Je viens de revoir Le Goût des autres, d’Agnes Jaoui, avec Jean-Pierre Bacri, Alain Chabat, Gérard Lanvin, Anne Alvaro et elle-même. Ce comédie dramatique et chorale s’avère aigre-douce et fait utilement sur les rapports sentimentaux et professionnels.
Hier soir, j’ai revu Magic In The Moonlight, de Woody Allan, une comédie plaisante et assez drôle, comme souvent.
Je viens de revoir L’Aveu, de Costa Gavrzs, avec Yves Montand et Simone Signoret. Ce drame politique reste dur mais implacable et très bien fait et interprété.
J'ai vu The Pentagon Papers (Steven Spielberg, 2017), un thriller politique dans lequel le réalisateur prend la défense de la liberté de la presse. C'est intéressant mais il me semble que Spielberg use de ficelles dépassées. On a l'impression de voir la même chose encore et encore...
J'ai été voir le film F1, avec Brad Pitt et Javier Bardem. Il faut le voir sur un grand écran (imax si possible) car le film vaut principalement pour les images de courses assez saissantes. Il y a des scènes vraiment espoutouflantes. C'est clair que les fans de Formule 1 vont se régaler, mais meme sinon ca vaut la peine. L'histoire est un peu baclée mais ce n'est pas vraiment le sujet. Il y a pas mal d'invraisemblances ausi (il faut accepter le "suspension of disbelief") mais c'est un film et donc ca passe bien.
Hier soir, j’ai revu Le Charme discret de la bourgeoisie, de Luis Bunuel, avec Stéphane Audran, Delphine Seyrig, Bulle soggier, Fernando Rey, Jean-Pierre Cassel et Claude Pieplu. Cette comédie surréaliste, par définition sans queue ni tête, est réjouissante.
Ce matin, j’ai revu Itinéraire d’un enfant gâté, de Claude Lelouch, avec Jean-Paul Belmondo.
Cette volonté d’indépendance reste mystérieuse et assez belle, bien qu’un tantinet excessive.
Cette volonté d’indépendance reste mystérieuse et assez belle, bien qu’un tantinet excessive.
Je viens de revoir Love Actually. Cette comédie est divertissante, assez drôle et rafraîchissante.
"Wolfs" avec Brad Pitt et George Clooney, un film hilarant que je vous conseille.
Hier soir, j'ai revu La Femme d'à-côté, de François Truffaut, avec Fanny Ardant, Gérard Depardieu et Henri Garcin. Ce drame sentimental connaît une tension crescendo, est bien mené et densément interprété.
Je viens de revoir Femmes au bout de la crise de nerfs, de Pedro Almodovar, avec Carmien Maura, Rossy de Palma et Antonio Banderzs. Et je trouve toujours ça aussi drôle.
Je viens de revoir Huit et demi, de Federico Fellini, avec Marcello Mastroianni, Anouck Aimée et Claudia Cardinale. Son ironie, son humour, ses réflexions et ses méandres sur la création cinématographique font réfléchir et divertissent tour à tour. C’est un film riche et touffu qui mérite son statut de classique.
Hier soir, j'ai revu Melinda et Melinda, de Woody Allen. Cette double trame narrative est intéressante, parfois distrayante.
Vu pour la première fois "Une vérité qui dérange", qui date de 2005. La partie documentaire est intéressante et bien argumentée : ce DVD montrera à nos enfants et petits-enfants qu'on savait et qu'on a rien fait, ou en tout cas bien trop peu. Néanmoins, même s'il est intéressant, le documentaire est par moments un peu irritant : Al Gore s'y met un peu trop en scène (mais cette personnalisation du discours a aussi l'intérêt de démontrer l'échec de l'incarnation politique des enjeux environnementaux aux USA) et le discours semble indiquer que les premières études sur l'impact climatique des activités industrielles ont été initiées aux USA. En effet, il n'évoque jamais la recherche européenne or c'est bien en Europe que les premiers travaux sur le climat ont été menés (l'effet de serre a été théorisé à la fin du XIXème et c'est un physicien français qui a conduit les premières analyses de gaz captif des carottes glaciaires en Antarctique). Toutefois, je ne peux que recommander à ceux qui ne l'ont pas encore vu de le voir : il montre bien les différents aspects et impacts du dérèglement climatique et met aussi en lumière les collusions aux USA entre pouvoir politique et industrie pétrolière. Le DVD cible "Bush fils" mais que dire de la direction prise par Trump ?
Je viens de revoir Parle avec elle, de Pedro Almodovar. Ce drame remue par la gravite des faits traités, mais est bien fait et assez brillant en son genre.
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