J-1, le forum est ouvert !
Bonne lecture à tous...
Bonne lecture à tous...
Un enfer de rien avoir à lire ce soir mdr
Plus que 1h40 et je commence :-)
Lu une vingtaine de pages ce matin, le ton est donné...
Je m'aperçois que je ne connais rien dans la cuisine sud coréenne...
Vivement un break pour continuer...
Je m'aperçois que je ne connais rien dans la cuisine sud coréenne...
Vivement un break pour continuer...
Ça y est je viens d'attaquer... juste le premier chapitre, si on peut appeler ça chapitre -textes séparés par des étoiles- et oui le ton est donné. Quelle drôle et présentation des protagonistes par le mari. Il fait tout pour être banal mais finalement cette banalité les rend très intéressant. ...
Ce sera vite lu (trop vite ?). J'ai déjà lu les deux premières parties. La jeune femme est très attachante, j'aime beaucoup cette atmosphère coréenne, les habitudes culinaires, la famille,.. La deuxième partie, qui donne le point de vue du beau-frère est également très prenante.
Bref pour l'instant j'aime beaucoup, je suis curieux de voir comment ça va évoluer.
Bref pour l'instant j'aime beaucoup, je suis curieux de voir comment ça va évoluer.
Page 38...
Au niveau où j'en suis je la trouve plutôt inquiétante pour le moment. Par contre il est vrai que c'est très dépaysant.
ATTENTION spoiler :
Je trouve très drôle que le mari appelle sa belle mère et sa belle sœur pour se plaindre du fait qu'il n'y ait plus de viande à la maison, mais surtout étonnant que ces deux femmes s'excusent de la situation auprès de leur beau fils.....
Au niveau où j'en suis je la trouve plutôt inquiétante pour le moment. Par contre il est vrai que c'est très dépaysant.
ATTENTION spoiler :
Je trouve très drôle que le mari appelle sa belle mère et sa belle sœur pour se plaindre du fait qu'il n'y ait plus de viande à la maison, mais surtout étonnant que ces deux femmes s'excusent de la situation auprès de leur beau fils.....
Un peu en retard au démarrage... Bon allez je vais essayer de commencer ce soir...
Une cinquantaine de pages pour moi...
Pour l'instant j'aime beaucoup, c'est typiquement une écriture de style asiatique, qui n'a pas été
sans me rappeler celle d'Haruki MURAKAMI.
Sinon, la description des plats et de la façon de cuisiner m'a rappelé le livre "La cucina" de Lily PRIOR ici :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/19140
J'ai aussi fait, dans une moindre mesure, le rapprochement avec le livre "L'Odeur" de Radhika JHA ici :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/8502
Toutes ces premières impressions sont à confirmer par la suite...
Je viens de finir la première partie...après l'amusement c'est beaucoup plus dur et une scène m a particulièrement choquée. Après on a pas la même culture mais bon.
Bonjour,
Je n'en suis qu'à l'approche (page 28) car, c'est dommage, mais je n'ai guère de temps à moi ces jours-ci;-(
Pour le moment, même si je suis intriguée par le fait que je ne sais pas encore où veut nous mener l'auteure, je trouve qu'on est encore dans quelque chose d'assez conventionnel. D'ailleurs le changement de comportement de la jeune femme n'interpelle pas le mari plus que cela sauf à y voir des conséquences néfastes pour elle et frustrantes pour lui..C'est le caractère radical du basculement qui pose question: d'un jour à l'autre et en opposition totale avec le rapport à la viande antérieur (voir les pratiques culinaires) , comportement de rejet qui va même au-delà puisqu'on n'est plus dans le végétarisme mais bien dans le végétalisme (le titre choisi dans la traduction française est à cet égard inadéquat).
La référence à l'odeur du mari me semble vouloir illustrer l'idée que l'on est ce que l'on mange et m'a rappelé des passages d'"Anima" où certains animaux font mention de cette odeur de viande qui caractériserait ceux qui en consomment.
J'ai relevé certaines notations: le refus du soutien-gorge, le fait qu'elle écrase les blattes à la main s,dont je me demande si elles se veulent tout bêtement la traduction d'une proximité avec le naturel, la nature ou si elles trouveront une signification plus précise dans la suite.
Même si ce n'est pas le sujet central du livre, j'ai surtout à ce stade été frappée par le "modèle" de couple qui nous est présenté, cette sorte de relation assez atone qui semble plus obéir au souci de reproduire une norme sociale qu'autre chose. Certes, cela existe aussi chez nous, mais je me suis demandé si cela correspondait à un modèle plus courant dans la culture asiatique.
Je n'en suis qu'à l'approche (page 28) car, c'est dommage, mais je n'ai guère de temps à moi ces jours-ci;-(
Pour le moment, même si je suis intriguée par le fait que je ne sais pas encore où veut nous mener l'auteure, je trouve qu'on est encore dans quelque chose d'assez conventionnel. D'ailleurs le changement de comportement de la jeune femme n'interpelle pas le mari plus que cela sauf à y voir des conséquences néfastes pour elle et frustrantes pour lui..C'est le caractère radical du basculement qui pose question: d'un jour à l'autre et en opposition totale avec le rapport à la viande antérieur (voir les pratiques culinaires) , comportement de rejet qui va même au-delà puisqu'on n'est plus dans le végétarisme mais bien dans le végétalisme (le titre choisi dans la traduction française est à cet égard inadéquat).
La référence à l'odeur du mari me semble vouloir illustrer l'idée que l'on est ce que l'on mange et m'a rappelé des passages d'"Anima" où certains animaux font mention de cette odeur de viande qui caractériserait ceux qui en consomment.
J'ai relevé certaines notations: le refus du soutien-gorge, le fait qu'elle écrase les blattes à la main s,dont je me demande si elles se veulent tout bêtement la traduction d'une proximité avec le naturel, la nature ou si elles trouveront une signification plus précise dans la suite.
Même si ce n'est pas le sujet central du livre, j'ai surtout à ce stade été frappée par le "modèle" de couple qui nous est présenté, cette sorte de relation assez atone qui semble plus obéir au souci de reproduire une norme sociale qu'autre chose. Certes, cela existe aussi chez nous, mais je me suis demandé si cela correspondait à un modèle plus courant dans la culture asiatique.
1ère partie terminée.
Cette partie annonçait la vie d'un couple ordinaire mais se termine sur une scène choquante.
Ne connaissant pas la culture coréenne , je me suis aussi posé la question du modèle ou non.
Cette partie annonçait la vie d'un couple ordinaire mais se termine sur une scène choquante.
Ne connaissant pas la culture coréenne , je me suis aussi posé la question du modèle ou non.
J’ai commencé avec un peu de retard et je ne suis pas un lecteur rapide. Je suis frappé par ce type qui a choisi une femme pour sa transparence, son absence de personnalité. Il lui faut une personne « de compagnie », surtout pas d’ennui ! Il n’y a pas beaucoup d’amour dans ce couple, ce sont des choses qui arrivent…
Je suis arrivé au souper au restaurant avec la direction (page 37 dans le poche avant son troisième rêve) ; c’est amusant, l’atmosphère est très bien rendue. Les conversations sont bien rapportées. Toutes les réflexions qu’on fait au sujet des végétaliens (et pas vététariens, Myrco a raison) sont très amusantes.
Par ailleurs, le récit est bien structuré, on suit l’évolution de l’histoire avec plaisir mais je trouve que le texte est trop fouillé ; on ne vous épargne aucun détail : « il entre dans sa voiture, il enlève le frein à main, il met la clé de contact, il enclenche une vitesse... ». Pfûûût… Quand c’est trop, c’est trop !
Ce qui m’a déçu c’est que la femme est devenue végétalienne à la suite d’un rêve ; je pense que ça aurait été plus intéressant si ça avait été par conviction. Mais attendons la suite…
Je suis arrivé au souper au restaurant avec la direction (page 37 dans le poche avant son troisième rêve) ; c’est amusant, l’atmosphère est très bien rendue. Les conversations sont bien rapportées. Toutes les réflexions qu’on fait au sujet des végétaliens (et pas vététariens, Myrco a raison) sont très amusantes.
Par ailleurs, le récit est bien structuré, on suit l’évolution de l’histoire avec plaisir mais je trouve que le texte est trop fouillé ; on ne vous épargne aucun détail : « il entre dans sa voiture, il enlève le frein à main, il met la clé de contact, il enclenche une vitesse... ». Pfûûût… Quand c’est trop, c’est trop !
Ce qui m’a déçu c’est que la femme est devenue végétalienne à la suite d’un rêve ; je pense que ça aurait été plus intéressant si ça avait été par conviction. Mais attendons la suite…
Ce qui m’a déçu c’est que la femme est devenue végétalienne à la suite d’un rêve ; je pense que ça aurait été plus intéressant si ça avait été par conviction. Mais attendons la suite…
Effectivement, je trouve que l'articulation entre la cause (le rêve) et le changement de comportement passe mal. On aurait pu comprendre une soudaine répulsion pour la consommation de viande liée à l'mage du sang, de la tuerie. Mais ici, on va même plus loin encore que le végétalisme, on est dans le véganisme (épisode des chaussures). Or il me semble que celui-ci en principe repose sur une volonté, un refus de l'exploitation de l'animal aux fins de satisfaire les besoins de l'homme et donc sur une conviction réfléchie.
Par ailleurs concernant l'écriture , j'avais souvent le sentiment d'une certaine platitude sans vraiment savoir d'où cela venait. Mais je crois SJB que tu as mis le doigt dessus: ces détails triviaux qui n'apportent pas grand-chose.
Comme SJB, je viens de commencer la lecture. Pas très sympathique le mari.
Descriptions alléchantes de certains plats sucrés-salés typiques.
Le personnnage de l'épouse est pour le moment (page 34) mystérieux et intrigant.
Particulièrement pendant ce repas au restaurant.
Descriptions alléchantes de certains plats sucrés-salés typiques.
Le personnnage de l'épouse est pour le moment (page 34) mystérieux et intrigant.
Particulièrement pendant ce repas au restaurant.
Je l'ai terminé (déjà depuis hier). J'aimais beaucoup. Les comportements de la jeune femme, de son beau-frère et de sa soeur sont chaque fois déterminé par un rêve. Peut-être que les coréens sont plus sensibles aux rêves que nous, et plus sensibles au fantastique aussi. Par contre on n'a pas vraiment d'explications sur l'origine de ces rêves. Pour la jeune femme il y a bien le père violent et la scène avec le chien tiré derrière une voiture (une scène très vivante et impressionnante) mais c'est peu pour expliquer son comportement et sa régression vers le stade végétal.
Le roman est fort visuel, je pense par exemple au trajet en bus de la soeur ainée pour aller à la clinique dans les bois ou le repas de la société, etc.. on visualise très bien la scène chaque fois. Et les personnages aussi qui sont très attachant, chacun a leur manière.
Mais ça ne restera pas non plus un roman inoubliable, il manque peut-être un peu de profondeur dans la psychologie des personnages. On pourrait dire qu'il s'agit de trois nouvelles plutôt que d'un roman en fait, trois variations sur le même thème (reliées entre elles par le personnage principal).
Quoiqu'il en soit une bonne lecture commune, merci Leslie !
Le roman est fort visuel, je pense par exemple au trajet en bus de la soeur ainée pour aller à la clinique dans les bois ou le repas de la société, etc.. on visualise très bien la scène chaque fois. Et les personnages aussi qui sont très attachant, chacun a leur manière.
Mais ça ne restera pas non plus un roman inoubliable, il manque peut-être un peu de profondeur dans la psychologie des personnages. On pourrait dire qu'il s'agit de trois nouvelles plutôt que d'un roman en fait, trois variations sur le même thème (reliées entre elles par le personnage principal).
Quoiqu'il en soit une bonne lecture commune, merci Leslie !
Malheureusement très peu de temps pour lire depuis hier :-( Les premières pages pourtant et la manière dont le mari présente sa femme sont pourtant intéressantes et inhabituelles.
J'espère pouvoir lire un peu plus demain.
J'espère pouvoir lire un peu plus demain.
J’ai fini la première partie. J’ai vraiment beaucoup aimé. L’écriture est très étonnante avec cette sorte de« distanciation », comme si on voyait le tout se dérouler devant nous d’une certaine hauteur.
Les personnages sont très étonnant, notamment la figure du mari. Au départ de l’histoire on comprend que c’est pour lui un mariage sans amour, plus par commodité, qu’autre chose.
Malgré cela j’ai été surpris par ses réactions, ou plutôt son manque de réactions envers sa femme. Il ne fait absolument rien pour l'aider, si ce n’est se plaindre auprès de sa belle-famille, rien pour ne fut-ce que pour essayer de la comprendre. Il ne pense qu’à lui, ne parle que de lui et de son travail..
Je me suis souvent surpris à penser qu’il était vraiment un monstre d’égoïsme!...
J’attaque maintenant la deuxième partie.
Les personnages sont très étonnant, notamment la figure du mari. Au départ de l’histoire on comprend que c’est pour lui un mariage sans amour, plus par commodité, qu’autre chose.
Malgré cela j’ai été surpris par ses réactions, ou plutôt son manque de réactions envers sa femme. Il ne fait absolument rien pour l'aider, si ce n’est se plaindre auprès de sa belle-famille, rien pour ne fut-ce que pour essayer de la comprendre. Il ne pense qu’à lui, ne parle que de lui et de son travail..
Je me suis souvent surpris à penser qu’il était vraiment un monstre d’égoïsme!...
J’attaque maintenant la deuxième partie.
Terminé le premier volet et pas encore attaqué le second. J'ai voulu laisser infuser un peu ce texte qui ne m'avait pas totalement séduite et un peu décontenancée au premier abord. Et comme souvent, lorsqu'il s'agit d'un bon texte, il a creusé son sillon et laissé une forte impression en moi. Comme SJB, (je ne sais pas si c'est pour les mêmes raisons ) c'est entre autres pour cela que j'aime bien prendre mon temps pour lire.
Ce qui ressort à mon sens de cette lecture, c'est l'extrême violence qui ressort de la confrontation entre une norme sociale et culturelle rigide véhiculée par la société et l'individu qui la rejette. On sait que la nourriture et les rituels et traditions culinaires qui l'accompagnent ont une place très importante dans ces sociétés (cela m'avait été révélé notamment dans la littérature vietnamienne: Duong Thu Huong, Bui...). De plus, s'y attachent des pratiques jugées cruelles pour notre œil occidental souvent hypocrite d'ailleurs (on préfère se masquer certaines réalités): par exemple, la consommation de poissons vivants...on oublie que nous mangeons des huîtres vivantes mais cela nous choque moins;-)
L'héroïne ici a intégré toutes ces pratiques, us et coutumes depuis sa tendre enfance sans que cela suscite en elle de réaction ( cf. la scène atroce du chien). Mais sa sensibilité en a été marquée, à son insu.
Et, un jour, c'est son inconscient qui lui recrache tout ça, engendrant une grande souffrance qu'elle exprime assez clairement dans le dernier passage en italiques. On est effectivement pas dans la conviction mais dans le ressenti. Chez elle, c'est alors le blocage absolu, l'impossibilité de faire autrement, le sentiment intolérable d'abriter en elle une criminelle qui a spolié des vies...une souffrance indicible (seuls ses pauvres petits seins qu'elle exhibe demeurent pour elle le refuge de sa dernière innocence). C'est extrêmement poignant...
Et face à cela qu'avons-nous? Une famille aimante mais pour qui la norme ne saurait être remise en cause, qui ne songe à aucun moment à admettre la différence et proposer des moyens palliatifs pour compenser les carences alimentaires de la jeune femme. La seule réponse est la coercition brutale même si certains tentent sans succès de s'y opposer.Cela en dit long sur la dureté de cette société ( et au passage sur les rapports d'infantilisation entre parents et enfants même parvenus à l'âge adulte, la pression familiale). Cela m'a fait penser au très beau texte (mais très dur aussi) de cette autre auteure coréenne Ch'oe Yun "Au loin, sans bruit tombe un pétale".
Finalement, le choc de cette confrontation est d'autant plus brutal que la norme se heurte ici non à la conviction mais à une impossibilité psychologique profondément ressentie dans la chair. je reviens donc sur mon premier sentiment à cet égard.
Quant au mari, il n'est pas vraiment sympathique. Je rejoins totalement Septu dans son appréciation du personnage. Il est lui aussi l'incarnation de la norme, ne dépassant jamais l'observation des choses, assignant à son épouse une fonction essentiellement sociale, n'ayant même pas le réflexe de s'opposer à la violence du père, et abandonnant sa femme à la solitude de sa souffrance.
Quant au mari, je rejoins totalement Septu
Ce qui ressort à mon sens de cette lecture, c'est l'extrême violence qui ressort de la confrontation entre une norme sociale et culturelle rigide véhiculée par la société et l'individu qui la rejette. On sait que la nourriture et les rituels et traditions culinaires qui l'accompagnent ont une place très importante dans ces sociétés (cela m'avait été révélé notamment dans la littérature vietnamienne: Duong Thu Huong, Bui...). De plus, s'y attachent des pratiques jugées cruelles pour notre œil occidental souvent hypocrite d'ailleurs (on préfère se masquer certaines réalités): par exemple, la consommation de poissons vivants...on oublie que nous mangeons des huîtres vivantes mais cela nous choque moins;-)
L'héroïne ici a intégré toutes ces pratiques, us et coutumes depuis sa tendre enfance sans que cela suscite en elle de réaction ( cf. la scène atroce du chien). Mais sa sensibilité en a été marquée, à son insu.
Et, un jour, c'est son inconscient qui lui recrache tout ça, engendrant une grande souffrance qu'elle exprime assez clairement dans le dernier passage en italiques. On est effectivement pas dans la conviction mais dans le ressenti. Chez elle, c'est alors le blocage absolu, l'impossibilité de faire autrement, le sentiment intolérable d'abriter en elle une criminelle qui a spolié des vies...une souffrance indicible (seuls ses pauvres petits seins qu'elle exhibe demeurent pour elle le refuge de sa dernière innocence). C'est extrêmement poignant...
Et face à cela qu'avons-nous? Une famille aimante mais pour qui la norme ne saurait être remise en cause, qui ne songe à aucun moment à admettre la différence et proposer des moyens palliatifs pour compenser les carences alimentaires de la jeune femme. La seule réponse est la coercition brutale même si certains tentent sans succès de s'y opposer.Cela en dit long sur la dureté de cette société ( et au passage sur les rapports d'infantilisation entre parents et enfants même parvenus à l'âge adulte, la pression familiale). Cela m'a fait penser au très beau texte (mais très dur aussi) de cette autre auteure coréenne Ch'oe Yun "Au loin, sans bruit tombe un pétale".
Finalement, le choc de cette confrontation est d'autant plus brutal que la norme se heurte ici non à la conviction mais à une impossibilité psychologique profondément ressentie dans la chair. je reviens donc sur mon premier sentiment à cet égard.
Quant au mari, il n'est pas vraiment sympathique. Je rejoins totalement Septu dans son appréciation du personnage. Il est lui aussi l'incarnation de la norme, ne dépassant jamais l'observation des choses, assignant à son épouse une fonction essentiellement sociale, n'ayant même pas le réflexe de s'opposer à la violence du père, et abandonnant sa femme à la solitude de sa souffrance.
Quant au mari, je rejoins totalement Septu
On n'est effectivement pas...(et non on est).
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