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Née en 1929, Sarah Maldoror, abandonne son vrai nom Ducados pour rendre hommage aux « Chants der Maldoror » du comte de Lautréamont.
Fondatrice de la première troupe du théâtre noir en France, elle épouse Mario de Andrade écrivain et militant angolais. Tous deux engageront une lutte commune pour l’affirmation des africains dans la littérature française et dans le monde.
Les éditions Carlotta films viennent de sortir son film , » Sambizanga »salué ainsi par Martin Scorsese : « L’oeuvre exceptionnelle d’une artiste d’exception. »Et c’est vrai que c’est un beau film adapté du livre de Domingos Xavier « La vraie vie » paru en 1961.
C’est l’histoire de Domingos Xavier militant révolutionnaire angolais fait prisonnier dans la capitale Luanda. Sa femme Maria, son bébé sur le dos part à sa recherche soutenue par diverses personnes.
La violence est présente mais grâce à de belles images, une atmosphère touchante et une mise en scène impeccable, elle est acceptable. Tourné par des acteurs non professionnels ce dont on ne s’aperçoit pas, l’action collective est mise en valeur ainsi que les femmes.
Censurée pour son film « Des fusils pou Banta » , sous prétexte que cette réalisatrice valorise trop le point de vue des femmes, cela ne l’empêchera pas de déclarer : « Le rôle des femmes est crucial dans une guerre. « A méditer
Agnes Figueras-Lenattier
Fondatrice de la première troupe du théâtre noir en France, elle épouse Mario de Andrade écrivain et militant angolais. Tous deux engageront une lutte commune pour l’affirmation des africains dans la littérature française et dans le monde.
Les éditions Carlotta films viennent de sortir son film , » Sambizanga »salué ainsi par Martin Scorsese : « L’oeuvre exceptionnelle d’une artiste d’exception. »Et c’est vrai que c’est un beau film adapté du livre de Domingos Xavier « La vraie vie » paru en 1961.
C’est l’histoire de Domingos Xavier militant révolutionnaire angolais fait prisonnier dans la capitale Luanda. Sa femme Maria, son bébé sur le dos part à sa recherche soutenue par diverses personnes.
La violence est présente mais grâce à de belles images, une atmosphère touchante et une mise en scène impeccable, elle est acceptable. Tourné par des acteurs non professionnels ce dont on ne s’aperçoit pas, l’action collective est mise en valeur ainsi que les femmes.
Censurée pour son film « Des fusils pou Banta » , sous prétexte que cette réalisatrice valorise trop le point de vue des femmes, cela ne l’empêchera pas de déclarer : « Le rôle des femmes est crucial dans une guerre. « A méditer
Agnes Figueras-Lenattier
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