Je comprends le sérieux des arguments, mais je ne suis pas certain de vouloir me passer définitivement de ce fameux menu lyonnais avec son tablier de sapeur, son saucisson brioché, ses grattons avec un verre de Beaujolais...
Ni moi d'un potjevleesch suivi d'une carbonade flamande arrosée d'une bière des Trois Monts.
Cela dit, au quotidien, on aurait sans doute tout à gagner à se passer de barbaque sous cellophane et de plats préparés à base de viandes en sauce...
Cela dit, au quotidien, on aurait sans doute tout à gagner à se passer de barbaque sous cellophane et de plats préparés à base de viandes en sauce...
Idem...Alors, d'après l'auteur, je tends vers le flexitarien : quelqu'un qui ne supprime pas la viande mais qui réduit sa consommation quand même...
J'ai choisi ce titre exprès : personnellement, je ne renonce pas à la bonne chère, je renonce à la mauvaise. Manger végétarien pendant la semaine et m'offrir un boudin aux pommes le samedi soir, oui.
Et toutes ces spécialités lyonnaises qui me manquent... L'andouillette passe en position deux après le saucisson brioché effectivement...C'est l'équivalent de la madeleine de Proust...
J'ai choisi ce titre exprès : personnellement, je ne renonce pas à la bonne chère, je renonce à la mauvaise. Manger végétarien pendant la semaine et m'offrir un boudin aux pommes le samedi soir, oui.
Et toutes ces spécialités lyonnaises qui me manquent... L'andouillette passe en position deux après le saucisson brioché effectivement...C'est l'équivalent de la madeleine de Proust...
Assez d'accord avec toi Yotoga, on peut diminuer les produits de qualité moyenne (bon pour le porte monnaie et la santé) et se faire plaisir avec de bons produits de temps en temps...
J'ai quelques bonnes adresses ici, en particulier pour avoir un excellent boudin, puisque tu en parles...
J'ai quelques bonnes adresses ici, en particulier pour avoir un excellent boudin, puisque tu en parles...
... Une carbonnade flamande arrosée d'une bière des Trois Monts !
Heureusement que j'ai pris un bon petit déjeuner ce matin, cela aurait pu me donner envie de manger... et boire un coup !
Heureusement que j'ai pris un bon petit déjeuner ce matin, cela aurait pu me donner envie de manger... et boire un coup !
L'abus nuit en tout : la consommation de viande en fait partie.
Je dois être comme toi, Yotoga : flexitarienne.
On n'est pas des grands mangeurs de bidoche, chez moi, mais dire adieu au boudin compote s'apparente encore à de l'hérésie. ;-D
Ce que je trouve des plus terribles dans tout ça, c'est l'impact écologique et l'hypocrisie de ces surproductions (soi-disant,à la base, pour réduire la faim dans le monde, je rigole).
Cfr cette fameuse folie des vaches à hublots (oui oui, vous avez bien lu!!)
http://agoravox.fr/actualites/environnement/…
Et sans parler du gaspillage...
Je dois être comme toi, Yotoga : flexitarienne.
On n'est pas des grands mangeurs de bidoche, chez moi, mais dire adieu au boudin compote s'apparente encore à de l'hérésie. ;-D
Ce que je trouve des plus terribles dans tout ça, c'est l'impact écologique et l'hypocrisie de ces surproductions (soi-disant,à la base, pour réduire la faim dans le monde, je rigole).
Cfr cette fameuse folie des vaches à hublots (oui oui, vous avez bien lu!!)
http://agoravox.fr/actualites/environnement/…
Et sans parler du gaspillage...
Ma consommation globale de nourriture ayant sérieusement diminuée, je ne me sens pas l'envie de me priver de mon petit bout de viande quotidien (ou de poisson).
J'ai testé au printemps un séjour lyonnais avec passage obligé par les bouchons, c'est tout de même sympa.
J'ai testé au printemps un séjour lyonnais avec passage obligé par les bouchons, c'est tout de même sympa.
"l’amour de la viande est culturel et pas naturel"
Pour le coup, c'est exactement le contraire. C'est notamment le passage à un régime carné qui marque la la transition entre l'australopithèque végétarien et l'homme omnivore. Après peut considérer que la culture devrait corriger la nature (même si personnellement j'aurais tendance à trouver ça dommage).
Pour le coup, c'est exactement le contraire. C'est notamment le passage à un régime carné qui marque la la transition entre l'australopithèque végétarien et l'homme omnivore. Après peut considérer que la culture devrait corriger la nature (même si personnellement j'aurais tendance à trouver ça dommage).
Ah ben ça m'avait aussi fortement étonné cette affirmation. Elle est donc fausse, ça me semblait bien.
Moi ce qui m'empêche d’être végétarien, outre le boeuf saignant, c'est le chorizo : comment vivre sans chorizo ? Et les rillettes, le foie de canard ?
Moi ce qui m'empêche d’être végétarien, outre le boeuf saignant, c'est le chorizo : comment vivre sans chorizo ? Et les rillettes, le foie de canard ?
Enfin, un forum qui sent bon !
Moi je mange tout ce qui bouge pourvu que ce soit cuisiné avec amour. Aux abris !
Enfin, un forum qui sent bon !
Tu dis ça à cause des vaches à hublots et de l'étude sur leurs flatulences?
Moi je mange tout ce qui bouge pourvu que ce soit cuisiné avec amour. Aux abris !
Pareil!
Ce que je n'aime pas, on peut le compter sur les doigts d'une main :-)
Quand j'étais étudiante à Strasbourg, le père d'une copine adorait m'inviter à manger et m'attendait comme le messie pour pouvoir manger, (entre autres!!) des tripes. "Avec mes femmes qui n'aiment rrrien, tou comprrrends, jé né peux pas fairre dé la bouffe comme j'aimerrrais. Avec toi, au moins..." (il est italien)
Je ne l'ai pas revu depuis...ouh là là, 25 ans. Ma copine m'a dit l'autre jour que j'avais le bonjour de son père....et que c'était quand je voulais pour des tripes chez lui. Que je dis toujours que je vais venir et que je ne viens jamais. Qu'il le regrette fortement.
Petite minute SJBienne... ;-)
Mais je m'égare.Je suis une viandarde dans l'âme. Mais j'essaie effectivement de privilégier la qualité à la quantité, j'ai découvert le quinoa, les céréales etc. qui remplacent les protéines animales alors j'essaie d'alterner.
Mais je ne pourrai jamais renoncer à une entrecôte de boeuf (ma viande préférée), c'est pas possible.
Mais je ne pourrai jamais renoncer à une entrecôte de boeuf (ma viande préférée), c'est pas possible.
Mais je ne pourrai jamais renoncer à une entrecôte de boeuf (ma viande préférée), c'est pas possible.J'adore, et la côte, et même la basse-côte. (Le rumsteak, le filet et le faux-filet me laissent froid, en revanche.)
Et une belle tranche de hampe ! Que du bonheur !!!
le filet et le faux-filet me laissent froid, en revanche.)
Tu devrais faire un tour en Argentine et goûter un bife de lomo (filet) ou de chorizo (faux-filet) grillé à l'asado en le faisant revenir dans son propre gras, Feint, tu reviendras changé !
Yotoga, j'ai lu ta critique en diagonale, mais je crois qu'en disant "Il omet de parler des champs de soja qui aussi polluent les nappes phréatiques…" tu commets une bévue: la production massive de soja ne se fait pas pour nourrir les végétariens, mais pour nourrir les animaux qui nourrissent les humains (et je pense que je mange moins qu'une vache... ihihi).
Depuis environ six mois j'ai arrêté la viande. Déjà parce qu'avec un budget d'étudiante, pas évident d'acheter les produits de qualité dont vous parlez. Et surtout parce que ça me rendait chèvre (!) de me dire que j'ajoutais ma pierre, même minuscule, à une industrie qui je pense ne rend pas service à notre planète. Le fait d'arrêter net, et pas juste d'adapter et d'acheter plus raisonnable, tenant à dire vrai plus de l'ordre du défi qu'autre chose (on est une tête de mule (!) ou on ne l'est pas). Etant donné que je n'éprouve jamais de pulsions dirigées vers le carné, je ne suis pas prête d'y renoncer. Mais jamais ô grand jamais je ne m'étalerai sur le sujet (mmmoui, sauf ici) et n'enjoindrai quiconque à suivre cette voie. Personnel, le choix.
Depuis environ six mois j'ai arrêté la viande. Déjà parce qu'avec un budget d'étudiante, pas évident d'acheter les produits de qualité dont vous parlez. Et surtout parce que ça me rendait chèvre (!) de me dire que j'ajoutais ma pierre, même minuscule, à une industrie qui je pense ne rend pas service à notre planète. Le fait d'arrêter net, et pas juste d'adapter et d'acheter plus raisonnable, tenant à dire vrai plus de l'ordre du défi qu'autre chose (on est une tête de mule (!) ou on ne l'est pas). Etant donné que je n'éprouve jamais de pulsions dirigées vers le carné, je ne suis pas prête d'y renoncer. Mais jamais ô grand jamais je ne m'étalerai sur le sujet (mmmoui, sauf ici) et n'enjoindrai quiconque à suivre cette voie. Personnel, le choix.
Ah ben ça m'avait aussi fortement étonné cette affirmation. Elle est donc fausse, ça me semblait bien.
Moi ce qui m'empêche d’être végétarien, outre le boeuf saignant, c'est le chorizo : comment vivre sans chorizo ? Et les rillettes, le foie de canard ?
Et les rillettes de chorizo, alors ? ;-)
Pas trop de viande de boeuf pour moi, ou alors en sauce, type carbonade de Guigomas.
Je préfère la volaille, à choisir, ou le poisson, mais je dérive lentement vers l'alimentation végétarienne, pas par idéologie, mais par goût. Les légumes secs sont mes nouveaux amis.
(Le rumsteak, le filet et le faux-filet me laissent froid, en revanche.)
Ah pas moi. J'aime tout dans le boeuf, et tu peux me le décliner comme tu veux que je serai toujours contente.
Ce fil me fait penser à la scène du film le "Bonheur est dans le pré", quand Sabine Azéma et Eddy Mitchell sont au restau et qu'il la force à prendre le menu gastronomique dans sa totalité, avec les escargots en entrée et tout le toutim, en lui disant (méchamment) qu'ici on est là pour prendre du plaisir et pas bouffer des brocolis. :-)
Sinon on se demandait hier si les hommes lisaient les hommes, moi je me demande si les CLiens cuisinent?
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