Mano Solo "Des pays" :
Il y a sûrement des pays qui valent le coup
Il y a sûrement des routes qui mènent un peu partout
Il y a sûrement des enfants rebondissant sur le ventre des éléphants
Il y a sûrement des moutons que lèon compte à reculons
Des océans pour serrer la pince aux crabes géants
Il y a sûrement des pandas pour ne dépendre de rien
Et des pourquoi pas qui durent jusqu'à demain
Il y a sûrement des serpents charmeurs à qui faire confiance
Militants pour l'abolition de la souffrance
Et des lions qui ronronnent en canon
Il y a sûrement du vent qui te rentre entre les dents
Petit à petit mon appétit grandit de découvrir la vie
Il y a sûrement des yeux noirs au blanc d'ivoire
Qui te racontent mille histoires
Et des pays sans violence où vivre une éternelle enfance
Des pays où le grand air fait vibrer la moindre prière
Des précipices où ne pas faire attention
Des centaines de pistes qui ne mènent pas au béton
Des moussons déversant de douces illusions
Des inondations pour noyer les têtes de cons
Il y a sûrement des lumières pour ne pas prendre ombrage
Devant la lune si fière de montrer ses avantages
Des chiens qui gaiement t'ouvrent ton chemin
Et des malandrins qui jamais ne te volent jamais rien
Petit à petit mon appétit grandit de découvrir la vie
Et un petit lien sur you tube pour l'écouter:
http://fr.youtube.com/watch?v=QmycrVlhbRU
C'est le morceau que j'écoute pour me mettre en forme et de bonne humeur!!!!
Il y a sûrement des pays qui valent le coup
Il y a sûrement des routes qui mènent un peu partout
Il y a sûrement des enfants rebondissant sur le ventre des éléphants
Il y a sûrement des moutons que lèon compte à reculons
Des océans pour serrer la pince aux crabes géants
Il y a sûrement des pandas pour ne dépendre de rien
Et des pourquoi pas qui durent jusqu'à demain
Il y a sûrement des serpents charmeurs à qui faire confiance
Militants pour l'abolition de la souffrance
Et des lions qui ronronnent en canon
Il y a sûrement du vent qui te rentre entre les dents
Petit à petit mon appétit grandit de découvrir la vie
Il y a sûrement des yeux noirs au blanc d'ivoire
Qui te racontent mille histoires
Et des pays sans violence où vivre une éternelle enfance
Des pays où le grand air fait vibrer la moindre prière
Des précipices où ne pas faire attention
Des centaines de pistes qui ne mènent pas au béton
Des moussons déversant de douces illusions
Des inondations pour noyer les têtes de cons
Il y a sûrement des lumières pour ne pas prendre ombrage
Devant la lune si fière de montrer ses avantages
Des chiens qui gaiement t'ouvrent ton chemin
Et des malandrins qui jamais ne te volent jamais rien
Petit à petit mon appétit grandit de découvrir la vie
Et un petit lien sur you tube pour l'écouter:
http://fr.youtube.com/watch?v=QmycrVlhbRU
C'est le morceau que j'écoute pour me mettre en forme et de bonne humeur!!!!
Baby Carni bird de Jean-louis Murat
dans "Le moujik et sa femme"
Hé frère, regarde c'te nouvelle
C'est-y pas un truc énorme ?
Si tu veux bien vivre dans une poubelle
Y te refont une bite en or
Ouais une bite en or
Ok ben je te laisse travailler ton drive
Putain une bite en or
Je te prends le Ronnie Bird
Et le Sonny and Cher
Ouh, de l'or
Moi j'aime chanter toutes les nuits
En vrai baby carni bird
Monocorde dans ma nuit d'hiver
Un vrai baby carni bird
Wootchie !
Vas-y play ta part tes
Pièges à corneilles
M'a gueulé un type du fond
J'ai dit : "Qu'est-ce t'as toi ?
C'est quoi ta corneille ?"
Et puis y m'dit : "C'est quoi ton fond ?
Y m'dit, y m'dit : "C'est quoi ce fond ?"
Mais v'là qu'un autre mariole
Me dit : "Hé mon gars
Tu t'remember Trafalgar ?"
J'ai dit : "Ben non, tu tombes mal mon gars
Moi je m'remember pas Trafalgar
Moi pas de Trafalgar"
Wootchie !
Je triais des brèves dans un
Dancing hall
Ils jouèrent un truc très swing
Je lui dis : "Vous dansez ?
Vous dansez mam'zelle ?"
Elle me dit : "Dites donc
Vous ne seriez pas un d'ces bbcb, vous ?
Un d'ces baby carni bird ?"
Mélanie souffrait
Elle m'a dit : "Je t'aime
Mais comment peux-tu te mentir ?"
J'ai dit : "C'est marrant, je
Pensais de même mais
Comment peut-on se mentir
Ouh ! Comment peut-on se mentir ?"
Wootchie !
Ok je file à Vienne
Je lui dis : "Oh c'est quoi
Qu'est-ce qui cloche
Dans ma tisane ?"
Y m'dit : "Tiens-toi bien
Aux dernières nouvelles
C'est l'autre qui ne t'aime pas
Oui c'est l'autre qui ne t'aime pas"
J'ai dit : "Quoi, un mec qu'a
Perdu ses cheums qu'a
La berline toute inondée
Qui de sa berline voit le feu
Dans sa chambre ?"
Y m'dit : "Ben ouais, t'as pu qu'à te marrer.
Ben ouais t'as pu qu'à te marrer
Wootchie !
Triste je suis parti dans le Montana
Voir le Billy tête de mort
J'lui dis : "Hé mon Bill qu'est-ce
Tu penses de ça ?" Y m'dit : "Ecoute
On dirait un sport
Ecoute on dirait un sport"
Là j'croise Sitting Bull
Je lui dis : "Hé, m'sieur Bill
On n'a plus de papillons !"
Y m'dit : "Ca tombe bien
Nous on n'a plus de mules
Mais dis donc, toi t'es con t'es con
Alors toi t'es vraiment con"
Wootchie !
Moi j'aime chanter toutes les nuits
En vrai baby carni bird
Monocorde dans ma nuit d'hiver
Un vrai baby carni bird
Wootchie !
Etrange, non ? Dans certains cas (ici par exemple), je me demande qui serait capable de chanter ce que chante Murat ?
dans "Le moujik et sa femme"
Hé frère, regarde c'te nouvelle
C'est-y pas un truc énorme ?
Si tu veux bien vivre dans une poubelle
Y te refont une bite en or
Ouais une bite en or
Ok ben je te laisse travailler ton drive
Putain une bite en or
Je te prends le Ronnie Bird
Et le Sonny and Cher
Ouh, de l'or
Moi j'aime chanter toutes les nuits
En vrai baby carni bird
Monocorde dans ma nuit d'hiver
Un vrai baby carni bird
Wootchie !
Vas-y play ta part tes
Pièges à corneilles
M'a gueulé un type du fond
J'ai dit : "Qu'est-ce t'as toi ?
C'est quoi ta corneille ?"
Et puis y m'dit : "C'est quoi ton fond ?
Y m'dit, y m'dit : "C'est quoi ce fond ?"
Mais v'là qu'un autre mariole
Me dit : "Hé mon gars
Tu t'remember Trafalgar ?"
J'ai dit : "Ben non, tu tombes mal mon gars
Moi je m'remember pas Trafalgar
Moi pas de Trafalgar"
Wootchie !
Je triais des brèves dans un
Dancing hall
Ils jouèrent un truc très swing
Je lui dis : "Vous dansez ?
Vous dansez mam'zelle ?"
Elle me dit : "Dites donc
Vous ne seriez pas un d'ces bbcb, vous ?
Un d'ces baby carni bird ?"
Mélanie souffrait
Elle m'a dit : "Je t'aime
Mais comment peux-tu te mentir ?"
J'ai dit : "C'est marrant, je
Pensais de même mais
Comment peut-on se mentir
Ouh ! Comment peut-on se mentir ?"
Wootchie !
Ok je file à Vienne
Je lui dis : "Oh c'est quoi
Qu'est-ce qui cloche
Dans ma tisane ?"
Y m'dit : "Tiens-toi bien
Aux dernières nouvelles
C'est l'autre qui ne t'aime pas
Oui c'est l'autre qui ne t'aime pas"
J'ai dit : "Quoi, un mec qu'a
Perdu ses cheums qu'a
La berline toute inondée
Qui de sa berline voit le feu
Dans sa chambre ?"
Y m'dit : "Ben ouais, t'as pu qu'à te marrer.
Ben ouais t'as pu qu'à te marrer
Wootchie !
Triste je suis parti dans le Montana
Voir le Billy tête de mort
J'lui dis : "Hé mon Bill qu'est-ce
Tu penses de ça ?" Y m'dit : "Ecoute
On dirait un sport
Ecoute on dirait un sport"
Là j'croise Sitting Bull
Je lui dis : "Hé, m'sieur Bill
On n'a plus de papillons !"
Y m'dit : "Ca tombe bien
Nous on n'a plus de mules
Mais dis donc, toi t'es con t'es con
Alors toi t'es vraiment con"
Wootchie !
Moi j'aime chanter toutes les nuits
En vrai baby carni bird
Monocorde dans ma nuit d'hiver
Un vrai baby carni bird
Wootchie !
Etrange, non ? Dans certains cas (ici par exemple), je me demande qui serait capable de chanter ce que chante Murat ?
L'amour et l'air, de Miossec
dans L'étreinte
L’amour c’est plus lourd que l’air
Pas forcément nécessaire
Et parfois même ça rend idiot
L’amour c’est rudimentaire
Que les choses soient bien claires
On peut même y laisser sa peau
On peut même y laisser sa peau
L’amour c’est comme de la poussière
Qui vous glisse sur la peau
A-t-on fait le nécessaire
En avons-nous fait un peu trop
Est-ce que le plaisir de la chair
Ne vous rend pas parfois marteau
L’amour c’est une poudrière
Qui vous foudroie sans dire un mot
L’amour c’est plus lourd que l’air
Pas forcément nécessaire
Et parfois même ça rend idiot
L’amour c’est plus lourd que l’air
Que les choses soient bien claires
C’est comme une sorte de courant d’air
Il y a une porte qui claque en haut
L’amour aime parfois croiser le fer
L’amour peut aussi faire froid dans le dos
Un après midi dans une clairière
Soudain s’envolent les oiseaux
Ca vous tourne la tête sous les réverbères
Et ça vous ronge ça vous ronge la peau
L’amour vous fait mordre la terre
L’amour vous laisse sur le carreau
L’amour c’est plus lourd que l’air
Pas forcément nécessaire
Et parfois même ça rend idiot
L’amour c’est rudimentaire
Que les choses soient bien claires
On peut même y laisser sa peau
On peut même y laisser sa peau
Admirable Miossec ! Plus on l'écoute ... !
dans L'étreinte
L’amour c’est plus lourd que l’air
Pas forcément nécessaire
Et parfois même ça rend idiot
L’amour c’est rudimentaire
Que les choses soient bien claires
On peut même y laisser sa peau
On peut même y laisser sa peau
L’amour c’est comme de la poussière
Qui vous glisse sur la peau
A-t-on fait le nécessaire
En avons-nous fait un peu trop
Est-ce que le plaisir de la chair
Ne vous rend pas parfois marteau
L’amour c’est une poudrière
Qui vous foudroie sans dire un mot
L’amour c’est plus lourd que l’air
Pas forcément nécessaire
Et parfois même ça rend idiot
L’amour c’est plus lourd que l’air
Que les choses soient bien claires
C’est comme une sorte de courant d’air
Il y a une porte qui claque en haut
L’amour aime parfois croiser le fer
L’amour peut aussi faire froid dans le dos
Un après midi dans une clairière
Soudain s’envolent les oiseaux
Ca vous tourne la tête sous les réverbères
Et ça vous ronge ça vous ronge la peau
L’amour vous fait mordre la terre
L’amour vous laisse sur le carreau
L’amour c’est plus lourd que l’air
Pas forcément nécessaire
Et parfois même ça rend idiot
L’amour c’est rudimentaire
Que les choses soient bien claires
On peut même y laisser sa peau
On peut même y laisser sa peau
Admirable Miossec ! Plus on l'écoute ... !
Consolation, de Miossec
dans "Brûle"
Je préfère que tu me prennes pour un con
Que pour quelqu'un qui pourrait t'expliquer
Je ne connais pas la théorie de la fusion
Ni même celle des femmes mariées
Je n'en ai jamais touché le fond
J'ai pourtant essayé de creuser
Et je n'ai trouvé que des désillusions
Des rêves depuis longtemps avortés
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Notre besoin de consolation
Est impossible à rassasier
C'est pour ça relève-toi donc
Ne reste donc pas agenouillée
Ne me dis pas que tu croyais qu'on
Avait pour nous l'éternité
Cinq ans six jours c'est déjà si long
La moyenne est largement dépassée
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Notre besoin de consolation
Est impossible à rassasier
Et le désir une illusion
Un instant que l'on voudrait faire durer
Après on lui enfile un nœud papillon
Et une jolie robe de mariée
Pour enfin se persuader qu'on
Est bel et bien arrivé
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
"Où s'en va le désir quand il trépasse ?" Oui, grave question comme il n'y a que Miossec pour la poser. Où diable peut-il bien aller ?
dans "Brûle"
Je préfère que tu me prennes pour un con
Que pour quelqu'un qui pourrait t'expliquer
Je ne connais pas la théorie de la fusion
Ni même celle des femmes mariées
Je n'en ai jamais touché le fond
J'ai pourtant essayé de creuser
Et je n'ai trouvé que des désillusions
Des rêves depuis longtemps avortés
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Notre besoin de consolation
Est impossible à rassasier
C'est pour ça relève-toi donc
Ne reste donc pas agenouillée
Ne me dis pas que tu croyais qu'on
Avait pour nous l'éternité
Cinq ans six jours c'est déjà si long
La moyenne est largement dépassée
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
Notre besoin de consolation
Est impossible à rassasier
Et le désir une illusion
Un instant que l'on voudrait faire durer
Après on lui enfile un nœud papillon
Et une jolie robe de mariée
Pour enfin se persuader qu'on
Est bel et bien arrivé
Où s'en va la mer à marée basse ?
Où s'en va le désir quand il trépasse ?
"Où s'en va le désir quand il trépasse ?" Oui, grave question comme il n'y a que Miossec pour la poser. Où diable peut-il bien aller ?
L'héautontimorouménos, de Charles Baudelaire
Musique de Léo Ferré, chanté par Jean-Louis Murat
dans "Charles et Léo"
Je te frapperai sans colère
Et sans haine, comme un boucher,
Comme Moïse le rocher !
Et je ferai de ta paupière,
Pour abreuver mon Sahara,
Jaillir les eaux de la souffrance.
Mon désir gonflé d'espérance
Sur tes pleurs salés nagera
Comme un vaisseau qui prend le large,
Et dans mon coeur qu'ils soûleront
Tes chers sanglots retentiront
Comme un tambour qui bat la charge !
Ne suis-je pas un faux accord
Dans la divine symphonie,
Grâce à la vorace Ironie
Qui me secoue et qui me mord ?
Elle est dans ma voix, la criarde !
C'est tout mon sang, ce poison noir !
Je suis le sinistre miroir
Où la mégère se regarde.
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Je suis de mon coeur le vampire,
- Un de ces grands abandonnés
Au rire éternel condamnés,
Et qui ne peuvent plus sourire !
Jean-Louis Murat a sorti en 2007 ces poèmes de Baudelaire mis en musique par Léo Ferré mais jamais édités par lui. L'héautontimorouménos est une des belles réussites du CD.
Musique de Léo Ferré, chanté par Jean-Louis Murat
dans "Charles et Léo"
Je te frapperai sans colère
Et sans haine, comme un boucher,
Comme Moïse le rocher !
Et je ferai de ta paupière,
Pour abreuver mon Sahara,
Jaillir les eaux de la souffrance.
Mon désir gonflé d'espérance
Sur tes pleurs salés nagera
Comme un vaisseau qui prend le large,
Et dans mon coeur qu'ils soûleront
Tes chers sanglots retentiront
Comme un tambour qui bat la charge !
Ne suis-je pas un faux accord
Dans la divine symphonie,
Grâce à la vorace Ironie
Qui me secoue et qui me mord ?
Elle est dans ma voix, la criarde !
C'est tout mon sang, ce poison noir !
Je suis le sinistre miroir
Où la mégère se regarde.
Je suis la plaie et le couteau !
Je suis le soufflet et la joue !
Je suis les membres et la roue,
Et la victime et le bourreau !
Je suis de mon coeur le vampire,
- Un de ces grands abandonnés
Au rire éternel condamnés,
Et qui ne peuvent plus sourire !
Jean-Louis Murat a sorti en 2007 ces poèmes de Baudelaire mis en musique par Léo Ferré mais jamais édités par lui. L'héautontimorouménos est une des belles réussites du CD.
Mother Earth (Natural anthem) de Neil Young
dans "Ragged Glory"
Oh, Mother Earth,
With your fields of green
Once more laid down
by the hungry hand
How long can you
give and not receive
And feed this world
ruled by greed
And feed this world
ruled by greed.
Oh, ball of fire
In the summer sky
Your healing light,
your parade of days
Are they betrayed
by the men of power
Who hold this world
in their changing hands
They hold the world
in their changing hands.
Oh, freedom land
Can you let this go
Down to the streets
where the numbers grow
Respect Mother Earth
and her giving ways
Or trade away
our children's days
Or trade away
our children's days.
Respect Mother Earth
and her giving ways
Or trade away
our children's days.
Très belle chanson de Neil Young que j'ai mis longtemps à considérer de son cru tant sa mélodie me parait intemporelle, universelle ... On m'a dit que Renaud en avait fait une adaptation ! Au secours je ne veux ni voir ni entendre ça !
Elle dénote de la sensibilité de l'ami Neil Young de tout temps pour l'absurdité de nos comportements qui nous font détruire ce qui nous fait vivre. Allez vous étonner après qu'il ait écrit et chanté "Let's impeach the President" (je la reprendrai bien à notre compte de français pour le coup ! -peux pas m'en empêcher !-) ?
dans "Ragged Glory"
Oh, Mother Earth,
With your fields of green
Once more laid down
by the hungry hand
How long can you
give and not receive
And feed this world
ruled by greed
And feed this world
ruled by greed.
Oh, ball of fire
In the summer sky
Your healing light,
your parade of days
Are they betrayed
by the men of power
Who hold this world
in their changing hands
They hold the world
in their changing hands.
Oh, freedom land
Can you let this go
Down to the streets
where the numbers grow
Respect Mother Earth
and her giving ways
Or trade away
our children's days
Or trade away
our children's days.
Respect Mother Earth
and her giving ways
Or trade away
our children's days.
Très belle chanson de Neil Young que j'ai mis longtemps à considérer de son cru tant sa mélodie me parait intemporelle, universelle ... On m'a dit que Renaud en avait fait une adaptation ! Au secours je ne veux ni voir ni entendre ça !
Elle dénote de la sensibilité de l'ami Neil Young de tout temps pour l'absurdité de nos comportements qui nous font détruire ce qui nous fait vivre. Allez vous étonner après qu'il ait écrit et chanté "Let's impeach the President" (je la reprendrai bien à notre compte de français pour le coup ! -peux pas m'en empêcher !-) ?
Évangéline Par Annie Blanchard
http://youtube.com/watch/…
Évangéline, c’est l’histoire bouleversante d’une jeune femme séparée de son fiancé au moment de la Déportation des Acadiens. Pour le peuple acadien, Évangéline est le symbole de l’amour, de l’espoir et de la persévérance malgré les tragiques événements de 1755. Comme elle, qui n’a jamais oublié son Gabriel qu’elle a cherché pendant 20 ans, ils n’ont jamais renoncé à leurs racines françaises et à leur amour de la terre à laquelle les Anglais les avaient si durement arrachés.(Extrait LE CYBER ACADIEN)
Les étoiles étaient dans le ciel
Toi dans les bras de Gabriel
Il faisait beau, c'était dimanche
Les cloches allaient bientôt sonner
Et tu allais te marier
Dans ta première robe blanche
L'automne était bien commencé
Les troupeaux étaient tous rentrés
Et parties toutes les sarcelles
Et le soir au son du violon
Les filles et surtout les garçons
T'auraient dit que tu étais belle
Évangéline, Évangéline
Mais les Anglais sont arrivés
Dans l'église ils ont enfermé
Tous les hommes de ton village
Et les femmes ont dû passer
Avec les enfants qui pleuraient
Toute la nuit sur le rivage
Au matin ils ont embarqué
Gabriel sur un grand voilier
Sans un adieu, sans un sourire
Et toute seule sur le quai
Tu as essayé de prier
Mais tu n'avais plus rien à dire
Évangéline, Évangéline
Alors pendant plus de vingt ans
Tu as recherché ton amant
À travers toute l'Amérique
Dans les plaines et les vallons
Chaque vent murmurait son nom
Comme la plus jolie musique
Même si ton cœur était mort
Ton amour grandissait plus fort
Dans le souvenir et l'absence
Il était toutes tes pensées
Et chaque jour il fleurissait
Dans le grand jardin du silence
Évangéline, Évangéline
Tu vécus dans le seul désir
De soulager et de guérir
Ceux qui souffraient plus que toi-même
Tu appris qu'au bout des chagrins
On trouve toujours un chemin
Qui mène à celui qui nous aime
Ainsi un dimanche matin
Tu entendis dans le lointain
Les carillons de ton village
Et soudain alors tu compris
Que tes épreuves étaient finies
Ainsi que le très long voyage
Évangéline, Évangéline
Devant toi était étendu
Sur un grabat un inconnu
Un vieillard mourant de faiblesse
Dans la lumière du matin
Son visage sembla soudain
Prendre les traits de sa jeunesse
Gabriel mourut dans tes bras
Sur sa bouche tu déposas
Un baiser long comme ta vie
Il faut avoir beaucoup aimé
Pour pouvoir encore trouver
La force de dire merci
Évangéline, Évangéline
Il existe encore aujourd'hui
Des gens qui vivent dans ton pays
Et qui de ton nom se souviennent
Car l'océan parle de toi
Les vents du sud portent ta voix
De la forêt jusqu'à la plaine
Ton nom c'est plus que l'Acadie
Plus que l'espoir d'une patrie
Ton nom dépasse les frontières
Ton nom c'est le nom de tous ceux
Qui malgré qu'ils soient malheureux
Croient en l'amour et qui espèrent
Évangéline, Évangéline
Évangéline, Évangéline
http://youtube.com/watch/…
Évangéline, c’est l’histoire bouleversante d’une jeune femme séparée de son fiancé au moment de la Déportation des Acadiens. Pour le peuple acadien, Évangéline est le symbole de l’amour, de l’espoir et de la persévérance malgré les tragiques événements de 1755. Comme elle, qui n’a jamais oublié son Gabriel qu’elle a cherché pendant 20 ans, ils n’ont jamais renoncé à leurs racines françaises et à leur amour de la terre à laquelle les Anglais les avaient si durement arrachés.(Extrait LE CYBER ACADIEN)
Les étoiles étaient dans le ciel
Toi dans les bras de Gabriel
Il faisait beau, c'était dimanche
Les cloches allaient bientôt sonner
Et tu allais te marier
Dans ta première robe blanche
L'automne était bien commencé
Les troupeaux étaient tous rentrés
Et parties toutes les sarcelles
Et le soir au son du violon
Les filles et surtout les garçons
T'auraient dit que tu étais belle
Évangéline, Évangéline
Mais les Anglais sont arrivés
Dans l'église ils ont enfermé
Tous les hommes de ton village
Et les femmes ont dû passer
Avec les enfants qui pleuraient
Toute la nuit sur le rivage
Au matin ils ont embarqué
Gabriel sur un grand voilier
Sans un adieu, sans un sourire
Et toute seule sur le quai
Tu as essayé de prier
Mais tu n'avais plus rien à dire
Évangéline, Évangéline
Alors pendant plus de vingt ans
Tu as recherché ton amant
À travers toute l'Amérique
Dans les plaines et les vallons
Chaque vent murmurait son nom
Comme la plus jolie musique
Même si ton cœur était mort
Ton amour grandissait plus fort
Dans le souvenir et l'absence
Il était toutes tes pensées
Et chaque jour il fleurissait
Dans le grand jardin du silence
Évangéline, Évangéline
Tu vécus dans le seul désir
De soulager et de guérir
Ceux qui souffraient plus que toi-même
Tu appris qu'au bout des chagrins
On trouve toujours un chemin
Qui mène à celui qui nous aime
Ainsi un dimanche matin
Tu entendis dans le lointain
Les carillons de ton village
Et soudain alors tu compris
Que tes épreuves étaient finies
Ainsi que le très long voyage
Évangéline, Évangéline
Devant toi était étendu
Sur un grabat un inconnu
Un vieillard mourant de faiblesse
Dans la lumière du matin
Son visage sembla soudain
Prendre les traits de sa jeunesse
Gabriel mourut dans tes bras
Sur sa bouche tu déposas
Un baiser long comme ta vie
Il faut avoir beaucoup aimé
Pour pouvoir encore trouver
La force de dire merci
Évangéline, Évangéline
Il existe encore aujourd'hui
Des gens qui vivent dans ton pays
Et qui de ton nom se souviennent
Car l'océan parle de toi
Les vents du sud portent ta voix
De la forêt jusqu'à la plaine
Ton nom c'est plus que l'Acadie
Plus que l'espoir d'une patrie
Ton nom dépasse les frontières
Ton nom c'est le nom de tous ceux
Qui malgré qu'ils soient malheureux
Croient en l'amour et qui espèrent
Évangéline, Évangéline
Évangéline, Évangéline
Sublime, Cachou, c'est sublime...
Merci Cachou de m'avoir fait découvrir cette superbe chanson. J'aime bien aussi le clip de Carbella.
Je te souhaite une fin d'après midi poétique.
Je te souhaite une fin d'après midi poétique.
Merci SJB et Jlc. Vos commentaires positifs me font beaucoup de bien. Dire que j'ai hésité!!!
C'est vrai que le clip de Carbella est bien mais énormément de gens adore l'interprétation de Marie-Jo Thério qui l'avait d'abord endisqué auparavant.Tout est une question de goût. ;-)
C'est vrai que le clip de Carbella est bien mais énormément de gens adore l'interprétation de Marie-Jo Thério qui l'avait d'abord endisqué auparavant.Tout est une question de goût. ;-)
Merci beaucoup, Cachou !
Magnifique chanson ! :)
Magnifique chanson ! :)
Voilà ce que je cherchait...le version avec l'histoire.
http://youtube.com/watch/…
http://youtube.com/watch/…
Voilà ce que je cherchait...le version avec l'histoire.
http://youtube.com/watch/…
Belle illustration de cet évènement et intéressante notamment pour ceux qui n'en connaissaient rien. Merci encore de nous l'avoir fait découvrir. Dommage que Maud Saint-Pierre n'ait pas fait relire son texte pour en améliorer l'orthographe.
Finalement je préfère la version d'Annie Blanchart qui est plus émouvante car le texte et la musique ne sont pas brouillés par l'image et permettent d'imaginer Evangéline, si belle, si douce et si forte.
Voilà ce que je cherchait...le version avec l'histoire.Si j'osais, je te dirais que ça m'a mis les larmes aux yeux...
http://youtube.com/watch/…
(j'aime mieux la première version, mais merci quand même pour la deuxième)
Ne respire pas, de Eiffel
dans "Le 1/4 d'heure des ahuris"
Ne m'laisse pas comme ça à la merci d'leurs yeux goguenards
A traquer des blattes sur des parois illusoires
Enfonce tes punaises dans les affolements de ma crise
Et tous les grands crics qui me croquent la matière grise
Ca sniffe la mort à plein nez, j't'en lèche les babines
A honorer le confinement d'une mezzanine
Qui petit à p'tit se transforme en boite à chaussures
Dès qu'elle s'ouvre on s'casse sur les ailes d'une libellule
Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire le vide
Ou alors reste éveillée reste avec moi
Ne m'laisse pas avec ce froid dans le dos rigide
Ou alors fais comme moi, ne respire pas.
Ce sont les moutons qui me comptent sauter les barrières
Et le marchand de sable qui passe... La marche arrière
L'histoire du p'tit garçon qui voulait une histoire
"L'histoire du p'tit garçon qui voulait une histoire..."
Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire le vide
Ou alors reste éveillée reste avec moi
Ne m'laisse pas avec ce froid dans le dos rigide
Ou alors fais comme moi, ne respire pas.
Ca shoote dans les colonnes de mon palais vertébral
C'est vertigineux de te voir à l'horizontale
La Berlue en italique, les caprices c'est pas fini
Comme cette étoile qui par un "chut" nous rétrécit
Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire le vide
Ou alors reste éveillée reste avec moi
Ne m'laisse pas avec ce froid dans le dos rigide
Ou alors fais comme moi, ne respire pas.
Assieds toi sur un banc et cesse de rire jaune
Ca m'aidera toujours à colmater ma couche d'ozone
De ton plafond les arachnées m'ont vu t'épier
Et dans tes yeux se sont aperçues que je flippais
Alors fais comme moi ne respire pas
Fais comme moi ne respire pas
Eiffel qui donne de ses nouvelles. Qui n'abandonne pas le combat même si les maisons de disques ont baissé les bras ; un quatrième disque en préparation. "Avec moins de guitares saturées ..." Ah bon ! Pourquoi ?
dans "Le 1/4 d'heure des ahuris"
Ne m'laisse pas comme ça à la merci d'leurs yeux goguenards
A traquer des blattes sur des parois illusoires
Enfonce tes punaises dans les affolements de ma crise
Et tous les grands crics qui me croquent la matière grise
Ca sniffe la mort à plein nez, j't'en lèche les babines
A honorer le confinement d'une mezzanine
Qui petit à p'tit se transforme en boite à chaussures
Dès qu'elle s'ouvre on s'casse sur les ailes d'une libellule
Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire le vide
Ou alors reste éveillée reste avec moi
Ne m'laisse pas avec ce froid dans le dos rigide
Ou alors fais comme moi, ne respire pas.
Ce sont les moutons qui me comptent sauter les barrières
Et le marchand de sable qui passe... La marche arrière
L'histoire du p'tit garçon qui voulait une histoire
"L'histoire du p'tit garçon qui voulait une histoire..."
Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire le vide
Ou alors reste éveillée reste avec moi
Ne m'laisse pas avec ce froid dans le dos rigide
Ou alors fais comme moi, ne respire pas.
Ca shoote dans les colonnes de mon palais vertébral
C'est vertigineux de te voir à l'horizontale
La Berlue en italique, les caprices c'est pas fini
Comme cette étoile qui par un "chut" nous rétrécit
Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire le vide
Ou alors reste éveillée reste avec moi
Ne m'laisse pas avec ce froid dans le dos rigide
Ou alors fais comme moi, ne respire pas.
Assieds toi sur un banc et cesse de rire jaune
Ca m'aidera toujours à colmater ma couche d'ozone
De ton plafond les arachnées m'ont vu t'épier
Et dans tes yeux se sont aperçues que je flippais
Alors fais comme moi ne respire pas
Fais comme moi ne respire pas
Eiffel qui donne de ses nouvelles. Qui n'abandonne pas le combat même si les maisons de disques ont baissé les bras ; un quatrième disque en préparation. "Avec moins de guitares saturées ..." Ah bon ! Pourquoi ?
Il était une fois des gens heureux
chanson thème tirée d’un film québécois (Les Plouffe)
Il était une fois des gens heureux
C'était en des temps plus silencieux
Parlez à ceux qui s'en souviennent
Ils savent encore les mots
Des romances anciennes
Où ça disait toujours le monde est beau
Il était une fois des gens heureux
Qui disaient toutes choses avec les yeux
Leurs yeux tout plein de confiance
En l'univers immense
Et qu'ils disaient béni de Dieu
Il était une fois des gens de paix
Mais vinrent les années de vent mauvais
A table il y eut des chaises vides
Aux yeux vinrent les rides
Il ne resta plus rien de vrai
Il n'faut pas chercher à savoir où s'en va le temps
Il s'en va pareil aux glaces dans le Saint-Laurent
On fait toute la vie semblant qu'on va durer toujours
Pareil au fleuve dans son cours
Et c'est peut-être rien que pour ça qu'on fait des enfants
Il était une fois des gens heureux
Et tout était si simple et merveilleux
Y'avait le ciel, y'avait la terre
C'était quand les mystères
Pouvaient rester mystérieux
Il était une fois des gens heureux
Qui disaient toutes choses avec les yeux
Leurs yeux tout pleins de confiance
En l'univers immense et clair et juste et merveilleux
Un univers béni de Dieu
Il était une fois des gens heureux
C'était en des temps plus silencieux
Parlez à ceux qui s'en souviennent
Ils savent encore les mots
Des romances anciennes
Où ça disait toujours
Le monde est beau (3 fois)
(Le monde)
Est beau
Le monde est beau
chanson thème tirée d’un film québécois (Les Plouffe)
Il était une fois des gens heureux
C'était en des temps plus silencieux
Parlez à ceux qui s'en souviennent
Ils savent encore les mots
Des romances anciennes
Où ça disait toujours le monde est beau
Il était une fois des gens heureux
Qui disaient toutes choses avec les yeux
Leurs yeux tout plein de confiance
En l'univers immense
Et qu'ils disaient béni de Dieu
Il était une fois des gens de paix
Mais vinrent les années de vent mauvais
A table il y eut des chaises vides
Aux yeux vinrent les rides
Il ne resta plus rien de vrai
Il n'faut pas chercher à savoir où s'en va le temps
Il s'en va pareil aux glaces dans le Saint-Laurent
On fait toute la vie semblant qu'on va durer toujours
Pareil au fleuve dans son cours
Et c'est peut-être rien que pour ça qu'on fait des enfants
Il était une fois des gens heureux
Et tout était si simple et merveilleux
Y'avait le ciel, y'avait la terre
C'était quand les mystères
Pouvaient rester mystérieux
Il était une fois des gens heureux
Qui disaient toutes choses avec les yeux
Leurs yeux tout pleins de confiance
En l'univers immense et clair et juste et merveilleux
Un univers béni de Dieu
Il était une fois des gens heureux
C'était en des temps plus silencieux
Parlez à ceux qui s'en souviennent
Ils savent encore les mots
Des romances anciennes
Où ça disait toujours
Le monde est beau (3 fois)
(Le monde)
Est beau
Le monde est beau
Salut tout le monde une petite chanson du soir, j'ai pas les paroles et pas trop le temps de les retranscrire donc voila un petit lien pour écouter une chanson de Richard Desjardin, Les Yankees qui me dresse les poils sur les bras à chaque fois que je l'entend:
http://fr.youtube.com/watch?v=v4n7wfo1C-8
http://fr.youtube.com/watch?v=v4n7wfo1C-8
30 ans de Miossec
dans "Mélancolie"
Trente ans et tu regardes le papier peint vieillir
Trente ans et tu veux toujours t’éblouir
Dans des nuits si longues que les jours devaient rétrécir
Trente ans et oui tu ne les as pas vu venir
Trente ans c’est peut-être le moment de s’enfuir
T’étais partant disais-tu dans un sourire
Pour tes trente ans de brûler tes souvenirs
Trente ans ne laisse plus le canapé t’engloutir
Trente ans n’attends plus que l’on vienne t’attendrir
Redeviens touchant comme quand tu voulais tout détruire
C’est entêtant ce temps qui passe sans prévenir
Tant de mésententes et tant de causes perdues
Tant de mésaventures dans de petites préfectures
Tant pis pour les victoires et tant mieux pour les défaites
De toute façon on a toujours l’air aussi bête
Tiré du magnifique "Mélancolie", son dernier opus en date. Qui date d'ailleurs ! Reviens Miossec, quand est-ce que tu remontes sur scène ? Vite !
"Mélancolie" mérite bien son nom mais c'est de la bonne ! (de mélancolie !)
dans "Mélancolie"
Trente ans et tu regardes le papier peint vieillir
Trente ans et tu veux toujours t’éblouir
Dans des nuits si longues que les jours devaient rétrécir
Trente ans et oui tu ne les as pas vu venir
Trente ans c’est peut-être le moment de s’enfuir
T’étais partant disais-tu dans un sourire
Pour tes trente ans de brûler tes souvenirs
Trente ans ne laisse plus le canapé t’engloutir
Trente ans n’attends plus que l’on vienne t’attendrir
Redeviens touchant comme quand tu voulais tout détruire
C’est entêtant ce temps qui passe sans prévenir
Tant de mésententes et tant de causes perdues
Tant de mésaventures dans de petites préfectures
Tant pis pour les victoires et tant mieux pour les défaites
De toute façon on a toujours l’air aussi bête
Tiré du magnifique "Mélancolie", son dernier opus en date. Qui date d'ailleurs ! Reviens Miossec, quand est-ce que tu remontes sur scène ? Vite !
"Mélancolie" mérite bien son nom mais c'est de la bonne ! (de mélancolie !)
De quelle couleur est la peau de Dieu.( Les Messagers Gospel)
De quelle couleur est la peau de Dieu ?
Je disais bonsoir à mon enfant
En l’embrassant tendrement.
D’une petite voix endormie, il m’a demandé :
" De quelle couleur est la peau de Dieu? "
.
Elle est noire, jaune, brune
Rouge ou blanche comme tu veux.
Les hommes sont tous les mêmes
Sous le regard de Dieu.
.
Il m’a regardé d’un air angoissé
Tout droit dans les yeux, et m’a demandé :
" Pourquoi les hommes se battent entre eux ?
Si nous sommes tous les mêmes sous le regard de Dieu ? "
.
C’est l’héritage d’un lourd passé éprouvé.
Mais maintenant l’humanité
Apprend à vivre et à travailler.
Tous unis comme des enfants de Dieu,
.
Notre pays pourra construire
Un monde meilleur dans l’avenir.
Les différentes races deviendront
La force et la gloire de notre Nation.
De quelle couleur est la peau de Dieu ?
Je disais bonsoir à mon enfant
En l’embrassant tendrement.
D’une petite voix endormie, il m’a demandé :
" De quelle couleur est la peau de Dieu? "
.
Elle est noire, jaune, brune
Rouge ou blanche comme tu veux.
Les hommes sont tous les mêmes
Sous le regard de Dieu.
.
Il m’a regardé d’un air angoissé
Tout droit dans les yeux, et m’a demandé :
" Pourquoi les hommes se battent entre eux ?
Si nous sommes tous les mêmes sous le regard de Dieu ? "
.
C’est l’héritage d’un lourd passé éprouvé.
Mais maintenant l’humanité
Apprend à vivre et à travailler.
Tous unis comme des enfants de Dieu,
.
Notre pays pourra construire
Un monde meilleur dans l’avenir.
Les différentes races deviendront
La force et la gloire de notre Nation.
Dors mon enfant c'est déjà l'heure
Ça ne sert à rien que tu pleures
Dans tes yeux couleur d'arc-en-ciel
Il y a des larmes de sel
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Elle est en couleur mon histoire
Il était blanc elle était noire
La foule est grise grise alors
Il y aura peut-être un mort
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Il lui a donné des cerises
Et noire sa main les a prises
Et rouge sa bouche a mordu
Il y a demain un pendu
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Voici des fleurs toutes bien faites
De la rose à la violette
Le bouquet qu'il lui a offert
Etait bleu rouge jaune et vert
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Ils ont couru jusqu'au rivage
Ils riaient de tout leur visage
Ils se sont baignés dans la mer
Il y aura des revolvers
La mer est bleue pour tout le monde
Pour les peaux brunes et les peaux blondes
Quand l'homme s'y baigne en passant
Il y a des gouttes de sang
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Ce sang qui coule jusqu'à terre
Mon enfant ferme tes paupières
Pourvu que tu ne saches rien
Ce sang qui coule c'est le tien
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Les larmes sont partout pareilles
Sèche tes yeux qui s'ensommeillent
Dors mon enfant ne pleure pas
Tu ne sais pas encore pourquoi
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
(Guy Béart - 1969)
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Ça ne sert à rien que tu pleures
Dans tes yeux couleur d'arc-en-ciel
Il y a des larmes de sel
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Elle est en couleur mon histoire
Il était blanc elle était noire
La foule est grise grise alors
Il y aura peut-être un mort
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Il lui a donné des cerises
Et noire sa main les a prises
Et rouge sa bouche a mordu
Il y a demain un pendu
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Voici des fleurs toutes bien faites
De la rose à la violette
Le bouquet qu'il lui a offert
Etait bleu rouge jaune et vert
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Ils ont couru jusqu'au rivage
Ils riaient de tout leur visage
Ils se sont baignés dans la mer
Il y aura des revolvers
La mer est bleue pour tout le monde
Pour les peaux brunes et les peaux blondes
Quand l'homme s'y baigne en passant
Il y a des gouttes de sang
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Ce sang qui coule jusqu'à terre
Mon enfant ferme tes paupières
Pourvu que tu ne saches rien
Ce sang qui coule c'est le tien
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
Les larmes sont partout pareilles
Sèche tes yeux qui s'ensommeillent
Dors mon enfant ne pleure pas
Tu ne sais pas encore pourquoi
Couleurs vous êtes des larmes
Couleurs vous êtes des pleurs
(Guy Béart - 1969)
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