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Voici quelques données concernant la conception et la publication du roman (source: Wikipedia-English)
D'abord on dit que l'auteur aurait été marquée par une phrase écrite par Yi Sang (1910-1937): 'I believe that human should be plants' (Je crois que les humains devraient être des végétaux) une phrase qui aurait été interprétée par Han Kang comme reflétant une prise de position de la part de monsieur Yi à l'encontre de la violence régnant à l'époque coloniale (occupation japonaise, 1910-45))
.
Han Kang s'intéresse également au thème de la violence (versus l'innocence) chez l'humain.
Au départ elle compose une nouvelle (publiée en Corée en 1997) qui a pour titre anglais 'The Fruit of my Woman'. Publiée en anglais par le magazine Granta (on peut accéder au texte par le lien ci-après).
https://granta.com/the-fruit-of-my-woman/
Cette nouvelle raconte l'histoire d'une femme qui, en se transformant en plante, tournant ainsi le dos à toute violence (celle dont on est victime et celle que l'on donne).
'The Fruit of My Woman' sera revue/reprise sous le titre 'Chaeshikjueuija' (La végétarienne), une nouvelle publiée à l'été 2004 par un magazine coréen (Quaterly Changbi).
Une seconde nouvelle a été publiée sous le titre 'Monggobanjeom' (La tache mongolique) à l'automne 2004 par le même magazine coréen et a reçu le Prix Yi Sang 2005.
Puis une troisième nouvelle publiée sous le titre 'Namubulkkot' (Les flammes des arbres) à l'hiver 2005.
Ces trois nouvelles sont réunies et présentées sous forme d'un roman ayant pour titre 'Chaeshikjueuija' (La végétarienne) publié en 2007 et par la suite traduit en plusieurs langues.
Ce roman a par ailleurs été adapté pour l'écran en 2009 par Lim Woo-Seong et le film a été présenté au Festival Sundance en 2010. On peut le visionner ici (en VO avec sous-titres anglais).
https://www.youtube.com/watch?v=1xQGgeh3IlA
D'abord on dit que l'auteur aurait été marquée par une phrase écrite par Yi Sang (1910-1937): 'I believe that human should be plants' (Je crois que les humains devraient être des végétaux) une phrase qui aurait été interprétée par Han Kang comme reflétant une prise de position de la part de monsieur Yi à l'encontre de la violence régnant à l'époque coloniale (occupation japonaise, 1910-45))
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Han Kang s'intéresse également au thème de la violence (versus l'innocence) chez l'humain.
Au départ elle compose une nouvelle (publiée en Corée en 1997) qui a pour titre anglais 'The Fruit of my Woman'. Publiée en anglais par le magazine Granta (on peut accéder au texte par le lien ci-après).
https://granta.com/the-fruit-of-my-woman/
Cette nouvelle raconte l'histoire d'une femme qui, en se transformant en plante, tournant ainsi le dos à toute violence (celle dont on est victime et celle que l'on donne).
'The Fruit of My Woman' sera revue/reprise sous le titre 'Chaeshikjueuija' (La végétarienne), une nouvelle publiée à l'été 2004 par un magazine coréen (Quaterly Changbi).
Une seconde nouvelle a été publiée sous le titre 'Monggobanjeom' (La tache mongolique) à l'automne 2004 par le même magazine coréen et a reçu le Prix Yi Sang 2005.
Puis une troisième nouvelle publiée sous le titre 'Namubulkkot' (Les flammes des arbres) à l'hiver 2005.
Ces trois nouvelles sont réunies et présentées sous forme d'un roman ayant pour titre 'Chaeshikjueuija' (La végétarienne) publié en 2007 et par la suite traduit en plusieurs langues.
Ce roman a par ailleurs été adapté pour l'écran en 2009 par Lim Woo-Seong et le film a été présenté au Festival Sundance en 2010. On peut le visionner ici (en VO avec sous-titres anglais).
https://www.youtube.com/watch?v=1xQGgeh3IlA
Très intéressant. Cela confirme donc bien ce que je disais concernant le "roman lié".
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