C'est ça, fous toi de moi Rachel !
Non, sincèrement, pour quelqu'un qui ne connait pas ledit Raphael, la manière dont tu as indiqué nom et titre porte à confusion. Voilà très chère.
Non, sincèrement, pour quelqu'un qui ne connait pas ledit Raphael, la manière dont tu as indiqué nom et titre porte à confusion. Voilà très chère.
C'est ça, fous toi de moi Rachel !
Non, sincèrement, pour quelqu'un qui ne connait pas ledit Raphael, la manière dont tu as indiqué nom et titre porte à confusion. Voilà très chère.
que ce soit confus, c'etait voulu.
et je ne me fous pas de toi, je plaisantais gentiment ...voila monsieur :-)
On avance
1983 "On avance"
--------------------------------------------------------------------------------
Des villas, des mimosas,
Au fond de la baie de Somme,
La famille sur les transats,
Le pommier, les pommes.
Je regardais la mer qui brille dans l'été parfait.
Dans l'eau se baignaient des jeunes filles qui m'attiraient.
Les promenades le long des dunes, en voiture,
Pendant qu'elles regardaient en haut la lune pure.
Je mettais dans mes mains leurs doigts
Et j'étais le roi
Comme dans les chansons d'amour d'autrefois.
{Refrain:}
Tous ces petits moments magiques
De notre existence
Qu'on met dans des sacs plastique
Et puisqu'on balance,
Tout ce gaspi de nos cœurs qui battent,
Tous ces morceaux de nous qui partent,
Y'en avait plein le réservoir
Au départ.
On avance, on avance, on avance.
C'est une évidence :
On a pas assez d'essence
Pour faire la route dans l'autre sens.
On avance.
On avance, on avance, on avance.
Tu vois pas tout ce qu'on dépense. On avance.
Faut pas qu'on réfléchisse ni qu'on pense.
Il faut qu'on avance.
Le soir avec les petits frères, on parlait.
On voulait tout le monde refaire. On chantait.
Ces musiques et ces mots tendres,
Comme ils datent.
Ces lettres d'amour attendent
Dans quelles boîtes ?
A. Souchon
1983 "On avance"
--------------------------------------------------------------------------------
Des villas, des mimosas,
Au fond de la baie de Somme,
La famille sur les transats,
Le pommier, les pommes.
Je regardais la mer qui brille dans l'été parfait.
Dans l'eau se baignaient des jeunes filles qui m'attiraient.
Les promenades le long des dunes, en voiture,
Pendant qu'elles regardaient en haut la lune pure.
Je mettais dans mes mains leurs doigts
Et j'étais le roi
Comme dans les chansons d'amour d'autrefois.
{Refrain:}
Tous ces petits moments magiques
De notre existence
Qu'on met dans des sacs plastique
Et puisqu'on balance,
Tout ce gaspi de nos cœurs qui battent,
Tous ces morceaux de nous qui partent,
Y'en avait plein le réservoir
Au départ.
On avance, on avance, on avance.
C'est une évidence :
On a pas assez d'essence
Pour faire la route dans l'autre sens.
On avance.
On avance, on avance, on avance.
Tu vois pas tout ce qu'on dépense. On avance.
Faut pas qu'on réfléchisse ni qu'on pense.
Il faut qu'on avance.
Le soir avec les petits frères, on parlait.
On voulait tout le monde refaire. On chantait.
Ces musiques et ces mots tendres,
Comme ils datent.
Ces lettres d'amour attendent
Dans quelles boîtes ?
A. Souchon
C'est ça, fous toi de moi Rachel !
Non, sincèrement, pour quelqu'un qui ne connait pas ledit Raphael, la manière dont tu as indiqué nom et titre porte à confusion. Voilà très chère.
que ce soit confus, c'etait voulu.
et je ne me fous pas de toi, je plaisantais gentiment ...voila monsieur :-)
Tiens ! Et pourquoi voulais-tu du confus ?
Moi j'écoute lemon incest de Gainsbourg, j'aime trop la voix de Charlotte. Ai pas les paroles sous la main, sera pour demain
C'est ça, fous toi de moi Rachel !
Non, sincèrement, pour quelqu'un qui ne connait pas ledit Raphael, la manière dont tu as indiqué nom et titre porte à confusion. Voilà très chère.
que ce soit confus, c'etait voulu.
et je ne me fous pas de toi, je plaisantais gentiment ...voila monsieur :-)
Tiens ! Et pourquoi voulais-tu du confus ?
pour faire parler les curieux ;-)
Benjamin Biolay – Négatif
Du dernier décan
Je suis natif
Je suis turbulent
Je suis négatif
Poussé par le vent
Sur quelques ifs
Me suis vidé de mon sang
Trop émotif
Je rêve d'un printemps
Définitif
car mon âme n'est que tourments
D'une épitaphe
Gravée pour longtemps
Dans les récifs
Je reste pourtant
Dubitatif
Face à l'étendue
De ma peine
Que n'ai-je entendu
Les sirènes
Face à l'étendue
De ma peine
Je me baignerai nu
Dans la Seine
Mais mort ou vif
Je reste négatif
Puisque tout fout
Le camp
Du dernier décan
Je suis natif
Je joue de l'oliphant
Ne suis qu'un primitif
Mais soit dit en passant
D'un ton plaintif
Je suis un enfant
si craintif
Face à l'étendue
De ma peine
insoumis allongé
dans l'arene
Face à l'étendue
De ma peine
Ne suis-je qu'un sauvage
Qu'on réfrène
Face aux vérités
Qu'on m'assène
Comme des coups de bambou
Ou d'ébène
Mais mort ou vif
Je reste négatif
Puisque tout fout
Le camp
Mais mort ou vif
Je reste négatif
Du dernier décan
Je suis natif
Je suis turbulent
Je suis négatif
Poussé par le vent
Sur quelques ifs
Me suis vidé de mon sang
Trop émotif
Je rêve d'un printemps
Définitif
car mon âme n'est que tourments
D'une épitaphe
Gravée pour longtemps
Dans les récifs
Je reste pourtant
Dubitatif
Face à l'étendue
De ma peine
Que n'ai-je entendu
Les sirènes
Face à l'étendue
De ma peine
Je me baignerai nu
Dans la Seine
Mais mort ou vif
Je reste négatif
Puisque tout fout
Le camp
Du dernier décan
Je suis natif
Je joue de l'oliphant
Ne suis qu'un primitif
Mais soit dit en passant
D'un ton plaintif
Je suis un enfant
si craintif
Face à l'étendue
De ma peine
insoumis allongé
dans l'arene
Face à l'étendue
De ma peine
Ne suis-je qu'un sauvage
Qu'on réfrène
Face aux vérités
Qu'on m'assène
Comme des coups de bambou
Ou d'ébène
Mais mort ou vif
Je reste négatif
Puisque tout fout
Le camp
Mais mort ou vif
Je reste négatif
Bénabar - Je suis de celles
Tiens, qu’est-ce que tu fais là ?
C’est moi, c’est Nathalie
Quoi tu me reconnais pas ?
Mais si
On était ensemble au lycée
C’est vrai, j’ai changé
J’ai des enfants, un mari
Bah quoi, t’as l’air surpris
J’étais pas destinée
A une vie bien rangée
J’étais perdue
Mon mari m’a trouvée
J’étais de celles
Qui disent jamais non
Les "Marie couche-toi là"
Dont on oublie le nom
J’étais pas la jolie
Moi, j’étais sa copine
Celle qu’on voit à peine
Qu’on appelle machine
J’avais deux ans de plus
Peut-être deux ans de trop
Et j’aimais les garçons
Peut-être un peu trop
Bien sûr, vous aviez eu
Des dizaines de conquêtes
Que personnes n’avaient vues
Toujours pendant les fêtes
Pour beaucoup d’entre vous
Je suis la première fois
De celles qui comptent
Mais pas tant que ça
Je n’étais pas de celles
A qui l’on fait la cour
Moi, j’étais de celles
Qui sont déjà d’accord
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
Quand vous m’embrassiez
A l’abri des regards
Je savais pourquoi
Pour pas qu’on puisse nous voir
Alors je fermais les yeux
A m’en fendre les paupières
Pendant que pour guetter
Vous les gardiez ouverts
Je me répétais :
" faut pas que je m’attache "
Vous vous pensiez :
" il faut pas que ça se sache "
Mais une fois dans mes bras
Vos murmures essoufflés
C’est à moi, rien qu’à moi
Qu’ils étaient destinés
Enlacée contre vous
A respirer vos cheveux
Je le sais, je l’affirme
Vous m’aimiez un peu
Certaines tombent amoureuses
C’est pur, ça les élève
Moi, je tombais amoureuse
Comme on tombe d’une chaise
Et gonflés de l’avoir fait
Vous donniez conférence
Une souris qu’on dissèque
Mon corps pour la science
Je nourrissais
Vos blagues de caserne
Que vous pensiez viriles
Petits hommes des cavernes
D’avoir pour moi
Un seul mot de tendresse
Vous apparaissait
Comme la pire des faiblesses
Vous les fiers à bras
Vous parliez en experts
Oubliant qu’dans mes bras
Vous faisiez moins les fiers
Et les autres filles
Perfides petites saintes
M’auraient tondue les cheveux
A une autre époque
Celles qui ont l’habitude
Qu’on les cajole
Ignorent la solitude
Que rien ne console
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main.
Tiens, qu’est-ce que tu fais là ?
C’est moi, c’est Nathalie
Quoi tu me reconnais pas ?
Mais si
On était ensemble au lycée
C’est vrai, j’ai changé
J’ai des enfants, un mari
Bah quoi, t’as l’air surpris
J’étais pas destinée
A une vie bien rangée
J’étais perdue
Mon mari m’a trouvée
J’étais de celles
Qui disent jamais non
Les "Marie couche-toi là"
Dont on oublie le nom
J’étais pas la jolie
Moi, j’étais sa copine
Celle qu’on voit à peine
Qu’on appelle machine
J’avais deux ans de plus
Peut-être deux ans de trop
Et j’aimais les garçons
Peut-être un peu trop
Bien sûr, vous aviez eu
Des dizaines de conquêtes
Que personnes n’avaient vues
Toujours pendant les fêtes
Pour beaucoup d’entre vous
Je suis la première fois
De celles qui comptent
Mais pas tant que ça
Je n’étais pas de celles
A qui l’on fait la cour
Moi, j’étais de celles
Qui sont déjà d’accord
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main
Quand vous m’embrassiez
A l’abri des regards
Je savais pourquoi
Pour pas qu’on puisse nous voir
Alors je fermais les yeux
A m’en fendre les paupières
Pendant que pour guetter
Vous les gardiez ouverts
Je me répétais :
" faut pas que je m’attache "
Vous vous pensiez :
" il faut pas que ça se sache "
Mais une fois dans mes bras
Vos murmures essoufflés
C’est à moi, rien qu’à moi
Qu’ils étaient destinés
Enlacée contre vous
A respirer vos cheveux
Je le sais, je l’affirme
Vous m’aimiez un peu
Certaines tombent amoureuses
C’est pur, ça les élève
Moi, je tombais amoureuse
Comme on tombe d’une chaise
Et gonflés de l’avoir fait
Vous donniez conférence
Une souris qu’on dissèque
Mon corps pour la science
Je nourrissais
Vos blagues de caserne
Que vous pensiez viriles
Petits hommes des cavernes
D’avoir pour moi
Un seul mot de tendresse
Vous apparaissait
Comme la pire des faiblesses
Vous les fiers à bras
Vous parliez en experts
Oubliant qu’dans mes bras
Vous faisiez moins les fiers
Et les autres filles
Perfides petites saintes
M’auraient tondue les cheveux
A une autre époque
Celles qui ont l’habitude
Qu’on les cajole
Ignorent la solitude
Que rien ne console
Vous veniez chez moi
Mais dès le lendemain
Vous refusiez en public
De me tenir la main.
Ses yeux brûlent
Ses yeux brûlent
Imagine deux soleils levants
Elle les pose sur moi maintenant
Mais tout autour ça se bouscule
Pour la pousser à les poser
Sur d'autres visages accueillants
Tout sourire les soleils brûlants
Des hommes taillés pour l'été
Comme s'ils hibernaient avant
Ils sortent, ils cherchent le soleil
Et en voient deux en la croisant:
Je suis le seul à les retenir
Petits remparts contre un volcan
Ses yeux brûlent
Imagine deux soleils levants
Elle les pose sur moi maintenant
Mais tout autour ça se bouscule
Aujourd'hui, je suis noir de peau
Tant elle m'a regardé
Ça aurait pu me rendre beau
Mais là vraiment, je suis grillé
Et tous les soleils à venir
Ne pourront que me refroidir
Ses yeux brûlent
Imagine deux soleils levants
Pourquoi moi qui suis minuscule
Dois-je subir d'être son amant?
Qu'elle arrête ou je m'émascule
Je n'en peux plus tant ses yeux
Brûlent.
(Dominique A)
Ses yeux brûlent
Imagine deux soleils levants
Elle les pose sur moi maintenant
Mais tout autour ça se bouscule
Pour la pousser à les poser
Sur d'autres visages accueillants
Tout sourire les soleils brûlants
Des hommes taillés pour l'été
Comme s'ils hibernaient avant
Ils sortent, ils cherchent le soleil
Et en voient deux en la croisant:
Je suis le seul à les retenir
Petits remparts contre un volcan
Ses yeux brûlent
Imagine deux soleils levants
Elle les pose sur moi maintenant
Mais tout autour ça se bouscule
Aujourd'hui, je suis noir de peau
Tant elle m'a regardé
Ça aurait pu me rendre beau
Mais là vraiment, je suis grillé
Et tous les soleils à venir
Ne pourront que me refroidir
Ses yeux brûlent
Imagine deux soleils levants
Pourquoi moi qui suis minuscule
Dois-je subir d'être son amant?
Qu'elle arrête ou je m'émascule
Je n'en peux plus tant ses yeux
Brûlent.
(Dominique A)
Bénabar - Je suis de celles
.
une chanson magnifique...sans doute ma préférée de Bénabar. merci :-)
A tes souhaits
Chanson : M - A tes souhaits
Paroles : M
A tes souhaits, c’est pour les autres
Ton souhait serait d’être une autre
Tes souhaits tu les gardes pour toi
Tes souhaits on ne les entend pas
Comme une pensée kleenex
Comme un prétexte
Un vieux réflexe
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes amours
Pour toi j’y penserais tous les jours
Tes souhaits, tu les déguises
Tes souhaits, c’est ta hantise
Tes souhaits, tu les aiguises trop
Tes souhaits toujours t’enlisent
Alors que tu es belle
Tellement plus belle
Que toutes ces inconnues
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes amours
Pour toi j’y penserais tous les jours
Chanson : M - A tes souhaits
Paroles : M
A tes souhaits, c’est pour les autres
Ton souhait serait d’être une autre
Tes souhaits tu les gardes pour toi
Tes souhaits on ne les entend pas
Comme une pensée kleenex
Comme un prétexte
Un vieux réflexe
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes amours
Pour toi j’y penserais tous les jours
Tes souhaits, tu les déguises
Tes souhaits, c’est ta hantise
Tes souhaits, tu les aiguises trop
Tes souhaits toujours t’enlisent
Alors que tu es belle
Tellement plus belle
Que toutes ces inconnues
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes souhaits
A tes amours
Pour toi j’y penserais tous les jours
de Dick Annegarn, Ubu.
Dans un pays pas très loin d'ici
Dans un pays plat aussi plat qu'un plat
Aussi petit qu'un p'tit confetti
Il y avait pas d'loi et chacun pour soi
{Refrain:}
Il avait un tout petit zizi et un gros cul
Le père Ubu
Sa madame était une femme infâme et toute dodue
La mère Ubu
Bêtes et méchants les deux emmerdants
N'aimaient que l'argent et la crème Mont-Blanc
Ils avaient un plan pour un coup d'état
Pour un pif pouf pan avec un bazooka
{au Refrain}
Puis le jour vena où Ubu et le roi
Se rencontra twist yayaya
Après l'entrevue tout à cul
Merdre dit Ubu et le roi est mouru
{au Refrain}
Dans un pays pas très loin d'ici
Dans un pays plat aussi plat qu'un plat
Aussi petit qu'un p'tit confetti
Il y avait pas d'loi et chacun pour soi
{Refrain:}
Il avait un tout petit zizi et un gros cul
Le père Ubu
Sa madame était une femme infâme et toute dodue
La mère Ubu
Bêtes et méchants les deux emmerdants
N'aimaient que l'argent et la crème Mont-Blanc
Ils avaient un plan pour un coup d'état
Pour un pif pouf pan avec un bazooka
{au Refrain}
Puis le jour vena où Ubu et le roi
Se rencontra twist yayaya
Après l'entrevue tout à cul
Merdre dit Ubu et le roi est mouru
{au Refrain}
Deux enfants dans un jardin
(Valse lente)
Paroles : René Barjavel - Musique : Pierre Kasty
Interprétée par :
- Jeanine Moreau
Te souviens-tu, des feuilles qui tremblent
Des grands rosiers, toujours fleuris
Du rossignol, et de son nid,
De l'écureuil qui te ressemble
Dans le jardin qu'
A tous les deux nous n'avions pas vingt ans
Et c'était le printemps...
Deux enfants dans un jardin
La main dans la main
Deux enfants sous le ciel bleu
Du ciel plein les yeux
Cheveux blonds et boucles brunes
Sous le Soleil ou la Lune,
Deux enfants dans un jardin
La main dans la main
Chantent parmi les oiseaux
La joie du printemps nouveau.
Et bonjour, la Lune
Hé bonjour, la Vie !
La Vie nous a tant demain
Dans son grand jardin,
Nous cueillerons en chemin
Des fleurs plein les mains
Des fleurs plein le coeur
C'est dans les fleurs
Que naquit mon amour, notre amour,
Pour toujours.
Le temps qui passe
Efface les roses
D'autres rosiers
Ont refleuri
D'autres oiseaux
Sont dans les nids
D'autres amours
y sont écloses
Le temps s'en va
Je me moque du temps
Dans le jardin
Où nous étions enfants
C'est toujours le printemps !
Deux amants dans un jardin,
La main dans la main,
Deux amants sous le ciel bleu,
Du ciel plein les yeux,
Cheveux blonds et boucles brunes,
Sous le Soleil ou la Lune,
Deux amants dans un jardin,
La main dans la main,
Chantent parmi les oiseaux,
Avec le printemps nouveau,
Hé bonjour, la Vie,
Hé bonjour, l'Amour
Des fleurs plein les mains,
Des fleurs plein le coeur.
C'est dans les fleurs
Que vivra mon amour, notre amour,
Pour toujours.
Pas que j'adore, mais je ne savais pas que Barjavel écrivait des chansonc, alors voilà :0)
(Valse lente)
Paroles : René Barjavel - Musique : Pierre Kasty
Interprétée par :
- Jeanine Moreau
Te souviens-tu, des feuilles qui tremblent
Des grands rosiers, toujours fleuris
Du rossignol, et de son nid,
De l'écureuil qui te ressemble
Dans le jardin qu'
A tous les deux nous n'avions pas vingt ans
Et c'était le printemps...
Deux enfants dans un jardin
La main dans la main
Deux enfants sous le ciel bleu
Du ciel plein les yeux
Cheveux blonds et boucles brunes
Sous le Soleil ou la Lune,
Deux enfants dans un jardin
La main dans la main
Chantent parmi les oiseaux
La joie du printemps nouveau.
Et bonjour, la Lune
Hé bonjour, la Vie !
La Vie nous a tant demain
Dans son grand jardin,
Nous cueillerons en chemin
Des fleurs plein les mains
Des fleurs plein le coeur
C'est dans les fleurs
Que naquit mon amour, notre amour,
Pour toujours.
Le temps qui passe
Efface les roses
D'autres rosiers
Ont refleuri
D'autres oiseaux
Sont dans les nids
D'autres amours
y sont écloses
Le temps s'en va
Je me moque du temps
Dans le jardin
Où nous étions enfants
C'est toujours le printemps !
Deux amants dans un jardin,
La main dans la main,
Deux amants sous le ciel bleu,
Du ciel plein les yeux,
Cheveux blonds et boucles brunes,
Sous le Soleil ou la Lune,
Deux amants dans un jardin,
La main dans la main,
Chantent parmi les oiseaux,
Avec le printemps nouveau,
Hé bonjour, la Vie,
Hé bonjour, l'Amour
Des fleurs plein les mains,
Des fleurs plein le coeur.
C'est dans les fleurs
Que vivra mon amour, notre amour,
Pour toujours.
Pas que j'adore, mais je ne savais pas que Barjavel écrivait des chansonc, alors voilà :0)
Je n'aime pas tellement l'interprète, mais la chanson est amusante.
Jeanne Moreau
J'ai la mémoire qui flanche
Paroles: G.Bassiak. Musique: G.Bassiak, F.Rauser 1963
© 1963 Editions Tutti
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comm' il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la vein' bleutée du poignet
Un long baiser sans fin.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom
Et quel était son nom
Il s'appelait Je l'appelais
Comment l'appelait-ton ?
Pourtant c'est fou ce que j'aimais
L'appeler par son nom.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
De quell' couleur étaient ses yeux ?
J'crois pas qu'ils étaient bleus.
Etaient-ils verts, étaient-ils gris ?
Etaient-ils vert de gris ?
Ou changeaient-ils tout l'temps d'couleur
Pour un non pour un oui ?
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu'il me pendant que je
Pendant qu'on f'sait la fête
Tous ces saxos, ces clarinettes
Qui me tournaient la têt'.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s'est lassé
De l'autre le premier ?
Etait-ce moi ? Etait-ce lui ?
Etait-ce donc moi ou lui ?
Tout c'que je sais c'est que depuis
Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Voilà qu'après tout's ces nuits blanch's
Il me reste plus rien
Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait
Chaqu'jour en se rasant
Pa pou di dou da di dou di
Pa pou di dou da di dou
Jeanne Moreau
J'ai la mémoire qui flanche
Paroles: G.Bassiak. Musique: G.Bassiak, F.Rauser 1963
© 1963 Editions Tutti
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comm' il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la vein' bleutée du poignet
Un long baiser sans fin.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom
Et quel était son nom
Il s'appelait Je l'appelais
Comment l'appelait-ton ?
Pourtant c'est fou ce que j'aimais
L'appeler par son nom.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
De quell' couleur étaient ses yeux ?
J'crois pas qu'ils étaient bleus.
Etaient-ils verts, étaient-ils gris ?
Etaient-ils vert de gris ?
Ou changeaient-ils tout l'temps d'couleur
Pour un non pour un oui ?
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu'il me pendant que je
Pendant qu'on f'sait la fête
Tous ces saxos, ces clarinettes
Qui me tournaient la têt'.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s'est lassé
De l'autre le premier ?
Etait-ce moi ? Etait-ce lui ?
Etait-ce donc moi ou lui ?
Tout c'que je sais c'est que depuis
Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Voilà qu'après tout's ces nuits blanch's
Il me reste plus rien
Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait
Chaqu'jour en se rasant
Pa pou di dou da di dou di
Pa pou di dou da di dou
Zazie
Made in love
Paroles et Musique: Zazie 1998 "Made in love"
Or donc si je résume,
Mesdames pour qu'on nous aime
Il nous faut ce nez-ci
Cette bouche-là
Enfin quoi
toute la panoplie
de poupées Barbies
pour être à leur goût
et se pâmer là
en tenant le monde par le bras
Pour tant de bons chrétiens
Voués à tous les seins
De Silicone Valley
Il serait de bon ton
D'avoir tout ce monde au balcon
On a beau s'offrir des corsets
De soie made in India
Et des corps made in Taïwan
Ne serait-ce pas plus sain
Que nos corps soient comme nous sommes
{Refrain:}
Made in love
Tout, tout, tout
Made in love
De haut en bas
Made in love
Tout, tout, tout
Made in love
Et rien que ça
Made in love
Qu'allez-vous dire, belles dames
A vos filles étonnées
De ne pas vous ressembler
Tant de vis de forme
Ça ne change rien dans le fond
Doit-on souffrir dans ces corsets
De soie made in India
Ces corps made in Taïwan
Ne serait-ce pas plus sain
Que nos corps soient comme nous sommes
{au Refrain}
Made in love
Made in love
Ç'est déjà ça
Made in love
Or donc si je résume
Mesdames si l'on nous aime
Ç'est pas pour tout ce qu'on ajoute
Ou qu'on enlève
Mais pour ce qu'on a
Et qui brille là
Au fond de nos yeux.
Made in love
Paroles et Musique: Zazie 1998 "Made in love"
Or donc si je résume,
Mesdames pour qu'on nous aime
Il nous faut ce nez-ci
Cette bouche-là
Enfin quoi
toute la panoplie
de poupées Barbies
pour être à leur goût
et se pâmer là
en tenant le monde par le bras
Pour tant de bons chrétiens
Voués à tous les seins
De Silicone Valley
Il serait de bon ton
D'avoir tout ce monde au balcon
On a beau s'offrir des corsets
De soie made in India
Et des corps made in Taïwan
Ne serait-ce pas plus sain
Que nos corps soient comme nous sommes
{Refrain:}
Made in love
Tout, tout, tout
Made in love
De haut en bas
Made in love
Tout, tout, tout
Made in love
Et rien que ça
Made in love
Qu'allez-vous dire, belles dames
A vos filles étonnées
De ne pas vous ressembler
Tant de vis de forme
Ça ne change rien dans le fond
Doit-on souffrir dans ces corsets
De soie made in India
Ces corps made in Taïwan
Ne serait-ce pas plus sain
Que nos corps soient comme nous sommes
{au Refrain}
Made in love
Made in love
Ç'est déjà ça
Made in love
Or donc si je résume
Mesdames si l'on nous aime
Ç'est pas pour tout ce qu'on ajoute
Ou qu'on enlève
Mais pour ce qu'on a
Et qui brille là
Au fond de nos yeux.
Un petit Java pour se redonner l'envie ! oui z'avez bien entendu, du rap musette ! aaaaaah quand les femmes nous en font voir, que reste t il ? la picole bien évidemment ...
(Allo la terre… Le contact est brouilly… je vous reçois que demis sur zinc…)
Voici le titi parigot qui pillave à tire larigo
Donne-moi une bière que je fasse mousser mon ego .
J'approche du cosmos éthylique bientôt le trou noir
Le space colique l'extra-terrestre des comptoirs
Mets le compte à rebours kro-nomètre les pulsions du jour
Huit six je nage le krol-enbourg
Et la brasserie latitude 1664
Coule en apnée çà y est c'est parti
Rampe de lancement réacteur transmutation
J'ai perdu connaissance normal c'est la pression
J'ai l'inspi qui se veski qui me traîne comme un uski
Je l'ai noyé dans le whisky comme bukowski et je dis
Bas les masques bois de la vinasse
Si t’en as marre d’être vivant,
Fais un virement de vin dans le ventre et vomis
Luc sky… un johnny walker nous nous embourbons
Faut colmater le foir à fond
Ya une fuite dans la vessie spatiale de la nasa, j'ai la nausée
Trop de kriktonic et de gintonic éjectés du cockpit
Exit direct vite et mon beat va te mettre en orbite
La bière de mars attaque martien un petit verre
Champagne dark valstar sabre au laser
Le boulaouane kenobi
Passes en cybière space sur cd rhum pulvérise l'atmosphère, comme Arletty
Boom zoom gros plan sur le clown
Un dernier alcool de poire et je tombe dans les pommes boom
Le lendemain je me réveille la tête entre les jambes
Je suis rentré du cosmos mais j'ai gardé le scaphandre
J'ai mis un pied sur la lune je me réveille mal luné
Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'ébriété
Refrain X2
Java c'est pas de la menthe à l'eau
Java c'est du rock'n roll
Java c'est le vrai son parigot
La devise sex accordéon et alcool
Je suis un fossile antique de l'âge néothylique
Un rescapé du bal musette sur internet
Bok à l'inter cuttystartrek
Astérohash, fulgurojoint, camouflage soufflette
J'refoule le boulot autant que du goulot j'suis pas un cadeau
Le club chômage ma vie mes locaux coco
J'ai pourtant eu tous les diplômes à la fac
J'suis bac plus zinc et licence 4
Un grand sportif garçon un ballon sors le carton rouge
Me mets pas sur la touche j'absorbe comme un tampon
Sers à la louche sur la Tourtel j'ai fait le grand pont
Tu peux toujours me décrocher du comptoir je sors mes crampons
Un vétéran hors-jeu sorti des vestiaires
Entre la gnôle de saturne et la planète jupiler
Au bar le penalty tout le monde parle de mon transfert
Au Bayern de Munich pour la fête de la bière
Alerte rouge l'alcool-naute a perdu le contrôle
Je quitte l'univers à pied pour l'unique verre de gnôle
Contrôle anti-dopage j'suis bon pour la touche
Mon taux d'alcoolémie a crevé le ballon d'un souffle
La partie finie entre deux alca-selzer pour un zéro
J'ai la barre transversale plantée dans mon cerveau
J'ai mis un pied sur la lune je me réveille mal luné
Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'ébriété
Refrain
J'arrose tout le monde ça finit toujours en dessous de table
Vote pour mon estomac en ballottage favorable
Je fais du mal au colon le conquistador du terroir
Partout où je passe s'établit un comptoir
De l'ordre du poireau je veux que mon nez soit décoré
Qu’on m'enterre au Panthéon je servirai de pilier
Sous le signe du verseau j'étais pourtant bien parti
Mais tous mes atouts sont tombés à l'eau de vie
Fallait bien que je me démerde pour vous soutirer du blé
J'ai écrit cette chanson après une étude marché
Je la dédicace à tous les alcooliques
C'est sûr qu'au moins en France je toucherai un large public.
(Allo la terre… Le contact est brouilly… je vous reçois que demis sur zinc…)
Voici le titi parigot qui pillave à tire larigo
Donne-moi une bière que je fasse mousser mon ego .
J'approche du cosmos éthylique bientôt le trou noir
Le space colique l'extra-terrestre des comptoirs
Mets le compte à rebours kro-nomètre les pulsions du jour
Huit six je nage le krol-enbourg
Et la brasserie latitude 1664
Coule en apnée çà y est c'est parti
Rampe de lancement réacteur transmutation
J'ai perdu connaissance normal c'est la pression
J'ai l'inspi qui se veski qui me traîne comme un uski
Je l'ai noyé dans le whisky comme bukowski et je dis
Bas les masques bois de la vinasse
Si t’en as marre d’être vivant,
Fais un virement de vin dans le ventre et vomis
Luc sky… un johnny walker nous nous embourbons
Faut colmater le foir à fond
Ya une fuite dans la vessie spatiale de la nasa, j'ai la nausée
Trop de kriktonic et de gintonic éjectés du cockpit
Exit direct vite et mon beat va te mettre en orbite
La bière de mars attaque martien un petit verre
Champagne dark valstar sabre au laser
Le boulaouane kenobi
Passes en cybière space sur cd rhum pulvérise l'atmosphère, comme Arletty
Boom zoom gros plan sur le clown
Un dernier alcool de poire et je tombe dans les pommes boom
Le lendemain je me réveille la tête entre les jambes
Je suis rentré du cosmos mais j'ai gardé le scaphandre
J'ai mis un pied sur la lune je me réveille mal luné
Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'ébriété
Refrain X2
Java c'est pas de la menthe à l'eau
Java c'est du rock'n roll
Java c'est le vrai son parigot
La devise sex accordéon et alcool
Je suis un fossile antique de l'âge néothylique
Un rescapé du bal musette sur internet
Bok à l'inter cuttystartrek
Astérohash, fulgurojoint, camouflage soufflette
J'refoule le boulot autant que du goulot j'suis pas un cadeau
Le club chômage ma vie mes locaux coco
J'ai pourtant eu tous les diplômes à la fac
J'suis bac plus zinc et licence 4
Un grand sportif garçon un ballon sors le carton rouge
Me mets pas sur la touche j'absorbe comme un tampon
Sers à la louche sur la Tourtel j'ai fait le grand pont
Tu peux toujours me décrocher du comptoir je sors mes crampons
Un vétéran hors-jeu sorti des vestiaires
Entre la gnôle de saturne et la planète jupiler
Au bar le penalty tout le monde parle de mon transfert
Au Bayern de Munich pour la fête de la bière
Alerte rouge l'alcool-naute a perdu le contrôle
Je quitte l'univers à pied pour l'unique verre de gnôle
Contrôle anti-dopage j'suis bon pour la touche
Mon taux d'alcoolémie a crevé le ballon d'un souffle
La partie finie entre deux alca-selzer pour un zéro
J'ai la barre transversale plantée dans mon cerveau
J'ai mis un pied sur la lune je me réveille mal luné
Un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'ébriété
Refrain
J'arrose tout le monde ça finit toujours en dessous de table
Vote pour mon estomac en ballottage favorable
Je fais du mal au colon le conquistador du terroir
Partout où je passe s'établit un comptoir
De l'ordre du poireau je veux que mon nez soit décoré
Qu’on m'enterre au Panthéon je servirai de pilier
Sous le signe du verseau j'étais pourtant bien parti
Mais tous mes atouts sont tombés à l'eau de vie
Fallait bien que je me démerde pour vous soutirer du blé
J'ai écrit cette chanson après une étude marché
Je la dédicace à tous les alcooliques
C'est sûr qu'au moins en France je toucherai un large public.
Une très belle chanson de Pierre Rapsat que je dédie amicalement à la "chèvre de monsieur S." ;-).
Joan joue aux dominos
Joan
Joue aux dominos
Joan
Dessine un Pierrot
Elle chante "Au clair de la lune"
Assemble les pièces une à une
Infiniment, lentement, tendrement
Pose les dominos
Tout doucement
Joan
Mon dieu que c'est beau
Lui dit la dame en robe blanche
Joan
Je t'apporte un gâteau
Bon anniversaire
Je te dérange?
Seize bougies
Je t'en supplie mange
Infiniment, lentement, tendrement
Elle ferme la porte
Tout doucement
Messieurs dames est né ce soir
Un Pierrot en habit noir
La pleine lune lui dit bonsoir
Pourquoi dans sa douce lueur
Un domino rouge en plein coeur?
Joan
Regarde son gâteau
Ecrasé sur le mur blanc
Joan
Un rire un sanglot
A-t-elle pris un coup de lune?
Les pièces glissent une à une
Infiniment, lentement, tristement
Son Pierrot s'évanouit
Tout doucement
{Passage instrumental}
Messieurs dames est mort ce soir
Un Pierrot en habit noir
Quelques nuages en retard
Laissent un rayon lui dire au revoir
Eclairez le seul debout, le rouge
De ces milliers d'ivoires qui se couchent
Joan
Mon dieu que c'est beau
Lui dit la dame en robe blanche
Joan
Je t'apporte un gâteau
Bon anniversaire
Je te dérange?
Dix-huit bougies
Je t'en supplie mange
Infiniment, lentement, tendrement
Elle ferme la porte
Tout doucement
Joan
Joue au dominos
Joan
Dessine un Pierrot
Elle chante "Au clair de la lune"
Joan
Joue aux dominos
Ce soir c'est la pleine lune
Joan
Joue aux dominos
A-t-elle pris un coup de lune?
Joan joue aux dominos
Joan
Joue aux dominos
Joan
Dessine un Pierrot
Elle chante "Au clair de la lune"
Assemble les pièces une à une
Infiniment, lentement, tendrement
Pose les dominos
Tout doucement
Joan
Mon dieu que c'est beau
Lui dit la dame en robe blanche
Joan
Je t'apporte un gâteau
Bon anniversaire
Je te dérange?
Seize bougies
Je t'en supplie mange
Infiniment, lentement, tendrement
Elle ferme la porte
Tout doucement
Messieurs dames est né ce soir
Un Pierrot en habit noir
La pleine lune lui dit bonsoir
Pourquoi dans sa douce lueur
Un domino rouge en plein coeur?
Joan
Regarde son gâteau
Ecrasé sur le mur blanc
Joan
Un rire un sanglot
A-t-elle pris un coup de lune?
Les pièces glissent une à une
Infiniment, lentement, tristement
Son Pierrot s'évanouit
Tout doucement
{Passage instrumental}
Messieurs dames est mort ce soir
Un Pierrot en habit noir
Quelques nuages en retard
Laissent un rayon lui dire au revoir
Eclairez le seul debout, le rouge
De ces milliers d'ivoires qui se couchent
Joan
Mon dieu que c'est beau
Lui dit la dame en robe blanche
Joan
Je t'apporte un gâteau
Bon anniversaire
Je te dérange?
Dix-huit bougies
Je t'en supplie mange
Infiniment, lentement, tendrement
Elle ferme la porte
Tout doucement
Joan
Joue au dominos
Joan
Dessine un Pierrot
Elle chante "Au clair de la lune"
Joan
Joue aux dominos
Ce soir c'est la pleine lune
Joan
Joue aux dominos
A-t-elle pris un coup de lune?
Une très belle chanson de Pierre Rapsat que je dédie amicalement à la "chèvre de monsieur S." ;-).
Joan joue aux dominos
Joan
Joue aux dominos
Joan
Dessine un Pierrot
Elle chante "Au clair de la lune"
Assemble les pièces une à une
Infiniment, lentement, tendrement
Pose les dominos
Tout doucement
Joan
Mon dieu que c'est beau
Lui dit la dame en robe blanche
Joan
Je t'apporte un gâteau
Bon anniversaire
Je te dérange?
Seize bougies
Je t'en supplie mange
Infiniment, lentement, tendrement
Elle ferme la porte
Tout doucement
Messieurs dames est né ce soir
Un Pierrot en habit noir
La pleine lune lui dit bonsoir
Pourquoi dans sa douce lueur
Un domino rouge en plein coeur?
Joan
Regarde son gâteau
Ecrasé sur le mur blanc
Joan
Un rire un sanglot
A-t-elle pris un coup de lune?
Les pièces glissent une à une
Infiniment, lentement, tristement
Son Pierrot s'évanouit
Tout doucement
{Passage instrumental}
Messieurs dames est mort ce soir
Un Pierrot en habit noir
Quelques nuages en retard
Laissent un rayon lui dire au revoir
Eclairez le seul debout, le rouge
De ces milliers d'ivoires qui se couchent
Joan
Mon dieu que c'est beau
Lui dit la dame en robe blanche
Joan
Je t'apporte un gâteau
Bon anniversaire
Je te dérange?
Dix-huit bougies
Je t'en supplie mange
Infiniment, lentement, tendrement
Elle ferme la porte
Tout doucement
Joan
Joue au dominos
Joan
Dessine un Pierrot
Elle chante "Au clair de la lune"
Joan
Joue aux dominos
Ce soir c'est la pleine lune
Joan
Joue aux dominos
A-t-elle pris un coup de lune?
Quelle belle chanson, mais quelle belle chanson !
Voici une chanson absurde, qui m'a héberlué quand elle est sortie, et qui me fait plutôt sourire aujourd'hui. C'est un souvenir de (pré-)adolescence. Elle est typique des chansons d'été lancées comme des lessives, et qui n'ont pas davantage d'esprit que des bulles de savon. Prises au deuxième - voir au troisième - degré, elles sont distrayantes.
Sara Mandiano
J'ai des doutes
Paroles et Musique: Sara Mandiano 1991
© 1991 - Editions Kondo Music
J'ai des doutes, quand tu m'dis qu'tu m'aimes plus qu'avant
J'ai des doutes, sur le cimetière des éléphants
J'ai des doutes, en ce qui concerne les insectes
J'ai des doutes, qu'ils soient tous en mission secrète
J'ai des doutes quand j'défais les mailles de ton pull
J'ai des doutes, alors j'les refais une à une
J'ai des doutes, ou est-ce le cri perçant des mouettes
J'ai des doutes, j'ai la conviction qu'elles nous guettent
{Refrain:}
Na komy na tembé
Tembé nako ka moa
Na komy na tembé
Eka mati bisso
Na komy na tembé
Tembé nako kamoa
Na komy na tembé
Ekamati bisso
J'ai des doutes, cachée par les stores vénitiens
J'ai des doutes, j'm'envole avec tes plumes d'indien
J'ai des doutes, sur le gémissement des crevettes
J'ai des doutes, j'ai la conviction qu'elles nous guettent
{au Refrain, 2x}
J'ai des doutes, quand tu m'dis qu'tu m'aimes plus qu'avant
J'ai des doutes, sur le cimetière des éléphants
J'ai des doutes, en ce qui concerne les insectes
J'ai des doutes, j'ai la conviction qu'elles nous guettent
{au Refrain, 2x}
Sara Mandiano
J'ai des doutes
Paroles et Musique: Sara Mandiano 1991
© 1991 - Editions Kondo Music
J'ai des doutes, quand tu m'dis qu'tu m'aimes plus qu'avant
J'ai des doutes, sur le cimetière des éléphants
J'ai des doutes, en ce qui concerne les insectes
J'ai des doutes, qu'ils soient tous en mission secrète
J'ai des doutes quand j'défais les mailles de ton pull
J'ai des doutes, alors j'les refais une à une
J'ai des doutes, ou est-ce le cri perçant des mouettes
J'ai des doutes, j'ai la conviction qu'elles nous guettent
{Refrain:}
Na komy na tembé
Tembé nako ka moa
Na komy na tembé
Eka mati bisso
Na komy na tembé
Tembé nako kamoa
Na komy na tembé
Ekamati bisso
J'ai des doutes, cachée par les stores vénitiens
J'ai des doutes, j'm'envole avec tes plumes d'indien
J'ai des doutes, sur le gémissement des crevettes
J'ai des doutes, j'ai la conviction qu'elles nous guettent
{au Refrain, 2x}
J'ai des doutes, quand tu m'dis qu'tu m'aimes plus qu'avant
J'ai des doutes, sur le cimetière des éléphants
J'ai des doutes, en ce qui concerne les insectes
J'ai des doutes, j'ai la conviction qu'elles nous guettent
{au Refrain, 2x}
Paroles : S.Sanseverino, musique : S.Sanseverino et H.Legeay
Arrêtez de faire des manteaux avec la peau des animaux
« André II, en chiffres romains »
*******************************************************************
André et sa merveilleuse femme respirent l’harmonie et le calme,
Ce qui n’empêche pas Nicole de tanner son mari Dédé :
Nicole c’est les cols en fourrure, Sardou lui c’est l’école privée,
« Pourquoi s’en priver ? » dit Nicole, ce n’est pas l’avis d’André.
Tu t’abstiendras dans l’astrakan, c’est des vêtements qui sentent le sang,
« Ce sont mes vêtements ! » lui dit-elle, André shoote dans la poubelle.
« Je n’aime pas quand tu te moques tu sais, tu fais sans arrêt des fautes de français,
Ne change pas de conversation, je veux un manteau en vison ! »
Arrêtez de faire des manteaux, avec la peau des animaux … (bis)
Sensible, les nerfs à fleur de peau, ses yeux se mouillent au moindre mot,
Agressé au dernier degré, André va exploser !
« Tu m’énerves, tu me harcèles Nicole ! » ils se déchirent et se rafistolent,
La dispute était inutile, André est un garçon fragile,
Qui a des visions de visons, et des cauchemars de léopards,
De grosses angoisses de zibeline, il voit des holocaustes d’hermines,
Un renard blanc et un ocelot dépecés vivants … c’est très beau …
Si y’en avaient qui faisaient des manteaux en peau d’humain ….
« Hé r’gardes dont comme t’es beau !! Avec ton manteau tout pourri !! »
« Par contre j’aime bien ce p’tit son d’guitare là qu’vous avez, on peut pas tout détester, moi j’aime bien ce p’tit son ! »
La fourrure André n’aime pas ça, « je ne supporte pas,
j’peux pas ». « Tu serais pas un peu d’gauche ? » lui dit Nicole ?
Alors là André il rigole !!
« Tu ne respectes pas mes choix tu ne respectes pas mes droits,
tu te crois beau avec ton K-Way ? » … alors là ; André il dit : « Ouais ! »
« Pis en même temps qu’y dit « ouais » il prend sa gratte pis il joue comme ça … »
Arrêtez de faire des manteaux avec la peau des animaux …. (3x) castors, raton laveur, lapins, coyotes … Pas besoin d’morts pour être forts, d’être cruelle pour être belle … (bis)
Arrêtez de faire des manteaux avec la peau des animaux
« André II, en chiffres romains »
*******************************************************************
André et sa merveilleuse femme respirent l’harmonie et le calme,
Ce qui n’empêche pas Nicole de tanner son mari Dédé :
Nicole c’est les cols en fourrure, Sardou lui c’est l’école privée,
« Pourquoi s’en priver ? » dit Nicole, ce n’est pas l’avis d’André.
Tu t’abstiendras dans l’astrakan, c’est des vêtements qui sentent le sang,
« Ce sont mes vêtements ! » lui dit-elle, André shoote dans la poubelle.
« Je n’aime pas quand tu te moques tu sais, tu fais sans arrêt des fautes de français,
Ne change pas de conversation, je veux un manteau en vison ! »
Arrêtez de faire des manteaux, avec la peau des animaux … (bis)
Sensible, les nerfs à fleur de peau, ses yeux se mouillent au moindre mot,
Agressé au dernier degré, André va exploser !
« Tu m’énerves, tu me harcèles Nicole ! » ils se déchirent et se rafistolent,
La dispute était inutile, André est un garçon fragile,
Qui a des visions de visons, et des cauchemars de léopards,
De grosses angoisses de zibeline, il voit des holocaustes d’hermines,
Un renard blanc et un ocelot dépecés vivants … c’est très beau …
Si y’en avaient qui faisaient des manteaux en peau d’humain ….
« Hé r’gardes dont comme t’es beau !! Avec ton manteau tout pourri !! »
« Par contre j’aime bien ce p’tit son d’guitare là qu’vous avez, on peut pas tout détester, moi j’aime bien ce p’tit son ! »
La fourrure André n’aime pas ça, « je ne supporte pas,
j’peux pas ». « Tu serais pas un peu d’gauche ? » lui dit Nicole ?
Alors là André il rigole !!
« Tu ne respectes pas mes choix tu ne respectes pas mes droits,
tu te crois beau avec ton K-Way ? » … alors là ; André il dit : « Ouais ! »
« Pis en même temps qu’y dit « ouais » il prend sa gratte pis il joue comme ça … »
Arrêtez de faire des manteaux avec la peau des animaux …. (3x) castors, raton laveur, lapins, coyotes … Pas besoin d’morts pour être forts, d’être cruelle pour être belle … (bis)
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