"Do the evolution" de Pearl Jam
Woo..
Im ahead, Im a man
Im the first mammal to wear pants, yeah
Im at peace with my lust
I can kill cause in God I trust, yeah
Its evolution, baby
Im at piece, Im the man
Buying stocks on the day of the crash
On the loose, Im a truck
All the rolling hills, Ill flatten em out, yeah
Its herd behavior, uh huh
Its evolution, baby
Admire me, admire my home
Admire my song, heres my coat
Yeah, yeah, yeah, yeah
This land is mine, this land is free
Ill do what I want but irresponsibly
Its evolution, baby
Im a thief, Im a liar
Theres my church, I sing in the choir:
(hallelujah hallelujah)
Admire me, admire my home
Admire my song, admire my clothes
cause we know, appetite for a nightly feast
Those ignorant indians got nothin on me
Nothin, why?
Because, its evolution, baby!
I am ahead, I am advanced
I am the first mammal to make plans, yeah
I crawled the earth, but now Im higher
Twenty-ten, watch it go to fire
Its evolution, baby (2x)
Do the evolution
Come on, come on, come on
http://dailymotion.com/video/…
Woo..
Im ahead, Im a man
Im the first mammal to wear pants, yeah
Im at peace with my lust
I can kill cause in God I trust, yeah
Its evolution, baby
Im at piece, Im the man
Buying stocks on the day of the crash
On the loose, Im a truck
All the rolling hills, Ill flatten em out, yeah
Its herd behavior, uh huh
Its evolution, baby
Admire me, admire my home
Admire my song, heres my coat
Yeah, yeah, yeah, yeah
This land is mine, this land is free
Ill do what I want but irresponsibly
Its evolution, baby
Im a thief, Im a liar
Theres my church, I sing in the choir:
(hallelujah hallelujah)
Admire me, admire my home
Admire my song, admire my clothes
cause we know, appetite for a nightly feast
Those ignorant indians got nothin on me
Nothin, why?
Because, its evolution, baby!
I am ahead, I am advanced
I am the first mammal to make plans, yeah
I crawled the earth, but now Im higher
Twenty-ten, watch it go to fire
Its evolution, baby (2x)
Do the evolution
Come on, come on, come on
http://dailymotion.com/video/…
J'adore le vidéoclip de Do the Evolution, c'est étrange, j'ai toujours pensé que "Admire my song, heres my coat" était "Admire my son, his my clone", en voulant faire référence que les enfants imitent leurs parents à l'infini, je me suis complètement fourvoyée!
J'adore le vidéoclip de Do the Evolution, c'est étrange, j'ai toujours pensé que "Admire my song, heres my coat" était "Admire my son, his my clone", en voulant faire référence que les enfants imitent leurs parents à l'infini, je me suis complètement fourvoyée!
Tu as probablement raison, je l'ai également compris ainsi (plutôt "he's my clone). J'ai fait un copier/coller à partir d'un site et il semble qu'il y ait quelques approximations ("I'm at peace" devient "I'm at piece) :-).
En tout cas, "Admire my son, his my clone" irait beauxoup mieux avec "It's herd behavior".
"Admire my son , he's my clone". Nance, tu m'as troublé!
Ce n'est pas évident avec la voix, j'ai pensé ça parce que l'empereur romain tient son fils par l'épaule quand ces paroles sont prononcées la première fois...
"His" my clone... c'est tout à fait mon genre d'anglais approximatif que j'utilise. :P
"His" my clone... c'est tout à fait mon genre d'anglais approximatif que j'utilise. :P
ZIGGY
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Mais moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
La première fois que je l’ai vu
Je m’suis jetée sur lui dans la rue
J’lui ai seulement dit
Que j’avais envie de lui
Il était quatre heures du matin
J’étais seule et j’avais besoin
De parler à quelqu’un
IL m’a dit : viens prendre un café
Et on s’est raconté nos vies
On a ri, on a pleuré
Ziggy, il s’appelle Ziggy
C’est mon seul ami
Dans sa tête y’a que d’la musique
Il vend des disques dans une boutique
On dirait qu’il vit
Dans une autre galaxie
Tous les soirs, il m’emmène danser
Dans des endroits très très gais
Où il a des tas d’amis
Oui, je sais, il aime les garçons
Je devrais me faire une raison
Essayer de l’oublier… mais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Et moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais.
(Paroles : Luc Plamondon, musique : Michel Berger)
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Mais moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
La première fois que je l’ai vu
Je m’suis jetée sur lui dans la rue
J’lui ai seulement dit
Que j’avais envie de lui
Il était quatre heures du matin
J’étais seule et j’avais besoin
De parler à quelqu’un
IL m’a dit : viens prendre un café
Et on s’est raconté nos vies
On a ri, on a pleuré
Ziggy, il s’appelle Ziggy
C’est mon seul ami
Dans sa tête y’a que d’la musique
Il vend des disques dans une boutique
On dirait qu’il vit
Dans une autre galaxie
Tous les soirs, il m’emmène danser
Dans des endroits très très gais
Où il a des tas d’amis
Oui, je sais, il aime les garçons
Je devrais me faire une raison
Essayer de l’oublier… mais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Et moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais.
(Paroles : Luc Plamondon, musique : Michel Berger)
Bon une chanson de H.F. Thiéfaine d'actualité (sur certaine discussion il va s'en dire)
La nostalgie de dieu
En ce quinzième dimanche après carnaval
Je me souviens d'avoir lu quelque part dans le journal
A moins que ce ne soit dans la Bible des gidéons
Volée dans un de ces motels à la mords-moi l'mormond
Je me souviens d'avoir lu que le démiurge au chômage
Un jour d'ennui avait fabriqué l'homme à son image
Lucy n'était pas encore née quant à l'Abel du Tchad
Il n'avait pas encore testé l'usage de ses gonades
Le démiurge au chômage
Fit l'homme à son image
C'est une histoire d'amour
D'amour, d'amour toujours
Dieu est amour
Et Jésus change le beurre en vaseline
Dieu est in
Cette histoire s'est passée très loin des oxydes de carbone
Environ 3 millions d'années avant Michael Jackson
On peut donc affirmer sans offenser son archevêque
Que Dieu a la gueule et l'aspect d'un australopithèque
Dieu est un drôle de mec
Un australopithèque
Oui mais on l'aime quand même
Dieu est amour toujours
Dieu est amour
Et Jésus change le beurre en vaseline
Dieu est in
Deus ex machina
Deus ex Testa Rossa
Deus ex Lamborghini
Deus ex Maserati
Deus ex Aston Martin
Deus ex machine
Deus sex machine
God il sex machine
God gode ! God gode !
La nostalgie de dieu
En ce quinzième dimanche après carnaval
Je me souviens d'avoir lu quelque part dans le journal
A moins que ce ne soit dans la Bible des gidéons
Volée dans un de ces motels à la mords-moi l'mormond
Je me souviens d'avoir lu que le démiurge au chômage
Un jour d'ennui avait fabriqué l'homme à son image
Lucy n'était pas encore née quant à l'Abel du Tchad
Il n'avait pas encore testé l'usage de ses gonades
Le démiurge au chômage
Fit l'homme à son image
C'est une histoire d'amour
D'amour, d'amour toujours
Dieu est amour
Et Jésus change le beurre en vaseline
Dieu est in
Cette histoire s'est passée très loin des oxydes de carbone
Environ 3 millions d'années avant Michael Jackson
On peut donc affirmer sans offenser son archevêque
Que Dieu a la gueule et l'aspect d'un australopithèque
Dieu est un drôle de mec
Un australopithèque
Oui mais on l'aime quand même
Dieu est amour toujours
Dieu est amour
Et Jésus change le beurre en vaseline
Dieu est in
Deus ex machina
Deus ex Testa Rossa
Deus ex Lamborghini
Deus ex Maserati
Deus ex Aston Martin
Deus ex machine
Deus sex machine
God il sex machine
God gode ! God gode !
Alors je dessine, de Mademoiselle K
dans "Jamais la paix"
J'ai saigné longtemps
perdu beaucoup d'sang
le seul liquide qui coule encore vivant
bleu il est bleu
c'est de l'encre
de l'encre
alors je dessine et dessine
jusqu'à la prochaine feuille
même si y'a qu'des cercueils
alors je dessine et dessine
toutes les phrases à écrire
qu'ont pas d'porte pour sortir
mieux j'peux pas mieux
que de l'encre de l'encre
mieux j'peux pas mieux
me suis fait un sang d'encre
d'encre
j'ai jamais autant dessiné
jamais me suis sentie aussi bloquée
c'est mon ventre qui crie
c'est mon ventre
...mon ventre qui dessine qui dessine qui dessine
des images des images qui grandissent qui grandissent
et les phrases restent
au berceau à jouer avec les mots
c'est mon ventre qui saigne qui dessine
des images qui pleurent
bleue je suis bleue
c'est tout l'encre dans mon ventre
mieux j'peux pas mieux
me suis fait un sang d'encre d'encre
j'ai jamais autant dessiné
jamais me suis sentie aussi bloquée
alors je dessine et dessine
jusqu'à la prochaine feuille
j'attends que passe le deuil
c'est mon ventre qui saigne
c'est mon ventre qui pleure
c'est mon ventre qui saigne qui sécrète
des images secrètes
me suis fait un sang d'encre
bleue je suis bleue.
"Jamais la paix" est le second CD de Mademoiselle K. Il n'est pas facile d'accès, le genre de disque auquel il faut s'accrocher pour pouvoir l'aimer. Mais il y a de grands moments, comme ce "Alors je dessine", et d'autres que je livrerai plus tard. Ce qui frappe, c'est la sincérité et l'engagement total dans l'interprétation. Le genre qui vous prend aux tripes. Elle devait passer vendredi à Grenoble, le lendemain de Minor Majority dans le cadre du festival Rocktambule, hélas, elle a annulé .. Pas assez de réservations parait-il ? Mais profitez-en, elle tourne actuellement en France, et elle ne mégote pas !
dans "Jamais la paix"
J'ai saigné longtemps
perdu beaucoup d'sang
le seul liquide qui coule encore vivant
bleu il est bleu
c'est de l'encre
de l'encre
alors je dessine et dessine
jusqu'à la prochaine feuille
même si y'a qu'des cercueils
alors je dessine et dessine
toutes les phrases à écrire
qu'ont pas d'porte pour sortir
mieux j'peux pas mieux
que de l'encre de l'encre
mieux j'peux pas mieux
me suis fait un sang d'encre
d'encre
j'ai jamais autant dessiné
jamais me suis sentie aussi bloquée
c'est mon ventre qui crie
c'est mon ventre
...mon ventre qui dessine qui dessine qui dessine
des images des images qui grandissent qui grandissent
et les phrases restent
au berceau à jouer avec les mots
c'est mon ventre qui saigne qui dessine
des images qui pleurent
bleue je suis bleue
c'est tout l'encre dans mon ventre
mieux j'peux pas mieux
me suis fait un sang d'encre d'encre
j'ai jamais autant dessiné
jamais me suis sentie aussi bloquée
alors je dessine et dessine
jusqu'à la prochaine feuille
j'attends que passe le deuil
c'est mon ventre qui saigne
c'est mon ventre qui pleure
c'est mon ventre qui saigne qui sécrète
des images secrètes
me suis fait un sang d'encre
bleue je suis bleue.
"Jamais la paix" est le second CD de Mademoiselle K. Il n'est pas facile d'accès, le genre de disque auquel il faut s'accrocher pour pouvoir l'aimer. Mais il y a de grands moments, comme ce "Alors je dessine", et d'autres que je livrerai plus tard. Ce qui frappe, c'est la sincérité et l'engagement total dans l'interprétation. Le genre qui vous prend aux tripes. Elle devait passer vendredi à Grenoble, le lendemain de Minor Majority dans le cadre du festival Rocktambule, hélas, elle a annulé .. Pas assez de réservations parait-il ? Mais profitez-en, elle tourne actuellement en France, et elle ne mégote pas !
Je ne sais pas si je l'ai déjà posté:
Caïman Fu
Pas De Panique
Pas facile en ce monde dramatique,
De croire encore au prince charmant
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents
Car on est tout p’tit oui tout petit
Tout p’tit, une puce,
une étincelle ou un pixel
Tout p’tit, à quoi bon nos soucis?
Ils deviennent microscopiques
Un nombril ça s’oublie
À l’ombre des montagnes
Pas facile en ce monde mathématique,
D’arriver à oublier l’argent
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents
Car on est tout p’tit oui tout petit
Tout p’tit, un brin, goutte, souffle,
bidule et brise
Tout p’tit, la graine ou le fruit?
L’immensité "microcosmique"!
L’intensité se moque, se moque
De la quantité
Pas facile en ce monde bionique,
D’avoir l’impression de prendre son temps
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents
Car on est tout p’tit oui tout petit
Tout p’tit, un pli, poil,
coquet, seconde et gnome
Tout p’tit, à l’infini
Les détails c’est magique!
Caïman Fu
Pas De Panique
Pas facile en ce monde dramatique,
De croire encore au prince charmant
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents
Car on est tout p’tit oui tout petit
Tout p’tit, une puce,
une étincelle ou un pixel
Tout p’tit, à quoi bon nos soucis?
Ils deviennent microscopiques
Un nombril ça s’oublie
À l’ombre des montagnes
Pas facile en ce monde mathématique,
D’arriver à oublier l’argent
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents
Car on est tout p’tit oui tout petit
Tout p’tit, un brin, goutte, souffle,
bidule et brise
Tout p’tit, la graine ou le fruit?
L’immensité "microcosmique"!
L’intensité se moque, se moque
De la quantité
Pas facile en ce monde bionique,
D’avoir l’impression de prendre son temps
Madame pas de panique, pas de panique
Sourions et séchons-nous les dents
Car on est tout p’tit oui tout petit
Tout p’tit, un pli, poil,
coquet, seconde et gnome
Tout p’tit, à l’infini
Les détails c’est magique!
La fin de l'Homme
Daniel Bélanger
Comme il est partout, mais surtout dans ses valises,
Avant de disparaître, Dieu vend ses églises ;
Un arbre mort, mais joli, de forme heureuse,
L'est moins que ne le sera demain la tronçonneuse
La poésie est là tout autour, fragile, fragile, fragile et puis c'est fini
La beauté dispose et n'a besoin de personne ;
Splendeur, grandeur, hauteur autour de soi, fragile, fragile et solide à la fois,
La fin de l'Homme ne sera pas la fin du Monde
J'aime l'inutile tout comme le fortuit,
Et tente autant d'amour pour aujourd'hui
Hors de tout doute raisonnable,
Il n'y a que dans mon lit
Pour que demain soit bien plus que probable
La poésie est là tout autour, fragile, fragile, fragile et puis c'est fini
La beauté dispose et n'a besoin de personne ;
Splendeur, grandeur, hauteur autour de soi, fragile, fragile et solide à la fois,
La fin de l'Homme ne sera pas la fin du Monde
La fin de l'Homme ne sera pas la fin du Monde
Daniel Bélanger
Comme il est partout, mais surtout dans ses valises,
Avant de disparaître, Dieu vend ses églises ;
Un arbre mort, mais joli, de forme heureuse,
L'est moins que ne le sera demain la tronçonneuse
La poésie est là tout autour, fragile, fragile, fragile et puis c'est fini
La beauté dispose et n'a besoin de personne ;
Splendeur, grandeur, hauteur autour de soi, fragile, fragile et solide à la fois,
La fin de l'Homme ne sera pas la fin du Monde
J'aime l'inutile tout comme le fortuit,
Et tente autant d'amour pour aujourd'hui
Hors de tout doute raisonnable,
Il n'y a que dans mon lit
Pour que demain soit bien plus que probable
La poésie est là tout autour, fragile, fragile, fragile et puis c'est fini
La beauté dispose et n'a besoin de personne ;
Splendeur, grandeur, hauteur autour de soi, fragile, fragile et solide à la fois,
La fin de l'Homme ne sera pas la fin du Monde
La fin de l'Homme ne sera pas la fin du Monde
Maman XY, de Mademoiselle K
dans "Jamais la paix"
X, Y, X, Y
On peut naître sous X
Et se sentir Y
Y, Y, Y, Y
Et moi maman, maman?
Sur une échelle de X à Y
Qui je suis ?
Oublie l'échelle à Richter
Il a abandonné
Et ma terre elle tremble dans tous les sens
Sauf celui qui connait
X, X, X, X, X,
J'ai coupé mon corps en deux
Fallait que je comprenne avec mes yeux
Tout ce que j'ai vu
Je suis pas possible à trier
X X X X fois je me suis perdu dans des super marchés
A chercher quoi? A chercher quoi?
Juste moi
X ,X, X, X, X,
Si tu peux pas t'appuyer, si tu peux pas t'appuyer dans un bordel pas possible a trier
Alors à quoi je sers? A quoi je sers?
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Maman, maman,
Des fois quand je m'endors
Je sais plus qui je suis
X, Y,
On peut naître sous X
Se sentir Y
Mais moi maman, moi?
Sur une échelle de X à Y
Qui je suis ?
Maman,
Des fois quand je m'endort
Je sais plus qui je suis
Oublie l'échelle à RichterIl a abandonné
Et papa il a abandonné
Maman? Papa il a abandonné
XXXX fois et XXXX fois
XXXX fois papa il a abandonné
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes,
Quand je m'endors je sais plus qui je suis
Et à quoi je sers
Alors si tu m'aimes si j'ai tort
A quoi je sers juste, sers moi fort.
Son interprétation est très touchante, remuante. Ah, elle s'implique à fond !
dans "Jamais la paix"
X, Y, X, Y
On peut naître sous X
Et se sentir Y
Y, Y, Y, Y
Et moi maman, maman?
Sur une échelle de X à Y
Qui je suis ?
Oublie l'échelle à Richter
Il a abandonné
Et ma terre elle tremble dans tous les sens
Sauf celui qui connait
X, X, X, X, X,
J'ai coupé mon corps en deux
Fallait que je comprenne avec mes yeux
Tout ce que j'ai vu
Je suis pas possible à trier
X X X X fois je me suis perdu dans des super marchés
A chercher quoi? A chercher quoi?
Juste moi
X ,X, X, X, X,
Si tu peux pas t'appuyer, si tu peux pas t'appuyer dans un bordel pas possible a trier
Alors à quoi je sers? A quoi je sers?
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Maman, maman,
Des fois quand je m'endors
Je sais plus qui je suis
X, Y,
On peut naître sous X
Se sentir Y
Mais moi maman, moi?
Sur une échelle de X à Y
Qui je suis ?
Maman,
Des fois quand je m'endort
Je sais plus qui je suis
Oublie l'échelle à RichterIl a abandonné
Et papa il a abandonné
Maman? Papa il a abandonné
XXXX fois et XXXX fois
XXXX fois papa il a abandonné
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes, si j'ai tort
A quoi je sers/serre-moi fort
Si tu m'aimes,
Quand je m'endors je sais plus qui je suis
Et à quoi je sers
Alors si tu m'aimes si j'ai tort
A quoi je sers juste, sers moi fort.
Son interprétation est très touchante, remuante. Ah, elle s'implique à fond !
Cette gamine assise en pleurs que chagrinent de trop grands malheurs, les grandes s'amusent sans elle, exclue de la bande, elle reste toute seule. Une qui commande, des favorites, il parait qu'elle est trop petite, à la marelle y'a des V.I.P., dans les maternelles comme en boîte de nuit. Mais faut pas pleurer, ça va s'arranger...
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?
Le plus triste, le plus dommage, elle le sait pas et c'est de son âge, mais elle-même un jour elle fermera sa porte quand à son tour elle sera la plus forte... Ce garçon assis dans un coin, quinze ans, la tête dans les mains, premier amour, premier chagrin, comme le shampoing, la formule deux en un.Il a beau dire que c'est pas grave, jouer les hommes, faire le brave, la savoir dans les bras d'un autre, ça lui brise le coeur, ça lui ronge le ventre... Mais faut pas pleurer, ça va s'arranger...
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?
Qu'il a pas fini de pleurer, qu'la leçon n'est jamais apprise, mais si ça peut le rassurer, lui-même un jour fera sa valise. Cette femme qui cache ses pleurs, le café coule dans la cuisine, son patron n'était pas fier, faut dégraisser, drôle de régime. Chemise cartonnée, demandes de formations, dossiers bien classés, lettres de motivation, d'un geste elle balaye de tristesse et de rage les fiches de paye, les demandes de stages.
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ?
Puisqu'elle savait déjà, elle le savait mieux que moi, que ça ne va jamais s'arranger, que ça ne f'ra jamais qu'empirer. Ce vieil homme fatigué d'Algérie, qui regrette son Maghreb jour et nuit, tout juste toléré aujourd'hui, faut dire qu' ça fait que trente ans qu'il est ici. Qu'il ne sera jamais propriétaire, qu'il occupe une chambre de bonne, au pays de Voltaire, au pays des lumières et des droits de l'homme. Ce sans-papiers rejeté qui repart, sans même dire au revoir, sans nous dire merci pour le billet de charter gratuit vers la misère de son pays. ça le soulagera sûrement d'apprendre, et faudrait quand même pas qu'il oublie qu'on a gravé Fraternité sur le fronton de nos mairies. Ce taulard emprisonné dans une cellule à six, il devrait en profiter parce que bientôt ils seront dix. Ce malheureux qui dort sur une ventilation de métro, il s'en fout de savoir que je le chante pas assez fort et beaucoup trop faux.
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?
Le plus triste, le plus dommage, elle le sait pas et c'est de son âge, mais elle-même un jour elle fermera sa porte quand à son tour elle sera la plus forte... Ce garçon assis dans un coin, quinze ans, la tête dans les mains, premier amour, premier chagrin, comme le shampoing, la formule deux en un.Il a beau dire que c'est pas grave, jouer les hommes, faire le brave, la savoir dans les bras d'un autre, ça lui brise le coeur, ça lui ronge le ventre... Mais faut pas pleurer, ça va s'arranger...
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Est-ce que tu voulais que j'lui dise, que ça ne f'ra qu'empirer ?
Qu'il a pas fini de pleurer, qu'la leçon n'est jamais apprise, mais si ça peut le rassurer, lui-même un jour fera sa valise. Cette femme qui cache ses pleurs, le café coule dans la cuisine, son patron n'était pas fier, faut dégraisser, drôle de régime. Chemise cartonnée, demandes de formations, dossiers bien classés, lettres de motivation, d'un geste elle balaye de tristesse et de rage les fiches de paye, les demandes de stages.
Qu'est ce que tu voulais que j'lui dise ?
Puisqu'elle savait déjà, elle le savait mieux que moi, que ça ne va jamais s'arranger, que ça ne f'ra jamais qu'empirer. Ce vieil homme fatigué d'Algérie, qui regrette son Maghreb jour et nuit, tout juste toléré aujourd'hui, faut dire qu' ça fait que trente ans qu'il est ici. Qu'il ne sera jamais propriétaire, qu'il occupe une chambre de bonne, au pays de Voltaire, au pays des lumières et des droits de l'homme. Ce sans-papiers rejeté qui repart, sans même dire au revoir, sans nous dire merci pour le billet de charter gratuit vers la misère de son pays. ça le soulagera sûrement d'apprendre, et faudrait quand même pas qu'il oublie qu'on a gravé Fraternité sur le fronton de nos mairies. Ce taulard emprisonné dans une cellule à six, il devrait en profiter parce que bientôt ils seront dix. Ce malheureux qui dort sur une ventilation de métro, il s'en fout de savoir que je le chante pas assez fort et beaucoup trop faux.
et pour rester avec benabar :
T'avais du charme et de l'humour
Mais avec le recul
Plus de prestige, plus de glamour
Elle te trouve même carrément nul
Tes quelques kilos en trop
Qu'elle appelait des poignées d'amour
Maintenant, elle appelle ça être gros
En général, elle te trouve très lourd
C'est quand même un peu curieux
Comme on peut changer aux yeux
Des femmes que l'on quitte
On n'est jamais quittes
Elle voyait au fond de tes yeux
De jolis reflets verts
Que moi j'avais jamais vus
C'est sûrement ça, les yeux d' l'amour
Elle te soutenait dans l'épreuve
Ta calvitie se voyait à peine
Aujourd'hui elle t'appelle le chauve
C'est le plus gentil des surnoms qu'elle te donne
C'est quand même un peu curieux
Comme on peut changer aux yeux
Des femmes qui nous quittent
On n'est jamais quittes
Mais j'ai quand même du mal à croire
Qu'il faut attendre qu'on se sépare
Pour qu'elles nous voient, il était temps,
Tels qu'on est vraiment
On baisse la tête, on r'garde par terre
Faut avouer qu'on n'est pas fier
Mais nous, on savait avant
Nous, on savait avant
Elle n'allait pas jusqu'à prétendre
Que t'étais génial ou cultivé
Mais désormais, à l'entendre,
Tu sais à peine faire tes lacets
Le jour où elles reprennent tout
Plus de reflets verts, c'est tant pis pour nous
Nos défauts redeviennent des défauts
Nos poignées d'amour des kilos en trop
Mais j'ai quand même du mal à croire
Qu'il faut attendre qu'on se sépare
Pour qu'elles nous voient, il était temps,
Tels qu'on est vraiment
On baisse la tête, on regarde par terre
Faut avouer qu'on n'est pas fier
Mais nous, on savait avant
Nous, on savait avant...
T'avais du charme et de l'humour
Mais avec le recul
Plus de prestige, plus de glamour
Elle te trouve même carrément nul
Tes quelques kilos en trop
Qu'elle appelait des poignées d'amour
Maintenant, elle appelle ça être gros
En général, elle te trouve très lourd
C'est quand même un peu curieux
Comme on peut changer aux yeux
Des femmes que l'on quitte
On n'est jamais quittes
Elle voyait au fond de tes yeux
De jolis reflets verts
Que moi j'avais jamais vus
C'est sûrement ça, les yeux d' l'amour
Elle te soutenait dans l'épreuve
Ta calvitie se voyait à peine
Aujourd'hui elle t'appelle le chauve
C'est le plus gentil des surnoms qu'elle te donne
C'est quand même un peu curieux
Comme on peut changer aux yeux
Des femmes qui nous quittent
On n'est jamais quittes
Mais j'ai quand même du mal à croire
Qu'il faut attendre qu'on se sépare
Pour qu'elles nous voient, il était temps,
Tels qu'on est vraiment
On baisse la tête, on r'garde par terre
Faut avouer qu'on n'est pas fier
Mais nous, on savait avant
Nous, on savait avant
Elle n'allait pas jusqu'à prétendre
Que t'étais génial ou cultivé
Mais désormais, à l'entendre,
Tu sais à peine faire tes lacets
Le jour où elles reprennent tout
Plus de reflets verts, c'est tant pis pour nous
Nos défauts redeviennent des défauts
Nos poignées d'amour des kilos en trop
Mais j'ai quand même du mal à croire
Qu'il faut attendre qu'on se sépare
Pour qu'elles nous voient, il était temps,
Tels qu'on est vraiment
On baisse la tête, on regarde par terre
Faut avouer qu'on n'est pas fier
Mais nous, on savait avant
Nous, on savait avant...
L'empire du pire en pire
Loco Locass
Tel un hélico je me suis posé sur le tempo
Pareilles à des pales, mes paroles
Hachurent et déchiquettent
Le vide interstitiel du néant social actuel
Le hic c'est que le politique abdique devant l'économique
Aux temps antiques c'était l'or, qui menait l'art et les gens
Désormais c'est l'âge d'or de l'argent
Dès lors, en termes de changement c'est blanc bonnet, bonnet blanc
La monarchie des marchands, je ne marche plus la dedans
Je refuse obstinément que le globe me gobe globalement
Je ne suis pas d'accord avec l'Accord Multilatéral d'Investissement
Qui traite l'art comme du lard et la culture comme l'agriculture
Avec un pareil AMI pas besoin d'ennemi
Toutes les Nations Unies lui déroulent le tapis
Au nord, au sud, à l'ouest comme à l'est Alea jacta est!
Contemporain, de mon temps, je contemple le temple
De la tentation tentaculaire qui s'étend sans fin mais avec moult moyens
Aux prises avec l'emprise du pire empire aveuglé par la gloire du pouvoir
Je lutte pour ne pas être un gosse du négoce ostentatoire
Auguste avait vu juste : du pain et des jeux à qui mieux mieux rien de mieux -poudre aux yeux-
Pour assurer systématiquement le système en place
Repue, replète, abrutie par le spectacle, la masse
Assommée, qu'on somme de consommer, se consume et cautionne la facilité, citée comme ayant droit de cité dans la cité
Le problème c'est que tous les chemins mènent
À cette orgie gigantesque, dantesque escalade
Sade, lui-même, en aurait été malade Ben Hur urbain, bien sûr
Je circule dans le cirque Maxime au maximum
À Rome je ne fais pas comme les Romains
Ces décadents, condescendants, conquérants, tarés
Tôt ou tard, les Tatars et autres barbares
Dare-dare au cours de la bagarre vont se soumettre à César
Car ses armées métisses, sans armistice
Imposent ses arts et sa langue
Au nord, au sud, à l'ouest comme à l'est Alea jacta est!
À l'instar de Spartacus j'en appelle
À tous les gus qui se sentent sans ascendance sur le sens de leur existence
Esclaves avachis, spectraux, spectateurs, spéculateurs, fucking fat ass
J'ai une telle vision, tellement belle dans laquelle
Nous brisons les chaînes et les câbles avec lesquels
Ces fils de pub nous entubent
Ils vendraient leur mère, si ce n'était déjà fait
Exportent leur camelote avec leurs propres cohortes
Mais quand vient le temps de la réciproque
Ces cloportes nous ferment la porte
Le diable les emporte !
Le culte du plus, l'éloge de l'image, la bébelle embellie
Tout cela m'atterre et me désespère car ma mère la terre se détériore
Attaquée par des terroristes matérialistes
Ils encensent la science, sans se soucier les cons des conséquences de leur inconscience
À l'abri dans leur graisse, ils grimacent dès qu'un grain fait grincer l'engrenage de leur grandeur
Alors ils dégainent leur glaive –toujours à la ceinture en cas de coup dur–
Et transpercent le premier Perce venu
Mais l'ennemi des Romains est à portée de la main
Ce n'est pas le Gaulois, le Goth, le Mongol ou le Phrygien
Non, non, Néron, regarde ton peuple de gros lards
Occupé aux courses de chars, à s'empiffrer, à s'entretuer, à se sexpliquer
Calcule Caligula ! Ton empire ne peut qu'aller de pire en pire et s'autodétruire
Au nord, au sud, à l'ouest comme à l'est Alea jacta est!
Loco Locass
Tel un hélico je me suis posé sur le tempo
Pareilles à des pales, mes paroles
Hachurent et déchiquettent
Le vide interstitiel du néant social actuel
Le hic c'est que le politique abdique devant l'économique
Aux temps antiques c'était l'or, qui menait l'art et les gens
Désormais c'est l'âge d'or de l'argent
Dès lors, en termes de changement c'est blanc bonnet, bonnet blanc
La monarchie des marchands, je ne marche plus la dedans
Je refuse obstinément que le globe me gobe globalement
Je ne suis pas d'accord avec l'Accord Multilatéral d'Investissement
Qui traite l'art comme du lard et la culture comme l'agriculture
Avec un pareil AMI pas besoin d'ennemi
Toutes les Nations Unies lui déroulent le tapis
Au nord, au sud, à l'ouest comme à l'est Alea jacta est!
Contemporain, de mon temps, je contemple le temple
De la tentation tentaculaire qui s'étend sans fin mais avec moult moyens
Aux prises avec l'emprise du pire empire aveuglé par la gloire du pouvoir
Je lutte pour ne pas être un gosse du négoce ostentatoire
Auguste avait vu juste : du pain et des jeux à qui mieux mieux rien de mieux -poudre aux yeux-
Pour assurer systématiquement le système en place
Repue, replète, abrutie par le spectacle, la masse
Assommée, qu'on somme de consommer, se consume et cautionne la facilité, citée comme ayant droit de cité dans la cité
Le problème c'est que tous les chemins mènent
À cette orgie gigantesque, dantesque escalade
Sade, lui-même, en aurait été malade Ben Hur urbain, bien sûr
Je circule dans le cirque Maxime au maximum
À Rome je ne fais pas comme les Romains
Ces décadents, condescendants, conquérants, tarés
Tôt ou tard, les Tatars et autres barbares
Dare-dare au cours de la bagarre vont se soumettre à César
Car ses armées métisses, sans armistice
Imposent ses arts et sa langue
Au nord, au sud, à l'ouest comme à l'est Alea jacta est!
À l'instar de Spartacus j'en appelle
À tous les gus qui se sentent sans ascendance sur le sens de leur existence
Esclaves avachis, spectraux, spectateurs, spéculateurs, fucking fat ass
J'ai une telle vision, tellement belle dans laquelle
Nous brisons les chaînes et les câbles avec lesquels
Ces fils de pub nous entubent
Ils vendraient leur mère, si ce n'était déjà fait
Exportent leur camelote avec leurs propres cohortes
Mais quand vient le temps de la réciproque
Ces cloportes nous ferment la porte
Le diable les emporte !
Le culte du plus, l'éloge de l'image, la bébelle embellie
Tout cela m'atterre et me désespère car ma mère la terre se détériore
Attaquée par des terroristes matérialistes
Ils encensent la science, sans se soucier les cons des conséquences de leur inconscience
À l'abri dans leur graisse, ils grimacent dès qu'un grain fait grincer l'engrenage de leur grandeur
Alors ils dégainent leur glaive –toujours à la ceinture en cas de coup dur–
Et transpercent le premier Perce venu
Mais l'ennemi des Romains est à portée de la main
Ce n'est pas le Gaulois, le Goth, le Mongol ou le Phrygien
Non, non, Néron, regarde ton peuple de gros lards
Occupé aux courses de chars, à s'empiffrer, à s'entretuer, à se sexpliquer
Calcule Caligula ! Ton empire ne peut qu'aller de pire en pire et s'autodétruire
Au nord, au sud, à l'ouest comme à l'est Alea jacta est!
On va se mettre aux anges, de Jean-Louis Murat
dans Lilith
Car tout est baratin
luisant d'humidité
Une rivière dans la gorge
qu'est-ce que je t'avais dit !
On se souvient qu'on aime
par besoin de meurtrir
Hé, garde les yeux clos
On va se mettre aux anges
Nous voilà lieutenant
c'est la sortie d'un bal
Brillante de cyprine
dans son juste milieu
On trouve ça mortel
les lèvres distendues
Salive que nos mots
On veut se mettre aux anges
Du venin dans les rèves
partout ce règne atroce
Etouffant nos émois
de nuit, dans un chiffon
Pour quelques centimètres
muni d'un mousqueton
Hé, garde les yeux clos
On va se mettre aux anges
S'accomplit le désir
par la gent féminine
Par la bouche qui suce
au salut de nos âmes
En stricte intimité
sous ta peau de faïence
Hé, garde les yeux clos
On va se mettre aux anges
Ca faisait longtemps que je ne vous avais pas saoulé avec Murat. C'est bizarre, je n'avais pas trop tilté sur cette chanson à la sortie de Lilith. Elle est pourtant parfaitement équilibré dans le texte, la mélodie et l'interprétation !
dans Lilith
Car tout est baratin
luisant d'humidité
Une rivière dans la gorge
qu'est-ce que je t'avais dit !
On se souvient qu'on aime
par besoin de meurtrir
Hé, garde les yeux clos
On va se mettre aux anges
Nous voilà lieutenant
c'est la sortie d'un bal
Brillante de cyprine
dans son juste milieu
On trouve ça mortel
les lèvres distendues
Salive que nos mots
On veut se mettre aux anges
Du venin dans les rèves
partout ce règne atroce
Etouffant nos émois
de nuit, dans un chiffon
Pour quelques centimètres
muni d'un mousqueton
Hé, garde les yeux clos
On va se mettre aux anges
S'accomplit le désir
par la gent féminine
Par la bouche qui suce
au salut de nos âmes
En stricte intimité
sous ta peau de faïence
Hé, garde les yeux clos
On va se mettre aux anges
Ca faisait longtemps que je ne vous avais pas saoulé avec Murat. C'est bizarre, je n'avais pas trop tilté sur cette chanson à la sortie de Lilith. Elle est pourtant parfaitement équilibré dans le texte, la mélodie et l'interprétation !
DALIDA – TU PEUX TOUT FAIRE DE MOI
Tu peux tout faire de moi puisque c’est toi que j’aime
Te moquer de mes joies et rire de mes peines
Jouer avec mon cœur selon ta fantaisie
Et briser mon bonheur quand tu en as envie
Quand tu es dans mes bras, je suis perdue d’avance
Et pour un mot de toi, rien n’a plus d’importance
Tu tiens entre tes doigts toute mon existence
Tu peux tout faire de moi mais n’en profite pas
Tu peux tout faire de moi lorsque tu le désires
Mais tu m’effraies parfois quand je te vois sourire
Je lis dans tes pensées mieux que tu le supposes
Et j’y crois deviner souvent d’étranges choses
Si je suis prisonnière de l’amour qui m’enchaîne
Toi qui crois dominer tu as aussi tes chaînes
L’amour ne l’oublie pas est si près de la haine
Tu peux tout faire de moi
Mais prend bien garde à toi
Paroles et musique : F. Bonifay, G. Magenta 1957
Tu peux tout faire de moi puisque c’est toi que j’aime
Te moquer de mes joies et rire de mes peines
Jouer avec mon cœur selon ta fantaisie
Et briser mon bonheur quand tu en as envie
Quand tu es dans mes bras, je suis perdue d’avance
Et pour un mot de toi, rien n’a plus d’importance
Tu tiens entre tes doigts toute mon existence
Tu peux tout faire de moi mais n’en profite pas
Tu peux tout faire de moi lorsque tu le désires
Mais tu m’effraies parfois quand je te vois sourire
Je lis dans tes pensées mieux que tu le supposes
Et j’y crois deviner souvent d’étranges choses
Si je suis prisonnière de l’amour qui m’enchaîne
Toi qui crois dominer tu as aussi tes chaînes
L’amour ne l’oublie pas est si près de la haine
Tu peux tout faire de moi
Mais prend bien garde à toi
Paroles et musique : F. Bonifay, G. Magenta 1957
j'adorais quand j'etais ado, cette chanson de Starmania, Ziggy !
j'ai compris de quoi ça parlait qu'un peu tard ...
j'ai compris de quoi ça parlait qu'un peu tard ...
j'adorais quand j'etais ado, cette chanson de Starmania, Ziggy !
j'ai compris de quoi ça parlait qu'un peu tard ...
Je t'ai lu avant de partir bosser et...
J'ai chantonné Ziggy toute la matinée ;o)
La chanson que ma mère chante le plus souvent en faussant:
LE BLUES DU BUSINESSMAN
Claude Dubois
http://www.youtube.com/watch?v=xabzfsQyIZM
J'ai du succès dans mes affaires
J'ai du succès dans mes amours
Je change souvent de secrétaire
J'ai mon bureau en haut d'une tour
D'où je vois la ville à l'envers
D'où je contrôle mon univers
Je passe la moitié de ma vie en l'air
Entre New York et Singapour
Je voyage toujours en première
J'ai ma résidence secondaire
Dans tous les Hilton de la terre
J' peux pas supporter la misère
Au moins es-tu heureux?
J' suis pas heureux mais j'en ai l'air
J'ai perdu le sens de l'humour
Depuis qu' j'ai le sens des affaires
J'ai réussi et j'en suis fier
Au fond, je n'ai qu'un seul regret
J' fais pas ce que j'aurais voulu faire
Qu'est-ce que tu veux mon vieux
Dans la vie on fait ce qu'on peut
Pas ce qu'on veut...
J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l'avion se pose sur la piste
À Rotterdam ou à Rio
J'aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J'aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie (bis)
J'aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleur (bis)
J'aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme un millionnaire (bis)
J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir dire pourquoi j'existe
LE BLUES DU BUSINESSMAN
Claude Dubois
http://www.youtube.com/watch?v=xabzfsQyIZM
J'ai du succès dans mes affaires
J'ai du succès dans mes amours
Je change souvent de secrétaire
J'ai mon bureau en haut d'une tour
D'où je vois la ville à l'envers
D'où je contrôle mon univers
Je passe la moitié de ma vie en l'air
Entre New York et Singapour
Je voyage toujours en première
J'ai ma résidence secondaire
Dans tous les Hilton de la terre
J' peux pas supporter la misère
Au moins es-tu heureux?
J' suis pas heureux mais j'en ai l'air
J'ai perdu le sens de l'humour
Depuis qu' j'ai le sens des affaires
J'ai réussi et j'en suis fier
Au fond, je n'ai qu'un seul regret
J' fais pas ce que j'aurais voulu faire
Qu'est-ce que tu veux mon vieux
Dans la vie on fait ce qu'on peut
Pas ce qu'on veut...
J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l'avion se pose sur la piste
À Rotterdam ou à Rio
J'aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J'aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie (bis)
J'aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleur (bis)
J'aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme un millionnaire (bis)
J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir dire pourquoi j'existe
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