Petit homme mort au combat de Daniel Balavoine.
Etendu
Noyé de poussière
Un enfant fixe le néant
Le front humide entouré d'un turban
Qui dit que Dieu est grand-and
Dans son dos
Mouillé de sueur
On peut voir qu'il n'a pas eu le temps
De comprendre d'où venait la douleur
Qui brise ses tympans
Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas
Petit homme mort au combat
Quel Dieu a pu vouloir ça
Qui peut être fier
De tant de dégats
Et en moi
L'étau se resserre
Quand je vois défiler ces enfants
Aveuglés par des hommes aux vœux pervers
Aux hymnes délirants
Au delà de toutes frontières
Il faut dire à tout esprit naissant
Qu'aucune cause ne vaudra jamais
La mort d'un innocent
Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas
Devant ces feux
De haine
De terre
De sang
J'espère un peu quand même
Oh,
Que l'homme comprenne que l'enfant ne sais pas à quoi il consent
Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas
Petit homme mort au combat
Quel Dieu a pu vouloir ça
Qui peut être fier
De tant de dégats
Balavoine, un OVNI qui ne s'est pas arrêté dans notre ciel de stars.
Etendu
Noyé de poussière
Un enfant fixe le néant
Le front humide entouré d'un turban
Qui dit que Dieu est grand-and
Dans son dos
Mouillé de sueur
On peut voir qu'il n'a pas eu le temps
De comprendre d'où venait la douleur
Qui brise ses tympans
Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas
Petit homme mort au combat
Quel Dieu a pu vouloir ça
Qui peut être fier
De tant de dégats
Et en moi
L'étau se resserre
Quand je vois défiler ces enfants
Aveuglés par des hommes aux vœux pervers
Aux hymnes délirants
Au delà de toutes frontières
Il faut dire à tout esprit naissant
Qu'aucune cause ne vaudra jamais
La mort d'un innocent
Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas
Devant ces feux
De haine
De terre
De sang
J'espère un peu quand même
Oh,
Que l'homme comprenne que l'enfant ne sais pas à quoi il consent
Petit homme mort au combat
Qui a pu guider ses pas
Ivre de prières
Rythmées pas le glas
Petit homme mort au combat
Quel Dieu a pu vouloir ça
Qui peut être fier
De tant de dégats
Balavoine, un OVNI qui ne s'est pas arrêté dans notre ciel de stars.
Je ne connaissais pas cette chanson de Balavoine, elle est trés belle.
Camille
Ta douleur
Lève toi c'est décidé
Laisse-moi te remplacer
Je vais prendre ta douleur
Doucement sans faire de bruit
Comme on réveille la pluie
Je vais prendre ta douleur
Elle lutte elle se débat
Mais ne résistera pas
Je vais bloquer l'ascenseur...
Saboter l'interrupteur
Mais c'est qui cette incrustée
Cet orage avant l'été
Sale chipie de petite soeur ?
Je vais tout lui confisquer
Ses fléchettes et son sifflet
Je vais lui donner la fessée...
La virer de la récrée
Mais c'est qui cette héritière
Qui se baigne qui se terre
Dans l'eau tiède de tes reins ?
Je vais la priver de dessert
Lui faire mordre la poussière
De tous ceux qui n'ont plus faim...
De tous ceux qui n'ont plus rien
Dites moi que fout la science
A quand ce pont entre nos panses ?
Si tu as mal là où t'as peur
Tu n'as pas mal là où je pense !
Qu'est-ce qu´elle veut cette conasse
Le beurre ou l'argent du beurre
Que tu vives ou que tu meurs ?
Faut qu'elle crève de bonheur
Ou qu'elle change de godasses
Faut qu'elle croule sous les fleurs
Change de couleur...
Je vais jouer au docteur
Dites moi que fout la science
A quand ce pont entre nos panses ?
Si tu as mal là où t'as peur
Tu n'as pas mal là où je chante !
Camille
Ta douleur
Lève toi c'est décidé
Laisse-moi te remplacer
Je vais prendre ta douleur
Doucement sans faire de bruit
Comme on réveille la pluie
Je vais prendre ta douleur
Elle lutte elle se débat
Mais ne résistera pas
Je vais bloquer l'ascenseur...
Saboter l'interrupteur
Mais c'est qui cette incrustée
Cet orage avant l'été
Sale chipie de petite soeur ?
Je vais tout lui confisquer
Ses fléchettes et son sifflet
Je vais lui donner la fessée...
La virer de la récrée
Mais c'est qui cette héritière
Qui se baigne qui se terre
Dans l'eau tiède de tes reins ?
Je vais la priver de dessert
Lui faire mordre la poussière
De tous ceux qui n'ont plus faim...
De tous ceux qui n'ont plus rien
Dites moi que fout la science
A quand ce pont entre nos panses ?
Si tu as mal là où t'as peur
Tu n'as pas mal là où je pense !
Qu'est-ce qu´elle veut cette conasse
Le beurre ou l'argent du beurre
Que tu vives ou que tu meurs ?
Faut qu'elle crève de bonheur
Ou qu'elle change de godasses
Faut qu'elle croule sous les fleurs
Change de couleur...
Je vais jouer au docteur
Dites moi que fout la science
A quand ce pont entre nos panses ?
Si tu as mal là où t'as peur
Tu n'as pas mal là où je chante !
Je suis amoureux ..., elle est belle, elle me parle au creux de l'oreille, elle me dit des mots d'amour, des fois même sa colère est grande mais toujours parfaitement maîtrisée, j'en suis tout secoué mais encore plus amoureux, elle est magnifique ..., j'aime son allure, toute en sobriété, sa présence également, personne ne peut la croiser sans la regarder, je l'adore quand elle chante, quand elle n'est pas là elle me manque. Son silence est pur. Alors je lui dédie cette chanson car souvent elle me la sussure ...
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
En serrant dans ma main tes p'tits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d' pieds pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux qu'on piquait chez l' marchand
Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
Et les mistrals gagnants
A r'marcher sous la pluie cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un p'tit peu
Et sauter dans les flaques pour la faire râler
Bousiller nos godasses et s' marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, r'partir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants
Et les mistrals gagnants
Mon enceinte chérie :-) je t'aime ! je vous aime toutes (y en a pas qu'une !)
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
En serrant dans ma main tes p'tits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d' pieds pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux qu'on piquait chez l' marchand
Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
Et les mistrals gagnants
A r'marcher sous la pluie cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un p'tit peu
Et sauter dans les flaques pour la faire râler
Bousiller nos godasses et s' marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, r'partir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants
Et les mistrals gagnants
Mon enceinte chérie :-) je t'aime ! je vous aime toutes (y en a pas qu'une !)
Dis-moi, tu en as mis combien enceinte comme ça ?
:0))))
Je plaisante.
Bon, Une de Zazie (encore une fois !) je n'ai personne a qui la dédier donc Julius puisque t'es là :0)))))
Zazie
Aux armes citoyennes
Paroles et Musique: Zazie
A ceux qui pensent
Qu'Eve est seulement
Une moitié d'Adam
A ceux qui disent
Qu'elle est la mère
De tous les vices
A ceux qui se permettent
D'être le seul maître
Après Dieu
A ceux qui rient
A celles qui pleurent
A ceux qui vont
Libres comme l'air
A celles qui se terrent
A ceux qui ont
Le droit de dire
Elles, de se taire
A ceux qui prennent la vie
De celles qui donnent la vie
A ceux qui rient
De celles qui pleurent
Aux armes, citoyennes
Nos armes seront
Les larmes qui nous viennent
Des crimes sans nom
Aux hommes qui nous aiment
Ensemble, marchons
Et au Diable les autres
A celles qu'on opprime
Pour avoir commis le crime
D'aimer
A celles qu'on supprime
Pour un peu de peau
Dévoilée
A celles qu'on assassine
Pour avoir tenté de leur résister
A nous, mes frères
Qui laissons faire
Aux armes, citoyennes
Nos armes seront
Les larmes qui nous viennent
Des victimes sans nom
Aux hommes qui nous aiment
Ensemble, marchons
Et au Diable les autres
A nous, mes frères
Qui laissons faire
Aux armes, citoyennes
Aux armes, versons
Les larmes qui nous viennent
Au feu des canons
Aux hommes que reviennent
Un peu de raison
Et au Diable les autres
Aux armes, citoyennes
Nos larmes seront
Le forces qui nous tiennent
Ensemble, marchons
Puisque l'horreur est humaine
Sur elle versons
Nos larmes en pardon
:0))))
Je plaisante.
Bon, Une de Zazie (encore une fois !) je n'ai personne a qui la dédier donc Julius puisque t'es là :0)))))
Zazie
Aux armes citoyennes
Paroles et Musique: Zazie
A ceux qui pensent
Qu'Eve est seulement
Une moitié d'Adam
A ceux qui disent
Qu'elle est la mère
De tous les vices
A ceux qui se permettent
D'être le seul maître
Après Dieu
A ceux qui rient
A celles qui pleurent
A ceux qui vont
Libres comme l'air
A celles qui se terrent
A ceux qui ont
Le droit de dire
Elles, de se taire
A ceux qui prennent la vie
De celles qui donnent la vie
A ceux qui rient
De celles qui pleurent
Aux armes, citoyennes
Nos armes seront
Les larmes qui nous viennent
Des crimes sans nom
Aux hommes qui nous aiment
Ensemble, marchons
Et au Diable les autres
A celles qu'on opprime
Pour avoir commis le crime
D'aimer
A celles qu'on supprime
Pour un peu de peau
Dévoilée
A celles qu'on assassine
Pour avoir tenté de leur résister
A nous, mes frères
Qui laissons faire
Aux armes, citoyennes
Nos armes seront
Les larmes qui nous viennent
Des victimes sans nom
Aux hommes qui nous aiment
Ensemble, marchons
Et au Diable les autres
A nous, mes frères
Qui laissons faire
Aux armes, citoyennes
Aux armes, versons
Les larmes qui nous viennent
Au feu des canons
Aux hommes que reviennent
Un peu de raison
Et au Diable les autres
Aux armes, citoyennes
Nos larmes seront
Le forces qui nous tiennent
Ensemble, marchons
Puisque l'horreur est humaine
Sur elle versons
Nos larmes en pardon
Lyra, elle a qu'un CD chez elle, Zazie et elle le met en boucle, c'est toute sa famille qui doit être contente ;-) mets du Led Zep pour ton père ! juste une fois ! :-)
Merci de cette dédicace, quand je vous dis qu'il faut être là au bon moment ! en plus les paroles, tellement vraies.
Merci de cette dédicace, quand je vous dis qu'il faut être là au bon moment ! en plus les paroles, tellement vraies.
Lyra, elle a qu'un CD chez elle, Zazie et elle le met en boucle, c'est toute sa famille qui doit être contente ;-)
C'est pas vrai :0P
Enfin si presque, je n'ai pratiquement pas de CD, mais plein de fichiers de tout et n'importe quoi, il y'a trés peu d'artistes que j'apprécie dans leur "globalité".
Le plat pays de Jacques BREL
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues
Et de vagues rochers que les marées dépassent
Et qui ont à jamais le cœur à marée basse
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent de l'est écoutez-le tenir
Le plat pays qui est le mien
Avec des cathédrales pour uniques montagnes
Et de noirs clochers comme mâts de cocagne
Où des diables en pierre décrochent les nuages
Avec le fil des jours pour unique voyage
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir
Avec le vent d'ouest écoutez-le vouloir
Le plat pays qui est le mien
Avec un ciel si bas qu'un canal s'est perdu
Avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité
Avec un ciel si gris qu'un canal s'est pendu
Avec un ciel si gris qu'il faut lui pardonner
Avec le vent du nord qui vient s'écarteler
Avec le vent du nord écoutez-le craquer
Le plat pays qui est le mien
Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot
Quand les fils de novembre nous reviennent en mai
Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet
Quand le vent est au rire quand le vent est au blé
Quand le vent est au sud écoutez-le chanter
Le plat pays qui est le mien.
L'heure est aux valeurs sûres. Tellement sûre que ça dépasse la chanson.
Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues
Et de vagues rochers que les marées dépassent
Et qui ont à jamais le cœur à marée basse
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent de l'est écoutez-le tenir
Le plat pays qui est le mien
Avec des cathédrales pour uniques montagnes
Et de noirs clochers comme mâts de cocagne
Où des diables en pierre décrochent les nuages
Avec le fil des jours pour unique voyage
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir
Avec le vent d'ouest écoutez-le vouloir
Le plat pays qui est le mien
Avec un ciel si bas qu'un canal s'est perdu
Avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité
Avec un ciel si gris qu'un canal s'est pendu
Avec un ciel si gris qu'il faut lui pardonner
Avec le vent du nord qui vient s'écarteler
Avec le vent du nord écoutez-le craquer
Le plat pays qui est le mien
Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot
Quand les fils de novembre nous reviennent en mai
Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet
Quand le vent est au rire quand le vent est au blé
Quand le vent est au sud écoutez-le chanter
Le plat pays qui est le mien.
L'heure est aux valeurs sûres. Tellement sûre que ça dépasse la chanson.
dis est ce que tu m'aimes encore?
dis est ce que tu dors?
si oui est ce que tu rêves aussi, sinon ben pourquoi tu dors?
dis est ce que tu m'aimes encore?
dis est ce que tu mords?
si oui est ce que tu embrasses aussi, sinon ben pourquoi tu mords?
nous ca valait de l'or, dis est ce que c'est oui?
nous ca valait la vie, oui, non ou encore?
louise attaque, est-ce que tu m'aimes encore?
dis est ce que tu dors?
si oui est ce que tu rêves aussi, sinon ben pourquoi tu dors?
dis est ce que tu m'aimes encore?
dis est ce que tu mords?
si oui est ce que tu embrasses aussi, sinon ben pourquoi tu mords?
nous ca valait de l'or, dis est ce que c'est oui?
nous ca valait la vie, oui, non ou encore?
louise attaque, est-ce que tu m'aimes encore?
J'aime bien, c'est court, mais beau, je vais essayer de me la trouver !
Julius, Clarika, qui fait la première partie de Zazie (non, je plaisante pas) tu vois, j'écoute autre chose :0)))))
Pour Loup (:0)
Clarika
Les garçons dans les vestiaires
Paroles: Clarika. Musique: J.J.Nyssen 2001 "La fille, tu sais"
Les garçons ont dit-on
De drôles de manières
Dans les vestiaires
Ils boivent l'alcool au goulot
Poussent des cris d'animaux
S'arrosent de parfum bon marché
Ouvrent leurs bières avec les pieds
Ah, les garçons dans les vestiaires ah
Ah, les garçons dans les vestiaires
Les garçons ont dit-on
Des mœurs singulières
Dans les vestiaires
Ils porteraient sur les hanches
Des serviettes qui quand ils penchent
Laissent entrevoir dans les vapeurs
L'objet du délit prometteur
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, si j'étais un garçon
Je saurais ce qu'ils font
Dans les vestiaires ah
Ah, si j'étais Paul ou Léon
Ou même un porte-savon
Un courant d'air
Les garçons ont dit-on
L'humeur parfois légère
Dans les vestiaires
Ils planqueraient sous leurs Adidas
Des revues pleines de créatures
Posant nues sur des pics à glace
S'adonnant à la luxure
Ah, les garçons dans les vestiaires ah
Ah, les garçons dans les vestiaires
Les garçons, ils se font
Des plaisirs solitaires
Dans les vestiaires
Ils ferment les yeux sous la douche
Et rêvent que des filles alanguies
S'en viennent en bande et à pleine bouche
Dévorer leur anatomie
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, si j'étais un garçon, je saurais ce qu'ils font
Dans les vestiaires
Ah, si j'étais Pierre ou Simon
Ou même un porte-savon
Un courant d'air, ah
Ou un short en coton
Une paire de crampons, une genouillère
Ah, si j'étais un garçon, je saurais ce qu'ils font
Dans les vestiaires.
Pour Loup (:0)
Clarika
Les garçons dans les vestiaires
Paroles: Clarika. Musique: J.J.Nyssen 2001 "La fille, tu sais"
Les garçons ont dit-on
De drôles de manières
Dans les vestiaires
Ils boivent l'alcool au goulot
Poussent des cris d'animaux
S'arrosent de parfum bon marché
Ouvrent leurs bières avec les pieds
Ah, les garçons dans les vestiaires ah
Ah, les garçons dans les vestiaires
Les garçons ont dit-on
Des mœurs singulières
Dans les vestiaires
Ils porteraient sur les hanches
Des serviettes qui quand ils penchent
Laissent entrevoir dans les vapeurs
L'objet du délit prometteur
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, si j'étais un garçon
Je saurais ce qu'ils font
Dans les vestiaires ah
Ah, si j'étais Paul ou Léon
Ou même un porte-savon
Un courant d'air
Les garçons ont dit-on
L'humeur parfois légère
Dans les vestiaires
Ils planqueraient sous leurs Adidas
Des revues pleines de créatures
Posant nues sur des pics à glace
S'adonnant à la luxure
Ah, les garçons dans les vestiaires ah
Ah, les garçons dans les vestiaires
Les garçons, ils se font
Des plaisirs solitaires
Dans les vestiaires
Ils ferment les yeux sous la douche
Et rêvent que des filles alanguies
S'en viennent en bande et à pleine bouche
Dévorer leur anatomie
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, les garçons dans les vestiaires, ah
Ah, si j'étais un garçon, je saurais ce qu'ils font
Dans les vestiaires
Ah, si j'étais Pierre ou Simon
Ou même un porte-savon
Un courant d'air, ah
Ou un short en coton
Une paire de crampons, une genouillère
Ah, si j'étais un garçon, je saurais ce qu'ils font
Dans les vestiaires.
Alain Souchon - Sous les jupes des filles
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles.
Elles, très fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard méprisant et laissant le vent tout faire,
Elles, dans l'suave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur terre,
C'est leurs robes légères.
On en fait beaucoup,
Se pencher, tordre son cou
Pour voir l'infortune,
À quoi nos vies se résument,
Pour voir tout l'orgueil,
Toutes les guerres avec les deuils,
La mort, la beauté,
Les chansons d'été,
Les rêves.
Si parfois, ça les gène et qu'elles veulent pas
Qu'on regarde leurs guiboles, les garçons s'affolent de ça.
Alors faut qu'ça tombe :
Les hommes ou bien les palombes,
Les bleres, les khmers rouges,
Le moindre chevreuil qui bouge.
Fanfare bleu blanc rage,
Verres de rouge et vert de rage,
L'honneur des milices,
Tu seras un homme, mon fils.
Elles, pas fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard implorant, et ne comprenant pas tout,
Elles, dans l'grave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur cette terre,
C'est leurs robes légères.
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
La, la, la, la, la...
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles.
Elles, très fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard méprisant et laissant le vent tout faire,
Elles, dans l'suave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur terre,
C'est leurs robes légères.
On en fait beaucoup,
Se pencher, tordre son cou
Pour voir l'infortune,
À quoi nos vies se résument,
Pour voir tout l'orgueil,
Toutes les guerres avec les deuils,
La mort, la beauté,
Les chansons d'été,
Les rêves.
Si parfois, ça les gène et qu'elles veulent pas
Qu'on regarde leurs guiboles, les garçons s'affolent de ça.
Alors faut qu'ça tombe :
Les hommes ou bien les palombes,
Les bleres, les khmers rouges,
Le moindre chevreuil qui bouge.
Fanfare bleu blanc rage,
Verres de rouge et vert de rage,
L'honneur des milices,
Tu seras un homme, mon fils.
Elles, pas fières,
Sur leurs escabeaux en l'air,
Regard implorant, et ne comprenant pas tout,
Elles, dans l'grave,
La faiblesse des hommes, elles savent
Que la seule chose qui tourne sur cette terre,
C'est leurs robes légères.
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles,
La, la, la, la, la...
Lily de Pierre Perret
(Spéciale dédicace au petit Nicolas, celui de l'intérieur :-)
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris
Elle croyait qu'on était égaux Lily
Au pays de Voltaire et d'Hugo Lily
Mais pour Debussy en revanche
Il faut deux noires pour une blanche
Ça fait un sacré distinguo
Elle aimait tant la liberté Lily
Elle rêvait de fraternité Lily
Un hôtelier rue Secrétan
Lui a précisé en arrivant
Qu'on ne recevait que des Blancs
Elle a déchargé des cageots Lily
Elle s'est tapé les sales boulots Lily
Elle crie pour vendre des choux-fleurs
Dans la rue ses frères de couleur
L'accompagnent au marteau-piqueur
Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily
Elle se laissait plus prendre au piège Lily
Elle trouvait ça très amusant
Même s'il fallait serrer les dents
Ils auraient été trop contents
Elle aima un beau blond frisé Lily
Qui était tout prêt à l'épouser Lily
Mais la belle-famille lui dit nous
Ne sommes pas racistes pour deux sous
Mais on veut pas de ça chez nous
Elle a essayé l'Amérique Lily
Ce grand pays démocratique Lily
Elle aurait pas cru sans le voir
Que la couleur du désespoir
Là-bas aussi ce fût le noir
Mais dans un meeting à Memphis Lily
Elle a vu Angela Davis Lily
Qui lui dit viens ma petite sœur
En s'unissant on a moins peur
Des loups qui guettent le trappeur
Et c'est pour conjurer sa peur Lily
Qu'elle lève aussi un poing rageur Lily
Au milieu de tous ces gugus
Qui foutent le feu aux autobus
Interdits aux gens de couleur
Mais dans ton combat quotidien Lily
Tu connaîtras un type bien Lily
Et l'enfant qui naîtra un jour
Aura la couleur de l'amour
Contre laquelle on ne peut rien
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris.
(Spéciale dédicace au petit Nicolas, celui de l'intérieur :-)
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris
Elle croyait qu'on était égaux Lily
Au pays de Voltaire et d'Hugo Lily
Mais pour Debussy en revanche
Il faut deux noires pour une blanche
Ça fait un sacré distinguo
Elle aimait tant la liberté Lily
Elle rêvait de fraternité Lily
Un hôtelier rue Secrétan
Lui a précisé en arrivant
Qu'on ne recevait que des Blancs
Elle a déchargé des cageots Lily
Elle s'est tapé les sales boulots Lily
Elle crie pour vendre des choux-fleurs
Dans la rue ses frères de couleur
L'accompagnent au marteau-piqueur
Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily
Elle se laissait plus prendre au piège Lily
Elle trouvait ça très amusant
Même s'il fallait serrer les dents
Ils auraient été trop contents
Elle aima un beau blond frisé Lily
Qui était tout prêt à l'épouser Lily
Mais la belle-famille lui dit nous
Ne sommes pas racistes pour deux sous
Mais on veut pas de ça chez nous
Elle a essayé l'Amérique Lily
Ce grand pays démocratique Lily
Elle aurait pas cru sans le voir
Que la couleur du désespoir
Là-bas aussi ce fût le noir
Mais dans un meeting à Memphis Lily
Elle a vu Angela Davis Lily
Qui lui dit viens ma petite sœur
En s'unissant on a moins peur
Des loups qui guettent le trappeur
Et c'est pour conjurer sa peur Lily
Qu'elle lève aussi un poing rageur Lily
Au milieu de tous ces gugus
Qui foutent le feu aux autobus
Interdits aux gens de couleur
Mais dans ton combat quotidien Lily
Tu connaîtras un type bien Lily
Et l'enfant qui naîtra un jour
Aura la couleur de l'amour
Contre laquelle on ne peut rien
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris.
tu le sais bien que je t'attend
tu me manques si souvent
meme si c'est tres enrichissant
je me sens bien seul à present
chiche que tu ne reviens jamais
j'mise pas un clou sur le passé
meme si c'est moi qui suis pas bien
j'attendrai pas la saint glin glin
toutes les choses dont je rêvais
ne me sont jamais arrivées
me restent mes yeux pour pleurer
ma guitare pour les oublier
oui mais lorsque je la saisis
me reviennent les mélodies
celles que nous chantions sur ton lit
a poil au milieu de la nuit
je ne voyais pas la vie comme ca
moi je la voyais avec toi
il a fallu que l'on se noye
sous des tonnes de n'importe quoi.....
Mickey 3D. La saint glin glin
tu me manques si souvent
meme si c'est tres enrichissant
je me sens bien seul à present
chiche que tu ne reviens jamais
j'mise pas un clou sur le passé
meme si c'est moi qui suis pas bien
j'attendrai pas la saint glin glin
toutes les choses dont je rêvais
ne me sont jamais arrivées
me restent mes yeux pour pleurer
ma guitare pour les oublier
oui mais lorsque je la saisis
me reviennent les mélodies
celles que nous chantions sur ton lit
a poil au milieu de la nuit
je ne voyais pas la vie comme ca
moi je la voyais avec toi
il a fallu que l'on se noye
sous des tonnes de n'importe quoi.....
Mickey 3D. La saint glin glin
Litanies pour l'an 2000
Paroles et musique.
Gilles Servat. (1974)
Cela ne nous rajeunit pas !
En ce temps il était possible
D'aller dans la rue sans son flingue
Car il n'y avait que les dingues
Qui prenaient les passants pour cible
C'était encore peu répandu
Quand on descendait à sa cave
De trouver vingt surhommes très braves
En train d'violer une inconnue
On pouvait circuler en ville
Sans peur, sans fouille systématique
Sans recevoir des coups de trique
De la part d'un vigile viril
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
Le couvre-feu n'existait pas
Les lumières brillaient dans la nuit
On sortait bien après minuit
Car l'énergie nous manquait pas
Y avait encore des rossignols
Qui chantaient par les nuits d'été
J'avais pas d'masque sur le nez
L'oiseau tombait pas en plein vol
Il existait des grands chemins
Que les bandits fréquentaient guère
Aujourd'hui on croirait la guerre
Les embuscades au petit matin
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
On avait encore une adresse
Pas de loisirs obligatoires
Pas de télé obligatoire
Et pas de matricule aux fesses
On pouvait prendre pour confesseur
Sa femme, son enfant, sa sœur
Sans être sûr d'ouvrir son cœur
Au ministère de l'Intérieur
Et même se regarder en face
Sans s'demander si c'est un flic
Si c'est soi-même ou un indic
Dont on voit les yeux dans la glace
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
Il restait les derniers pavés
Il n'y avait que les maisons
Les trains, les cars et les avions
Qui avaient l'air conditionné
On avait encore le droit d'grêve
Et le cerveau en liberté
Machin avait pas inventé
La machine à lire les rêves
Avant qu'le siècle ne s'achève
Nous avons vaincu le cancer
Mais on ne meurt pas moins qu'hier
Les suicides ont pris la relève
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
Paroles et musique.
Gilles Servat. (1974)
Cela ne nous rajeunit pas !
En ce temps il était possible
D'aller dans la rue sans son flingue
Car il n'y avait que les dingues
Qui prenaient les passants pour cible
C'était encore peu répandu
Quand on descendait à sa cave
De trouver vingt surhommes très braves
En train d'violer une inconnue
On pouvait circuler en ville
Sans peur, sans fouille systématique
Sans recevoir des coups de trique
De la part d'un vigile viril
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
Le couvre-feu n'existait pas
Les lumières brillaient dans la nuit
On sortait bien après minuit
Car l'énergie nous manquait pas
Y avait encore des rossignols
Qui chantaient par les nuits d'été
J'avais pas d'masque sur le nez
L'oiseau tombait pas en plein vol
Il existait des grands chemins
Que les bandits fréquentaient guère
Aujourd'hui on croirait la guerre
Les embuscades au petit matin
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
On avait encore une adresse
Pas de loisirs obligatoires
Pas de télé obligatoire
Et pas de matricule aux fesses
On pouvait prendre pour confesseur
Sa femme, son enfant, sa sœur
Sans être sûr d'ouvrir son cœur
Au ministère de l'Intérieur
Et même se regarder en face
Sans s'demander si c'est un flic
Si c'est soi-même ou un indic
Dont on voit les yeux dans la glace
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
Il restait les derniers pavés
Il n'y avait que les maisons
Les trains, les cars et les avions
Qui avaient l'air conditionné
On avait encore le droit d'grêve
Et le cerveau en liberté
Machin avait pas inventé
La machine à lire les rêves
Avant qu'le siècle ne s'achève
Nous avons vaincu le cancer
Mais on ne meurt pas moins qu'hier
Les suicides ont pris la relève
Je garde en moi le souvenir
En ce moi de mai 2010
De ces années soixante-dix
Où l'on sentait tout ça venir
Ca fout le frisson Eireann32 !
Ce n'est pas de la musique d'ascenseur, tu ne l'entendras pas quand tu acheteras ton big mac, ni même quand tu patienteras pour obtenir un service hotline. Encore moins quand tu acheteras ton dentifrice ... alors que conclure ? en attendant hommage à Assassin et respect à tous ceux qui en chient, qui ont eu moins de chance et qui s'en sont sorti.
Et n'oublions pas que cette musique va là où les livres ne sont pas ! ;-)
L'Odyssée suit son cours
Une nouvelle étape dans l' évolution de l'analyse des paramètres.
Qui lache l'affaire ? Qui part ? Qui reste ?
Certains on plusieurs vestes,
D'autres sont contagieux comme la peste ,
Et tous veulent du changement, mais quel changement ?
Changer de gouvernement, changer de rapport avec les gens.
Changer les enfants, changer en plus conscient,
Changer le monde, changer le présent ?
Ça c'est sur, le futur en dépend.
Mais quelles solutions pour lutter contre la décomposition sociale
Qui s'installe et pénètre,
Chacun d'entre nous qui ne connecte pas son intellect ?
Je parle clairement pour que tout le monde me comprenne.
Autant mes ennemis, que mes amis que j'aime.
Sommes nous nés sur cette planète pour reproduire inlassablement,
Les rapports humains guidés par l'incrédulité des gouvernements ?
Des fois, cut ta télé, change ton quotidien,
Rentre dans un musée, ou lis un bouquin.
L'odyssée de la vie n'est pas un film au cinéma.
Si tu ne t'éduques pas, tu restera en bas !
Je ne veux pas de leader, mais un monde qui m'inspire.
Je ne veux pas de pays, mais un enfant qui sache sourire.
Pour ça, Assassin combat jour après jour.
Hoo, et l'odyssée suit son cours !
{au Refrain}
Quand on tue une opinion, normal qu'on s'expose à des risques.
Exemple l'URSS, ou pire le Sud des Ameriques.
Plus de choix, que choisir entre la peste et le choléra ?
Voilà quand on ne baisse pas son froc devant les USA !
Toute thèse révolutionnaire sillonante est bannie.
C'est comme au poker, on t'arnaque puis te déshabille.
De haut en bas, en Occident ou pas gars
Les peuples insoumis sont aujourd'hui ceux qui bouffent du rat.
S'installer en Afrique, en Asie est non négligeable.
Pour un occidental, là bas, la vie est plus que rentable.
On triche, on tue, plus que jamais corrompu,
Pas de risque pour un voleur sous l'étiquette de l'ONU.
L'occident approuve, la Somalie le prouve.
Qui sème la merde, la récolte puis la trouve.
Unissons-nous pour préserver ce qui reste de l'amour,
Pour que l'odyssée suive son cours !
{au Refrain}
L'odyssée suit son cours, et rien ne l'arrête.
Mais à quel prix le vent se fraie un passage quand il y a une tempête.
Les courants artistiques sont le baromètre de la situation politique d'un pays.
On shoote les chanteurs de raï en Algérie.
On emprisonne les poètes en Colombie.
On exécute les leaders noirs au Etats-Unis.
Et on me parle du respect des Droits de l'Homme dans mon pays.
Non, non, non, le fleuve coule mais l'eau n'est plus potable.
Tu peux t'abreuver à sa source mais pas au pichet sur ta table.
A qui donner sa confiance ?
Dans l'œil réside la méfiance.
L'alliance des poètes n'existe que dans les rêves de l'enfance.
La réalité rappelle les réactions radicales d'un réalisme renfermant
Dans ses récifs, la rivalité résultant des relations auquelles l'Homme a recours,
Pour que l'odyssée suive son cours !
Et n'oublions pas que cette musique va là où les livres ne sont pas ! ;-)
L'Odyssée suit son cours
Une nouvelle étape dans l' évolution de l'analyse des paramètres.
Qui lache l'affaire ? Qui part ? Qui reste ?
Certains on plusieurs vestes,
D'autres sont contagieux comme la peste ,
Et tous veulent du changement, mais quel changement ?
Changer de gouvernement, changer de rapport avec les gens.
Changer les enfants, changer en plus conscient,
Changer le monde, changer le présent ?
Ça c'est sur, le futur en dépend.
Mais quelles solutions pour lutter contre la décomposition sociale
Qui s'installe et pénètre,
Chacun d'entre nous qui ne connecte pas son intellect ?
Je parle clairement pour que tout le monde me comprenne.
Autant mes ennemis, que mes amis que j'aime.
Sommes nous nés sur cette planète pour reproduire inlassablement,
Les rapports humains guidés par l'incrédulité des gouvernements ?
Des fois, cut ta télé, change ton quotidien,
Rentre dans un musée, ou lis un bouquin.
L'odyssée de la vie n'est pas un film au cinéma.
Si tu ne t'éduques pas, tu restera en bas !
Je ne veux pas de leader, mais un monde qui m'inspire.
Je ne veux pas de pays, mais un enfant qui sache sourire.
Pour ça, Assassin combat jour après jour.
Hoo, et l'odyssée suit son cours !
{au Refrain}
Quand on tue une opinion, normal qu'on s'expose à des risques.
Exemple l'URSS, ou pire le Sud des Ameriques.
Plus de choix, que choisir entre la peste et le choléra ?
Voilà quand on ne baisse pas son froc devant les USA !
Toute thèse révolutionnaire sillonante est bannie.
C'est comme au poker, on t'arnaque puis te déshabille.
De haut en bas, en Occident ou pas gars
Les peuples insoumis sont aujourd'hui ceux qui bouffent du rat.
S'installer en Afrique, en Asie est non négligeable.
Pour un occidental, là bas, la vie est plus que rentable.
On triche, on tue, plus que jamais corrompu,
Pas de risque pour un voleur sous l'étiquette de l'ONU.
L'occident approuve, la Somalie le prouve.
Qui sème la merde, la récolte puis la trouve.
Unissons-nous pour préserver ce qui reste de l'amour,
Pour que l'odyssée suive son cours !
{au Refrain}
L'odyssée suit son cours, et rien ne l'arrête.
Mais à quel prix le vent se fraie un passage quand il y a une tempête.
Les courants artistiques sont le baromètre de la situation politique d'un pays.
On shoote les chanteurs de raï en Algérie.
On emprisonne les poètes en Colombie.
On exécute les leaders noirs au Etats-Unis.
Et on me parle du respect des Droits de l'Homme dans mon pays.
Non, non, non, le fleuve coule mais l'eau n'est plus potable.
Tu peux t'abreuver à sa source mais pas au pichet sur ta table.
A qui donner sa confiance ?
Dans l'œil réside la méfiance.
L'alliance des poètes n'existe que dans les rêves de l'enfance.
La réalité rappelle les réactions radicales d'un réalisme renfermant
Dans ses récifs, la rivalité résultant des relations auquelles l'Homme a recours,
Pour que l'odyssée suive son cours !
Mustang de Jean louis MURAT
Des quasars des prairies
Un vent solaire sur les hanches
Puisatier galaxies
Quinze milliards dans le ventre
Un renard dans la nuit
M31 dans le noir
Par nature sans Dieu
Engagé dans l'entonnoir
En état de fringale
Haut les cœurs
V'là la vie
Un fermoir un rubis
En zone franche à plat ventre
Je cherchais une vie
Du jus de pêche sur les jambes
Au Mustang interdit
Entre Vénus et Circé
L'air se fige au début
Mais la descente amorcée
Au Mustang interdit
Haut les cœurs
V'là la vie
Dans le Grand Véhicule
Buriné par les chevaux
En lotus sous la lune
Revêtu du grand manteau
Un Bouddha en boxeur
J'avançais seul sous la pluie
Hé matez sur le coeur
La renoncule dorée
La tendresse le physique
Haut les cœurs
V'là la vie
Résédas mes amis
Sur papyrus chantés
Empoignez mon désir
Pour Anubis travaillez
Prenez pouls sur ma cuisse
Amie de proximité
Du classique au quantique
Voudriez-vous me jeter
Le fructose le glucose
Haut les cœurs
V'là la vie
Au hasard d'une envie
Pour ma dauphine sans danger
Au Mézenc interdit
Sous la glycine enflammée
Après la rêverie
D'un embouteillage au Cannet
De bourdon
De chevrons
D'écobuage
De fumées
Au Mustang interdit
Haut les cœurs
Je revis.
Et comprenne qui pourra ! Un petit Murat pour la route ne fait pas de mal.
Des quasars des prairies
Un vent solaire sur les hanches
Puisatier galaxies
Quinze milliards dans le ventre
Un renard dans la nuit
M31 dans le noir
Par nature sans Dieu
Engagé dans l'entonnoir
En état de fringale
Haut les cœurs
V'là la vie
Un fermoir un rubis
En zone franche à plat ventre
Je cherchais une vie
Du jus de pêche sur les jambes
Au Mustang interdit
Entre Vénus et Circé
L'air se fige au début
Mais la descente amorcée
Au Mustang interdit
Haut les cœurs
V'là la vie
Dans le Grand Véhicule
Buriné par les chevaux
En lotus sous la lune
Revêtu du grand manteau
Un Bouddha en boxeur
J'avançais seul sous la pluie
Hé matez sur le coeur
La renoncule dorée
La tendresse le physique
Haut les cœurs
V'là la vie
Résédas mes amis
Sur papyrus chantés
Empoignez mon désir
Pour Anubis travaillez
Prenez pouls sur ma cuisse
Amie de proximité
Du classique au quantique
Voudriez-vous me jeter
Le fructose le glucose
Haut les cœurs
V'là la vie
Au hasard d'une envie
Pour ma dauphine sans danger
Au Mézenc interdit
Sous la glycine enflammée
Après la rêverie
D'un embouteillage au Cannet
De bourdon
De chevrons
D'écobuage
De fumées
Au Mustang interdit
Haut les cœurs
Je revis.
Et comprenne qui pourra ! Un petit Murat pour la route ne fait pas de mal.
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux !
Un jour, deux jours, huit jours...
Laissez-le-moi
Encore un peu
A moi...
Le temps de s'adorer,
De se le dire,
Le temps de se fabriquer
Des souvenirs.
Mon Dieu ! Oh oui...mon Dieu !
Laissez-le-moi
Remplir un peu
Ma vie...
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux.
Six mois, trois mois, deux mois...
Laissez-le-moi
Pour seulement
Un mois...
Le temps de commencer
Ou de finir,
Le temps d'illuminer
Ou de souffrir,
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Un peu...
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Encore...
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux !
Un jour, deux jours, huit jours...
Laissez-le-moi
Encore un peu
A moi...
Le temps de s'adorer,
De se le dire,
Le temps de se fabriquer
Des souvenirs.
Mon Dieu ! Oh oui...mon Dieu !
Laissez-le-moi
Remplir un peu
Ma vie...
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Laissez-le-moi
Encore un peu,
Mon amoureux.
Six mois, trois mois, deux mois...
Laissez-le-moi
Pour seulement
Un mois...
Le temps de commencer
Ou de finir,
Le temps d'illuminer
Ou de souffrir,
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu !
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Un peu...
Même si j'ai tort,
Laissez-le-moi
Encore...
Yes Rachel and who is it ?
Yes Rachel and who is it ?
okok un oubli de ma part, mais tout de meme !! quoi!! allez!!
EDITH PIAF :-)
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre