Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Miossec
Que deviens ton poing quand tu tends les doigts
Que deviennent tes larmes quand tu ne les essuies pas
Que devient ton rire la nuit sous d'autres toits
Que deviennent tes lèvres murmurant tout bas
Des mots plein de fièvre à un autre que moi
Disent-elles les mêmes choses que nous deux autrefois
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Que devient mon souvenir quand tu n'y penses pas
Va t'il bientôt mourir comme nous deux autrefois
Quand y'avait tout à salir même toi et moi
Que devient ton coeur quand il pense à moi
Bat-il toujours si vite ou s'est-il mis au pas
Moi je crois qu'il évite de palpiter pour moi
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Que deviennent tes jambes me fuyant rappelle toi
Que deviennent tes cuisses y penser vaut mieux pas
Car sinon je glisse et je ne peux pas aller plus bas
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Que devient tes larmes quand tu n'les essuie pas
Que devient ton rire la nuit sous d'autres toits
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Tout devient possible....
Gros coup de cœur pour cette chanson, pas larmoyante pour un sou, un rythme à bouger juste comme il faut, une énergie que j'aime.
Miossec
Que deviens ton poing quand tu tends les doigts
Que deviennent tes larmes quand tu ne les essuies pas
Que devient ton rire la nuit sous d'autres toits
Que deviennent tes lèvres murmurant tout bas
Des mots plein de fièvre à un autre que moi
Disent-elles les mêmes choses que nous deux autrefois
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Que devient mon souvenir quand tu n'y penses pas
Va t'il bientôt mourir comme nous deux autrefois
Quand y'avait tout à salir même toi et moi
Que devient ton coeur quand il pense à moi
Bat-il toujours si vite ou s'est-il mis au pas
Moi je crois qu'il évite de palpiter pour moi
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Que deviennent tes jambes me fuyant rappelle toi
Que deviennent tes cuisses y penser vaut mieux pas
Car sinon je glisse et je ne peux pas aller plus bas
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Que devient tes larmes quand tu n'les essuie pas
Que devient ton rire la nuit sous d'autres toits
Que devient ton poing quand tu tends les doigts
Tout devient possible....
Gros coup de cœur pour cette chanson, pas larmoyante pour un sou, un rythme à bouger juste comme il faut, une énergie que j'aime.
"Faudrait que je découvre un peu plus Miossec, c'est vraiment bien."
C'est clair !
L'album intégral "Brest of" est sur Deezer.
J'aime beaucoup !
Il te reste à découvrir tous ses CD les une après les autres. Miossec, c'est marrant, la première fois qu'on me l'a ... prescrit, j'ai rejeté. Pouah, trop amer ! Puis lors de la sortie de "1964", j'ai été accroché à la radio par "Je m'en vais" (j'adore vraiment cette chanson), j'ai acheté le CD, je me suis demandé ce qui ne m'avait pas plus et j'ai ensuite tout passé en revue. e ne m'en décroche plus ! Comme en plus chaque fois que je l'ai vu sur scène, ce fut grand (pas lui, il est petit !), ... il va sortir un CD cet automne et conséquemment il attaque une tournée. Il passera forcément par chez toi (plusieurs dates en Bretagne, va voir sur infoconcert), va le voir. c'est une boule de sincérité en même temps qu'un écorché vif.
Tiens, j'avais écrit ça, entre autres sur lui (et Dominique A !).
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Pas grand chose à rajouter à cela sinon que depuis j'ai revus les une et les autres et j'ai vu Camille, pas Françoiz Breut, hélas !
Entre fautes et lettres oubliées ... diable !
en ce jour de la fete des acadiens
http://youtube.com/watch/…
http://youtube.com/watch/…
LA CHANSON DE NORMAN BETHUNE
Refrain :
Camarades, suivons son exemple
Donnons-nous à la révolution
Au service des peuples du monde entier
Bâtissons un monde communiste.
Le 12 novembre 1939
Dans les montagnes du Nord de la Chine
Le docteur Bethune est mort à son poste
Son exemple éclaire notre chemin
Norman Bethune, médecin du peuple
Cherchait la cause de la maladie
Il l’a trouvée, c’est le capitalisme
Bethune est devenu communiste
Refrain
Canadien de citoyenneté
Chirurgien, de par son métier
Son esprit était celui du monde entier
Sa cause, celle de tous les exploités
Il a décidé de se joindre à la lutte
Médecin pour la révolution
Il a choisi de porter sa science
Au service des peuples travailleurs
Refrain
Appuyant le peuple espagnol
Qui s’est levé contre la terreur fasciste
Comme tant d’autres soldats
Bethune est parti pour défendre l’avenir socialiste
Rejoignant le peuple chinois
À la veille de la révolution
Il a sauvé son sang si précieux
En menant la médecine au front
Refrain
Dans une ville du Nord de la Chine
Un hôpital porte son nom
Fils du peuple travailleur
Canadien que le peuple chinois affectionne
La vie de Bethune ressemble à la vie
De tous ceux qui se sont sacrifiés
Pour hâter la révolution
Sa mémoire éclaire notre chemin
Refrain (2 fois)
Refrain :
Camarades, suivons son exemple
Donnons-nous à la révolution
Au service des peuples du monde entier
Bâtissons un monde communiste.
Le 12 novembre 1939
Dans les montagnes du Nord de la Chine
Le docteur Bethune est mort à son poste
Son exemple éclaire notre chemin
Norman Bethune, médecin du peuple
Cherchait la cause de la maladie
Il l’a trouvée, c’est le capitalisme
Bethune est devenu communiste
Refrain
Canadien de citoyenneté
Chirurgien, de par son métier
Son esprit était celui du monde entier
Sa cause, celle de tous les exploités
Il a décidé de se joindre à la lutte
Médecin pour la révolution
Il a choisi de porter sa science
Au service des peuples travailleurs
Refrain
Appuyant le peuple espagnol
Qui s’est levé contre la terreur fasciste
Comme tant d’autres soldats
Bethune est parti pour défendre l’avenir socialiste
Rejoignant le peuple chinois
À la veille de la révolution
Il a sauvé son sang si précieux
En menant la médecine au front
Refrain
Dans une ville du Nord de la Chine
Un hôpital porte son nom
Fils du peuple travailleur
Canadien que le peuple chinois affectionne
La vie de Bethune ressemble à la vie
De tous ceux qui se sont sacrifiés
Pour hâter la révolution
Sa mémoire éclaire notre chemin
Refrain (2 fois)
Amoureuse des textes et de la voix de Nougaro depuis toujours j'ai eu peur quand j'ai su que Mauranne avait décidé de sortir le cd :
"Nougaro ou l'espérance en l'homme"..
Il fallait être une grande pour oser !!
Je trouve que c'est vraiment réussi. Il y a une belle émotion sur certains titres (il faudra voir au bout de plusieurs écoutes, si ça tient..). Mais quel dommage qu'elle se soit fait accompagner par Calogero (pas le même niveau de voix), surtout sur le titre : "Tu verras", un must.
Paroles de "l'espérance en l'homme"
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Dans un siècle où l'horreur batit ses records
Parmi les êtres qu'on a pu rencontrer
Sur le seuil d'un grand rêve ou dans des corridors
Au cours d'une vie
De vertes et de pas mures
A se dire quelquefois que l'monde est foutu
Que l'homme est fou qu'il va droit dans le mur
Il arrive que cette vie si cruelle et tordue
S'ouvre sur un jardin d'odeur
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystère et boule de gomme
Quand l'espérance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Il arrive qu'un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Traversée de voyages au bout de la nuit
A s'dire suffit mais tout de même hantée
Par la mort qui fait l'mort
Et par le temps qui fuit
S'ouvre tout un jardin d'odeurs
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystère et boule de gomme
Quand l'espérance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Il suffit d'une voix
D'un certain regard pour qu'on voit
Un espoir toujours recommencer
Que l'on croit en l'amour planté sans cesse et planté
Dans le cours d'une vie mouvementée
Tout s'pardonne tout se gomme
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre espérance en l'homme
Il arrive qu'un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Tout se gomme se pardonne
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre espérance en l'homme ......
Le titre est disponible sur Deezer. C'est très réussi.
Malgré tout, l'émotion forte restera pour moi liée à Monsieur Nougaro.
Une de mes chansons préférées : L'île Hélène
http://www.youtube.com/watch?v=0-R912s4T28
Assis sur un banc devant l'océan
Devant l'océan égal à lui-même
Un homme pensif, se masse les tifs
Interrogatif, à quoi pense t-il
A quoi pense t-il livré à lui-même
Il pense à son île, son île Hélène
Est-ce que l'île l'aime
Assis sur un banc devant l'océan
L'océan jamais tout à fait le même
Dans le bruit lascif autour des récifs
Que la vague enchaîne
A quoi rêve t il l'éternel bohème
Il rêve à une île dont le littoral
A le pur profil de l'amour total
Assis sur un banc devant l'océan
Devant globalement la terre tout entière
Qui jamais n'enterre ses haches de guerre
Ou si peu si guère que c'est faire semblant
Il pense que le vent fraîchit sur sa joue
Il pense que l'amour sait vous mettre en joue
Ban ban ban
Il pense surtout devant l'océan
Bel esclave bleu qui remue ses chaînes
Il pense à son île à son île Hélène
Est-ce que l'île l'aime
Pense t elle à son il?
"Nougaro ou l'espérance en l'homme"..
Il fallait être une grande pour oser !!
Je trouve que c'est vraiment réussi. Il y a une belle émotion sur certains titres (il faudra voir au bout de plusieurs écoutes, si ça tient..). Mais quel dommage qu'elle se soit fait accompagner par Calogero (pas le même niveau de voix), surtout sur le titre : "Tu verras", un must.
Paroles de "l'espérance en l'homme"
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Dans un siècle où l'horreur batit ses records
Parmi les êtres qu'on a pu rencontrer
Sur le seuil d'un grand rêve ou dans des corridors
Au cours d'une vie
De vertes et de pas mures
A se dire quelquefois que l'monde est foutu
Que l'homme est fou qu'il va droit dans le mur
Il arrive que cette vie si cruelle et tordue
S'ouvre sur un jardin d'odeur
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystère et boule de gomme
Quand l'espérance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Il arrive qu'un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Traversée de voyages au bout de la nuit
A s'dire suffit mais tout de même hantée
Par la mort qui fait l'mort
Et par le temps qui fuit
S'ouvre tout un jardin d'odeurs
Comme en avaient les fleurs
Que l'on avait cru disparu
S'ouvre mystère et boule de gomme
Quand l'espérance en l'homme chantait
Encore dans les champs et les rues ....dans les champs et les rues
Au cours d'une vie
Qui fut mouvementée
Il suffit d'une voix
D'un certain regard pour qu'on voit
Un espoir toujours recommencer
Que l'on croit en l'amour planté sans cesse et planté
Dans le cours d'une vie mouvementée
Tout s'pardonne tout se gomme
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre espérance en l'homme
Il arrive qu'un jardin
Ou qu'un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Tout se gomme se pardonne
Et l'on voit soudain reverdir
Refleurir notre espérance en l'homme ......
Le titre est disponible sur Deezer. C'est très réussi.
Malgré tout, l'émotion forte restera pour moi liée à Monsieur Nougaro.
Une de mes chansons préférées : L'île Hélène
http://www.youtube.com/watch?v=0-R912s4T28
Assis sur un banc devant l'océan
Devant l'océan égal à lui-même
Un homme pensif, se masse les tifs
Interrogatif, à quoi pense t-il
A quoi pense t-il livré à lui-même
Il pense à son île, son île Hélène
Est-ce que l'île l'aime
Assis sur un banc devant l'océan
L'océan jamais tout à fait le même
Dans le bruit lascif autour des récifs
Que la vague enchaîne
A quoi rêve t il l'éternel bohème
Il rêve à une île dont le littoral
A le pur profil de l'amour total
Assis sur un banc devant l'océan
Devant globalement la terre tout entière
Qui jamais n'enterre ses haches de guerre
Ou si peu si guère que c'est faire semblant
Il pense que le vent fraîchit sur sa joue
Il pense que l'amour sait vous mettre en joue
Ban ban ban
Il pense surtout devant l'océan
Bel esclave bleu qui remue ses chaînes
Il pense à son île à son île Hélène
Est-ce que l'île l'aime
Pense t elle à son il?
Maurane a une voix sublime. Malheureusement, elle n'a en général pas de chansons. C'est incroyable qu'aucun auteur ne travaille pour elle.
Alors, si elle chante Nougaro, j'imagine que ça ne peut être que très réussi.
Mais Calogero n'a pas une voix à la hauteur de celle de Maurane, je suis bien d'accord.
Alors, si elle chante Nougaro, j'imagine que ça ne peut être que très réussi.
Mais Calogero n'a pas une voix à la hauteur de celle de Maurane, je suis bien d'accord.
Maurane a une voix sublime.
Bien d'accord Aria. Comme Mélodie Gardot.
Et elle est belle comme un ange tombé du ciel qui se serait posé sur terre sans briser ses ailes. Et ça donne envie de swinguer !! (enfin pas moi aujourd'hui, joli petit nerf coincé, on verra ça plus tard!) Reste l'écoute de cette voix du tonnerre qui semble posée avec une très grande facilité juste là où il faut. Facile quoi !!
http://youtube.com/watch/…
Sans parler de ceci qui ferait se pâmer plus d'un ou plus d'une. On commence à l'entendre un peu partout ... Normal :
http://youtube.com/watch/…
"Sommes-nous" (Alain Bashung, Fantaisie militaire)
J'ai tambouriné tambouriné
Au seuil de sa bonté
Un judas m'a lorgné
Et j’ai pris l'hiver en grippe
Seul m'ont laissé
Les jouets par milliers
Seul m’ont laissé
Tes avances
Sommes-nous la sécheresse
Sommes-nous la vaillance
Ou le dernier coquelicot
J’ai décimé décimé
Des armées de répondeurs
Occupés à se dire
Mes naufrages au saut du lit
Seul m'ont laissé
Nos héros préférés
Seul m'ont laissé
Nos absences
Sommes nous des gonzesses
Sommes-nous de connivence
Ou le dernier coquelicot
Terre promise
Redis-moi ton nom
Dis-moi en face
Que tout s'efface
Sommes-nous la noblesse
Sommes nous les eaux troubles
Sommes-nous le souvenir
J’ai commandé décommandé
De mes yeux la prunelle
Balancé les jumelles
Pour ne garder que le flou
Seul m'ont laissé
Les passions immortelles
Seul m'ont laissé
Nos offenses
Sommes-nous la sécheresse
Sommes-nous la noblesse
Sommes-nous les eaux troubles
Sommes-nous le souvenir
Sommes-nous
Sommes nous ...
J'ai tambouriné tambouriné
Au seuil de sa bonté
Un judas m'a lorgné
Et j’ai pris l'hiver en grippe
Seul m'ont laissé
Les jouets par milliers
Seul m’ont laissé
Tes avances
Sommes-nous la sécheresse
Sommes-nous la vaillance
Ou le dernier coquelicot
J’ai décimé décimé
Des armées de répondeurs
Occupés à se dire
Mes naufrages au saut du lit
Seul m'ont laissé
Nos héros préférés
Seul m'ont laissé
Nos absences
Sommes nous des gonzesses
Sommes-nous de connivence
Ou le dernier coquelicot
Terre promise
Redis-moi ton nom
Dis-moi en face
Que tout s'efface
Sommes-nous la noblesse
Sommes nous les eaux troubles
Sommes-nous le souvenir
J’ai commandé décommandé
De mes yeux la prunelle
Balancé les jumelles
Pour ne garder que le flou
Seul m'ont laissé
Les passions immortelles
Seul m'ont laissé
Nos offenses
Sommes-nous la sécheresse
Sommes-nous la noblesse
Sommes-nous les eaux troubles
Sommes-nous le souvenir
Sommes-nous
Sommes nous ...
Patrick Topaloff et Sim
OÙ EST MA CHEMISE GRISE
http://www.youtube.com/watch?v=OslFNcMwYYY
PATRICK: Depuis que je danse comme Travolta
Toutes les nanas tombent dans mes bras
Alors bébé, accroche-toi ah!
Et trouves la moi!
SIM: Je l'ai repassée, je l'ai pliée
Je l'ai pourtant bien rangée
T'en vas pas, pas comme ça
Je vais jamais la retrouver
PATRICK: Trouve-la moi, trouve-la moi
Un point c'est tout
Où l'as-tu mise? où l'as-tu mise?
Ouh ouh ouh
SIM: Où est-ce que je l'ai mise?
Où est-ce que je l'ai mise?
Ouh ouh ouh
PATRICK: Où est ma chemise grise?
Où est ma chemise grise?
Ouh ouh ouh
Si tu la retrouves pas
Prend-garde à toi!
Si tu veux, je peux essayer
Je peux me coiffer, je peux me maquiller
Comme Olivia, ne t'en vas pas
Reste avec moi
PATRICK: On verra, j'attends pas
SIM: Il attend pas
Je ferais n'importe quoi
PATRICK: T'as intérêt à t'aligner
SIM: À m'aligner,
Je ferais n'importe quoi pour toi
PATRICK: si non je te laisse tomber
Où l'as-tu mise? où l'as-tu mise?
Ouh ouh ouh
SIM: Où est-ce que je l'ai mise?
Où est-ce que je l'ai mise?
Ouh ouh ouh
PATRICK: Où est ma chemise grise?
Où est ma chemise grise?
Ouh ouh ouh
Si tu la retrouves pas
Prend-garde à toi!
Où l'as-tu mise? où l'as-tu mise?
Ouh ouh ouh
SIM: Où est-ce que je l'ai mise?
Où est-ce que je l'ai mise?
Ouh ouh ouh
PATRICK: Où est ma chemise grise?
Où est ma chemise grise?
Ouh ouh ouh
Si tu la retrouves pas
Prend-garde à toi!
AD LIB
OÙ EST MA CHEMISE GRISE
http://www.youtube.com/watch?v=OslFNcMwYYY
PATRICK: Depuis que je danse comme Travolta
Toutes les nanas tombent dans mes bras
Alors bébé, accroche-toi ah!
Et trouves la moi!
SIM: Je l'ai repassée, je l'ai pliée
Je l'ai pourtant bien rangée
T'en vas pas, pas comme ça
Je vais jamais la retrouver
PATRICK: Trouve-la moi, trouve-la moi
Un point c'est tout
Où l'as-tu mise? où l'as-tu mise?
Ouh ouh ouh
SIM: Où est-ce que je l'ai mise?
Où est-ce que je l'ai mise?
Ouh ouh ouh
PATRICK: Où est ma chemise grise?
Où est ma chemise grise?
Ouh ouh ouh
Si tu la retrouves pas
Prend-garde à toi!
Si tu veux, je peux essayer
Je peux me coiffer, je peux me maquiller
Comme Olivia, ne t'en vas pas
Reste avec moi
PATRICK: On verra, j'attends pas
SIM: Il attend pas
Je ferais n'importe quoi
PATRICK: T'as intérêt à t'aligner
SIM: À m'aligner,
Je ferais n'importe quoi pour toi
PATRICK: si non je te laisse tomber
Où l'as-tu mise? où l'as-tu mise?
Ouh ouh ouh
SIM: Où est-ce que je l'ai mise?
Où est-ce que je l'ai mise?
Ouh ouh ouh
PATRICK: Où est ma chemise grise?
Où est ma chemise grise?
Ouh ouh ouh
Si tu la retrouves pas
Prend-garde à toi!
Où l'as-tu mise? où l'as-tu mise?
Ouh ouh ouh
SIM: Où est-ce que je l'ai mise?
Où est-ce que je l'ai mise?
Ouh ouh ouh
PATRICK: Où est ma chemise grise?
Où est ma chemise grise?
Ouh ouh ouh
Si tu la retrouves pas
Prend-garde à toi!
AD LIB
Merci Saule. Je m'en souviens comme si c'était hier... De l'art d'être heureux en prenant le risque de passer pour ridicule . Virginia Woolf a dit "A quoi bon écrire si on ne se rend pas ridicule"? Sim aurait pu dire quelque chose comme "A quoi bon vivre si on ne se rend pas ridicule ?".. pour notre plus grand plaisir !!
Une chanson à mettre presque sur le même pied que "Il est laid le lavabo, il est beau le bidet".
Et Sim avait sa place dans les ballets du XXème Siècle et à l'Académie française, vraiment !
;-))
Et Sim avait sa place dans les ballets du XXème Siècle et à l'Académie française, vraiment !
;-))
A vrai dire, ce fil lancé par Tistou attend-il des nouveautés ou est-on le bienvenu à mettre ici des textes (chansons) anciens ?
A défaut de le savoir (pff, j'aurais pu aller voir la première page, la flemme..)
Art Mengo (je crois que le texte est de P. Guirao)
A provoquer le temps, à bâtir des galères
A déchirer le vent, à retenir la mer
Comment courir vers le vent du grand large ?
A nouer son mouchoir pour penser à aimer
le dénouer le soir pour ne pas s'oublier
Comment courir vers le vent du grand large ?
Où trouver les violons perdus le long des plages ?
Et l'éclat des chansons décrochées des nuages
A briser les miroirs au galop de l'été
A jeter sur le soir des galets fatigués
Comment coucher, sur le lit des rivières
Comment redevenir le flambeau des batailles
L'horizon des désirs, des barrières de corail
Comment courir, vers le vent du grand large ?
Où trouver les violons perdus le long des plages ?
Et l'éclat des chansons décrochées des nuages
Comment courir encore vers le vent du grand large
Fouler le long des plages les jardins de l'aurore
Et quand revient le soir renouer son mouchoir
Et pour ne plus se voir éclater les miroirs
Où trouver les violons perdus le long des plages ?
Et l'éclat des chansons décrochées des nuages
Comment courir encore vers le vent du grand large
Fouler le long des plages les jardins de l'aurore
Et quand revient le soir renouer son mouchoir
Et pour ne plus se voir éclater les miroirs
comment...
Pas de musique (mauvaise vidéo sur you tube) par contre elle se trouve sur Deezer.
A défaut de le savoir (pff, j'aurais pu aller voir la première page, la flemme..)
Art Mengo (je crois que le texte est de P. Guirao)
A provoquer le temps, à bâtir des galères
A déchirer le vent, à retenir la mer
Comment courir vers le vent du grand large ?
A nouer son mouchoir pour penser à aimer
le dénouer le soir pour ne pas s'oublier
Comment courir vers le vent du grand large ?
Où trouver les violons perdus le long des plages ?
Et l'éclat des chansons décrochées des nuages
A briser les miroirs au galop de l'été
A jeter sur le soir des galets fatigués
Comment coucher, sur le lit des rivières
Comment redevenir le flambeau des batailles
L'horizon des désirs, des barrières de corail
Comment courir, vers le vent du grand large ?
Où trouver les violons perdus le long des plages ?
Et l'éclat des chansons décrochées des nuages
Comment courir encore vers le vent du grand large
Fouler le long des plages les jardins de l'aurore
Et quand revient le soir renouer son mouchoir
Et pour ne plus se voir éclater les miroirs
Où trouver les violons perdus le long des plages ?
Et l'éclat des chansons décrochées des nuages
Comment courir encore vers le vent du grand large
Fouler le long des plages les jardins de l'aurore
Et quand revient le soir renouer son mouchoir
Et pour ne plus se voir éclater les miroirs
comment...
Pas de musique (mauvaise vidéo sur you tube) par contre elle se trouve sur Deezer.
"flammes à lunettes'", de dionysos, chanté avec Olivia Ruiz (dispo sur deeser), extrait de l'album "La mécanique du cœur", qui accompagne le livre de Mathias Malzieu.
J'ai perdu mes lunettes
Enfin j'ai pas voulu les mettre
Elles me font une drôle de tête
Une tête de flamme à lunette.
OH petite allumette
C'est dangereux d'être coquette
Au point de n'en faire qu'à sa tête
Quand ça peux vous coûtez les yeux
Je me fou
D'y voir flou
Je n'ai pas besoin de lunette
Pour embrasser et chanter
J'préfère garder les yeux fermés
Oh, mon petit incendie
Laissez-moi croquer vos habits
Les déchiqueter à belles dents
Les recracher en confettis
Pour vous embrassez sous une pluie...
De confettis ?
Oui, allons y.
Je n'y vois que du feu
En quelques pas seulement
Je peux me perdre au loin
Si loin dans ma rue
Et même que je n'ose plus
Regarder le soleil
N'y regarder le ciel
Droit dans les yeux
Je n'y vois que du feu
Je vous guiderai
A l'extérieur de votre tête
Je serai votre paire de lunette
Vous seriez mon allumette.
Il me faut vous faire un aveu
Je vous entends mais je n'pourrai
Jamais vous reconnaître
Même assis entre deux petits vieux.
On se frottera
L'un contre l'être
A s'en faire cramer le squelette
Et à l'horloge de mon cœur
A minuit pile on prendra feu
Pas même besoin d'ouvrir les yeux
Je sais je suis une flamme de tête
Mais quand la musique s'arrête
J'ai du mal à rouvrir les yeux
Je m'enflamme allumette
Mes paupières brûlent de mille feux
A en écraser mes lunettes
Sans penser à rouvrir les yeux.
Elle danse comme un oiseau
En équilibre,
Sur ses petits talons aiguilles
Ses pieds commencent à s'emmêler
Son joli nez viens de s'écraser
Sur le pavé.
Je me fracasse la tête
Contre les arbres dont les feuilles bleues
Semblent plantées dans les cieux
Ils sont ce que l'on confond le mieux
Avec les cieux
C'est merveilleux
les arbres bleus.
Je n'y vois que du feu
En quelques pas seulement
Je peux me perdre au loin
Si loin dans ma rue
Et même que je n'ose plus
Regarder le soleil
N'y regarder le ciel
Droit dans les yeux
Je n'y vois que du feu (X2)
J'ai perdu mes lunettes
Enfin j'ai pas voulu les mettre
Elles me font une drôle de tête
Une tête de flamme à lunette.
OH petite allumette
C'est dangereux d'être coquette
Au point de n'en faire qu'à sa tête
Quand ça peux vous coûtez les yeux
Je me fou
D'y voir flou
Je n'ai pas besoin de lunette
Pour embrasser et chanter
J'préfère garder les yeux fermés
Oh, mon petit incendie
Laissez-moi croquer vos habits
Les déchiqueter à belles dents
Les recracher en confettis
Pour vous embrassez sous une pluie...
De confettis ?
Oui, allons y.
Je n'y vois que du feu
En quelques pas seulement
Je peux me perdre au loin
Si loin dans ma rue
Et même que je n'ose plus
Regarder le soleil
N'y regarder le ciel
Droit dans les yeux
Je n'y vois que du feu
Je vous guiderai
A l'extérieur de votre tête
Je serai votre paire de lunette
Vous seriez mon allumette.
Il me faut vous faire un aveu
Je vous entends mais je n'pourrai
Jamais vous reconnaître
Même assis entre deux petits vieux.
On se frottera
L'un contre l'être
A s'en faire cramer le squelette
Et à l'horloge de mon cœur
A minuit pile on prendra feu
Pas même besoin d'ouvrir les yeux
Je sais je suis une flamme de tête
Mais quand la musique s'arrête
J'ai du mal à rouvrir les yeux
Je m'enflamme allumette
Mes paupières brûlent de mille feux
A en écraser mes lunettes
Sans penser à rouvrir les yeux.
Elle danse comme un oiseau
En équilibre,
Sur ses petits talons aiguilles
Ses pieds commencent à s'emmêler
Son joli nez viens de s'écraser
Sur le pavé.
Je me fracasse la tête
Contre les arbres dont les feuilles bleues
Semblent plantées dans les cieux
Ils sont ce que l'on confond le mieux
Avec les cieux
C'est merveilleux
les arbres bleus.
Je n'y vois que du feu
En quelques pas seulement
Je peux me perdre au loin
Si loin dans ma rue
Et même que je n'ose plus
Regarder le soleil
N'y regarder le ciel
Droit dans les yeux
Je n'y vois que du feu (X2)
Les chiens de paille, de Miossec
dans "Finistériens"
Les hommes qui travaillent
Qui ne sont plus que chiens de paille
Qui émergent au petit jour
D'un sommeil un peu trop lourd
De la poussière plein les paupières
Et le souffle un peu trop court
Les hommes qui travaillent
Qui se réveillent vaille que vaille
Travailler
Pour qui
Pour quoi
Pour quel résultat
Pour quelle vie tu crois
Donner sa vie
A qui
A quoi
Pour quel résultat
Pour quel patronat
Travailler
Pour qui
Pour quoi
Comment fait-on
Pour tout prendre sur soi
On ne se voyait pas comme ça
Peut-être pas comme au cinéma
Mais quand même un peu plus beau et surtout un peu plus fier
Et même un peu plus grand parfois
Si je te le dis est-ce que tu me crois
Je n'en peux plus de cette vie là
Je craquerai avant la fin du mois
Travailler
Pour qui
Pour quoi
Comment fait-on
Pour quel résultat
Donner sa vie
A qui
A quoi
Pour quel résultat
Pour quel patronat
Magnifique chanson dans un magnifique CD "Finistériens". Produit par Yann Tiersen, arrangements minimaux. Un piano mélancolique là derrière, un peu de percus, une basse probablement, en sourdine. Une belle réussite et, oui ; "comment fait-on pour en arriver là ?" Il a raison.
On peut l'écouter là, en allant chercher la rubrique "A l'écoute" et en cliquant sur "Les chiens de paille".
http://christophemiossec.com/cms/spip.php/…
dans "Finistériens"
Les hommes qui travaillent
Qui ne sont plus que chiens de paille
Qui émergent au petit jour
D'un sommeil un peu trop lourd
De la poussière plein les paupières
Et le souffle un peu trop court
Les hommes qui travaillent
Qui se réveillent vaille que vaille
Travailler
Pour qui
Pour quoi
Pour quel résultat
Pour quelle vie tu crois
Donner sa vie
A qui
A quoi
Pour quel résultat
Pour quel patronat
Travailler
Pour qui
Pour quoi
Comment fait-on
Pour tout prendre sur soi
On ne se voyait pas comme ça
Peut-être pas comme au cinéma
Mais quand même un peu plus beau et surtout un peu plus fier
Et même un peu plus grand parfois
Si je te le dis est-ce que tu me crois
Je n'en peux plus de cette vie là
Je craquerai avant la fin du mois
Travailler
Pour qui
Pour quoi
Comment fait-on
Pour quel résultat
Donner sa vie
A qui
A quoi
Pour quel résultat
Pour quel patronat
Magnifique chanson dans un magnifique CD "Finistériens". Produit par Yann Tiersen, arrangements minimaux. Un piano mélancolique là derrière, un peu de percus, une basse probablement, en sourdine. Une belle réussite et, oui ; "comment fait-on pour en arriver là ?" Il a raison.
On peut l'écouter là, en allant chercher la rubrique "A l'écoute" et en cliquant sur "Les chiens de paille".
http://christophemiossec.com/cms/spip.php/…
Magnifique chanson dans un magnifique CD "Finistériens". Produit par Yann Tiersen, arrangements minimaux. Un piano mélancolique là derrière, un peu de percus, une basse probablement, en sourdine. Une belle réussite et, oui ; "comment fait-on pour en arriver là ?" Il a raison.
On peut l'écouter là, en allant chercher la rubrique "A l'écoute" et en cliquant sur "Les chiens de paille".
http://christophemiossec.com/cms/spip.php/…
Merci Tistou !!!!
Piano mélancolique dis-tu oh oui !!!
Tiersen c'est d'un beau !!
Avec un peu de chance, il la chantera ce soir ....:)))
Re-veinarde, Garance !
Je ne sais pas si toi aussi tu as été surprise de la taille du bonhomme. Je le voyais comme un roc, solide. Il n'est pas costaud, semble fragile ... bon, pas à l'intérieur, ça c'est clair. Un bloc de tendresse et de sensibilité déterminée !
Je ne sais pas si toi aussi tu as été surprise de la taille du bonhomme. Je le voyais comme un roc, solide. Il n'est pas costaud, semble fragile ... bon, pas à l'intérieur, ça c'est clair. Un bloc de tendresse et de sensibilité déterminée !
Une autre tite pour la route, une qui m'interpelle (et pour cause) mais pour laquelle j'ai un peu de mal à déterminer le sens profond ?
Les joggers du dimanche, de Miossec
dans "Finistériens"
A quoi pensent les joggers du dimanche
Quand à petites foulées ils avancent
A la semaine passée
Ou à celle qui se présente
A la prochaine montée
Quand ils dévalent leur pente
A quoi pensent les joggers du dimanche
Calculent-ils les minutes et les secondes
Qui les approchent de la fin du monde
Est-ce pour quitter le foyer
Ou pour la joie d’y retourner
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Après quoi courons-nous
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
Après quoi courons-nous tous les dimanches
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
A quoi pensent les joggers du dimanche
Regardent-ils toujours la cime des peupliers
Ou bien ont-ils les yeux fixés
Sur les surfaces goudronnées
Ont-ils en tête l’envie de tuer
Ou est-ce juste l’envie de s’épuiser
Veulent-ils s’alléger de leur poids
Ou ne font-ils que compter compter leurs pas
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Après quoi courons-nous
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
En pensant aux joggers du dimanche
Aux joggers du dimanche
Les joggers du dimanche
Je pense à toi et je pense à eux
Refont-ils toujours le même trajet
Avec leurs petites foulées
Finissent-ils toujours par sprinter
Ou se laissent-ils relâcher
Est-ce que ça soulage leur conscience
Est-ce que ça donne à leur vie un peu de sens
Très belle chanson, là encore (y en a-t-il de Miossec qui n'en soit pas une fois qu'on a mordu à son style ?), dont on peut écouter un extrait là (aller "à l'écoute" et cliquer sue "Les joggers ...")
http://christophemiossec.com/cms/spip.php/…
Les joggers du dimanche, de Miossec
dans "Finistériens"
A quoi pensent les joggers du dimanche
Quand à petites foulées ils avancent
A la semaine passée
Ou à celle qui se présente
A la prochaine montée
Quand ils dévalent leur pente
A quoi pensent les joggers du dimanche
Calculent-ils les minutes et les secondes
Qui les approchent de la fin du monde
Est-ce pour quitter le foyer
Ou pour la joie d’y retourner
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Après quoi courons-nous
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
Après quoi courons-nous tous les dimanches
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
A quoi pensent les joggers du dimanche
Regardent-ils toujours la cime des peupliers
Ou bien ont-ils les yeux fixés
Sur les surfaces goudronnées
Ont-ils en tête l’envie de tuer
Ou est-ce juste l’envie de s’épuiser
Veulent-ils s’alléger de leur poids
Ou ne font-ils que compter compter leurs pas
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Après quoi courons-nous
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
En pensant aux joggers du dimanche
Aux joggers du dimanche
Les joggers du dimanche
Je pense à toi et je pense à eux
Refont-ils toujours le même trajet
Avec leurs petites foulées
Finissent-ils toujours par sprinter
Ou se laissent-ils relâcher
Est-ce que ça soulage leur conscience
Est-ce que ça donne à leur vie un peu de sens
Très belle chanson, là encore (y en a-t-il de Miossec qui n'en soit pas une fois qu'on a mordu à son style ?), dont on peut écouter un extrait là (aller "à l'écoute" et cliquer sue "Les joggers ...")
http://christophemiossec.com/cms/spip.php/…
"A vrai dire, ce fil lancé par Tistou attend-il des nouveautés ou est-on le bienvenu à mettre ici des textes (chansons) anciens ?"
Uniquement celles qu'on aime et qu'on trouve belles !
Uniquement celles qu'on aime et qu'on trouve belles !
Une autre tite pour la route, une qui m'interpelle (et pour cause) mais pour laquelle j'ai un peu de mal à déterminer le sens profond ?
Les joggers du dimanche, de Miossec
dans "Finistériens"
A quoi pensent les joggers du dimanche
Quand à petites foulées ils avancent
A la semaine passée
Ou à celle qui se présente
A la prochaine montée
Quand ils dévalent leur pente
A quoi pensent les joggers du dimanche
Calculent-ils les minutes et les secondes
Qui les approchent de la fin du monde
Est-ce pour quitter le foyer
Ou pour la joie d’y retourner
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Après quoi courons-nous
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
Après quoi courons-nous tous les dimanches
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
A quoi pensent les joggers du dimanche
Regardent-ils toujours la cime des peupliers
Ou bien ont-ils les yeux fixés
Sur les surfaces goudronnées
Ont-ils en tête l’envie de tuer
Ou est-ce juste l’envie de s’épuiser
Veulent-ils s’alléger de leur poids
Ou ne font-ils que compter compter leurs pas
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Après quoi courons-nous
C’est la question qui me démange
Tous les dimanches
Tous les dimanches
Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
En pensant aux joggers du dimanche
Aux joggers du dimanche
Les joggers du dimanche
Je pense à toi et je pense à eux
Refont-ils toujours le même trajet
Avec leurs petites foulées
Finissent-ils toujours par sprinter
Ou se laissent-ils relâcher
Est-ce que ça soulage leur conscience
Est-ce que ça donne à leur vie un peu de sens
Très belle chanson, là encore (y en a-t-il de Miossec qui n'en soit pas une fois qu'on a mordu à son style ?), dont on peut écouter un extrait là (aller "à l'écoute" et cliquer sue "Les joggers ...")
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Celle-là aussi il l'a chantée hier soir. Et j'aime beaucoup ces paroles.
Qui sommes-nous ? Qu'y-a t'il derrière une attitude, une habitude humains partagée par ici les joggeurs ?
Tous identiques dans ce qui est montré à voir mais que se cache-t'il derrière des pas identiques ?
Ne t'es-tu jamais posé la question ? Moi si. En regardant une terrasse pleine de monde, en regardant les gens marcher dans la rue, sortir du cinéma, prendre le bus. Tant de pensées différentes concentrées ici derrière des gestes qui laisseraient penser que tous sont dans la même dynamique. Bien évidemment que non. L'unicité de chacun est là, caché dans les pensées. Mais tous embarqués dans la même galère
"Je pense à toi et je pense à eux
Et je pense à nous et j’ai le coeur qui flanche
Après quoi courons-nous tous les dimanches
C’est la question qui me démange"
Ou alors le sens de la vie, encore et toujours, plus simplement.
C'est mon interprétation car chacun nous n'entendons que ce que nous pouvons par rapport à nos vécus.
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