Gataca de Franck Thilliez
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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le retour
Avec Gataca l'autre partie tant attendue du diptyque de la violence entamé avec le « Syndrome E ».
on assiste à une série d'aventures "saignantes" qui nous montre que la barbarie pouvait exister à l' époque de Néandertal et de Cro_ Magnon
tout commence avec le premier tome ;le syndrome E
Syndrome E - extrait de la présentation de l'éditeur
Un film mystérieux et malsain qui rend aveugle...
Voilà de quoi gâcher les vacances de Lucie Hennebelle, lieutenant de police à Lille.
Cinq cadavres retrouvés atrocement mutilés, le crâne scié...
Il n'en fallait pas plus à la Criminelle pour rappeler le commissaire Franck Sharko qui soignait sa crise de schizophrénie.
Deux pistes pour une seule et même affaire qui va réunir Hennebelle et Sharko, nos deux héros si différents et pourtant si proches dans leur conception du métier.
Des bidonvilles du Caire aux orphelinats du Canada des années cinquante, les deux nouveaux équipiers vont mettre le doigt sur un mal inconnu, d'une réalité effrayante .
Le DEUXIEME " Gataca" , débute par l'assassinat d'une jeune scientifique par un primate
l'arrestation de cinq gauchers
et pour couronner le tout un assassinat vieux de plusieurs dizaines de milliers d'années
voila que cela nous permet de remonter dans les âges pour s'apercevoir que la violence est installée dans nos gènes.
ce thriller , à la suite de Syndrome E, la mémoire fantôme l'anneau de Moebius,
Met en valeur le style de l'écrivain, le suspense y est poignant
ce livre est excellent, et l'homme de plus intéressant à suivre dans ses différentes histoires.
Les éditions
-
Gataca [Texte imprimé] Franck Thilliez
de Thilliez, Franck
Fleuve noir / Thriller policier
ISBN : 9782265087439 ; 20,90 € ; 14/04/2011 ; 280 p. ; Broché -
Gataca [Texte imprimé] Franck Thilliez
de Thilliez, Franck
Pocket / Thrillers (Paris. 1998)
ISBN : 9782266227605 ; 8,70 € ; 12/04/2012 ; 603 p. ; Poche -
Les livres liés
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Les critiques éclairs (19)
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Suite de « Syndrome E »
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 20 octobre 2017
Il s’agit d’une quête de l’origine de la violence. Pas idiot finalement. Y aurait-il un élément, un gêne, une disposition particulière qui conduirait à la violence, qui la rendrait inéluctable ?
Franck Thilliez réemploie deux personnages qui ont fait les beaux jours du « syndrome E » apparemment : Lucie Hennebelle et Franck Sharko, respectivement lieutenant de police et commissaire. Qui ont vécu apparemment des choses pas très drôles. Et qui ne vont pas encore être à la fête. Ils ont tous deux perdu des enfants et se remettent difficilement. Mais l’actualité du crime, jamais en repos, va les rattraper et leur fournir du « grain à moudre », chacun de leur côté … au moins pour un temps.
C’est qu’il y a beaucoup d’évènements différents qui interviennent en tête de roman et qu’il apparait a priori improbable de les relier. Mais improbable n’est pas Thilliez ! D’autant qu’il est le papa du roman, il fait ce qu’il veut, quoi !
Alors, entre une jeune biologiste retrouvée massacrée dans la cage d’un chimpanzé, des évènements apparemment très étranges qui se déroulent au fond des forêts amazoniennes (les mères mettant au monde un enfant mâle sacrifiées), l’assassin de la petite fille de Lucie qui s’arrache une veine du bras pour finir par mourir, une sépulture de Cro-Magnon violée et la momie dérobée, de braves randonneurs de la forêt de Fontainebleau massacrés eux aussi, ça en fait des points de départ comme autant d’enquêtes ! Il y a pourtant un point commun à tous ces évènements ; ne serait-ce que la violence, et justement, la violence …
Franck Thilliez va donc développer tous ces fils entremêlés pour nous faire entrevoir des choses terribles qui pourraient se nicher dans la génétique. Ce qui pourrait être une thèse aride et pseudo-scientifique s’avère une tentative adroite et ludique d’exposition de concepts pas forcément évidents. Franck Thilliez s’est manifestement beaucoup penché sur la réalité, les finesses de la génétique pour nous élaborer ce « Gataca » plus que recommandable. Il ne s’agit pas que de bruts actes de violence assortis d’enquêtes comme pourrait l’être un plus banal polar. De la violence il y en a, beaucoup, mais au service d’une thèse qui possède de solides fondements et d’une histoire développée de manière intelligente. Un polar qui sort de l’ordinaire.
ADN au service de la recherche
Critique de Ddh (Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans) - 12 septembre 2017
Franck Thilliez est ingénieur en nouvelles technologies; il a quitté son emploi à Dunkerque suite au succès de La chambre des morts qui lui valu en 2007, entre autres, le Prix SNCF du polar français. Scénariste pour France 2, il écrit également pas mal de nouvelles. Avec Gataca, il fréquente la violence dans le thriller.
Juliette, fille de Lucie Hennebelle, est kidnappée ainsi que sa sœur Clara. On retrouve celle-ci carbonisée mais pas de traces de Julie. Profondément éprouvée, Lucie abandonne son métier d'inspectrice de police. Mais le meurtrier est évincé, condamné... et retrouvé mort dans sa cellule. Suicide ou meurtre ? Julie veut savoir et enquête avec Franck Sharko, son ancien comparse. D'autres assassinats particulièrement violents sont perpétrés. Un lien ? La filière génétique est étudiée.
Le lecteur suit avec intérêt les arcanes de l'enquête. Il s'instruit dans un domaine plutôt pointu, la génétique. Ce qui permet à chacun de s'intéresser à un phénomène contemporain qui nous plombe : la violence.
Un scénariste de talent
Critique de Daoud (LYON, Inscrit le 8 février 2011, 49 ans) - 22 mai 2016
Un regret persiste pourquoi tant de sang ?!!
une origine de la violence
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 49 ans) - 16 octobre 2015
A priori aucun, alors que Lucie Hunnebelle et Franck Sharko, séparés suite aux tragiques évènements qui clôturent le Syndrome E, vont chacun s'emparer d'un sujet. Mais ces personnages bien mal menés par la vie vont vite se rendre compte que leurs enquêtes les amènent à suivre le même chemin, qui les conduira à l'origine de la violence.
Gataca est le second volume du diptyque que Thilliez consacre à la violence. Cette fois-ci, c'est à l'origine même de l'humanité que l'auteur va chercher sa source et en expliquer la transmission. Le titre, Gataca, est en ce sens très parlant : quelques lettres qui cachent un secret qu'il faut veiller à ne pas révéler, ni réveiller !
La première partie du livre nous invite à découvrir le devenir des deux héros récurrents de Thilliez, Lucie et Franck, suite à la disparition des jumelles et à la mort de l'une d'entre elles. Le climat est pesant, les personnages abîmés, n'arrivant pas à se remettre de leur perte. Une alternative à la dépression est de s'immerger dans le travail, et c'est à corps perdu qu'ils s'y plongeront, séparément d'abord, solidaires ensuite.
L'enquête policière, comme toujours, est solidement ancrée dans les sciences, en particulier la génétique, dont l'auteur arrive à nous transmettre les bases nécessaires à la compréhension de l'intrigue sans pour autant en faire un exposé lassant. Les pages se tournent toutes seules, l'écriture (et la lectrice !) est nerveuse, et la tension bien amenée. Gataca forme à mon sens, avec le Syndrome E, un très bon cru. Pour ma part, je regrette simplement la similitude des symptômes de la "folie" de Lucie et Sharko (dans Deuils de miel) ; pour un auteur aussi imaginatif et au travail si soigné (j'apprécie aussi Pierre Lemaitre !), on aurait pu s'attendre à plus d'inventivité !
- Deuxième point remarquable, que vous devez avoir en tête : chaque être vivant aujourd'hui est un pur produit de l'Evolution. Vous êtes un être incroyablement bien adapté à son environnement, comme je le suis, comme l'est l'Africain au fin fond de son village, malgré les conditions rudimentaires dans lesquelles il vit.
- Je n'ai pas vraiment l'impression d'être si adapté que ça.
- Pourtant vous l'êtes, je vous le garantis. Si aujourd'hui vous êtes vivant, c'est parce qu'aucun de vos ancêtres n'est mort avant de se reproduire, et ce, depuis la nuit des temps. Plus de vingt mille générations, commissaire, qui ont semé leur petite graine pour arriver jusqu'à vous.
Origine de la violence
Critique de Killing79 (Chamalieres, Inscrit le 28 octobre 2010, 45 ans) - 30 décembre 2014
Cette mise en scène récurrente mise à part, l’objectif de nous tenir constamment en haleine, est une nouvelle fois respecté dans « Gataca ». Grâce au développement de connaissances, relevant d’un véritable travail en amont, Franck Thilliez nous fait découvrir des théories génétiques qui m’ont autant fasciné qu’inquiété. Comme à son habitude, il a su parfaitement allier ces faits réels et les évènements romanesques autour des protagonistes toujours aussi attachants et torturés. Cette mine d’informations passionnante fait de cet opus un livre enrichissant et dont certains points scientifiques laisseront des traces dans ma mémoire.
Je continuerai bien sûr les aventures de Lucie et Franck, notre couple tourmenté, mais dorénavant je rechercherai de l’originalité dans les livres one-shot de Mr Thilliez, qui sont souvent plus percutants.
la bombe humaine.
Critique de Darkvador (Falck, Inscrit le 1 février 2012, 57 ans) - 18 juillet 2014
Une intrigue, une écriture, des personnages : un bon roman
Critique de Mimi62 (Plaisance-du-Touch (31), Inscrit le 20 décembre 2013, 71 ans) - 1 janvier 2014
Je n'étais pas un fan de Franck Thilliez car je trouvais ses romans un peu gores mais dans le "Syndrome E" et "Gataca" on ne ressent pas de complaisance dans les scènes sanglantes, ces dernières ont une place "logique" dans la trame.
La présence de Lucie et de Sharko (héros récurrents) avec leur vécu apporte la dimension humaine qu'il manquerait autrement. Je ne suis pas non plus un fan des romans sentimentaux dans l'aspect commercial et sirupeux mais par contre j'apprécie beaucoup l'incursion dans le ressenti des personnes. Cet aspect donne vraiment une autre dimension au roman.
Les chapitres relativement courts donnent du rythme, les événements inattendus s'enchaînent. J'y ai trouvé du rythme tant dans la structure du récit que dans son organisation.
Enfin, un dernier point qui m'a conquis dans ce roman se trouve dans l'écriture.
Quelques passages :
"Il essayait de blinder son coeur et ses sentiments mais ses organes saignaient"
"Si les montagnes étaient probablement belles le jour, la nuit elles donnaient l'impression de Titans en colère, des monstres figés au coeur de glace qui déchiraient l'horizon et buvaient le moindre rayon de clarté."
"Les seules couleurs alentour étaient des gris fatigués, des noirs usés, des cuivres passés."
Manque de crédibilité
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 28 mai 2013
Le scénario est riche certes, mais pas pour autant crédible. L'auteur est allé un peu loin dans la surenchère, à tel point d'ailleurs que l'on est pressé d'en finir et de passer à autre chose. Pourtant c'est toujours aussi bien écrit, le style est percutant avec beaucoup de mouvement, l'enquête est intéressante dès les premières minutes de lecture, mais à vouloir trop en faire, on n'y croit plus.
Peut-être cela est-il dû au succès des romans précédents, et que les lecteurs attendent toujours plus des suivants.
Il est plaisant d'être surpris, d'assister à des rebondissements, d'être maintenu sur la brèche, mais pas au détriment d'une indispensable véracité dans ce type d'enquêtes.
Et c'est reparti !
Critique de Batman38 (, Inscrit le 14 octobre 2012, 34 ans) - 15 octobre 2012
Mais avant tout, c'est encore une fois un thriller et un super thriller. Avec des rebondissements et des meurtres similaires qui sont séparés de plusieurs milliers d'années.
Comment un homme peut-il subir les mêmes symptômes qu'un homme de Cromagnon ? Pourquoi existe-t-il des gauchers dans notre civilisation alors que ce monde est fait pour les droitiers ?
Des questions qui paraissent anodines mais dont les réponses sont extraordinaires et totalement scientifiques.
Je vous le recommande sans réserves ! Après ça, vous ne verrez plus l'homme comme avant...
Le point de vue génétique
Critique de Nothingman (Marche-en- Famenne, Inscrit le 21 août 2002, 44 ans) - 20 septembre 2012
Là, où dans le Syndrome E, Franck Thilliez s'interrogeait sur la violence dans notre société contemporaine et la manière dont elle se répand sur la planète. Se transmet-elle de manière culturelle? Dans Gataca, l'auteur s'interroge ici sur l'axe chronologique. Comment la violence a-t-elle évolué depuis les hommes préhistoriques jusqu'à nous. Est-elle ancrée dans nos gênes?
Vaste question à laquelle ce polar offre un angle intéressant. On retrouve la fascination de Franck Thilliez pour les sciences. Anthropologie, biologie, paléontologie font ici bon ménage. Et au final, cela donne un diptyque passionnant et maîtrisé de bout en bout
Une suite stimulante
Critique de Seb (, Inscrit le 24 août 2010, 47 ans) - 19 septembre 2012
Quel cru !!! Epoustouflant.
Critique de Usdyc (Bruxelles, Inscrit le 27 août 2004, 68 ans) - 20 juin 2012
Et pas sur les quelques derniers chapitres mais sur l'ensemble de TOUT le livre. Je suis réellement soufflé. Celà faisait longtemps que je n'avais plus été emballé à ce point par un roman policier. Tout y est: une intrigue du domaine du plausible, des références exactes sur le plan scientifique, enfin un couple de policier qui finit une enquête sans se déchirer, un mot final de l'auteur qui nous dit qu'on les retrouvera. Le plus vite serait le mieux.
Je mets même une étoile en plus rien que pour me faire plaisir.
ADN & Génome
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 50 ans) - 22 mai 2012
La fin du premier volume se termine par un gros coup de théâtre. J'avais hâte d'attaquer ce présent volume, et je n'ai pas été déçu.
Tout simplement grandiose, très documenté.
Une histoire bien tordue sur l’ADN de la violence.
Nos deux héros Henebelle et Sharko, se retrouvent pour cette nouvelle enquête.
Diptyque, à lire, à dévorer sans limite.
Merci Thilliez.
grandiose
Critique de Mayfair (Distroff, Inscrite le 30 mars 2007, 51 ans) - 24 avril 2012
Ce livre ne se lâche pas. Il est prenant du début à la fin. Le suspense est sans cesse présent.
Le roman ne peut être décrit que par des adjectifs comme génial, époustouflant, grandiose, excellent.
Il est à mon avis meilleur que sa première partie.
A quand la suite des aventures de Lucie et Franck promise par l'auteur ?
fin du diptyque sur la violence
Critique de Ndeprez (, Inscrit le 22 décembre 2011, 48 ans) - 31 mars 2012
Gataca est moins violent que le syndrome E mais l'intrique est tout aussi passionnante , les théories exposées sur l’évolution du génome humain sont très intéressantes , bien écrites bref pas du tout barbantes dans un polar.
Le livre ne souffre pas de temps mort et on a quelques difficultés à le lâcher.
Thilliez que j'ai pu rencontrer au salon du Polar m'a confié que les aventures de Lucie et Sharko continueront avec un nouveau livre au mois d'Octobre, à la lecture des dernières pages on devine un peu la trame.
Le génome de la violence
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 16 novembre 2011
Je rajouterai juste quelques réflexions personnelles. D'abord, comme le dit Tetedelivres, ne pas avoir lu le livre précédent « Le syndrome E », n'est pas très gênant. J'ai adhéré sans difficulté à l'histoire. Je connaissais les héros par d'autres titres de cet auteur.
Ce qui m'a dérangé, ce sont les cent premières pages du roman; les héros, meurtris profondément car ils ont tous les deux perdu des enfants, sont obnubilés par leur chagrin. J'avais l'impression qu'il n'était question que de souvenirs et de cette immense et indépassable douleur.
L'explication en est donnée par Thilliez dans le « Mot de la fin » :
« Bâtir des personnages est aussi important que créer une bonne histoire. Des Franck (Sharko) et des Lucie (Hennebelle) courent pour leur survie et c'est dans la souffrance, la contradiction, le combat qu'ils s'expriment le mieux. Je les aime ainsi et ai envie qu'ils continuent à m'accompagner dans ce sens. »
C'est aussi dans cet épilogue que Franck Thilliez nous dit combien sa fiction est proche de la réalité.... et ça fait froid dans le dos!
Un livre très, très bien construit, extrêmement documenté sans être pesant ou confus (ce qui est un exploit au vu du nombre de spécialistes rencontrés).
Un excellent, original et puissant roman policier.
Thriller intelligent et bien mené
Critique de CC.RIDER (, Inscrit le 31 octobre 2005, 66 ans) - 13 octobre 2011
Après un premier tome particulièrement réussi, Thilliez réédite l'exploit en s'appuyant sur des données scientifiques sérieuses (recherches sur l'ADN, découvertes en paléontologie, anthropologie et biologie) dont il tire une histoire qui chevauche les limites du fantastique voire quelquefois de l'improbable. Il poursuit la même problématique : D'où vient la violence ? Est-elle innée ou acquise ? Inscrite dans les gènes depuis la nuit des temps ou réactivée par la grâce (ou plutôt par le maléfice) d'un rétrovirus nommé « Phénix » ? Devons-nous nous méfier des gauchers intolérants au lactose qui seraient plus violents que la moyenne ? Le lecteur averti comprendra aisément que l'auteur pousse parfois le bouchon un peu loin... Mais il sera beaucoup pardonné à Thilliez tant son travail de documentation, sa maîtrise du suspense et son imagination sont grands. Un bon moment de lecture pour celles et ceux que le gore et les flots d'hémoglobine n'effraient pas. Un thriller intelligent et bien mené.
Formidable
Critique de Tetedelivres (, Inscrite le 31 août 2011, 40 ans) - 1 septembre 2011
Syndorme E et Gataca se suivent mais on peut facilement lire le second sans avoir lu le premier. La fin de Syndorme E est le lien entre les deux romans ... ( et quelle fin d'ailleurs ).
Franck et Lucie sont toujours aussi attachants, l'intrigue époustouflante, enrichissante ... je ne voulais pas les quitter, ne pas refermer mon livre.
Une ambiance noire ( mais pas glauque ), des personnages encore plus touchants, des rebondissements stupéfiants, un thème intéressante et riche ... bref, Génialissime.
Une fin comme on aime, évoquant avec délice la prochaine enquête de Sharcko ... il faut patienter maintenant.
De tous, Gataca est mon préféré
EXCEPTION(NEL)
Critique de Gardigor (callian, Inscrit le 27 avril 2011, 47 ans) - 29 avril 2011
Les derniers mots du syndrome E nous laissent seuls après une formidable aventure.
Le retour à la réalité est puissant, haletant, envoûtant.
Les mots sont simples pour décrire une intrigue bien pensée et bien orchestrée.
On ne peut quitter Lucie et Franck au fil des pages, on vit avec eux, on comprend avec eux, on souffre avec eux, on voyage avec eux.
Je suis très attaché à Chattam et aujourd'hui Thilliez m'a définitivement convaincu.
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