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Forums  :  Musique & Cinéma  :  Chanson du jour

Veneziano
avatar 06/08/2005 @ 13:42:29
Talons aiguilles
Piensa en mi
note: Interpreté par Luz Casal

Si tienes un hondo penar, piensa en mi
Si tienes ganas de llorar, piensa en mi
Ya ves que venero tu imagen divina
Tu parvula boca, que siendo tan nina
Me enseno a pecar
Piensa en mi cuando sufras
Cuando llores, tambien piensa en mi
Cuando quieras quitarme la vida
No la quiero, para nada
Para nada me sirve sin ti
Piensa en mi cuando sufras
Cuando llores, tambien piensa en mi
Cuando quieras quitarme la vida
No la quiero, para nada
Para nada me sirve sin ti

Traducciòn personal al francés :

Pense à moi

Si tu as une peine honteuse, pense à moi
Si tu as envie de pleurer, pense à moi
Tu vois déjà que je vénères ton image divine
Ta bouche d'écolier que je sens si enfantine
M'a appris à pêcher
Pense à moi quand tu souffriras
Quand tu pleureras, pense encore à moi
Si tu veux me ôter la vie,
Je ne la veux pas, pour rien,
Pour rien, elle ne me sert sans toi.

Veneziano
avatar 06/08/2005 @ 13:44:36
C'est la chanson de la bande originale du film Tacones lejanos de Pedro Almodovar, l'un de mes films-cultes.
Tacones lejanos signifie Talons lointains, mais est traduit par Talons aiguilles.

Kilis 09/08/2005 @ 09:27:06
Les Palétuviers

Paroles et Musique: Moises Simon, H.Duvernoy 192?
© entre 1925 et 1930


L'amour ce fruit défendu vous est donc inconnu
Oui
En cela se peut-il joli petit bourgeon d'avril
Non je ne l'ai jamais vu, jamais vu ni connu
Mais mon cœur ingénu veux rattraper vois-tu tout le temps perdu
Ah rien ne vaut pour s'aimer les grands palétuviers chère petite chose
Ah si les palétuviers te font tant frétiller je veux bien essayer

Ah viens sous les "pa"
J'y vais de ce pas mais j'y vais pas à pas
Suis-moi veux-tu ?
Je te suis, pas têtue sous les grand "palétu"
Viens sans hésiter
Allons gazouiller sous les palétuviers
Ah oui je n'ai pas de papa, de papalétuvier, sous les palétuviers
Ah je te veux sous les "pa" je te veux sous les "lé"
Les palétuviers roses
Aimons-nous sous les "pas"
Prend moi sous les "létus"
Aimons-nous sous les "viers"

Ah ton cœur me semble encore hésiter cher trésor
Mais je veux tout oser pour un petit, tout petit baiser
Ah un baiser, je m'éblouis, un baiser c'est exquis
Mais dès qu'il l'aura pris je vais être pour lui l'objet de mépris
Non le mépris te t'en prie ce n'est pas dans mes prix car je suis pris mignonne
Mon cœur est aux abois tu peux prendre o mon roi mon cœur au fond des bois

{Refrain:}
Ah viens sous les "pa"
J'y vais de ce pas mais j'y vais pas à pas
Suis-moi veux-tu ?
Je te suis, pas têtue sous les grand "palétu"
Viens sans hésiter, allons gazouiller sous les palétuviers
Ah oui sous les "pa", les papas, les palés, les tutus, sous les palétuviers
Ah je te veux sous les "pa" je te veux sous les "lé", les palétuviers roses
Aimons-nous sous les "pas"
Prend moi sous les "létus"
Aimons-nous sous les "viers"

Près des arbres enchanteurs viens goûter les senteurs
Ce cocktail où se mêlent le gingembre avec la cannelle
Oui c'est l'effet du tropique qui me pique qui me pique
Je sens le muscadier, je sens les néfliers, et les orangers
Le parfum des néfliers et des doux pistachiers ne vaut les palétuviers roses
Tous ces arbres tropicaux nous invitent au bécot allons y mon coco
{au Refrain}

Si je comprends bien tu me veux mon chien
Sous les grands palé-tu viens !

Nothingman

avatar 09/08/2005 @ 16:47:16
Je persiste et je signe -))

Christophe – Les mots bleus

Il est six heures au clocher de l'église
Dans le square les fleurs poétisent
Une fille va sortir de la mairie
Comme chaque soir je l'attends
Elle me sourit
Il faudrait que je lui parle
A tout prix

Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Parler me semble ridicule
Je m'élance et puis je recule
Devant une phrase inutile
Qui briserait l'instant fragile
D'une rencontre
D'une rencontre

Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Je l'appellerai sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le vent d'hiver souffle en avril
J'aime le silence immobile
D'une rencontre
D'une rencontre

Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher
Dans le square les arbres sont couchés
Je reviens par le train de nuit
Sur le quai je la vois
Qui me sourit
Il faudra bien qu'elle comprenne
A tout prix

Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Toutes les excuses que l'on donne
Sont comme les baisers que l'on vole
Il reste une rancœur subtile
Qui gâcherait l'instant fragile
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles

Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Une histoire d'amour sans paroles
N'a pas besoin du protocole
Et tous les longs discours futiles
Terniraient quelque peu le style
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles

Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Je lui dirai tous les mots bleus
Tous ceux qui rendent les gens heureux
Tous les mots bleus

Loupbleu 10/08/2005 @ 01:10:27
Paroles de Norge
Musique de Juliette

* * *

Le p'tit grain d'plomb qui faucha l'gros lapin,
Le p'tit couteau dans le coeur de Marie,
Le p'tit éclair sur l'épaule de Firmin,
Mon Dieu ! Tout ça, c'est d'la mort en série.

Le p'tit crochet dans la bouch' du gardon,
Le p'tit poison qui mordille l'sang d'Adèle,
Le p'tit microbe dans l'intestin d'Raymond,
Mon Dieu ! Tout ça, c'est d'la mort naturelle !

Le p'tit vent creux dans les poumons d'Julot,
Le p'tit lacet qui serra l'cou du loir,
Le p'tit marteau sur la caboche du veau,
Mon Dieu ! Tout ça, c'est d'la mort accessoire !

Mais le p'tit non sur les lèvres d'Anna
Quand je lui d'mande encore un peu d'amour,
Ça c'est d'l'horreur, ça c'est d'l'assassinat,
D'la mort qui pue et d'la griffe de vautour !

Anna ma douce, Anna mon p'tit mouton,
Toutes les aut's morts, qu'est-ce-que tu veux qu'ça m'fasse ?
Mais ce p'tit non qui répond toujours non,
Ce p'tit non là, c'est d'la mort dégueulasse.

Julius 10/08/2005 @ 19:29:25
Jaaaaaavaaaaaa ! de la bombe ! et je le répète pour ceux qui suivent pas, vous aimez la musique, stop aux enceintes de m..., vendez votre caisse, pas besoin de mettre de la thune dans un tas de ferraille, allez dans un magasin spécialisé, dites : "faites moi écouter vos meilleures enceintes, tenez, c'est ce que j'écoute tout le temps, mettez le et faites péter les watts" et ... prenez une claque. Triangle, B&W, Acoustic Energy, Kef, Cabasse, Elipson ... je suis amoureux d'une enceinte, je vais pas bien :-( En attendant :


C'était un jour pas comme les autres
'Commence par une chose extraordinaire
J'me suis réveillé la tête dans l'cul :
Ca m'était pas pas arrivé d'puis hier

Rien à faire : qu'est ce que je fais là ?
Un jour de plus d'ennui mon foie me pardonne plus
Je crois que c'était un
Samedi
Chuis rentré dans un église j'ai appelé Dieu comme Don Camillo
J'avais vu le film, mais rien à faire, il sortait rien d'là haut
Je me suis dit, un tel mégalo
Y a qu'une solution
Pour le faire sortir de la perfection
Alors j'l'ai traité d'tous les noms :

"Gros con ! enculé ! descends, si t'es un homme !
J'la prends dans le bain, Marie,
J'lui parle toutes les langues de Babel
Et j'te maudis"

La terre a tremblé, bruit d'tonnerre
Deux mille ans qu'il avait pas mis les pieds sur Terre
Il a tapé une crise
De nerfs.

J'ai tapé l'flip
Devant l'barracuda
Il avait moins l'physique de Jésus Christ
Que celui d'Bouddha
J'ai joué les martyrs et il m'a pardonné
Il a fait une croix sur l'embrouille et on a bu un demi
Accompagné
De quelques olives
J'lui dis "c'est quoi l'art de vivre ?
Le monde moderne
M'emmerde
J'ai pas l'esprit d'initiative

Qu'est ce que je fais là ?
Affalé, fou fêlé, un feignant, j'ai l'flow
Décontracté du gland, j'ai des relents d'buffet froid
Y en a qui rêvent de soirées Ferrero, de Ferrari
Moi j'voudrais finir comm' dans La Grande Bouffe de Marco Ferreri

Qu'est ce que je fais là ?
Affalé, fou fêlé, un feignant, j'ai l'flow
Décontracté du gland, j'ai des relents d'buffet froid
Y en a qui rêvent de soirées Ferrero, de Ferrari
Moi j'voudrais finir comm' dans La Grande Bouffe de Marco Ferreri

Il voulait voir l'désastre
J'l'ai emmené à Pigalle
Surpris et naïf
Il a été choqué mais dans ses yeux
S'est allumée
Une lueur de vice
Il m'a dit :
"J'veux voir des gens en transe,
Qui prient pour ma face
- Une église ?
- Non, quelqu'chose de plus classe"
J'ai fait :
"Taxi !
Au palace !"

Dans la te-boi on etait en vrac
Que d'la tekno qui pète les rondes un max de branchés
"tu m'maraves j'te maraves"
Pas trop mon truc j'fais :
"On s'arrache
- Bh'arrête, j'me lâche
T'as rien à mettre ?
- Tu veux du ... teu-shi ?
- Amène des cônes"
Et il a pris
Un ex-hostie
Il a fait la danse de Saint Guy
On s'est fini en after à l'Enfer
Il a croqué l'fruit
Défendu
Il est parti s'envoyer en l'air à l'hôtel
Avec une bombe sexy
Qu'avait l'diable au corps
Pêcher
Les plaisirs de la vie
Et puis

A onze heures du matin, j'l'ai r'pêché,
Gisant,
Tout en suaire,
Avec une bonne crise de foi
Il a bé-ger
Baptisant l'par-terre

Son souffle divin
Avait des relents d'outre-tombe,
Il m'a dit :

"Ou est la lumière

je sombre
Mouaaaaââââââa

Mais qu'est ce que je fais là ?
Affalé, croquant l'fruit défendu,
Tout c'qui est foireux m'fascine, il faut qu'j'me casse avant d'être foutu ...on est quel jour ?
- Dimanche
- Le septième, 'faut qu'j'change le système"
Et Dieu créa la flemme

Mais qu'est ce que je fais là ?
Affalé, croquant l'fruit défendu,
Tout c'qui est foireux m'fascine, il faut qu'j'me casse avant d'être foutu ...on est quel jour ?
- Dimanche
- Le septième, 'faut qu'j'change le système"
Et Dieu créa la flemme

C'tait d'venu un frère
Un compagnon de galère
Pour moi il a fait un pact' avec Saint Pierre
J'ai l'droit d'mmener un pack avant ma mise en bière
Et puis
Il a voulu rentrer chez lui
On a pris l'premier RER de 5 heures et d'mie,
L'omnibus - route Paradis,
On a fait un arrêt à l'épicerie
'n'est arrivés à la gare, c't'ait la grève
Il voulait rentrer d'dans l'au-delà
Mais on était d'dans jusqu'au cou
Cherchant du rêve
On est restés sur l'banc
A r'garder les hommes brasser du vent

Si vous cherchez une fin à la chanson...
Ben y en a pas vraiment...
On a juste fini par se demander

Qu'est ce que je fais là ?
Affalé, fou fêlé, un feignant, j'ai l'flow
Décontracté du gland, j'ai des relents d'buffet froid
Y en a qui rêvent de soirées Ferrero, de Ferrari
Moi j'voudrais finir comm' dans La Grande Bouffe de Marco Ferreri

Qu'est ce que je fais là ?
Affalé, fou fêlé, un feignant, j'ai l'flow
Décontracté du gland, j'ai des relents d'buffet froid
Y en a qui rêvent de soirées Ferrero, de Ferrari
Moi j'voudrais finir comm' dans La Grande Bouffe de Marco Ferreri

Qu'est ce que je fais là ?
Affalé, fou fêlé, un feignant, j'ai l'flow
Décontracté du gland, j'ai des relents, puis 'fait froid
Y en a qui rêvent de soirées Ferrero, de Ferrari
Moi j'voudrais finir... - mais tu peux pas, t'es infini

Qu'est ce que je fais là ?
Affalé, fou fêlé, un feignant, j'ai l'flow
Décontracté du gland, j'ai des relents d'buffet froid
Y en a qui rêvent de soirées Ferrero, de Ferrari
Moi j'voudrais finir comm' dans La Grande Bouffe de Marco Ferreri (x4)

Sibylline 10/08/2005 @ 22:37:07
Et si en plus il n'y a personne

Abdel, Raman, Martin, David,
Et si le ciel était vide?
Tant de processions
Tant de têtes inclinées
Tant de capuchons
Tant de peurs souhaitées
Tant de démagogues,
De temples, de synagogues
Tant de mains pressées
De prières empressées

Tant d'Angelus
Ding qui résonnent
Et si en plus,
Il n'y a personne

Abdel, Raman, Martin, David,
Et si le ciel était vide?
Il y a tant de torpeur
De musiques anthalgiques
Tant d'anti-douleurs
Dans ses jolis cantiques
Il y a tant de questions
Et tant de mystères
Tant de compassion
Et tant de revolvers...

Tant d'Angelus
Ding qui résonnent
Et si en plus,
Il n'y a personne

Arro Hachen,Inch'Allah...
(lalalala..)
Arré Krischna, Alléluia

Abdel, Raman, Martin, David,
Et si le ciel était vide?
Si toutes ses balles traçantes
Toutes ses armes de poing
Toutes ses femmes ignorantes
Ces enfants orphelins
Si ces villes qui chavirent
Ces yeux mouillés
Ce n'etait que le plaisir
De zigouiller...

Tant d'Angelus
Ding qui résonnent
Et si en plus,
Il n'y a personne...
(Alain Souchon)

Guigomas
avatar 16/08/2005 @ 12:47:56
Ils se retrouvent autour d'une table
Au fond à gauche tout près du bar
La même table où il y a dix ans
Ils venaient s'asseoir tous les soirs
Pour boire aux yeux d'une nouvelle blonde
Ou pleurer celle qui était partie
Ou arranger le sort et rêver tout haut dans la nuit

Ils se demandent où ils en sont
Se font des blagues et se taquinent
Sur les bébés ou le bedons
Ou les cheveux qui se déracinent
Ils sont un peu inconfortables
En s'informant des vieux amis
Ceux qui ont roulé sous la table
Et n'en sont jamais ressortis

Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l'envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s'aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s'aimait

Quand la musique devient plus forte
Alors on se crie dans l'oreille
Qu'on devrait se voir plus souvent
Que dans le fonds, tout est pareil
Et on retourne quelques instants
Observer le fonds de son verre
Ou regarder quelqu'un qui danse
Et nous ressemble sous les lumières

Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l'envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s'aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s'aimait

Quand la musique se fait plus douce
On laisse couler les confidences
Et peu à peu on lève les voiles
Sur les longues années de silence
Sur les amours et les batailles
Sur la carrière et les caresses
On se raconte nos trente ans
Entre le rire et la tendresse

Si certains rêves se sont enfuis
En emportant dans leurs valises
Des mots d'amour jetés derrière
Avec nos plus belles chemises
D'autres se sont glissés sans bruit
Et nous ont laissé par surprise
Un œil ouvert sur la vraie vie
Et sur le monde autour de nous

Ils se retrouvent autour d'une table
Au fond à gauche tout près du bar
La même table où il y a dix ans
Ils venaient s'asseoir tous les soirs
Dans quelques verres ils seront partis
Chacun vers son petit bonheur
Avec dans un recoin du cœur
Une flamme qui brille dans la nuit

Le temps se perd, le temps sépare
Le temps nous vire à l'envers
Mais le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s'aimait
Le temps se fâche, le temps est lâche
Le temps nous jette à la mer
Mais le temps ne nous perdra jamais
Non, le temps ne nous perdra jamais
Tellement on s'aimait

Tellement on s'aimait
Tellement on s'aimait
Tellement on s'aimait


(Beau Dommage
Tellement on s'aimait)

Rachel 22/08/2005 @ 14:51:14
I want you to know that I'm happy for you
I wish nothing but the best for you both
An older version of me
Is she perverted like me
Would she go down on you in a theatre
Does she speak eloquently
And would she have your baby
I'm sure she'd make a really excellent mother

'Cause the love that you gave that we made
Wasn't able to make it enough for you to be open wild, no
And every time you speak her name
Does she know how you told me you'd hold me
Until you died, 'til you died
But you're still alive

Chorus
And I'm here to remind you
Of the mess you left when you went away
It's not fair to deny me
Of the cross I bear that you gave to me
You, you, you oughta know

You seem very well, things look peaceful
I'm not quite as well, I thought you should know
Did you forget about me, Mr Duplicity
I hate to bug you in the middle of dinner
It was a slap in the face how quickly I was replaced
And are you thinking of me when you fuck her

'Cause the love that you gave that we made
Wasn't able to make it enough for you to be open wild, no
And every time you speak her name
Does she know how you told me you'd hold me
Until you died, 'til you died

Repeat chorus

'Cause the joke that you laid in the bed that was me
And I'm not gonna fade
As soon as you close your eyes and you know it
And every time I scratch my nails down someone else's back
I hope you feel it.... well can you feel it


alanis morissette you oughta known

Fee carabine 29/08/2005 @ 03:56:27
War of man (Neil young, de l'album "Harvest Moon")

The little creatures run in from the cold
Back to the nest just like the days of old
There in the safety of a mother's arms
The warmth of ages, far away from harm again

Ears ringin' from the battle fire
The tired warrior aims a little higher
The black falcon or the little sparrow
The healing light or the flash of the barrel

No one wins
It's a war of man
No one wins
It's a war of man

Silver mane flyin' in the wind
Down through the planets on the run again
No one knows where they're runnin'to
But every kind is comin'two by two

Out on the delta where the hoofbeats pound
The daddy's runnin on the frozen ground
Can't smell the poison as it follows him
Can't see the gas and machines, it's a war of man

No one wins
It's a war of man
No one wins
It's a war of man

The windows open and the little girl dreams
The sky is her playground as she mounts her steed
Across the heavens to the other side
On wings of magic does the little girl ride

The baby creatures run in from the cold
Back to the nest just like the days of old
There in the safety of a mother's arms
The warmth of ages, far away from harm again

No one wins
It's a war of man
No one wins
It's a war of man
No one wins

Lyra will 03/09/2005 @ 12:05:39
Histoire de rigoler (enfin moi rien que de l'entendre :0))

Brice de Nice
C'est le casse de Brice


2005

Casse ! Casse !

J'm'appelle Brice, j' viens de Nice,
J'suis surfeur, winner, ascendant snowboarder,
J'suis le roi de la glisse, pas besoin de notice,
Sur les eaux de surface, j' suis le roi de la casse !

C'est le casse de Brice ! C'est le casse de Brice !
C'est le casse, casse, casse, casse, casse de Brice !
Donne-moi du cash ! Be nice, with Brice!

Give me the money, hé ! C'est par ici!
Dieu vous le rendra, c'est un ami !
T'as d'la chance !
Mamy, aujourd'hui, l'spectacle est gratuit !

Pourquoi tu t'arrêtes ?

C'est Brice compil, c'est le casse de Nice,(c'est quoi ?)
C'est le casse funky (ah ouais?), c'est le casse de Briiice !

C'est le casse de Brice ! C'est le casse de Brice !
C'est le casse, casse, casse, casse, casse de Brice !

Le soir, dans tes yellows, ta vie doit surfer sur du beau !

Donne-moi du cash !(Moneyyyy) Be nice, with Brice !
Donne-moi du cash !(T'aimes bien ? Ouais ?) Cassse de Briiice !

J'crois qu'on sait pas très bien compris !
Y a juste assez pour un frisbee !
J'ai besoin braïssé de gros euros,
Faites un effort, c'est pour le shooow !

C'est le casse de Brice ! C'est le casse de Brice !
C'est le casse, casse, casse, casse, casse de Brice !
Donne-moi du cash !(Body Mama) Be nice, with Brice !

Ton cash me plait, allez casse comme moi !
Donne tout ce que t'as pas ! Cassé ! (ça c'est fait)

C'est Brice compil, c'est le casse de Nice,
C'est le casse funky, c'est le casse de Briiice !

C'est le casse de Brice ! C'est le casse de Brice !
C'est le casse, casse, casse, casse, casse de Brice !

Le soir, dans tes yellows, ta vie doit surfer sur du beau !

Donne-moi du cash !(Bah danse ! Ah tu danse ah ah ah !) Be nice, with Brice !
Donne-moi du cash ! Cassse de Briiice !

[ Ouais ! Ah ! C'est bon, çà ! Ouais !(Funkyyy)
T'es là, alors ! Vous êtes tous là ?
Ouais ! Ah ! J'me la donne !
J'me la donne ! J'me la donne ! ]

Amis, ouvrez vos coeurs ! Non, n'ayez pas peur !
L'argent ne fait pas le bonhEur !
Le fric, ça rend méchant ! Moi, c'est différent !
Moi j'suis né dans le luxe, c'est mon élément !
Pas le tien, appare...mment !

Donne-moi du cash ! Be nice, with Brice ! {x4}

Pour rêver la vie en jaune je trip, contre les démons de la déprime,
C'que Dieu vous donne, puis s'multiplie, coquine le coffre c'est par ici !

C'est le casse de Brice ! C'est le casse de Brice !
C'est le casse, casse, casse, casse, casse de Brice ! {x3}

C'est le cash de Brice ! C'est le cash de Brice !
C'est le cash, cash, cash, cash, cash de Brice !

C'est le casse de Brice ! C'est le casse de Brice !
C'est le casse, casse, casse, casse, casse de Brice !

C'est le cash de Brice ! C'est le cash de Brice !
C'est le cash, cash, cash, cash, cash de Brice ! {x2}

Rachel 18/09/2005 @ 11:41:05
On a passé la nuit à jouer au poker
Vider des cendriers et des canettes de bières
J'ai perdu 1000 $ en jetons nacrés
Cette fois y'en a marre, Kamel doit tricher.
Puis Patchol m'a emmené dans une boite à la mode
"Soirée privée!" Je suis rentré à pied
Faut pas traiter les videurs de pédale, j'ai l'épaule droite déboîtée
Tu vois ça va, avec ou sans toi, je refais ma vie... Tant pis !

Sami a préparé des accras de morue au gout de gésier
J'ai bien fait de pas manger !
Le voisin du dessous n'aime pas le sport
Il ne veut plus qu'on joue à la pétanque la nuit.
J'ai vu Patrick et Seb, on a parlé de toi
J'ai fait celui qui s'en fout
Quand les larmes sont montées, ils ont regardé ailleurs
Genre on a rien vu du tout
Tu vois ça va, avec ou sans toi, je refais ma vie... Tant pis!

C'est pas facile de faire semblant
Sourire sur les photos, pleurer entre temps
C'est dur de faire bonne figure partout
Comme ceux qui font... Celui que s'en fout.

J'ai bouffé chez des gens qui parlaient d'Internet
D'Au-delà du réel, de Nova magazine..
J'ai renoncé à pister une espèce de conne
Qui trouve "hyper fin de siècle" mon mauvais caractère !
Olivier et Sylvie vont avoir un gosse
Qu'on a célébré en polyphonies corses
A quatre heures du matin, les flics on insisté
Pour qu'on les suive au poste...
Tu vois ça va, avec ou sans toi, je refais ma vie... Tant pis!

Je ne serai pas de ceux qui se lamentent pour une demoiselle
Cajolant leur chagrin qu'ils prétendent éternel
Pour les beaux yeux d'un jolie salope
Ils ne se mouchent plus, ils écopent !
Le mot bourreau n'a pas de féminin...
Comment nommer les femmes cruelles?
J'ai bien pétasse, morue et charogne...
Mais ça rime pas terrible
Tu vois ça va, qu'est-ce que tu crois, je refais ma vie... Youpi !

benabar le 115

Eireann 32 18/09/2005 @ 20:47:07
AMBULANCE BLUES
Neil YOUNG
recorded handed to reprise April 1974
first live performance 16th March 1974 San Luis Obispo California last live performance 2nd June 1999 Houston--Texas
Pas une de ses chansons les plus connues, mais une de mes préférées.
===== lyrics
Back in the old folky days
The air was magic when we played.
The riverboat was rockin' in the rain
Midnight was the time for the raid.
Oh, Isabela, proud Isabela,
They tore you down and plowed you under.
You're only real with your make-up on
How could I see you and stay too long?
All along the Navajo Trail,
Burn-outs stub their toes on garbage pails.
Waitresses are cryin' in the rain
Will their boyfriends pass this way again?
Oh, Mother Goose, she's on the skids
Shoe ain't happy, neither are the kids.
She needs someone that she can scream at
And I'm such a heel for makin' her feel so bad.
I guess I'll call it sickness gone
It's hard to say the meaning of this song.
An ambulance can only go so fast
It's easy to get buried in the past
When you try to make a good thing last.
I saw today in the entertainment section
There's room at the top for private detection.
To Mom and Dad this just doesn't matter,
But it's either that or pay off the kidnapper.
So all you critics sit alone
You're no better than me for what you've shown.
With your stomach pump and your hook and ladder dreams
We could get together for some scenes.
I never knew a man could tell so many lies
He had a different story for every set of eyes.
How can he remember who he's talkin' to?
'Cause I know it ain't me, and I hope it isn't you.
Well, I'm up in T.O. keepin' jive alive,
And out on the corner it's half past five.
But the subways are empty
And so are the cafes.
Except for the Farmer's Market
And I still can hear him say:
You're all just pissin' in the wind
You don't know it but you are.
And there ain't nothin' like a friend
Who can tell you you're just pissin' in the wind.
I never knew a man could tell so many lies
He had a different story for every set of eyes
How can he remember who he's talking to?
Cause I know it ain't me, and hope it isn't you.

Tistou 18/09/2005 @ 22:25:31
Ambulance Blues, sur On the beach, une bien belle oui.
Et donc I'm the ocean, sur Mirror Ball, du même Neil Young :

I'm an accident
I was driving way too fast
Couldn't stop though
So I let the moment last
I'm for rollin'
I'm for tossin' in my sleep
It's not guilt though
It's not the company I keep

People my age
They don't do the things I do
They go somehwere
While I run away with you
I got my friends
And I got my children too
I got her love
She's got my love too

I can't hear you
But I feel the things you say
I can't see you
But I see what's in my way
Now I'm floatin'
Cause I'm not tied
to the ground
Words I've spoken
Seem to leave a hollow sound

On the long plain
See the rider in the night
See the chieftain
See the braves
in cool moonlight
Who will love them
When they take another life
Who will hold them
When they tremble
for the knife

Voicemail numbers
On an old computer screen
Rows of lovers
Parked forever in a dream
Screaming sirens
Echoing across the bay
To the old boats
From the city far away

Homeless heroes
Walk the streets
of their hometown
Rows of zeros
On a field
that's turning brown
They play baseball
They play football
under lights
They play card games
And we watch them every night

Need distraction
Need romance and candlelight
Need random violence
Need entertainment tonight
Need the evidence
Want the testimony of
Expert witnesses
On the brutal crimes of love

I was too tired
To see the news
when I got home
Pulled the curtain
Fell into bed alone
Started dreaming
Saw the rider once again
In the doorway
Where she stood
and watched for him
Watched for him

I'm not present
I'm a drug
that makes you dream
I'm an aerostar
I'm a cutlass supreme
In the wrong lane
Trying to turn
against the flow
I'm the ocean
I'm the giant undertow

I'm the ocean
I'm the ocean
I'm the giant undertow
I'm the ocean
I'm the giant undertow
I'm the ocean
I'm the ocean
I'm the ocean
I'm the ocean
I'm the ocean
I'm the ocean

Enlevé, qui souffle tout sur son passage. Même (ou surtout) sous votre douche ...

Krystelle 19/09/2005 @ 09:31:44
Radiohead - Exit music

Wake from your sleep
the drying of your tears
today we escape
we escape.

Pack and get dressed
before your father hears us
before all hell breaks loose.

Breathe keep breathing
don't lose your nerve
breathe keep breathing
I can't do this alone.

Sing us a song
a song to keep us warm
there's such a chill
such a chill.

You can laugh
a spineless laugh
we hope your rules and wisdom choke you

and now we are one
in everlasting peace

We hope that you choke, that you choke...

Tistou 19/09/2005 @ 09:34:34
KM 83 de Françoise Breut
Texte de Dominiqua A/ Musique Dominique A et Françoise Breut.
dans Une saison volée.

Rendez vous à la renverse
Je pars la première
On se rejoint là bas
Dessous la roche
Pendant l'averse
Que la route était longue
Pour finir dans tes bras
Finir, à la renverse
Au Km 83

Oh là, le temps m'inquiète
Il ne passe plus, où sont tes bras
Je les cherche

Comment vivre une vie dans ces rues là
Dans ces artères blessées par des
Bâtisseurs pressés
Mieux vaut s'en aller vite à la renverse
Il n'y aura personne, et tu me berceras
Et là, dessous l'averse
Contre la roche
Nul ne nous voit
Je suis à la renverse
Comme j'espèrais
Je sens tes bras
Qui me bercent

Nous y voilà.

Elle a travaillé avec Dominique A, cette chanson en est l'émanation. Même climat intimiste et de grande mélancolie. Même vague de fond furieuse qui vous emporte dans des arrangements très Aiens !
Et une très belle voix.

Julius 19/09/2005 @ 18:12:44
Du bon, du très très bon, Pauline Croze, elle ira loin avec cette voix ! et ces petits textes !


M'en voulez vous

De la vie je ne prends
Que la dolce vita c’est tout
M’en voulez-vous ?
De l’amour je n’attends
Qu’une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh…

Des garçons je ne prends
Que les plumes d’indiens, c’est tout
M’en voulez-vous ?
Des empereurs de Rome
Les lauriers et le vin, pas l’or
Ni les bijoux
Ouh, oh…

De mon enfance
Je n’ai gardé dans mon cœur
Que l’insouciance
De ses crayons de couleur
Ca me suffit
Pour dessiner qui je suis
Ca me suffit
Pour m’inventer d’autres vies

Refrain 1

De mes histoires
Je n’ai pris que le meilleur
Les mots d’un soir
Les promesses des voyageurs
Ca me suffit
Pour decider qui je suis
Ca me suffit
Pour m’inventer d’autres vies

Du marin je ne prends
Que les retours pas les adieux
M’en voulez-vous
Des milles et une nuit
Celles où près d’un cracheur de feu
J’ai rendez-vous
Ouh , oh…

Refrain 1


T'es beau

T’es beau,
T’es beau parce que t’es courageux,
De regarder dans le fond des yeux,
Celui qui te défie d’être heureux.

T’es beau,
T’es beau comme un cri silencieux,
Vaillant comme un métal précieux,
Qui se bat pour guérir de ses bleus.

C’est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon cœur,
Qui forcent ma joie,
Quand je pense a toi,
A présent.

J’ai beau,
J’ai beau me dire qu’au fond c’est mieux,
Même si c’est encore douloureux,
Je n’ai pas de recoin silencieux.

C’est beau,
C’est beau parce que c’est orageux,
Avec ce temps je connais peu,
Les mots qui traînent au coin de mes yeux.

C’est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon cœur,
Qui forcent ma joie
Quand je pense à toi,

Toi qui sors de scène,
Sans armes et sans haine,
J’ai peur d’oublier,
J’ai peur d’accepter,
J’ai peur des vivants,
A présent.

T’es beau…

Julius 19/09/2005 @ 18:41:56
aaah je continue à vous embêter avec de la musique, live de Montreux 1997
Put it where you want it !
Eric Clapton
Steve Gadd
Marcus Miller
Joe sample
David Sandborn

Un ENORME solo de sax suivi par un monumental solo de guitare puis par une tuerie à la basse, si dieu existait, il serait musicos !!!!

allez je m'en vais enchainer sur du Jimmy Smith !

Fee carabine 20/09/2005 @ 02:54:45
Parce qu'on l'écoute sans s'en lasser, Jacques Brel, mélancolie un peu caustique tout d'abord:

On n'oublie rien

On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni ces départs ni ces navires
Ni ces voyages qui nous chavirent
De paysages en paysages
Et de visages en visages
Ni tous ces ports ni tous ces bars
Ni tous ces attrape-cafard
Où l'on attend le matin gris
Au cinéma de son whisky

Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni ces jamais ni ces toujours
Ni ces je t'aime ni ces amours
Que l'on poursuit à travers cœurs
De gris en gris de pleurs en pleurs
Ni ces bras blancs d'une seule nuit
Collier de femme pour notre ennui
Que l'on dénoue au petit jour
Par des promesses de retour

Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout

Ni même ce temps où j'aurais fait
Mille chansons de mes regrets
Ni même ce temps où mes souvenirs
Prendront mes rides pour un sourire
Ni ce grand lit où mes remords
Ont rendez-vous avec la mort
Ni ce grand lit que je souhaite
A certains jours comme une fête

Ni tout cela ni rien au monde
Ne sait pas nous faire oublier
Ne peut pas nous faire oublier
Qu'aussi vrai que la terre est ronde
On n'oublie rien de rien
On n'oublie rien du tout
On n'oublie rien de rien
On s'habitue c'est tout


Et mélancolie pure:

Pourquoi faut-il que les hommes s'ennuient

Pourtant les hôtesses sont douces
Aux auberges bordées de neige
Pourtant patientent les épouses
Que les enfants ont pris au piège
Pourtant les auberges sont douces
Où le vin fait tourner manège
Pourquoi faut-il que les hommes s'ennuient

Pourtant les villes sont paisibles
Où tremblent cloches et clochers
Mais le diable dort-il sous la bible
Mais les rois savent-ils prier
Pourtant les villes sont paisibles
De blanc matin et blanc coucher
Pourquoi faut-il que les hommes s'ennuient

Pourtant il nous reste à rêver
Pourtant il nous reste à savoir
Et tous ces loups qu'il faut tuer
Tous ces printemps qu'il reste à boire
Désespérance ou désespoir
Il nous reste à être étonnés
Pourquoi faut-il que les hommes s'ennuient

Pourtant il nous reste à tricher
Être le pique et jouer le cœur
Être la peur et rejouer
Être le diable et jouer fleur
Pourtant il nous reste à patienter
Bon an mal an on ne vit qu'une heure
Pourquoi faut-il que les hommes s'ennuient

Eireann 32 20/09/2005 @ 16:25:10
Une chanson irlandaise.
Killkelly
Par Eleanor Shanley
Album Eleanor Shanley
Paroles Peter Jones
Kilkelly, Ireland eighteen and sixty
my dear and loving son John
Your good friend the schoolmaster
Pat McNamara`s so good as
To write these words down
Your brothers have all gone to find work in England
The house is so empty and sad
The crop of potatoes is sorely infected
A third to a half of them bad
And your sister Brigid and Patrick O`Donnell
Are going to be married in June
Your mother says not to work on the railroad
And be sure to come on home soon

Kilkelly, Ireland eighteen and seventy
my dear and loving son John
Hello to your missus and to your four children
May they grow healthy and strong
Michael has got in a wee bit of trouble
I suppose that he never will learn
Because of the dampness there`s no turf to speak of
And now we have nothing to burn
Brigid is happy you named a child for her
Although she`s got six of her own
You say you found work but you don`t say what kind
Or when you`ll be coming home

Kilkelly, Ireland eighteen and eighty
Dear Michael and John my sons
I`m sorry to give you the sad news
That your dear mother has gone
We buried her down at the church in Kilkelly
Your brothers and Brigid were there
You don`t have to worry she died very quickly
Remember her in your prayers
And it`s so good to hear that Michael`s returning
With money he`s sure to buy land
For the crop has been poor
and the people are selling
At any price they can

Kilkelly, Ireland eighteen and ninety
my dear and loving son John
I suppose that I must be close on eighty
It`s thirty years since you`ve gone
Because of all of the money you sent me
I`m still living out on my own
Michael has build himself a fine house
Ans Brigid`s daughters have grown
And thank you for sending your family picture
They`re lovely young woman and men
You say that you might even come for a visit
What joy to see you again

Kilkelly, Ireland eighteen and ninety
to my dear brother John
I`m sorry I didn`t write sooner to tell you
That father passed on
He was living with Brigid she says he was cheerful
And healthy right down to the end
Ah, you should have seen him
playing with the grandchildren
Of Pat McNamara your friend
And we buried him alongside of mother
Down at Kilkelly churchyard
He was a strong and feisty old man
Considering his life was so hard
And it`s funny the way he kept talking about you
He called for you at the end
Oh why don`t you think about coming to visit
We`d love to see you again

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