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Lorsque l'auteur s'éloigne des descriptions il nous propose des phrases dont le sens est pour le moins ... obscur. Là aussi j'ai dû passer à coté. Des phrases telles que :
"il voulait essayer de dresser une tente avec la bâche mais l'homme ne lui avait pas permis. il dit qu'il ne voulait rien qui le recouvre. Il restait allongé les yeux fixés sur le petit près du feu. Il voulait être capable de voir. Regarde autour de toi dit-il. Il n'y a pas dans la longue chronique de la terre de prophète qui ne soit honoré ici aujourd'hui. De quelque forme que tu aies parlé tu avais raison. " fin du paragraphe (sic) page 244-245... merci de m'éclairer à moins qu'il ne s'agisse d'un problème de traduction.
Idem page 168
"Il ramassa un livre et feuilleta les lourdes pages gonflées d'humidité. Il n'aurait pas cru que la valeur de la moindre petite chose pût dépendre d'un monde à venir. ça le surprenait. Que l'espace que les choses occupaient fût lui même une attente. Il lâcha le livre et regarda une dernière fois autour de lui et sortit dans la froide lumière grise." page 168....
Si quelqu'un à répondu aux questions de Canow je suis passé à côté alors désolé pour le double emploi éventuel. :o)
Dans le premier passage cité je suppose que ce qui n'est pas compris c'est surtout les deux dernières phrases: "Il n'y a pas dans la longue chronique de la terre de prophète qui ne soit honoré ici aujourd'hui." et "De quelque forme que tu aies parlé tu avais raison."
Je comprends la première comme voulant exprimer le fait que l'état de destruction du monde soit conforme aux dires de tous ceux qui avaient prophétisé l'apocalypse, ils sont donc honoré par le fait que leurs prophéties soient devenues réalité.
La seconde phrase me semble être adressée à Dieu qui s'est exprimé sous la forme des divers prophètes.
Pour ce qui est du second passage il me semble qu'il vise à faire passer de manière poétique le fait que tout, même les livres, a perdu son sens depuis qu'il n'y a plus d'avenir possible. Le sens des choses réside dans la non finitude. Hors, là on marche vers une fin certaine.
Voila voila, si des gens ont compris ça autrement ou trouvent ma vision manifestement erronnée n'hésitez pas à m'en faire part, ça m'intéresse. :o)
J'aurais du intituler ce forum "Pour Canow et Kayak" mais c'est trop tard et ce n'est sans doute pas plus mal! ^^'
Trés bonne analyse. Je croyais qu'il parlait de son fils, qu'il voit désormais comme "un Dieu", comme l'unique espérance dans un monde devenu éteint.
Il lui demande plusieurs fois de s'exprimer. Le petit ne dit rien. Il ne parle pas pendant des heures entières, mais de toute façon quoiqu'il arrive, c'est lui, ce petit, qui a raison désormais.
Mais après réflexion ton analyse me paraît plus juste.
Il lui demande plusieurs fois de s'exprimer. Le petit ne dit rien. Il ne parle pas pendant des heures entières, mais de toute façon quoiqu'il arrive, c'est lui, ce petit, qui a raison désormais.
Mais après réflexion ton analyse me paraît plus juste.
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