Je joins un lien qui renvoie à l'article de François Bernheim du magazine "Mardi ça fait désordre".
http://cafaitdesordre.com/blog/2015/…
http://cafaitdesordre.com/blog/2015/…
Votre présentation du livre et l'article de François Bernheim m'ont fait songer à une rencontre que j'avais faite, il y a une douzaine d'années, lors d'un voyage en Pologne à Cracovie. Une jeune femme (elle avait 20/25 ans), très investie dans le théâtre (elle collaborait à la revue Didaskalia, assez fameuse en Pologne), avait monté deux pièces (Hamlet et Woyzeck) avec des acteurs internés en hôpital psychiatrique. Elle m'avait dit que les résultats obtenus avec les acteurs schizophrènes étaient époustouflants. Elle espérait parvenir à organiser une tournée, ne serait-ce que pour jouer devant un public en dehors de l'hôpital : je ne sais pas si elle y est parvenue.
Oui, c'était sûrement de très belles pièces, mais je ne suis pas sûr que montait des spectacles avec des fous pour jouer des personnages fous soit un service à rendre à des êtres humains qui en ont bien assez de porter leurs propres pathologies, tellement lourdes à vivre au quotidien.
A La Borde si l'intérêt porté à l'artistique est fort, il n'est jamais perdu de vue que le thérapeutique reste prioritaire.
Basé sur la libre circulation à l'intérieur de l'hôpital, qui lui-même reste ouvert sur l'extérieur, les auteurs privilégiés pour les créations vont de Beckett à La Biche, en passant par Koné, Koltès ou Gombrowicz. Certes non dépourvus de problématiques humaines, mais toujours abordés avec réflexion et grande attention. Le metteur en scène est toujours choisi en fonction de ses qualités artistiques bien sûr, mais surtout et également de ses qualités humaines et ses connaissances dans les domaines de la psychiatrie et de la psychanalyse.
A La Borde si l'intérêt porté à l'artistique est fort, il n'est jamais perdu de vue que le thérapeutique reste prioritaire.
Basé sur la libre circulation à l'intérieur de l'hôpital, qui lui-même reste ouvert sur l'extérieur, les auteurs privilégiés pour les créations vont de Beckett à La Biche, en passant par Koné, Koltès ou Gombrowicz. Certes non dépourvus de problématiques humaines, mais toujours abordés avec réflexion et grande attention. Le metteur en scène est toujours choisi en fonction de ses qualités artistiques bien sûr, mais surtout et également de ses qualités humaines et ses connaissances dans les domaines de la psychiatrie et de la psychanalyse.
Tu aurais pu être moins chiche pour les étoiles ! Merci pour la présentation du livre.
Oui, c'était sûrement de très belles pièces, mais je ne suis pas sûr que monter des spectacles avec des fous pour jouer des personnages fous soit un service à rendre à des êtres humains qui en ont bien assez de porter leurs propres pathologies, tellement lourdes à vivre au quotidien.
A La Borde si l'intérêt porté à l'artistique est fort, il n'est jamais perdu de vue que le thérapeutique reste prioritaire.
Basé sur la libre circulation à l'intérieur de l'hôpital, qui lui-même reste ouvert sur l'extérieur, les auteurs privilégiés pour les créations vont de Beckett à La Biche, en passant par Koné, Koltès ou Gombrowicz. Certes non dépourvus de problématiques humaines, mais toujours abordés avec réflexion et grande attention. Le metteur en scène est toujours choisi en fonction de ses qualités artistiques bien sûr, mais surtout et également de ses qualités humaines et ses connaissances dans les domaines de la psychiatrie et de la psychanalyse.
Merci Saule.
Dans cette dernière intervention, je ne voulais pas "citer", mais seulement corriger une faute grossière que j'ai commise dans la précipitation dans la première ligne : "monter" au lieu de "montait".
Pourrais-tu me dire comment procéder lorsqu'on veut simplement corriger, sinon te serait-il possible de le faire.
D'avance merci.
Dans cette dernière intervention, je ne voulais pas "citer", mais seulement corriger une faute grossière que j'ai commise dans la précipitation dans la première ligne : "monter" au lieu de "montait".
Pourrais-tu me dire comment procéder lorsqu'on veut simplement corriger, sinon te serait-il possible de le faire.
D'avance merci.
Pourquoi Henri Cachia ne citez-vous pas dans "Jouer à la Borde" la créatrice de la pièce de "Qui va là bas", qui sert néanmoins de fil conducteur à votre opuscule, comme c'est indiqué en son dos ?
D'avance, merci.
D'avance, merci.
Tout simplement parce qu'il n'y a pas une créatrice du spectacle du 15 août 2007, mais pas moins d'une centaine.
Difficile d'aligner un tel générique en 4ème de couverture, puisque le rôle de celle-ci est d'être concise afin de donner une idée la plus précise possible de ce qui se trouve à l'intérieur du bouquin, qui en l'occurrence est loin de se résumer à cette création. Comme signalé très justement, elle sert de fil conducteur et de prétexte au cheminement à l'intérieur de cette clinique psychiatrique hors norme. C'est l'intérêt, l'objectif principal que je me suis fixé.
Néanmoins, concernant ce spectacle, on peut trouver dans les chapitres concernés, qu'il y a 3 principaux responsables :
-M. pour les scènes à textes de Labiche, Beckett, Koné, Koltès.
-C. pour les « Valises » (scène chorégraphiée).
-P. pour le chant (Choeur et solos).
Auxquels il faut ajouter :
-G. animateur de l'atelier « Extravagance » pour les costumes.
-S. encadrant l'équipe de création et construction de la scène en bois, spécialement conçue pour cette année-là et uniquement pour celle-ci.
Je ne pense pas que l'on vienne à La Borde pour flatter son narcissisme, mais plutôt pour travailler l'humilité afin de donner le meilleur de soi-même. Il me semble que cette attitude favorise la bonne « ambiance », chère à Jean Oury.
Dans ce sens, voici un extrait de l'interview donnée à Marig Doucy dans « La Croix Du Nord », (hebdomadaire, premier numéro de décembre 2445) :
-H. « ...Ce n'est qu'à la fin de mes trois mois de présence, en 2007, que j'ai envisagé d'écrire un témoignage approfondi sur le lieu. Il existe déjà plusieurs ouvrages consacrés à La Borde mais aucun donnant la parole aux pensionnaires et à destination du grand public... »
-M. « ...Un ouvrage particulièrement accessible au plus grand nombre et agrémenté de portraits de René Caussanel. Il permet de s'imprégner du modèle de soins psychiatriques appliqué dans cet établissement atypique, dépourvu de barrières et de contraintes... »
Difficile d'aligner un tel générique en 4ème de couverture, puisque le rôle de celle-ci est d'être concise afin de donner une idée la plus précise possible de ce qui se trouve à l'intérieur du bouquin, qui en l'occurrence est loin de se résumer à cette création. Comme signalé très justement, elle sert de fil conducteur et de prétexte au cheminement à l'intérieur de cette clinique psychiatrique hors norme. C'est l'intérêt, l'objectif principal que je me suis fixé.
Néanmoins, concernant ce spectacle, on peut trouver dans les chapitres concernés, qu'il y a 3 principaux responsables :
-M. pour les scènes à textes de Labiche, Beckett, Koné, Koltès.
-C. pour les « Valises » (scène chorégraphiée).
-P. pour le chant (Choeur et solos).
Auxquels il faut ajouter :
-G. animateur de l'atelier « Extravagance » pour les costumes.
-S. encadrant l'équipe de création et construction de la scène en bois, spécialement conçue pour cette année-là et uniquement pour celle-ci.
Je ne pense pas que l'on vienne à La Borde pour flatter son narcissisme, mais plutôt pour travailler l'humilité afin de donner le meilleur de soi-même. Il me semble que cette attitude favorise la bonne « ambiance », chère à Jean Oury.
Dans ce sens, voici un extrait de l'interview donnée à Marig Doucy dans « La Croix Du Nord », (hebdomadaire, premier numéro de décembre 2445) :
-H. « ...Ce n'est qu'à la fin de mes trois mois de présence, en 2007, que j'ai envisagé d'écrire un témoignage approfondi sur le lieu. Il existe déjà plusieurs ouvrages consacrés à La Borde mais aucun donnant la parole aux pensionnaires et à destination du grand public... »
-M. « ...Un ouvrage particulièrement accessible au plus grand nombre et agrémenté de portraits de René Caussanel. Il permet de s'imprégner du modèle de soins psychiatriques appliqué dans cet établissement atypique, dépourvu de barrières et de contraintes... »
Il est parfois bon d'avoir la décence dans sa volonté d'essayer d'imprimer a posteriori, et bien longtemps après, après la mort de son fondateur Jean Oury, une trace ou une virgule dans la longue histoire de cette clinique, de citer ceux qui ont été à la genèse de ces créations auxquelles on a eu le privilège en effet de participer à sa modeste place.
En l'occurrence, quand on cite le film "La moindre des choses", on associe ce film à Nicolas Philibert. Et la moindre des choses pour vous, acteur qui êtes resté trois mois à la clinique La Borde dans des conditions qui vous regardent, est de rendre hommage, quand on cite la pièce "Qui va là bas", à celle qui a en effet été en tout point à la genèse de cette pièce, c'est-à-dire Catherine Vallon, qui l'a en tout point conçue et qui a été assistée à la mise en scène par Marie Leydier, monitrice et pour la gestion des chœurs à Philippe Allée.
C'est elle que vous effacez en effet un peu rapidement de l'histoire, à moins que ce "C. pour les "valises" soit à entendre comme la traduction d'un souci, bien maigre en effet, de la trace historique.
Pouvez-vous m'expliquer, Monsieur, ces impasses, pour ne pas dire plus, sur l'histoire de cette clinique ? Croyez-vous que les patients et acteurs de l'atelier théâtre de Catherine Vallon, qui a tout de même consacré huit ans de sa passion pour le théâtre, pour la recherche et la création à La Borde (2007-2015) seraient satisfaits de ce qu'un de leur "collègue" de trois mois travestisse à son goût et à son image leur histoire ? Car en effet, l'histoire de la clinique, c'est avant tout l'histoire de ceux qui l'ont fait, à travers le club thérapeutique, et votre méconnaissance va jusqu'à oublier que Catherine Vallon, à la base de cette pièce parmi les très nombreuses pièces qu'elle a porté à la création, pour les traditionnelles fêtes du 15 août - mais pas que -, l'a fait en tant que non seulement partie prenante comme d'aucuns du club mais aussi, travaillant pour l'Association Culturelle de la Clinique, tellement chère à Jean Oury, et qu'à ce titre, ce n'était pas évoquer le narcissisme (mais alors vous parleriez à sa place ?) que d'appeler un chat un chat, et de citer ses références.
En l'occurrence, quand on cite le film "La moindre des choses", on associe ce film à Nicolas Philibert. Et la moindre des choses pour vous, acteur qui êtes resté trois mois à la clinique La Borde dans des conditions qui vous regardent, est de rendre hommage, quand on cite la pièce "Qui va là bas", à celle qui a en effet été en tout point à la genèse de cette pièce, c'est-à-dire Catherine Vallon, qui l'a en tout point conçue et qui a été assistée à la mise en scène par Marie Leydier, monitrice et pour la gestion des chœurs à Philippe Allée.
C'est elle que vous effacez en effet un peu rapidement de l'histoire, à moins que ce "C. pour les "valises" soit à entendre comme la traduction d'un souci, bien maigre en effet, de la trace historique.
Pouvez-vous m'expliquer, Monsieur, ces impasses, pour ne pas dire plus, sur l'histoire de cette clinique ? Croyez-vous que les patients et acteurs de l'atelier théâtre de Catherine Vallon, qui a tout de même consacré huit ans de sa passion pour le théâtre, pour la recherche et la création à La Borde (2007-2015) seraient satisfaits de ce qu'un de leur "collègue" de trois mois travestisse à son goût et à son image leur histoire ? Car en effet, l'histoire de la clinique, c'est avant tout l'histoire de ceux qui l'ont fait, à travers le club thérapeutique, et votre méconnaissance va jusqu'à oublier que Catherine Vallon, à la base de cette pièce parmi les très nombreuses pièces qu'elle a porté à la création, pour les traditionnelles fêtes du 15 août - mais pas que -, l'a fait en tant que non seulement partie prenante comme d'aucuns du club mais aussi, travaillant pour l'Association Culturelle de la Clinique, tellement chère à Jean Oury, et qu'à ce titre, ce n'était pas évoquer le narcissisme (mais alors vous parleriez à sa place ?) que d'appeler un chat un chat, et de citer ses références.
Je vous joins deux nouveaux liens, qui en fait constituent un seul et même article paru ce jour dans "La Nouvelle République" et signé Alain Vildart, qui a su retranscrire le plus fidèlement possible mes propos, ce qui n'est pas forcément un exercice facile.
Il reprend également une partie de la préface de Yannick Oury-Pulliero qui définit très bien la psychothérapie institutionnelle, pratiquée notamment à La Borde.
http://lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/…
http://lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/…
Il reprend également une partie de la préface de Yannick Oury-Pulliero qui définit très bien la psychothérapie institutionnelle, pratiquée notamment à La Borde.
http://lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/…
http://lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/…
Ci-joint, un article de Guy Labro dans La Dépêche du Midi, paru aujourd'hui, et qui présente le travail de René Caussanel, le peintre-dessinateur ayant collaboré à "Jouer à La Borde", avec 32 portraits de pensionnaires.
http://ladepeche.fr/article/2016/…
http://ladepeche.fr/article/2016/…
Ci-joint le lien du blog mediapart "le monde comme il va" de Christophe Patillon. Très belle écriture et qui semble avoir très bien compris l'objectif de ce livre, dans son article du 11 janvier 2016.
https://blogs.mediapart.fr/christophe-patillon/…
https://blogs.mediapart.fr/christophe-patillon/…
Une interview de ma pomme + 2 dessins-portraits de pensionnaires de René Caussanel.
Dans le N°30 de "La Grenouille voix de Cheverny & Cour-Cheverny", le village auquel La Clinique Psychiatrique de La Borde est rattachée.
http://lagrenouillevoixdecheverny.blogspot.fr/
Il suffit de télécharger le N° 30 et d'aller directement à la page 5 (pleine page).
Dans le N°30 de "La Grenouille voix de Cheverny & Cour-Cheverny", le village auquel La Clinique Psychiatrique de La Borde est rattachée.
http://lagrenouillevoixdecheverny.blogspot.fr/
Il suffit de télécharger le N° 30 et d'aller directement à la page 5 (pleine page).
Dans le numéro 334 de Février 2016 du "Le Journal Des Psychologues" figure dans la rubrique "Lire" mon bouquin "Jouer à La Borde-Théâtre en Psychiatrie", qui se trouve en très bonne compagnie.
http://jdpsychologues.fr/lire/…
L'article (court mais bon), que ce mensuel des professionnels a bien voulu accorder à ce livre, étant réservé aux abonnés, je vous en ai fait un copier/coller ci-dessous :
JOUER A LA BORDE
Théâtre en Psychiatrie
Henri Cachia
Comme l'indique Yannick Oury-Pulliero, fille du célèbre fondateur de la clinique de La Borde, en préface, « l'atelier théâtre, comme tout atelier à La Borde, n'est au fond qu'un prétexte permettant à tout participant de remonter sur la scène de la vie. »
C'est ce que le comédien Henri Cachia relate dans ce livre. Illustré par une série de portraits, dessinés par René Caussanel durant deux années au contact des « moniteurs » et pensionnaires du lieu, cet ouvrage offre un aperçu de la psychothérapie institutionnelle appliquée dans le cadre d'une pratique théâtrale. A l'aide de courts chapitres, il détaille la méthodologie employée au quotidien dans cet « îlot de résistance ».
http://jdpsychologues.fr/lire/…
L'article (court mais bon), que ce mensuel des professionnels a bien voulu accorder à ce livre, étant réservé aux abonnés, je vous en ai fait un copier/coller ci-dessous :
JOUER A LA BORDE
Théâtre en Psychiatrie
Henri Cachia
Comme l'indique Yannick Oury-Pulliero, fille du célèbre fondateur de la clinique de La Borde, en préface, « l'atelier théâtre, comme tout atelier à La Borde, n'est au fond qu'un prétexte permettant à tout participant de remonter sur la scène de la vie. »
C'est ce que le comédien Henri Cachia relate dans ce livre. Illustré par une série de portraits, dessinés par René Caussanel durant deux années au contact des « moniteurs » et pensionnaires du lieu, cet ouvrage offre un aperçu de la psychothérapie institutionnelle appliquée dans le cadre d'une pratique théâtrale. A l'aide de courts chapitres, il détaille la méthodologie employée au quotidien dans cet « îlot de résistance ».
En cliquant sur le lien suivant (le site de l'éditeur) vous tomberez sur la page présentant "Jouer à La Borde", et trouverez une "note de lecture" de Christian Eyschen dans la rubrique "la presse en parle":
"La Raison N°606 décembre 2015". C'est une revue de Libre Pensée.
Oui, les éditions libertaires ont du mal à tenir à jour leur site, et notamment "la presse".
C'est vrai que ça ne fait pas très sérieux.
http://editions-libertaires.org/?p=797
"La Raison N°606 décembre 2015". C'est une revue de Libre Pensée.
Oui, les éditions libertaires ont du mal à tenir à jour leur site, et notamment "la presse".
C'est vrai que ça ne fait pas très sérieux.
http://editions-libertaires.org/?p=797
Cette fois-ci le site de l'éditeur est à jour :
les dix articles, chroniques, critiques y sont enfin recensés dans :
"La presse en parle" :
http://editions-libertaires.org/?p=797
les dix articles, chroniques, critiques y sont enfin recensés dans :
"La presse en parle" :
http://editions-libertaires.org/?p=797
Pour changer un peu, une émission radio ici:
https://rcf.fr/vie-quotidienne/famille/…
Bonne écoute!
https://rcf.fr/vie-quotidienne/famille/…
Bonne écoute!
Sur le lien ci-dessous, vous trouverez une autre émission radio "La philanthropie de l'ouvrier charpentier", sur Radio Libertaire 89.4FM.
Le sujet traite de l'hôpital de Saint-Alban, alors dirigé par Lucien BONNAFé et François TOSQUELLES qui venait de fuir le franquisme.
Saint-Alban fut le berceau de la résistance anti-nazie et de la naissance de la psychothérapie institutionnelle en train de se faire, qui sera pratiquée et développée peu après à la clinique psychiatrique de La Borde par Jean OURY.
http://la-philanthropie-rl.org/index.php/…
Les invités de cette émission sont :
-Patrick FAUGERAS, éminent psychanalyste et Didier DAENINCKX pour son livre "Caché dans la maison des fous", aux éditions Bruno Doucey.
Le contenu est passionnant de bout en bout pour qui s'intéresse à ce thème.
Une émission consacrée au livre "Jouer à La Borde-Théâtre en Psychiatre" est en préparation et sera diffusée prochainement sur la même antenne.
Le sujet traite de l'hôpital de Saint-Alban, alors dirigé par Lucien BONNAFé et François TOSQUELLES qui venait de fuir le franquisme.
Saint-Alban fut le berceau de la résistance anti-nazie et de la naissance de la psychothérapie institutionnelle en train de se faire, qui sera pratiquée et développée peu après à la clinique psychiatrique de La Borde par Jean OURY.
http://la-philanthropie-rl.org/index.php/…
Les invités de cette émission sont :
-Patrick FAUGERAS, éminent psychanalyste et Didier DAENINCKX pour son livre "Caché dans la maison des fous", aux éditions Bruno Doucey.
Le contenu est passionnant de bout en bout pour qui s'intéresse à ce thème.
Une émission consacrée au livre "Jouer à La Borde-Théâtre en Psychiatre" est en préparation et sera diffusée prochainement sur la même antenne.
Ca y est!
L'émission sur le livre "JOUER A LA BORDE-Théâtre en Psychiatrie" a été enregistrée dans les conditions du direct, et programmée le 24/12/2016 sur Radio Libertaire 89.4 FM sur Paris et internet partout ailleurs dans le monde.
Elle est d'ores et déjà annoncée sur la page de l'émission « La Philanthropie de l'ouvrier charpentier » et on peut l'écouter sur le lien ci-dessous :
http://www.la-philanthropie-rl.org/index.php
Bonne écoute !
Les retours sont les bienvenus.
L'émission sur le livre "JOUER A LA BORDE-Théâtre en Psychiatrie" a été enregistrée dans les conditions du direct, et programmée le 24/12/2016 sur Radio Libertaire 89.4 FM sur Paris et internet partout ailleurs dans le monde.
Elle est d'ores et déjà annoncée sur la page de l'émission « La Philanthropie de l'ouvrier charpentier » et on peut l'écouter sur le lien ci-dessous :
http://www.la-philanthropie-rl.org/index.php
Bonne écoute !
Les retours sont les bienvenus.
Un bel article de Marion Minari, qui semble bien maîtriser la psychothérapie institutionnelle, en critiquant utilement "JOUER A LA BORDE-Théâtre en Psychiatrie" :
dans PSYCOGITATIO du 28/11/2016 :
http://psycogitatio.fr/livre-jouer-a-borde-theatre…
Bonne lecture pour ceux qui s'intéressent à une utopie psychiatrique toujours en mouvement... depuis 1953...
dans PSYCOGITATIO du 28/11/2016 :
http://psycogitatio.fr/livre-jouer-a-borde-theatre…
Bonne lecture pour ceux qui s'intéressent à une utopie psychiatrique toujours en mouvement... depuis 1953...
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