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Certains jeunes en études supérieurs, veulent faire de la politique, mais cette "envie" est dû au fait que leurs cursus scolaire les mène à cet objectif, par ambition de réussir leurs vies, n’ont pour la plus part d’entre eux pas de vocations dû à d’éventuelles convictions sociologiques ou autres, ni pour l’intérêt commun, ni même pour eux même, mais par seul souci de carriérisme.
Par forcément que ces jeunes soient carriéristes en leurs âmes et consciences, mais qu’on leurs enseigne que la carrière doit passer avant tout, alors leurs convictions, pour la plus part ne se forgent pas en fonction d’un parcours de vie extérieur au cursus, mais uniquement en fonction de ce que leurs enseigne le contenu de ce cursus scolaire.
D’où se vide astral monumental et sidéral dans les hautes fonctions politiques, d’où cet attachement a une vision de la société purement économique, d’où cette totale déconnexion avec le monde d’en bas.
Celons mon point de vue, faire de la politique pour faire de la politique, n’est propices qu’au carriérisme de ceux qui se servent de l’outil politique pour obtenir le pouvoir, qui représente pour moi la façon la plus malsaine d’entré en politique.
Car de mon point de vue, entré en politique par conviction, cela peut être y entré malgré soit, par ce que l’on se dit, que c’est l’outil le plus puissant, qui peut faire avancer un projet sociétal, lié à une idéologie, basé sur des convictions, fondées sur une vison sociétale formé par vécu, un apprentissage à l’école de la vie. Après reste à apprendre à faire usage de cet outil politique, de façons productive.
Par forcément que ces jeunes soient carriéristes en leurs âmes et consciences, mais qu’on leurs enseigne que la carrière doit passer avant tout, alors leurs convictions, pour la plus part ne se forgent pas en fonction d’un parcours de vie extérieur au cursus, mais uniquement en fonction de ce que leurs enseigne le contenu de ce cursus scolaire.
D’où se vide astral monumental et sidéral dans les hautes fonctions politiques, d’où cet attachement a une vision de la société purement économique, d’où cette totale déconnexion avec le monde d’en bas.
Celons mon point de vue, faire de la politique pour faire de la politique, n’est propices qu’au carriérisme de ceux qui se servent de l’outil politique pour obtenir le pouvoir, qui représente pour moi la façon la plus malsaine d’entré en politique.
Car de mon point de vue, entré en politique par conviction, cela peut être y entré malgré soit, par ce que l’on se dit, que c’est l’outil le plus puissant, qui peut faire avancer un projet sociétal, lié à une idéologie, basé sur des convictions, fondées sur une vison sociétale formé par vécu, un apprentissage à l’école de la vie. Après reste à apprendre à faire usage de cet outil politique, de façons productive.
Ce n'est plus un bon calcul : la contestation des élites, à tort ou à raison, remet en cause la reconnaissance des parcours d'élite et les réussites trop marquées.
Par ailleurs, les convictions sont souvent oubliées, mais fort heureusement encore présente, au moins chez les militantes et militants de base. Après, les appareils des partis gèrent un peu autrement.
Par ailleurs, les convictions sont souvent oubliées, mais fort heureusement encore présente, au moins chez les militantes et militants de base. Après, les appareils des partis gèrent un peu autrement.
Ce n'est plus un bon calcul : la contestation des élites, à tort ou à raison, remet en cause la reconnaissance des parcours d'élite et les réussites trop marquées.
Par ailleurs, les convictions sont souvent oubliées, mais fort heureusement encore présente, au moins chez les militantes et militants de base. Après, les appareils des partis gèrent un peu autrement.
De mon point de vue, militer c'est aussi voté pour des dits petits candidats aux conviction car voter pour des dits gros candidats au ambitions, c'est condamner le militantisme à l'utopisme, tel est ma conviction.
La conviction reste a priori consubstantielle du militantisme, au moins en principe. Et la plupart des militants répondent encore à ce principe, sans que cela dépende de la valeur des candidats et de leur probabilité de pouvoir peser dans une élection donnée.
Après, l’ambition n’est pas un mal en soi, ni la volonté de travailler dans le politique. Toutefois, se cantonner à ce secteur est perçu comme se couper des réalités et de constituer, pour les plus hauts gradés, une élite hors sol.
Je laisse chacune et chacun en penser ce que bin lui semble.
Après, l’ambition n’est pas un mal en soi, ni la volonté de travailler dans le politique. Toutefois, se cantonner à ce secteur est perçu comme se couper des réalités et de constituer, pour les plus hauts gradés, une élite hors sol.
Je laisse chacune et chacun en penser ce que bin lui semble.
La conviction reste a priori consubstantielle du militantisme, au moins en principe. Et la plupart des militants répondent encore à ce principe, sans que cela dépende de la valeur des candidats et de leur probabilité de pouvoir peser dans une élection donnée.
Après, l’ambition n’est pas un mal en soi, ni la volonté de travailler dans le politique. Toutefois, se cantonner à ce secteur est perçu comme se couper des réalités et de constituer, pour les plus hauts gradés, une élite hors sol.
Je laisse chacune et chacun en penser ce que bin lui semble.
Que chacun pense comme bon lui semble, certes
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Ceci dit j'ai envie de te poser une question : Penses tu que l’ambition qui est un but personnel soit compatible avec le véritable interet commun ?
Que chacun pense comme bon lui semble, certesOn peut avoir de l'ambition pour autre chose que soi. Pour ses enfants, pour son pays, par exemple. Mais ça n'empêche pas une possible confusion avec son ambition personnelle.
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Ceci dit j'ai envie de te poser une question : Penses tu que l’ambition qui est un but personnel soit compatible avec le véritable interet commun ?
Cela dit, cette discussion m'a donné l'envie de creuser la sociologie parlementaire. Et c'est intéressant de constater à quel point elle est distante de la sociologie "commune".
En France en tout cas, mais j'imagine que c'est un peu pareil dans toutes les "démocraties libérales" : https://telos-eu.com/fr/…
On peut avoir de l'ambition pour autre chose que soi. Pour ses enfants, pour son pays, par exemple. Mais ça n'empêche pas une possible confusion avec son ambition personnelle.
Oui, c'est possible, mais les gouvernant que j'ai vu ne m'en donne pas l'impression
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