Odyssée de Homère
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone
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La ruse au lieu de la guerre...
La guerre de Troie est finie et Ulysse embarque pour regagner son royaume, Ithaque, où l’attendent sa femme Pénélope et son fils Télémaque.
Ce voyage va durer dix longues années tant il sera semé d’embûches.
Le livre commence par une visite d'Athéna au palais d’Ulysse envahi par les prétendants qui le pillent. Télémaque se ronge le frein et Pénélope continue d'attendre son mari en repoussant les prétendants.
Ici aussi les dieux seront omniprésents, mais il est important de noter que dans l’ « Odyssée » les femmes jouent un beaucoup plus grand rôle que les hommes. Ce sont elles qui bien souvent ralentiront Ulysse ou lui tendront des pièges. Il devra se libérer de Circé, de Calypso (qui lui proposera de lui donner l'immortalité, mais il refusera), de Nausicaa, fille d’un roi cannibale, de Charybde et de Scylla. Mais il y aura aussi le Cyclope cannibale Polyphème…
Ulysse fera deux passages au royaume des morts. Il y rencontrera Agamemnon qui lui racontera son assassinat par Clytemnestre à son retour chez lui et aussi Achille qui lui dira tellement regretter la vie. A Sparte, il reverra Hélène.
S'il est déjà très peu probable qu’un seul homme ait pu écrire l’ « Iliade », il est tout à fait certain que le même n’aurait jamais pu écrire les deux livres. Dans l’ « Odyssée » on nous décrit une tout autre civilisation que dans l' « Iliade ». Alors que dans le premier les rançons se paient en fer, dans le second elles se paient encore en bronze. Dans l’ « Iliade » la richesse se calcule en bœufs et en chevaux, alors que dans l’ « Odyssée » on voit aussi apparaître l’importance des terres et des cultures. Quelques siècles se sont écoulés entre la création de ces deux ouvrages.
Pour la petite histoire, l' « Iliade » se compose de quinze mille vers environs et l' « Odyssée » en a plus ou moins douze mille ! Homère aurait été un « aède », c'est à dire un chanteur. En effet, ces poèmes se récitaient en chantant accompagné d'un petit instrument à cordes.
L’ « Iliade » racontait la guerre, l' « Odyssée » raconte plutôt la paix, même si l’on s'y bat parfois.
Un très grand récit dans lequel nous retrouvons les origines du roman.
Les éditions
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Odyssée [Texte imprimé] Homère éd. présentée et annotée par Philippe Brunet trad. de Victor Bérard
de Homère, Brunet, Philippe (Editeur scientifique) Bérard, Victor (Traducteur)
Gallimard / Classique
ISBN : 9782070409129 ; 5,70 € ; 01/03/2000 ; 511 p. ; Poche -
L'odyssée [Texte imprimé] Homère traduction, notes et postface de Philippe Jaccottet... [postface] par François Hartog
de Homère, Hartog, François (Postface) Jaccottet, Philippe (Traducteur)
la Découverte / La Découverte-poche. Littérature et voyages
ISBN : 9782707143709 ; 12,00 € ; 24/03/2004 ; 434 p. ; Poche -
L'Odyssée
de Homère, Leconte de Lisle, Charles-Marie (Traducteur)
Bibebook
ISBN : 9782824707525 ; 07/06/2013 ; 314 p. ; Format Kindle -
L'Odyssée
de Homère, Brunet, Philippe
Seuil
ISBN : 9782021494426 ; 26,00 € ; 04/11/2022 ; 592 p. ; Broché -
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Les critiques éclairs (17)
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D'aventure en aventure
Critique de Fanou03 (*, Inscrit le 13 mars 2011, 49 ans) - 12 mars 2021
Les aventures qu’Ulysse vit au cours de son voyage de retour ne représentent en fait qu’environ un tiers du livre, le restant se décomposant entre, d’une part, les propres voyages de Télémaque cherchant à obtenir des nouvelles de son père auprès de Ménélas et Nestor, et d’autre part, la défaite des rivaux d’Ulysse, qui forme un « livre » à lui tout seul, et une magnifique tragédie (pour les prétendants de Pénélope en tout cas !). Cette structure très particulière, à laquelle on ne s’attend pas, est la principale difficulté de lecture je trouve, car elle tend à brouiller la chronologie de l’histoire. J’ai dû parfois m’accrocher pour savoir où on en était ! L’Iliade est beaucoup plus linéaire, certes, mais par contre beaucoup plus ardue à lire, car plus longue et encore plus dense, littérairement parlant, que l’Odyssée (à traducteur égal, qui est Mario Meunier dans mon cas).
L’Odyssée rend clairement hommage aux contes et aux conteurs. Les gens dans ce livre n’arrêtent pas de demander à Ulysse quelles aventures il a vécu. Il raconte parfois « la vérité », parfois il ment pour déguiser son identité. C’est beau toutes ces histoires de voyage ! Mais je dois dire qu’au final j’ai été presque beaucoup plus impressionné par la dernière partie, quand Ulysse mûrit lentement sa vengeance, quand il retrouve son fils, quand il est hébergé par son porcher Eumée, ce qui donne une couleur pastorale que j’ai infiniment apprécié, et rappelle l’importance de l’agriculture pour ces civilisations. Le moment où Ulysse transformé en mendiant fait vibrer la corde de son arc et provoque la peur chez les prétendants est extraordinaire, très cinématographique, très moderne également ! Il faut noter le traitement réservé à Pénélope (« la plus sage des femmes »), superbe figure féminine. Le texte quant à lui est magnifique, très lisible comme je le disais par rapport à l’Iliade, agrémenté des formules rituelles (« L’Aurore aux doigts de rose ») qui font tout le charme de ce genre de littérature.
De la Fantasy avant l'heure
Critique de Bafie (, Inscrite le 19 juillet 2004, 63 ans) - 13 septembre 2016
C'est par curiosité que j'avais emprunté ce livre à la bibliothèque et franchement la démarche est récompensée par une lecture vivifiante.
Heureux celui qui lut...
Critique de Deinos (, Inscrit le 14 février 2009, 62 ans) - 29 novembre 2013
Oeuvre d'une grande richesse, comme beaucoup l'ont dit, où on devine un monde, un mode de vie si lointain, où on s'essaie à pénétrer dans l'esprit de cette époque sans y parvenir... avec ce style si particulier où on ne se contente pas de nommer simplement, aux métaphores inattendues... d'une infinie richesse dans les expansions du nom... tout cela se lisant, pour peu qu'on aie quelques notions sur la mythologie... avec aisance...
Une belle oeuvre...
C'est l'Homme aux mille tours, Muse, qu'il faut me dire
Critique de Koolasuchus (Laon, Inscrit le 10 décembre 2011, 35 ans) - 21 avril 2013
Il faut évidemment prendre une certaine distance avec les livres actuels car le style et les formules employées sont bien sur différents mais si l'on y arrive on est lancé pour plusieurs heures d'un voyage palpitant dans les mers et les îles antiques. Il est juste un peu dommage que certains passages très connus et parmis les plus intéressants soit au final assez survolés comme les sirènes ou Charybde et Scylla alors que la partie du retour d'Ulysse à Ithaque tend un peu à traîner en longueur.
Que ce récit soit l’œuvre d'un ou plusieurs auteurs je m'en moque, que les îles citées soit réelles ou non, idem, l'Odyssée se vit, se ressent et cette aura de mystère ne fait qu'ajouter à son charme.
Un commentaire plutôt qu'une critique
Critique de SpaceCadet (Ici ou Là, Inscrit(e) le 16 novembre 2008, - ans) - 18 mars 2011
Ayant vu le jour avant l’avènement de la démocratie en Grèce (et en occident), il constitue avec l’Iliade l’un des poèmes fondateurs de la civilisation européenne.
L’Odyssée compte plus de 12000 hexamètres dactyliques rassemblés en 24 chants, et raconte le retour d’Ulysse après que, dans les suites de la guerre de Troie (en partie raconté dans L’Iliade), il se soit absenté de son royaume pendant vingt ans.
L’histoire se divise en trois parties.
La première partie est centrée autour de Télémaque, le fils d’Ulysse et de Pénélope qui tente de se débarrasser des prétendants (au trône et au lit de Pénélope) occupant la demeure d’Ulysse depuis le départ de celui-ci et essaie par ailleurs de retrouver la trace de son père.
La seconde partie nous montre Ulysse qui, sous l’emprise de Poséidon, se voit retenu sur une île lointaine par la nymphe Calypso (qui voudrait bien en faire son époux). Mais celle-ci recevant éventuellement, par le biais d’Hermès, un ordre de Zeus, se résigne alors à laisser partir Ulysse qui ainsi poursuit le périple et les aventures d’un retour entamé plusieurs années auparavant.
La dernière partie raconte l’arrivée d’Ulysse en son pays.
Mariant fiction et réalité, l’Epopée se déroule dans la Grèce antique ainsi que dans un univers peuplé d’humains, de personnages mythologiques et de dieux. Ainsi, dans la mesure où l’on aborde cette œuvre sans le support de quelques notions d’histoire de Grèce et de mythologie grecque, on risque, à prime abord, de se trouver désorienté.
Toutefois, si l’on excepte cette difficulté, on se laisse aisément transporter par ces vers qui nous emmènent dans un univers fascinant où toute chose animée d’une essence divine, participe à bon ou mauvais escient à l’existence des hommes (ce qui crée l’impression d’un monde suffisant, entier, complet, sans part d’inconnu, disons, parce que d’une certaine manière, tout est expliqué).
Un univers par ailleurs décrit à grand renfort de tournures poétiques et d’images dont la puissance évocatrice entraîne le lecteur dans un monde extraordinaire.
Ainsi, en dépit d’un contexte qu’il est difficile de concevoir, on arrive à se former une idée des lieux, des objets et des personnages qui peuplent cette épopée.
Les dialogues prennent également une forme singulière, notamment par le fait du style d’écriture et probablement aussi, en raison des formes d’expressions propres à l’époque et à la langue.
Puis au long de l’histoire, de même qu’au gré des échanges, on découvre peu à peu l’esprit et la pensée de l’époque, les valeurs, les croyances, les coutumes, de même que l’on se forme une idée de l’organisation sociale qui prévalait.
On est notamment dans un monde régi par la raison et sanctionné par la loi de Dieu, une société stratifiée où, entre autres qualités, l’hospitalité, la générosité, l’honneur et l’humilité témoignent de la valeur d’un homme.
C’est dire qu’en marge du récit, on ne peut s’empêcher d’imaginer le contexte dans lequel il a vu le jour. On imagine l’aède déclamant ou chantant ces vers devant un public attentif, on imagine la scène, le décor et la signification qu’a pu prendre cette histoire aux yeux des hommes et des femmes de l’époque.
Ainsi, l’esprit du lecteur est stimulé à différents niveaux et ceci, tant par le contenu du poème que par la place qu’il occupe dans la société d’où il est issue tandis que par extension, il peut éventuellement établir des liens, sur la forme et sur le contenu, entre ce texte ancien et la littérature moderne.
Une œuvre donc d’une richesse exceptionnelle.
Reste qu’en dépit de la traduction et des outils qui peuvent accompagner la lecture, une distance demeure, une distance qui exige un effort de la part du lecteur non averti s’il veut pouvoir apprécier cette œuvre dans sa juste mesure.
Bien
Critique de Harry Potter (Arcangues, Inscrit le 27 juillet 2010, 26 ans) - 21 octobre 2010
Ô Muse, raconte moi l'aventure de l'Inventif...
Critique de Ianf (, Inscrit le 30 août 2010, 31 ans) - 30 août 2010
L'Odyssée, c'est d'abord un nom, celui d'Ulysse, son "héros" principal, bien que ce dernier se détache nettement du héros épique. En Grec ancien, Ulysse se disait "Odusseus", d'où le terme Odyssée : finalement, le titre de ce long poème épique, c'est celui de son personnage. Pour autant, l'oeuvre n'est pas uniquement focalisée sur le roi d'Ithaque, vainqueur à Troie mais puni par Zeus pour avoir omis les offrandes, et plus tard par Poséidon pour avoir aveuglé Polyphème, son fils. L'Odyssée est un formidable poème qui nous raconte certes le retour d'Ulysse, mais cela sur huit chants seulement ; les seize autres relatent le voyage initial de Télémaque à la recherche de son père, et la reconquête de son trône par Ulysse, reconquête violente et qui clôt en beauté une oeuvre dont tout a été dit et dont pourtant l'on pourrait parler des heures durant.
Faire un résumé plus long serait inutile : on ne peut savourer l'Odyssée quand la lisant, et pourquoi pas en l'écoutant. Car, ne l'oublions pas, c'est un poème chanté, jamais écrit. L'aède Homère (inutile de s'appesantir sur la question homérique ici, des spécialistes le font déjà assez bien, nous emploierons donc le patronyme Homère pour désigner le ou les auteur(s) de l'épopée) l'a chanté, accompagné de sa lyre, éclairé et mû par une inspiration tout droit venue de la Muse. C'est d'ailleurs ainsi que commence le poème épique qui compte quelques 12 000 hexamètres dactyliques (essentiels à la rythmique dans l'épopée) : "Ô Muse, raconte moi l'aventure de l'Inventif". L'aède appelle la Muse pour lui donner le chant, l'inspiration. Et dès lors, Homère nous narre l'Odyssée, que ce soit au travers de sa propre voix ou en faisant intervenir d'autres personnages, jusqu'à procéder à la plus vertigineuse mise en abîme jamais vue : c'est Ulysse lui-même qui raconte son périple aux Phéaciens, après avoir été dûment accueilli selon le rite primordial de l'hospitalité, n'hésitant pas à glorifier ses exploits, ce qui n'est pas sans nous faire douter, un instant, de la véracité de ses propos.
Mais là n'est pas la question. L'Odyssée est une oeuvre complète : intelligente, car elle met en avant des aspects et des réflexions sur la condition humaine et sur la société démocratique qui allait bientôt naître en Grèce ; magnifique, car en tant qu'épopée on ne se lassera jamais des aventures emplies de douceur, de sauvagerie, de mystère (comment ne pas succomber au chant des Sirènes dans toute son ambiguïté ?) qui y sont narrées ; le poème épique est surtout une véritable ode à la vie, la preuve d'un poète mature qui assume la simplicité de la condition humaine. La confrontation à la mort, le parcours initiatique formé par le voyage, le milieu marin, les figures féminines, la duplicité du héros capable de trahison autant que de fidélité, tout se rejoint et transforme les valeurs guerrières et épiques de l'Iliade, et dès lors celles-ci deviennent des valeurs de vie, où Ulysse accepte sa condition de mortel. Le voyage annoncé par Tirésias lors du magnifique passage aux Enfers (nekuia) est, avec le témoignage d'Achille, l'élément clef de cette idée omniprésente dans l'Odyssée : précurseur du roman, cette épopée est une révolution, qui ne cesse de nous rappeler que c'est dans la simplicité de notre condition humaine qu'il faut trouver la sérénité, et que dès lors la mort, si elle est inévitable et dans tous les cas effroyable (la mort glorieuse n'existe plus, car comme le dit Achille, régner entre les ombres revient à ne pas régner), doit être acceptée pour tout être humain.
Oeuvre mythique, magique, envoûtante, extraordinaire, et surtout particulièrement belle, l'Odyssée est l'une des plus grandes oeuvres littéraires jamais conçues. La lire revient à s'immiscer au plus profond de nous-mêmes, et à découvrir, sinon un miracle, du moins un chef-d'oeuvre de la Littérature occidentale. Tout simplement.
Oui oui..seulement parce que c'est un classique
Critique de Adrien34 (, Inscrit le 18 janvier 2009, 34 ans) - 2 novembre 2009
Malgré tout, il faut avoir lu une fois les aventures d'Ulysse pour ne pas paraître idiot durant un débat littéraire
Du lourd mais de l'accessible
Critique de Patsy80 (, Inscrite le 20 août 2009, 49 ans) - 21 août 2009
Une attente infondée ?
Critique de Ngc111 (, Inscrit le 9 mai 2008, 38 ans) - 27 février 2009
Quant à mon avis, forcément personnel et donc empli de subjectivité, il demeure mitigé. A vrai dire peut-être avais-je placé dans ce livre des attentes trop éloignées de son contexte. Au commencement de ma lecture j'avoue avoir rêvé d'un Ulysse héroïque échappant à divers malheurs et dont l'épopée prendrait fin à son retour en Ithaque. Et il est vrai que ces moments de bravoure existent (la ruse face au Cyclope notamment) mais la plupart de ces actes restent trop bref (le passage devant Charybde et Scylla) ou tout simplement bâclé et sans surprise (lorsque Ulysse résiste au chant des sirènes). Encore une fois c'est sans doute un reproche que l'on peut me faire d'avoir espéré plus d'aventure, plus de détails dans l'action... mais je ne peux m'empêcher d'avoir été déçu.
L'autre gros point noir que je peux trouver à cette oeuvre est sa fin. Il y a d'abord les longueurs des préparatifs de la vengeance d'Ulysse, mais aussi la brutalité d'un happy end (ou presque... j'exagère) qui sonne bizarrement (je ne veux pas "spoiler").
Toutefois, malgré ces défauts et ces problèmes de rythme, on ne peut rester insensible devant certains choix appréciables de l'auteur (des auteurs ?). Ainsi Ulysse lors de son arrivée sur l'île des cyclopes prend une décision riche en funestes conséquences qui nous dévoile alors une nouvelle facette de ce héros. Non Ulysse n'est pas parfait, ses erreurs peuvent entraîner le décès de certains de ses camarades et l'on se rend compte au fil de l'oeuvre que le besoin de recourir aux dieux est finalement plus que nécessaire et que malgré le statut "d'égal des dieux" qui lui est conféré, il n'en reste pas moins un être vulnérable.
Une sorte de démystification qui sert le récit et le rendrait presque... moderne !
Heureux qui comme Ulysse...
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 19 janvier 2009
Livre passionnant
Critique de Editeurdecritiques (, Inscrit le 5 juin 2008, 27 ans) - 5 juin 2008
J'ai toujours aimé la mythologie
Critique de Béa (livry-gargan, Inscrite le 14 août 2005, 30 ans) - 14 août 2005
Des histoires d'amour, des aventures menées tambour battant.
Pénélope et sa toile interminable, Télémaque et son désir de retrouver son père, Ulysse et ses périples, les îles mystérieuses où il accoste, les nombreuses tentations auxquelles il doit résister !!!
Tout cela dans un seul livre, c'est fabuleux. De plus, j'ai toujours aimé les histoires (et même les peuples) Grecques et Romaines car elles sont remplies des dieux. Les dieux. Zeus, Hercule, Héra, Poséidon et les autres sont pour moi un MONDE.
C'est un grand bonheur pour moi de savoir qu'à la rentrée de 6e, j'étudierai la mythologie.
Car enfin, l'Odyssée, c'est la suite de la guerre de Troyes, où les dieux (et l'ingéniosité d'Ulysse) sont omniprésent !
L'incroyable imagination d'Homère va au delà des limites en inventant toutes les aventures possibles (mais je préfère quand même de loin J.K. Rowling, je ne vous le fait pas dire !)
J'ai aimé l'Odyssée pour son côté tout le temps plein de rebondissements. On ne s'ennuie pas, ça, c'est hors de question !!!! Quand un livre est ennuyant même juste deux pages, mon estime baisse tout de suite. Je sais, pour ça, je suis très dure. Mais pour moi, un livre, c'est un livre, c'est ce qu'il y a de plus beau au monde après la vie et l'amour. J'ai adoré l'Odyssée, et je le conseille vivement à tout le monde.
Béatrice lect
magnifique!
Critique de Lalaith (, Inscrite le 18 juillet 2004, 38 ans) - 18 juillet 2004
Indiana Jones B.C
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 28 juin 2004
D'accord avec Schaschlick
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 1 janvier 2002
Un véritable chef-d'oeuvre
Critique de Schaschlick (Bruxelles, Inscrite le 15 mai 2001, 50 ans) - 6 juin 2001
Forums: Odyssée
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Petites corrections à propos de l'Odyssée | 2 | Feint | 29 juillet 2012 @ 10:18 | |
La traduction est essentielle | 1 | Eric Eliès | 7 janvier 2012 @ 10:41 |