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Citée par Keynes et trouvée dans le livre de Galbraith "Les mensonges de l'économie", cette épitathe sur la tombe d'une vieille femme de ménage :
Ne me pleurez pas, mes amis,
Ne me pleurez pas, jamais,
Car je ne vais plus rien faire,
Pour l'éternité.
Ne me pleurez pas, mes amis,
Ne me pleurez pas, jamais,
Car je ne vais plus rien faire,
Pour l'éternité.
C'est très joli et on se sent serein après une telle épitaphe.
Je préfère celle-ci à celle que j'avais lu il y a très longtemps sur un petit recueil d'épitaphes :
"je vous l'avais bien dit Docteur, que j'étais malade !"
Je préfère celle-ci à celle que j'avais lu il y a très longtemps sur un petit recueil d'épitaphes :
"je vous l'avais bien dit Docteur, que j'étais malade !"
Pour les amateurs d'épitaphes, il existe aussi le livre de Pierre Ferran "Le livre des épitaphes - La réalité dépasse l'affliction" paru chez Horay en 2002.
Voulez-vous faire un peu de calcul ? Si oui, veuillez lire dans un premier temps l'épitaphe de DIOPHANTE, qui suit la solution (dans le premier paragraphe) pour résoudre l'énigme de son âge au moment de sa mort :
http://recreomath.qc.ca/dict_diophante_epitaphe.ht…
http://recreomath.qc.ca/dict_diophante_epitaphe.ht…
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