Jeanne Moreau
J'ai la mémoire qui flanche
Paroles: G.Bassiak. Musique: G.Bassiak, F.Rauser 1963
© 1963 Editions Tutti
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comm' il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la vein' bleutée du poignet
Un long baiser sans fin.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom
Et quel était son nom
Il s'appelait Je l'appelais
Comment l'appelait-ton ?
Pourtant c'est fou ce que j'aimais
L'appeler par son nom.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
De quell' couleur étaient ses yeux ?
J'crois pas qu'ils étaient bleus.
Etaient-ils verts, étaient-ils gris ?
Etaient-ils vert de gris ?
Ou changeaient-ils tout l'temps d'couleur
Pour un non pour un oui ?
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu'il me pendant que je
Pendant qu'on f'sait la fête
Tous ces saxos, ces clarinettes
Qui me tournaient la têt'.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s'est lassé
De l'autre le premier ?
Etait-ce moi ? Etait-ce lui ?
Etait-ce donc moi ou lui ?
Tout c'que je sais c'est que depuis
Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Voilà qu'après tout's ces nuits blanch's
Il me reste plus rien
Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait
Chaqu'jour en se rasant
Pa pou di dou da di dou di
Pa pou di dou da di dou
J'ai la mémoire qui flanche
Paroles: G.Bassiak. Musique: G.Bassiak, F.Rauser 1963
© 1963 Editions Tutti
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Comm' il était très musicien
Il jouait beaucoup des mains
Tout entre nous a commencé
Par un très long baiser
Sur la vein' bleutée du poignet
Un long baiser sans fin.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Quel pouvait être son prénom
Et quel était son nom
Il s'appelait Je l'appelais
Comment l'appelait-ton ?
Pourtant c'est fou ce que j'aimais
L'appeler par son nom.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
De quell' couleur étaient ses yeux ?
J'crois pas qu'ils étaient bleus.
Etaient-ils verts, étaient-ils gris ?
Etaient-ils vert de gris ?
Ou changeaient-ils tout l'temps d'couleur
Pour un non pour un oui ?
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens
Pendant qu'il me pendant que je
Pendant qu'on f'sait la fête
Tous ces saxos, ces clarinettes
Qui me tournaient la têt'.
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s'est lassé
De l'autre le premier ?
Etait-ce moi ? Etait-ce lui ?
Etait-ce donc moi ou lui ?
Tout c'que je sais c'est que depuis
Je n'sais plus qui je suis
J'ai la mémoir' qui flanche
J'me souviens plus très bien
Voilà qu'après tout's ces nuits blanch's
Il me reste plus rien
Rien qu'un p'tit air qu'il sifflotait
Chaqu'jour en se rasant
Pa pou di dou da di dou di
Pa pou di dou da di dou
Voilà une chanson entraînante, joyeuse et la morale qui me paraît belle.
Véronique Sanson
Chanson sur une drôle de vie
Paroles et Musique: Véronique Sanson 1972 "De l'autre côté de mon rêve"
© 1972 - Disque Elektra
Tu m'as dit que j'étais faite pour une drôle de vie
J'ai des idées dans la tête et je fais c'que j'ai envie
Je t'emmène faire le tour de ma drôle de vie
Je te verrais tous les jours dis, j'te pose des questions
Qu'est-ce que tu diras et si je te réponds
Qu'est-ce que tu diras si on parle d'amour
Qu'est-ce que tu diras ?
Si je sais que tu mènes la vie que tu aimes
Au fond de moi me donne tous tes emblèmes
Me touche quand même du bout de tes doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t'aime ça t'aidera
Laisse les autres te faire des drôles de poèmes
Et viens avec moi
On est partis tous les deux pour une drôle de vie
On est toujours amoureux et on fait ce qu'on a envie
Tu as sûrement fait le tour de ma drôle de vie
Je te demanderai toujours si je te pose des questions
Qu'est-ce que tu diras et si je te réponds
Qu'est-ce que tu diras si on parle d'amour
Qu'est-ce que tu diras ?
Si je sais que tu mènes la vie que tu aimes
Au fond de moi me donne tous tes emblèmes
Me touche quand même du bout de tes doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t'aime ça t'aidera
Laisse les autres te faire des drôles de poèmes
Et viens avec moi
Et si je sais que tu mènes la vie que tu aimes
Au fond de moi....
Véronique Sanson
Chanson sur une drôle de vie
Paroles et Musique: Véronique Sanson 1972 "De l'autre côté de mon rêve"
© 1972 - Disque Elektra
Tu m'as dit que j'étais faite pour une drôle de vie
J'ai des idées dans la tête et je fais c'que j'ai envie
Je t'emmène faire le tour de ma drôle de vie
Je te verrais tous les jours dis, j'te pose des questions
Qu'est-ce que tu diras et si je te réponds
Qu'est-ce que tu diras si on parle d'amour
Qu'est-ce que tu diras ?
Si je sais que tu mènes la vie que tu aimes
Au fond de moi me donne tous tes emblèmes
Me touche quand même du bout de tes doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t'aime ça t'aidera
Laisse les autres te faire des drôles de poèmes
Et viens avec moi
On est partis tous les deux pour une drôle de vie
On est toujours amoureux et on fait ce qu'on a envie
Tu as sûrement fait le tour de ma drôle de vie
Je te demanderai toujours si je te pose des questions
Qu'est-ce que tu diras et si je te réponds
Qu'est-ce que tu diras si on parle d'amour
Qu'est-ce que tu diras ?
Si je sais que tu mènes la vie que tu aimes
Au fond de moi me donne tous tes emblèmes
Me touche quand même du bout de tes doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t'aime ça t'aidera
Laisse les autres te faire des drôles de poèmes
Et viens avec moi
Et si je sais que tu mènes la vie que tu aimes
Au fond de moi....
Quand je fais l’amour
Je pense à ma grand-mère qui faisait chambre à part
Quand je fais l’amour
Je prie un peu pour qu’elle vienne me chercher
Quand je fais l’amour
Je me dis qu’il s’arrêtera peut-être un jour de picoler
Quand je fais l’amour,
Je pense aux blessures qui ne guérirons pas.
sur le modèle Miossec.
excuse moi j'ai ejacule dans tes cheveux a un moment inadequat
je ne croyais pas que ca partirait
mais quand tu fais des trucs comme ca
je ne peux pas m'en empecher
pourtant j'essayais de penser a autre chose
a une chaise qui attend
dans la salle d'attente du docteur
je pense a elle la nuit
qd il n'y a personne dessus
il faut penser que c'est l'hiver et qu'il fait froid
parfois je pense a ma grd mere
qui est tt la haut ds le ciel
et qui m offrait des gateaux
tous les dimanches apres midi avec une drole d'odeur
parfois je pense a la declaration du president de la republique tous les 14 juillet en direct de l'Elysee
parfois je repense a cet homme qui me reclamait de l'argent en republique dominicaine
et moi qui faisais semblant de ne rien voir et qui dansais en maillot de bain dans la rue parce que j'etais bourré
parfois je pense a l'accident sur la RN 137
j'etais temoin de l'accident
j'entendais des cris inhumains
je voyais le sang sur la route je ne savais pas quoi faire
je pense a la chaise
je pense a ma grd mere
je pense au president
je pense a cet homme
je pense a l'accident
parfois je pense a tous les gens qui sont au bloc d'operation exactement au meme moment ou je vais ejaculer trop precipitamment
mais ca n'est pas suffisant de penser a ca quand tu fais des trucs comme ca
mais ce n'est pas suffisant de penser a ca quand tu fais des trucs comme ca
alors excuse moi
alors excuse moi
alors excuse moi
alors excuse moi
Katerine. excuse moi
“A l’envers, à l’endroit” de Noir Désir
dans “Des visages, des figures”
On n'est pas encore revenu du pays des mystères
IL y a qu'on est entré là sans avoir vu de la lumière
Il y a l'eau, le feu, le computer, Vivendi et la terre
On doit pouvoir s'épanouir à tout envoyer enfin en l'air
On peut toujours saluer les petits rois de pacotille
On peut toujours espérer entrer un jour dans la famille
Sûr que tu pourras devenir un crack boursier a toi tout seul
On pourrait même envisager que tout nous explose à la gueule
Autour des oliviers palpitent les origines
Infiniment se voi rrouter dans la farine
A l'envers, à l'endroit, à l'envers, à l'endroit
A l'endroit, à l'envers, à l'envers, à l'endroit
Y'a t'il un incendie prévu ce soir dans l'hémicycle
On dirait qu'il est temps pour nous d'envisager un autre cycle
On peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas
On peut toujours rêver de s'en aller mais sans bouger de là
Il paraît que la blanche colombe a trois cents tonnes de plombs dans l'aile
Il paraît qu'il faut s'habituer à des printemps sans hirondelles
La belle au bois dormant a rompu les négociations
Unilatéralement le prince entame des protestations
Doit-on se courber encore et toujours pour un ligne droite ?
Prière pour trouver les grands espaces entre les parois d'une boîte
Serait-ce un estuaire ou le bout du chemin au loin qu'on entrevoit
Spéciale dédicace à la flaque où on nage, où on se noie
Autour des amandiers fleurissent les mondes en sourdine
No pasaran sous les fourches caudines
A l'envers, à l'endroit, à l'envers, à l'endroit
A l'endroit, à l'envers, à l'envers, à l'endroit.
Je me souviens avoir été moyennement séduit à l’époque de sa sortie. Est-ce que le CD se bonifie particulièrement avec le temps ou le Tistou qui, lui, se bonifie (enfin, change !) ? Toujours est-il que ça fait mieux que tenir la route.
dans “Des visages, des figures”
On n'est pas encore revenu du pays des mystères
IL y a qu'on est entré là sans avoir vu de la lumière
Il y a l'eau, le feu, le computer, Vivendi et la terre
On doit pouvoir s'épanouir à tout envoyer enfin en l'air
On peut toujours saluer les petits rois de pacotille
On peut toujours espérer entrer un jour dans la famille
Sûr que tu pourras devenir un crack boursier a toi tout seul
On pourrait même envisager que tout nous explose à la gueule
Autour des oliviers palpitent les origines
Infiniment se voi rrouter dans la farine
A l'envers, à l'endroit, à l'envers, à l'endroit
A l'endroit, à l'envers, à l'envers, à l'endroit
Y'a t'il un incendie prévu ce soir dans l'hémicycle
On dirait qu'il est temps pour nous d'envisager un autre cycle
On peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas
On peut toujours rêver de s'en aller mais sans bouger de là
Il paraît que la blanche colombe a trois cents tonnes de plombs dans l'aile
Il paraît qu'il faut s'habituer à des printemps sans hirondelles
La belle au bois dormant a rompu les négociations
Unilatéralement le prince entame des protestations
Doit-on se courber encore et toujours pour un ligne droite ?
Prière pour trouver les grands espaces entre les parois d'une boîte
Serait-ce un estuaire ou le bout du chemin au loin qu'on entrevoit
Spéciale dédicace à la flaque où on nage, où on se noie
Autour des amandiers fleurissent les mondes en sourdine
No pasaran sous les fourches caudines
A l'envers, à l'endroit, à l'envers, à l'endroit
A l'endroit, à l'envers, à l'envers, à l'endroit.
Je me souviens avoir été moyennement séduit à l’époque de sa sortie. Est-ce que le CD se bonifie particulièrement avec le temps ou le Tistou qui, lui, se bonifie (enfin, change !) ? Toujours est-il que ça fait mieux que tenir la route.
Voici une chanson homonyme de Karen Chéryl, dans un autre genre...
Année : 1987
Auteur(s) : Françoise Castellani - Jean-Claude Chachaty
Label : Polydor
Référence : 887 099-7
Paroles :
Sur ta peau
À l'encre de Chine
De l'index je
Te dessine
Un poisson-chat dans son bocal
Et mon nom en six lettres capitales
Toutes les fois
Où tu pars sans moi
Comme ça, de sang-froid
Froid sans toi
Moi dans mon émoi
Seule, abandonnée
Faut pas me laisser
Refrain:
À l'envers, à l'endroit
Envers et contre toi
Quand j'suis seule avec moi
Tu me parles de toi
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
N'importe où
Où que tu sois, jaloux
N'importe où
Quand la nuit s'endort
Je te rêve encore
Dans tes yeux
Noirs ébène, je
Fonds comme un glaçon dans l'eau
C'en est trop
Sans issue
L'amour absolu
Envers et tout contre toi
T'es à moi
Toutes les fois
Où tu pars sans moi
Comme ça de sang froid
Froid sans toi
Moi dans mon émoi
Seule, abandonnée
Faut pas me laisser
Refrain
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
N'importe où
Où que tu sois, jaloux
N'importe où
Quand la nuit s'endort
Je te rêve encore
Quand la nuit s'endort
Je te rêve encore
À l'envers, à l'endroit
Envers et contre toi
Quand j'suis seule avec toi
Tu me parles de toi
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
À l'envers, à l'endroit
Envers et contre toi
Quand j'suis seule avec toi
Tu me parles de toi
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
Année : 1987
Auteur(s) : Françoise Castellani - Jean-Claude Chachaty
Label : Polydor
Référence : 887 099-7
Paroles :
Sur ta peau
À l'encre de Chine
De l'index je
Te dessine
Un poisson-chat dans son bocal
Et mon nom en six lettres capitales
Toutes les fois
Où tu pars sans moi
Comme ça, de sang-froid
Froid sans toi
Moi dans mon émoi
Seule, abandonnée
Faut pas me laisser
Refrain:
À l'envers, à l'endroit
Envers et contre toi
Quand j'suis seule avec moi
Tu me parles de toi
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
N'importe où
Où que tu sois, jaloux
N'importe où
Quand la nuit s'endort
Je te rêve encore
Dans tes yeux
Noirs ébène, je
Fonds comme un glaçon dans l'eau
C'en est trop
Sans issue
L'amour absolu
Envers et tout contre toi
T'es à moi
Toutes les fois
Où tu pars sans moi
Comme ça de sang froid
Froid sans toi
Moi dans mon émoi
Seule, abandonnée
Faut pas me laisser
Refrain
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
N'importe où
Où que tu sois, jaloux
N'importe où
Quand la nuit s'endort
Je te rêve encore
Quand la nuit s'endort
Je te rêve encore
À l'envers, à l'endroit
Envers et contre toi
Quand j'suis seule avec toi
Tu me parles de toi
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
À l'envers, à l'endroit
Envers et contre toi
Quand j'suis seule avec toi
Tu me parles de toi
À l'envers, à l'endroit
Tout de moi, tout à toi
Je dois rêver si fort
Que je te rêve encore
Une petite crise de nostalgie ce soir avec Indochine...
Justine
Justine s'initie au secret
Une fleur dans la bouche
Elle entrevoit sa destinée
Justine qui se couche
Elle s'ennuie à trembler les sourds
Et compte les abattus du jour tout bas
Justine touche l'émoi
Justine obéit
Aurait elle trahi ou subi
Justine saignera
Une lueur rouge caresse son corps
Ce n'est rien juste qu'une petite mort
Et c'est ici que tout finira
Au paradis elle aura tout ce qu'elle voudra
Par ici plus personne ne sait couvrir ses plaies
Elle sacrifie toutes ses envies à l'infini
Elle dort comme un château hanté
Justine qui se doute qu'un prince viendra la réveiller
Justine qui attend
Elle deviendra ce qu'elle voudra
Une fée, un ange, n'importe quoi et c'est ici que tout finira
Au paradis, elle aura ce qu'elle voudra
Par ici plus personne ne sait couvrir ses plaies
Elle sacrifie toutes ses envies à l'infini
Et c'est ici que tout finira
Au paradis, elle aura ce qu'elle voudra
Elle deviendra ce qu'elle voudra
Là-bas une fée, un ange, n'importe quoi ce qu'elle voudra...
Justine
Justine s'initie au secret
Une fleur dans la bouche
Elle entrevoit sa destinée
Justine qui se couche
Elle s'ennuie à trembler les sourds
Et compte les abattus du jour tout bas
Justine touche l'émoi
Justine obéit
Aurait elle trahi ou subi
Justine saignera
Une lueur rouge caresse son corps
Ce n'est rien juste qu'une petite mort
Et c'est ici que tout finira
Au paradis elle aura tout ce qu'elle voudra
Par ici plus personne ne sait couvrir ses plaies
Elle sacrifie toutes ses envies à l'infini
Elle dort comme un château hanté
Justine qui se doute qu'un prince viendra la réveiller
Justine qui attend
Elle deviendra ce qu'elle voudra
Une fée, un ange, n'importe quoi et c'est ici que tout finira
Au paradis, elle aura ce qu'elle voudra
Par ici plus personne ne sait couvrir ses plaies
Elle sacrifie toutes ses envies à l'infini
Et c'est ici que tout finira
Au paradis, elle aura ce qu'elle voudra
Elle deviendra ce qu'elle voudra
Là-bas une fée, un ange, n'importe quoi ce qu'elle voudra...
Continuons dans la nostalgie alors, meme si ça rend triste parfois, avec Noir Désir, le tube d`un été, le vent nous portera.
Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien
Le vent l'emportera
Ton message à la grande ourse
Et la trajectoire de la course
A l'instantané de velours
Même s'il ne sert à rien
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant lui
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destin
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien
Le vent l'emportera
Ton message à la grande ourse
Et la trajectoire de la course
A l'instantané de velours
Même s'il ne sert à rien
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant lui
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destin
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
Rachel still alive ?
Il n’y a pas d’amour heureux mis en musique et chanté par Georges Brassens
Texte d’Aragon.
Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de ce lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous deux
Sniff, il est mort ! Reviens Georges, on t’aime !
Texte d’Aragon.
Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux
Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de ce lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux
Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri
Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l'amour de la patrie
Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs
Il n'y a pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous deux
Sniff, il est mort ! Reviens Georges, on t’aime !
Rachel still alive ?
of course ! (mais mon anglais s'arretera la hein ;)
texte de Boris Vian, mis en musique par Aldebert
Un beau matin de juillet, le réveil
A sonne dès le lever du soleil
Et j'ai dit à ma poupée: faut te s'couer
C'est aujourd'hui qu'il passe
On arrive sur le boulevard sans retard
Pour voir défiler le roi d'Zanzibar
Mais sur-le-champ on est r'foulés par les agents
Alors j'ai dit
On n'est pas là pour se faire engueuler
On est là pour voir le défilé
On n'est pas là pour se faire piétiner
On est là pour voir le défilé
Si tout le monde était resté chez soi
Ça f'rait du tort à la République
Laissez-nous donc qu'on le regarde
Sinon plus tard quand la reine reviendra
Ma parole, nous on r'viendra pas
L'jour de la fête à Julot, mon poteau
Je l'ai invité dans un p'tit bistro
Où l'on sert un beaujolais vrai de vrai
Un nectar de première
On est sorti très à l'aise et voilà
Que j'ai eu l'idée de l' ram'ner chez moi
Mais j'ai compris devant l' rouleau à pâtisserie
Alors j'ai dit
On n'est pas là pour se faire engueuler
On est venu pour faire une 'tite belote
On n'est pas là pour se faire assommer
On est là pour la fête à mon pote
Si tout le monde restait toujours tout seul
Ça serait d'une tristesse pas croyable
Ouvre ta porte et sors des verres
Ne t'obstine pas ou sans ça l' prochain coup
Ma parole, j' rentre plus du tout
Ma femme a cogné si dur cett' fois-là
Qu'on a trépassé l' soir même et voilà
Qu'on se r'trouve au paradis vers minuit
Devant Monsieur Saint Pierre
Il y avait quelques élus qui rentraient
Mais sitôt que l'on s'approche du guichet
On est r'foulés et Saint Pierre se met à râler
Alors j'ai dit
On n'est pas là pour se faire engueuler
On est v'nus essayer l'auréole
On n'est pas là pour se faire renvoyer
On est morts, il est temps qu'on rigole
Si vous jetez les ivrognes à la porte
Il doit pas vous rester beaucoup d' monde
Portez-vous bien, mais nous on s' barre
Et puis on est descendus chez Satan
Et là-bas c'était épatant!...
C'qui prouve qu'en protestant quand il est encore temps
On peut finir par obtenir des ménagements!...
Un beau matin de juillet, le réveil
A sonne dès le lever du soleil
Et j'ai dit à ma poupée: faut te s'couer
C'est aujourd'hui qu'il passe
On arrive sur le boulevard sans retard
Pour voir défiler le roi d'Zanzibar
Mais sur-le-champ on est r'foulés par les agents
Alors j'ai dit
On n'est pas là pour se faire engueuler
On est là pour voir le défilé
On n'est pas là pour se faire piétiner
On est là pour voir le défilé
Si tout le monde était resté chez soi
Ça f'rait du tort à la République
Laissez-nous donc qu'on le regarde
Sinon plus tard quand la reine reviendra
Ma parole, nous on r'viendra pas
L'jour de la fête à Julot, mon poteau
Je l'ai invité dans un p'tit bistro
Où l'on sert un beaujolais vrai de vrai
Un nectar de première
On est sorti très à l'aise et voilà
Que j'ai eu l'idée de l' ram'ner chez moi
Mais j'ai compris devant l' rouleau à pâtisserie
Alors j'ai dit
On n'est pas là pour se faire engueuler
On est venu pour faire une 'tite belote
On n'est pas là pour se faire assommer
On est là pour la fête à mon pote
Si tout le monde restait toujours tout seul
Ça serait d'une tristesse pas croyable
Ouvre ta porte et sors des verres
Ne t'obstine pas ou sans ça l' prochain coup
Ma parole, j' rentre plus du tout
Ma femme a cogné si dur cett' fois-là
Qu'on a trépassé l' soir même et voilà
Qu'on se r'trouve au paradis vers minuit
Devant Monsieur Saint Pierre
Il y avait quelques élus qui rentraient
Mais sitôt que l'on s'approche du guichet
On est r'foulés et Saint Pierre se met à râler
Alors j'ai dit
On n'est pas là pour se faire engueuler
On est v'nus essayer l'auréole
On n'est pas là pour se faire renvoyer
On est morts, il est temps qu'on rigole
Si vous jetez les ivrognes à la porte
Il doit pas vous rester beaucoup d' monde
Portez-vous bien, mais nous on s' barre
Et puis on est descendus chez Satan
Et là-bas c'était épatant!...
C'qui prouve qu'en protestant quand il est encore temps
On peut finir par obtenir des ménagements!...
Jalouse de Emily Loizeau
Dans “L’autre bout du monde”
J'ai pleuré pendant des heures
Sur ta boite de petits beurres
Celle qui contenait les lettres
Les photos de New Hampshire
Ton voyage en amoureux
Avec Adèle de Bayeux
Je trouve son nom ridicule
On dirait une marque de pull
Elle voudrait me rencontrer
Nous avoir pour déjeuner
Son mec aussi est gêné
Tu dis ça pour me rassurer
Oh oui je suis jalouse
Oui c'est ça tout simplement jalouse
Je suis jalouse
Je mange toute seule au chinois
C'est pratique c'est juste en bas
J't'ai laissé y aller tout seul
Et finalement j'assume pas
Il est bientôt 13h30
Tu t'empiffres comme un chancre
Elle te tenait par le ventre
Moi je rumine et ça fermente
La bile et le glutamax
Se chamaillent dans ma rate
Je me dis ça à chaque fois
Je ne mangerais plus chinois
Oh oui je suis jalouse
Oui c'est ça tout simplement jalouse
Je suis jalouse
Ton Adèle t'a dit ce soir
Qu'elle voudrait bien te revoir
Te parler de temps en temps
Sourions, serrons les dents
C'est vrai c'est assez normal
J'n'y vois pas d'inconvenient
Je n'vais pas faire un scandale
Pour vous deux c'est important
mais c'est l'art de ma jalousie
De ne pas savoir te dire
Oui ca me fait un peu bizare
Que vous vouliez vous revoir
Et oui je suis jalouse
Oui c'est ca tout simplement jalouse
Oh oui je suis jalouse
Oui c'est ca tout simplement jalouse
Je suis jalouse
Eh oui ! Jalouse ! Mignonne petite chanson qui sort du "Je t'aime, moi non plus". Emily Loizeau pratique beaucoup par petits sketches.
Dans “L’autre bout du monde”
J'ai pleuré pendant des heures
Sur ta boite de petits beurres
Celle qui contenait les lettres
Les photos de New Hampshire
Ton voyage en amoureux
Avec Adèle de Bayeux
Je trouve son nom ridicule
On dirait une marque de pull
Elle voudrait me rencontrer
Nous avoir pour déjeuner
Son mec aussi est gêné
Tu dis ça pour me rassurer
Oh oui je suis jalouse
Oui c'est ça tout simplement jalouse
Je suis jalouse
Je mange toute seule au chinois
C'est pratique c'est juste en bas
J't'ai laissé y aller tout seul
Et finalement j'assume pas
Il est bientôt 13h30
Tu t'empiffres comme un chancre
Elle te tenait par le ventre
Moi je rumine et ça fermente
La bile et le glutamax
Se chamaillent dans ma rate
Je me dis ça à chaque fois
Je ne mangerais plus chinois
Oh oui je suis jalouse
Oui c'est ça tout simplement jalouse
Je suis jalouse
Ton Adèle t'a dit ce soir
Qu'elle voudrait bien te revoir
Te parler de temps en temps
Sourions, serrons les dents
C'est vrai c'est assez normal
J'n'y vois pas d'inconvenient
Je n'vais pas faire un scandale
Pour vous deux c'est important
mais c'est l'art de ma jalousie
De ne pas savoir te dire
Oui ca me fait un peu bizare
Que vous vouliez vous revoir
Et oui je suis jalouse
Oui c'est ca tout simplement jalouse
Oh oui je suis jalouse
Oui c'est ca tout simplement jalouse
Je suis jalouse
Eh oui ! Jalouse ! Mignonne petite chanson qui sort du "Je t'aime, moi non plus". Emily Loizeau pratique beaucoup par petits sketches.
Je n'arrête pas de fredonner ça depuis quelque temps... :-))
J'espère que cela vous amusera
C'est Hugues Aufray
{Refrain:}
Dieu que c'est dur d'être modeste
Quand on a toutes les qualités
La tête, les jambes et le reste
Qu'on en peut plus de s'regarder
Pour l'amour, pour la gloire et le geste
Quand le miroir devient trop p'tit
Dieu que c'est d'être modeste
A moi et à moi pour la vie
J'avais une jolie p'tite lady
Elle a pas tenu le coup
Oui, devant ce milliard de groupies
Qui s'autographiait à mes genoux
J'aurais pu en choisir une plus belle
Mais à quoi ça m'aurait servi
Oui je peux bien l'avouer mesdemoiselles
Avec moi j'suis en bonne compagnie
{au Refrain}
On dit tiens v'là l'solitaire
Le cowboy de marm'lade coquette
Ah si j'étais à refaire
Je m'referais des pieds à la tête
On m'traite aussi de mégalo
Je n'sais même pas c'que ça veut dire
C'est p't'être parce que j'suis bien dans mon peau
Ou parce que j'porte bien le jeans
{au Refrain}
Dieu que c'est dur d'être modeste
Mais j'fais c'que j'peux mes bons amis
J'espère que cela vous amusera
C'est Hugues Aufray
{Refrain:}
Dieu que c'est dur d'être modeste
Quand on a toutes les qualités
La tête, les jambes et le reste
Qu'on en peut plus de s'regarder
Pour l'amour, pour la gloire et le geste
Quand le miroir devient trop p'tit
Dieu que c'est d'être modeste
A moi et à moi pour la vie
J'avais une jolie p'tite lady
Elle a pas tenu le coup
Oui, devant ce milliard de groupies
Qui s'autographiait à mes genoux
J'aurais pu en choisir une plus belle
Mais à quoi ça m'aurait servi
Oui je peux bien l'avouer mesdemoiselles
Avec moi j'suis en bonne compagnie
{au Refrain}
On dit tiens v'là l'solitaire
Le cowboy de marm'lade coquette
Ah si j'étais à refaire
Je m'referais des pieds à la tête
On m'traite aussi de mégalo
Je n'sais même pas c'que ça veut dire
C'est p't'être parce que j'suis bien dans mon peau
Ou parce que j'porte bien le jeans
{au Refrain}
Dieu que c'est dur d'être modeste
Mais j'fais c'que j'peux mes bons amis
sinclair.morphologique
les âmes se croisent et se ressemblent parfois
souvent le hasard fait qu'on ne se voit qu'une fois
on se voit bien trop souvent pour que ce soit accidentel
lequel de nous deux a fait jaillir l'etincelle?
j'ai deposé les armes
je t'ai ouvert le bouclier
c'est plus fort que ça
j'attends que tu mettes le feu en moi
c'est morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
je t'attends encore et encore comme à chaque fois
chaque nuit, quand toute la ville dort
j'attends que tu reviennes mettre le feu à mon corps
c'est morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
tout me semble mort quand tu te fonds dans le noir
plus un courant d'air mais qq cris dans la mémoire
le moindre mouvement d'arrière en avant me met à l'envers
je perds l'equilibre si tu t'éloignes de moi
oh !accroche toi un peu à moi
c'est morphologique, biologique, emotionnel, sensationnel, acrobatique, ecologique,providentiel, exceptionnel
morphologique, biologique, emotionnel, sensationnel, acrobatique, ecologique,providentiel, exceptionnel
les âmes se croisent et se ressemblent parfois
souvent le hasard fait qu'on ne se voit qu'une fois
on se voit bien trop souvent pour que ce soit accidentel
lequel de nous deux a fait jaillir l'etincelle?
j'ai deposé les armes
je t'ai ouvert le bouclier
c'est plus fort que ça
j'attends que tu mettes le feu en moi
c'est morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
je t'attends encore et encore comme à chaque fois
chaque nuit, quand toute la ville dort
j'attends que tu reviennes mettre le feu à mon corps
c'est morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
morphologique, biologique,
emotionnel, sensationnel,
acrobatique, ecologique,
providentiel, exceptionnel
tout me semble mort quand tu te fonds dans le noir
plus un courant d'air mais qq cris dans la mémoire
le moindre mouvement d'arrière en avant me met à l'envers
je perds l'equilibre si tu t'éloignes de moi
oh !accroche toi un peu à moi
c'est morphologique, biologique, emotionnel, sensationnel, acrobatique, ecologique,providentiel, exceptionnel
morphologique, biologique, emotionnel, sensationnel, acrobatique, ecologique,providentiel, exceptionnel
Dans le cadre de l'exo "Nous ne sommes pas des délinquants" et plus particulièrement du texte de Mae
Hyacinthe, de Thomas Fersen sur "Le Pavillon des fous"
Il a un prénom de fleur et des cheveux qui s'en vont
Et ses grosses mains d'étrangleur sentent le savon
Hyacinthe, Hyacinthe
J'lui confierais pas ma soeur, j'refuserais son parapluie
Et j'prendrais pas l'ascenseur tout seul avec lui
Hyacinthe, Hyacinthe
Même s'il sent la camomille, même s'il propose des cachous
Même si j'me sens en famille en présence d'un fou
Hyacinthe
Il a un rire de fillette quand un oiseau du Seigneur
Dans ses grosses mains d'étrangleur, vient manger des miettes
Hyacinthe
C'est peut-être moi qui déraille mais si j'étais une caille
J'aimerais mieux mourir de faim que de manger dans la main
De Hyacinthe, Hyacinthe
Ses formidables boudins
En ont fait jaunir plus un
Lorsqu'avec un air benoît
Il brise une noix
Moi-même je change de couleur
J'me sens devenir liquide
J'me sens tomber dans le vide
Quand Hyacinthe l'étrangleur
Croise mon chemin
Cheveux rares, barbe noire, je rajoute un entonnoir
Dans un coin de mon cahier, je fais le portrait
De Hyacinthe
Malgré mon trèfle à quatre feuilles, ma médaille de communion
J'vais plus aux WC tout seul sans appréhension
Hyacinthe, Hyacinthe
Si vous rencontrez Hyacinthe
Alors que le jour s'enfuit
Alors que la cloche tinte
Alors qu'il s'ennuie
Sans un cri, sans une plainte
Sans un bruit, sans une quinte
Vous partirez faire fortune
Dans la région de la lune
Car lorsqu'il pète un fusible, il n'a plus de sentiment
Mais il a les pieds sensibles, et dans son logement
Hyacinthe
Trempe ses pieds dans une bassine et rompt avec le passé
Sa conscience assassine de fleurs est tapissée
Hyacinthe, Hyacinthe.
Ca me fait penser aux fous de Comès dans "l'arbre coeur"
Hyacinthe, de Thomas Fersen sur "Le Pavillon des fous"
Il a un prénom de fleur et des cheveux qui s'en vont
Et ses grosses mains d'étrangleur sentent le savon
Hyacinthe, Hyacinthe
J'lui confierais pas ma soeur, j'refuserais son parapluie
Et j'prendrais pas l'ascenseur tout seul avec lui
Hyacinthe, Hyacinthe
Même s'il sent la camomille, même s'il propose des cachous
Même si j'me sens en famille en présence d'un fou
Hyacinthe
Il a un rire de fillette quand un oiseau du Seigneur
Dans ses grosses mains d'étrangleur, vient manger des miettes
Hyacinthe
C'est peut-être moi qui déraille mais si j'étais une caille
J'aimerais mieux mourir de faim que de manger dans la main
De Hyacinthe, Hyacinthe
Ses formidables boudins
En ont fait jaunir plus un
Lorsqu'avec un air benoît
Il brise une noix
Moi-même je change de couleur
J'me sens devenir liquide
J'me sens tomber dans le vide
Quand Hyacinthe l'étrangleur
Croise mon chemin
Cheveux rares, barbe noire, je rajoute un entonnoir
Dans un coin de mon cahier, je fais le portrait
De Hyacinthe
Malgré mon trèfle à quatre feuilles, ma médaille de communion
J'vais plus aux WC tout seul sans appréhension
Hyacinthe, Hyacinthe
Si vous rencontrez Hyacinthe
Alors que le jour s'enfuit
Alors que la cloche tinte
Alors qu'il s'ennuie
Sans un cri, sans une plainte
Sans un bruit, sans une quinte
Vous partirez faire fortune
Dans la région de la lune
Car lorsqu'il pète un fusible, il n'a plus de sentiment
Mais il a les pieds sensibles, et dans son logement
Hyacinthe
Trempe ses pieds dans une bassine et rompt avec le passé
Sa conscience assassine de fleurs est tapissée
Hyacinthe, Hyacinthe.
Ca me fait penser aux fous de Comès dans "l'arbre coeur"
Benabar. La pierrade
Arrête de bouder, dis qqchose
arrête de pas me parler, je m'excuse
sors de cette cuisine il est tard
j'aime pas quand tu rumines dans le noir
tu vas pas faire toute une histoire à cause d'une pierrade
j'vais pas dormir dans la baignoire pour quelques grillades
je me suis un peu moqué, je le regrette
mais la viande etait cramée..ouvre la fenêtre
combien de temps encore tu vas me faire la tête?
ça m'exaspère quand tu m'ignores alors arrête !
je préférerais que tu cries, que tu fracasses la vaiselle,
que tu m'menaces de rupture, que tu me jetes à la figure
toutes les perfidies, les insultes les plus cruelles
et qu'dans un murmure t'insinues des trucs hyper durs
une pierrade à quoi ça sert franchement?
qui a besoin d'un morceau de pierre brûlant?
dire que c'est un cadeau, ah putain j'y crois pas!
faut avoir un mauvais fond pour offrir ça!
moi j'aurais préféré un mini four à pizzas
ou une machine à pop corn , enfin un truc utile dans ce genre-là
allez viens te coucher : demain il fera jour
et la fumée se sera dissipée si elle s'dissipe un jour
de toute façon faut qu'on brûle nos fringues,
qu'on change la moquette,
faut qu'on rase le chat,
qu'on degraisse la couette
quant à l'odeur, y'a rien à faire,
elle sera encore là dans 100 000 ans
le dernier homme sur terre se dira
"mais putain qu'est ce que je sens?"
sors de cette cuisine il est tard
j'aime pas quand tu rumines dans le noir
je ne veux pas que tu fasses comme si je n'étais pas là
c'est tellement efficace que moi des fois j'y crois
Arrête de bouder, dis qqchose
arrête de pas me parler, je m'excuse
sors de cette cuisine il est tard
j'aime pas quand tu rumines dans le noir
tu vas pas faire toute une histoire à cause d'une pierrade
j'vais pas dormir dans la baignoire pour quelques grillades
je me suis un peu moqué, je le regrette
mais la viande etait cramée..ouvre la fenêtre
combien de temps encore tu vas me faire la tête?
ça m'exaspère quand tu m'ignores alors arrête !
je préférerais que tu cries, que tu fracasses la vaiselle,
que tu m'menaces de rupture, que tu me jetes à la figure
toutes les perfidies, les insultes les plus cruelles
et qu'dans un murmure t'insinues des trucs hyper durs
une pierrade à quoi ça sert franchement?
qui a besoin d'un morceau de pierre brûlant?
dire que c'est un cadeau, ah putain j'y crois pas!
faut avoir un mauvais fond pour offrir ça!
moi j'aurais préféré un mini four à pizzas
ou une machine à pop corn , enfin un truc utile dans ce genre-là
allez viens te coucher : demain il fera jour
et la fumée se sera dissipée si elle s'dissipe un jour
de toute façon faut qu'on brûle nos fringues,
qu'on change la moquette,
faut qu'on rase le chat,
qu'on degraisse la couette
quant à l'odeur, y'a rien à faire,
elle sera encore là dans 100 000 ans
le dernier homme sur terre se dira
"mais putain qu'est ce que je sens?"
sors de cette cuisine il est tard
j'aime pas quand tu rumines dans le noir
je ne veux pas que tu fasses comme si je n'étais pas là
c'est tellement efficace que moi des fois j'y crois
Prisonnier de l’inutile de Gérard Manset
Dans “Prisonnier de l’inutile”
Nous avons marché le long des sentiers.
Parmi nous, certains sont tombés
Et tous les autres que deviennent-ils ?
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Derrière nous, campagnes et villages
Ensevelis sous le lierre sauvage
Ou seul un chien peut-être vit tranquille.
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Nous sommes prisonniers des liens qui nous attachent
Et nous souffrons. Dans notre cœur, comme une tache,
Quelque chose qui grandit et qui se cache.
Nous sommes prisonniers des liens qui nous attachent.
Quelques croix sont plantées sur le chemin
Que les bourreaux nous montrent de la main,
Disant : "De l'autre monde, que reste-il ?"
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Au-delà de nous, dans le ciel de plomb,
Y a-t-il un Dieu, quelqu'un nous l'appelons ?
Nous oublier, comment le peut-il ?
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Ca date de 1985. Ou plutôt ça ne date pas !
Dans “Prisonnier de l’inutile”
Nous avons marché le long des sentiers.
Parmi nous, certains sont tombés
Et tous les autres que deviennent-ils ?
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Derrière nous, campagnes et villages
Ensevelis sous le lierre sauvage
Ou seul un chien peut-être vit tranquille.
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Nous sommes prisonniers des liens qui nous attachent
Et nous souffrons. Dans notre cœur, comme une tache,
Quelque chose qui grandit et qui se cache.
Nous sommes prisonniers des liens qui nous attachent.
Quelques croix sont plantées sur le chemin
Que les bourreaux nous montrent de la main,
Disant : "De l'autre monde, que reste-il ?"
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Au-delà de nous, dans le ciel de plomb,
Y a-t-il un Dieu, quelqu'un nous l'appelons ?
Nous oublier, comment le peut-il ?
Nous sommes prisonniers de l'inutile.
Ca date de 1985. Ou plutôt ça ne date pas !
E. Loizeau
Jasseron
C'est le premier anniversaire de notre rencontre
J t'ai fait un cadeau, non c'est pas une montre
Tu t' rappelles le village dans les Alpes cet été
Cette église incroyable, la vue sur la vallée
Ça fait un an aujourd'hui que nous nous connaissons
Je t'ai fait un cadeau, non c'est pas des bonbons
ça s' décore, ça s' visite, j'ai pensé aux enfants
Quand même pas pas un chalet, tu devines pas mon ange
Une concession, une jolie concession .... hum, hum, hum
Dans le petit cimetière de Jasseron
C'est pas la plage de Sète
C'est pas non plus la Crête
C'est pas le Parthénon
Un genre de panthéon
C'est pas Ure , ni Ephèse
J' serais une belle mère-Lachaise
C'est pas le Taj-Mahal
Putain, c'est pas banal
Une concession, une jolie concession .... hum, hum, hum
Dans le petit cimetière de Jasseron
Tu refuses l'amour éternel à nos p'tits corps
Mon amour, l'amour éternel, c'est avant la mort
J'aurais imaginé un cadeau moins macabre
Qu'une dalle en béton
On peut prendre un beau marbre
Faire un jardin d'hiver
Pourquoi pas un palais
Je t'aime et je vais en faire une pour de bon:
Une concession, une jolie concession .... Hum, hum, hum
Le premier attend l'autre à Jasseron
Une concession, une jolie concession .... Hum, hum, hum
Le premier attend l'autre à Jasseron.
Jasseron
C'est le premier anniversaire de notre rencontre
J t'ai fait un cadeau, non c'est pas une montre
Tu t' rappelles le village dans les Alpes cet été
Cette église incroyable, la vue sur la vallée
Ça fait un an aujourd'hui que nous nous connaissons
Je t'ai fait un cadeau, non c'est pas des bonbons
ça s' décore, ça s' visite, j'ai pensé aux enfants
Quand même pas pas un chalet, tu devines pas mon ange
Une concession, une jolie concession .... hum, hum, hum
Dans le petit cimetière de Jasseron
C'est pas la plage de Sète
C'est pas non plus la Crête
C'est pas le Parthénon
Un genre de panthéon
C'est pas Ure , ni Ephèse
J' serais une belle mère-Lachaise
C'est pas le Taj-Mahal
Putain, c'est pas banal
Une concession, une jolie concession .... hum, hum, hum
Dans le petit cimetière de Jasseron
Tu refuses l'amour éternel à nos p'tits corps
Mon amour, l'amour éternel, c'est avant la mort
J'aurais imaginé un cadeau moins macabre
Qu'une dalle en béton
On peut prendre un beau marbre
Faire un jardin d'hiver
Pourquoi pas un palais
Je t'aime et je vais en faire une pour de bon:
Une concession, une jolie concession .... Hum, hum, hum
Le premier attend l'autre à Jasseron
Une concession, une jolie concession .... Hum, hum, hum
Le premier attend l'autre à Jasseron.
Emily Loizeau est passée à Echirolles il y a 2 mois environ, Rachel. L'as-tu vue ? C'est là que j'ai découvert la dame. Réjouissante !
Emily Loizeau est passée à Echirolles il y a 2 mois environ, Rachel. L'as-tu vue ? C'est là que j'ai découvert la dame. Réjouissante !
pour être tout à fait franche, j'ai découvert Loizeau (oh le jeu de mots!) en lisant ton post sur sa chanson "je suis jalouse" et ai décidé de creuser un peu...et merci! j'aime beaucoup...Du coup, tu l'auras compris je ne l'ai pas vue en concert...dommage!
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