans mes nuits blanches
les photos de vacances
sont les seuls souvenirs
qui subsistent
Dans mes nuits blanches
il y a des Comanches
des kamikazes
et des terroristes
Dans mes nuits blanches
il y a des Apaches
des natures mortes
et des chansons tristes
Dans la nuit noire
j'aperçois les voitures
sur le boulevard
de ceinture
Dans la nuit claire
je perçois le murmure
d'un canadair
dans l'azur
Dans mes nuits blanches
il y a des pages blanches
les mots croisés
du Reader's Digest
Dans mes nuits blanches
il y a des turbulences
des messages en morse
des S.O.S.
Dans mes nuits blanches
les baigneurs font la planche
les grands requins blancs
font le reste
Dans mes nuits blanches
je vois les Appalaches
j'entends souffler
le vent de l'ouest
Dans la nuit noire
j'aperçois les voitures
sur le boulevard
de ceinture
dans la nuit claire
je perçois le murmure
d'un canadair
dans l'azur
Bien sur qu'on a perdu la guerre, bien sur que je le reconnais
bien sur la vie nous mets le compte, bien la vie c'est une enclume
bien sur que j'aimerais bien te montrer qu'ailleurs on ferait pas que fuir
et bien sur j'ai pas les moyens et quand les poches sont vides alors allons rire
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine
Bien sur que les montagnes sont belles, bien sur qu'il y a des vallées
Et les enfants sautent sur les mines, bien sur dans une autre vallée
Bien sur que les poissons ont froids à se traîner la dans la mer
Bien sur que j'ai encore en moi comme un veau avalé de travers
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais
Bien sur j'ai la ville dans le ventre, bien sur j'ai vendu ma moto
bien sur je te trouve très jolie, j'ai vraiment envie de te sauter
bien sur la vie nous fait offense, bien sur la vie nous fait misère
on ira aussi vite que le vent, même si on a bien souvent ramper
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais
non non non non
Bien sur que je te trouve très belle, bien sur je t'emmènerai à la mer
y'a rien d'autre a faire qu'à se saouler, attendre le jugement dernier
Transplanter la haut dans le Ciel, y parait que c'est pas pareil !
y parait que la vie n'est jamais aussi belle que dans tes rêves que dans tes rêves
Et si l'on ne fait rien,
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine
Y parait que les petits moineaux...
Petit petit petit petit
raphael, ne partons pas fâchés.....(non chéri, ce serait trop bête ...)
C'est d'un dénommé Raphael ? C'est ça ?
raphael, ne partons pas fâchés.....(non chéri, ce serait trop bête ...)
C'est d'un dénommé Raphael ? C'est ça ?
c'est de la perspicacité? ;-)
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