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Juste pour préciser quelques petits détails (les bootleggers sont des maniaques!) sur un papier que j'ai beaucoup apprécié : Virgin n'a pas édité de bootlegs, ils se sont contenté d'en vendre, à l'époque dans leur magasin londonien, et beaucoup, même. Ce cher - très cher - Richard Branson a eu la peur de sa vie en passant quelques jours au frais à cette occasion. J'aime beaucoup raconter que ces produits lui plaisaient suffisamment pour avoir même appelé son chien "Bootleg".
autre précision, le tirage le plus courant d'un bootleg est 1000 pièces. Parfois seulement 500. 5000, c'est exceptionnel. C'est vrai que certaines pièces mythiques ont connu des tirages (successifs) beaucoup plus important, mais on les compte sur les doigts de la main (ex : le Atlantic City des Stones : 70 000).
A part ça, pour ceux que ça intéresse, l'aventure continue sur www.bootlegmuseum.com. Ce n'est pas de la pub, tout est gratuit, y compris les liens qui n'ont pas encore été coupés par les mains malfaisantes des chiens de garde des majors. Bonne lecture et bonne écoute à tous
Alain Gaschet
autre précision, le tirage le plus courant d'un bootleg est 1000 pièces. Parfois seulement 500. 5000, c'est exceptionnel. C'est vrai que certaines pièces mythiques ont connu des tirages (successifs) beaucoup plus important, mais on les compte sur les doigts de la main (ex : le Atlantic City des Stones : 70 000).
A part ça, pour ceux que ça intéresse, l'aventure continue sur www.bootlegmuseum.com. Ce n'est pas de la pub, tout est gratuit, y compris les liens qui n'ont pas encore été coupés par les mains malfaisantes des chiens de garde des majors. Bonne lecture et bonne écoute à tous
Alain Gaschet
Très intéressant, la critique et ton site. Merci.
Le premier disque que j'ai acheté, c'est le Bootleg Live de Aerosmith justement. Mais ce n'est pas un vrai bootleg, c'était un clin d'oeil de la maison de disque.
Le premier disque que j'ai acheté, c'est le Bootleg Live de Aerosmith justement. Mais ce n'est pas un vrai bootleg, c'était un clin d'oeil de la maison de disque.
Je suppose, Saule, qu'il s'agit de l'album "Live Bootleg", que je possède également.
J'ai dévoré ce livre en deux après-midi, ce qui est très rare pour moi qui fait durer mes lectures. On voit bien la différence fondamentale entre les bootlegers de terrain, dirons-nous, qui sont là au concert et qui offrent un produit physique et les consommateurs à grande échelle qui blindent leur disque dur de quantités de musiques telles qu'il est impossible de tout écouter. Ce sont deux mondes, deux conceptions qui s'affrontent et la seconde ne me paraît pas présenter le caractère bon enfant passionné de la première...
J'ai dévoré ce livre en deux après-midi, ce qui est très rare pour moi qui fait durer mes lectures. On voit bien la différence fondamentale entre les bootlegers de terrain, dirons-nous, qui sont là au concert et qui offrent un produit physique et les consommateurs à grande échelle qui blindent leur disque dur de quantités de musiques telles qu'il est impossible de tout écouter. Ce sont deux mondes, deux conceptions qui s'affrontent et la seconde ne me paraît pas présenter le caractère bon enfant passionné de la première...
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