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N'est ce pas, au fait, cette même conférence qui est décrite dans l'écume des jours ?
Tais toi idiot, la prochaine fois, tu liras TOUTES les critiques.
Il ne s'agit pas de seulement lire la critique principale et de lire en diagonale les autres.
Il ne s'agit pas de seulement lire la critique principale et de lire en diagonale les autres.
C'est arrivé à tout le monde, Vincent!
Je relève par ailleurs dans la critique éclair de Pétoman : "Sartre nous dit, en résumé qu'il ne faut pas aimer l'homme pour ce qu'il est mais pour ce qu'il fait. Pourquoi ne pas le dire tout simplement?"
D'abord, je crois que Sartre ne peut pas être plus simple que dans cette petite conférence.
Mais ce que Pétoman ne semble pas comprendre, c'est qu'il n'y a tout simplement pas de différence, pour Sartre, entre ce que l'homme "est" et ce qu'il "fait". "Tu n'es rien d'autre que tes actes", "l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait", etc. Donc, aimer l'homme pour ce qu'il est, c'est-à-dire pour ce qu'il fait. Et au diable les alibis, les mensonges, les prétextes, les remords et les regrets. Dur à avaler, mais c'est comme ça.
Je relève par ailleurs dans la critique éclair de Pétoman : "Sartre nous dit, en résumé qu'il ne faut pas aimer l'homme pour ce qu'il est mais pour ce qu'il fait. Pourquoi ne pas le dire tout simplement?"
D'abord, je crois que Sartre ne peut pas être plus simple que dans cette petite conférence.
Mais ce que Pétoman ne semble pas comprendre, c'est qu'il n'y a tout simplement pas de différence, pour Sartre, entre ce que l'homme "est" et ce qu'il "fait". "Tu n'es rien d'autre que tes actes", "l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait", etc. Donc, aimer l'homme pour ce qu'il est, c'est-à-dire pour ce qu'il fait. Et au diable les alibis, les mensonges, les prétextes, les remords et les regrets. Dur à avaler, mais c'est comme ça.
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