L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafón
(La sombra del viento)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone
Moyenne des notes : (basée sur 234 avis)
Cote pondérée : (64ème position).
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Présence irréelle
Ce récit est magnifique. Surréaliste et nostalgique, plein de poésie et de violence. C'est l'histoire de Daniel, huit ans, qui se rend avec son père libraire au "Cimetière des Livres oubliés", une bibliothèque magique, un lieu mystérieux auquel n'ont accès qu'un petit groupe de privilégiés. Nous sommes en 1945, Daniel va devoir "sauver" un livre, choisir celui qu'il devra, envers et contre tout, préserver, parmi les milliers qui se trouvent dans cet endroit fantastique. Daniel choisit "L'ombre du vent" de Julian Carax, il ne connaît rien de l'histoire ni de son auteur, il sait simplement que Carax est parti vivre à Paris une dizaine d'années plus tôt et que depuis, un étrange bonhomme au visage effroyable passe son temps à brûler tous ses écrits.
Le temps passe, Daniel n'oublie pas Julian Carax, il se renseigne du mieux qu'il peut avec l'aide de son ami Fermin. Carax serait mort en 1936, Daniel n'y croit pas. Ses recherches lui révèlent des informations biographiques troublantes, il découvre que Carax était un brillant adolescent élevé par un homme qui n'est pas son père, il avait trois amis inséparables qui ont pourtant pris chacun des chemins radicalement différents. Julian Carax est fils de chapelier, il se lie d'amitié avec un gros client de son père, Jorge Aldaya dont il tombe éperdument amoureux de la soeur, Pénélope. Jorge les surprend, Julian s'exile à Paris pendant que Pénélope meurt en donnant naissance à un enfant mort-né.
Au fur et à mesure de ses investigations, le voile se lève sur la biographie officielle de Carax mais pas sur le mystère de plus en plus lourd qui entoure sa vie. On y trouve de l'amour, des mensonges, des trahisons, des peurs, beaucoup de tragédies imbriquées les unes dans les autres et qui forment la trame de ce récit. Avec en toile de fond, un personnage diabolique qui promène son ombre dans toute l'histoire et dans Barcelone, une ville présente à chaque page, que l'on entend respirer et soupirer. Des phénomènes étranges se produisent dans l'histoire, des fleurs qui fanent en quelques minutes ou du lait qui se teinte de rouge lors de la première lune mensuelle.
Zafon décrit les ambiances comme ce n'est pas permis : c'est beau et fort, sa bibliothèque fait envie tant elle regorge d'ouvrages rares et mystérieux, Barcelone est vivante sous nos yeux et pourtant hantée par des fantômes, le cimetière des livres semble palpable...
Les éditions
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L'ombre du vent [Texte imprimé], roman Carlos Ruiz Zafón trad. de l'espagnol par François Maspero
de Ruiz Zafón, Carlos Maspero, François (Traducteur)
B. Grasset
ISBN : 9782246631613 ; 2,98 € ; 01/04/2004 ; 524 p. ; Broché -
L'ombre du vent [Texte imprimé] Carlos Ruiz Zafón traduit de l'espagnol par François Maspero
de Ruiz Zafón, Carlos Maspero, François (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche.
ISBN : 9782253114864 ; 0,70 € ; 04/01/2006 ; 636 p. ; Poche -
SOMBRA DEL VIENTO LA de Carlos Ruiz Zafón
de Ruiz Zafón, Carlos
Editorial Planeta
ISBN : 9788408092643 ; 18,67 € ; 21/04/2002 ; 576 p. ; Broché -
L'ombre du vent [Texte imprimé] Carlos Ruiz Zafón traduit de l'espagnol par François Maspero
de Ruiz Zafón, Carlos Maspero, François (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris)
ISBN : 9782266233996 ; 8,40 € ; 04/04/2013 ; 672 p. ; Poche -
L'ombre du vent [Texte imprimé] Carlos Ruiz Zafón traduit de l'espagnol par François Maspero
de Ruiz Zafón, Carlos Maspero, François (Traducteur)
Pocket / Presses Pocket
ISBN : 9782266242974 ; 15,11 € ; 06/11/2014 ; 672 p. ; Poche
Les livres liés
- L'ombre du vent
- Le jeu de l'ange
- Le prisonnier du ciel
- Le labyrinthe des esprits
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Les critiques éclairs (233)
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Chef-d'œuvre mystérieux
Critique de Jordanévie (, Inscrite le 27 septembre 2022, 49 ans) - 16 juillet 2023
Le mystère règne dans ce livre.
On navigue entre deux histoires principales qui viennent peu á peu s'imbriquer.
La guerre d'Espagne y est décrite avec toute la violence qui s'y rattache.
L'univers de Carlos Ruiz Zafón est juste envoûtant. Il y a de la poésie dans ce roman.
Je conseille vivement de lire ce livre .
Une intrigue mystérieuse qui se mêle au dédale des rues de Barcelone
Critique de Dervla3012 (, Inscrite le 7 décembre 2019, 18 ans) - 18 avril 2022
Le petit Daniel Sempere a dix ans. Ayant perdu sa mère très jeune, il ne conserve plus aucun souvenir d’elle. Il vit avec son père dans un petit appartement de la rue Santa Anna, au-dessus de leur librairie de livres d’occasions, dans la Barcelone de l’après-guerre.
Un matin, Daniel est réveillé aux aurores par son père. Celui-ci l’informe qu’il l’emmène dans un endroit secret dont il ne doit parler à personne. Intrigué, le petit garçon le suit dans la ville encore enveloppée des brumes matinales jusqu’à une mystérieuse grille ; l’entrée du Cimetière des Livres Oubliés. Son père lui explique alors que depuis des générations, les gens se réunissent ici pour lire des ouvrages oubliés de tout le monde et d’auteurs inconnus. La tradition veut que lorsqu’un membre visite pour la première fois cette étrange bibliothèque, il choisisse un ouvrage qu’il gardera avec lui pour le reste de sa vie.
Tout excité, Daniel se met à déambuler parmi ces rayonnages ployant sous de vieux manuscrits poussiéreux, certains se trouvant là depuis des centaines d’années. Il remarque alors un ouvrage qui semble l’appeler, comme s’il l’avait attendu ici depuis toujours. Pendant qu’il le feuillette, une poussière dorée s’en échappe et Daniel sait que ce sera son livre, sans se rendre compte qu’il vient de sceller son destin.
Le roman s’intitule L’Ombre du vent et son auteur s’appelle Julian Carax.
Le petit garçon se presse de rentrer chez lui et entame la lecture de cet intriguant manuscrit. Il ne le referme qu’à l’aube, quand le soleil se lève et que des couleurs pastels colorent le ciel noir. Son cerveau a imprimé les derniers mots. Il s’endort enfin, les yeux remplis des aventures rocambolesques du roman achevé.
Le lendemain matin, Daniel se réveille avec une certitude : il doit se renseigner sur ce Julian Carax et trouver d’autres livres de lui. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il apprend que cet auteur si talentueux est inconnu du reste du monde. Il se met alors à la recherche d’informations sur ce mystérieux auteur. Sa quête durera plusieurs années pendant lesquelles il fera beaucoup de rencontres et vivra des aventures pas toujours agréables. Il verra des disputes, des accidents fatals mais… s’en tirera-t-il sain et sauf ?
Mon avis :
J’ai adoré ce livre qui nous projette une période d’après-guerre tendue et meurtrière. L’auteur est parvenu à rendre cette ville mystérieuse et pleine de secrets grâce à des descriptions approfondies, un dédale de rues, de porches sombres ainsi que des personnages aux caractères bien forgés. Les problèmes s’entremêlent et le récit alterne passé et présent.
Un roman très réussi ! Je n’hésiterai donc pas à lire les tomes suivants.
Un choix tordu
Critique de Thewoman (, Inscrite le 14 septembre 2021, 21 ans) - 14 septembre 2021
Un vrai plaisir de lecture
Critique de Gaulliste75 (, Inscrit le 25 mai 2019, 79 ans) - 25 mai 2019
jolie joie
Critique de Jefg (, Inscrit le 10 février 2014, 50 ans) - 21 février 2018
Un grand classique!
Critique de Ronan (Montreal, Inscrit le 19 mai 2015, 49 ans) - 26 mai 2017
Présentation de l'éditeur :
Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, « ville des prodiges » marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon – Daniel Sempere, le narrateur – dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L’enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d’occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y « adopter » un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets « enterrés dans l’âme de la ville » : L’Ombre du Vent.
Classique et surréaliste à la fois
Critique de Traffic (Marseille, Inscrit le 21 septembre 2010, 55 ans) - 25 septembre 2016
Un univers à part
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 49 ans) - 10 mai 2016
J'ai accroché au récit, aux personnages, au style, au mystère, à l'ambiance, à tout!
Il y sans doute quelques passages superflus, mais je n'avais vraiment pas envie qu'elle se termine cette histoire moi!
Un seul désir en refermant le livre, lire un autre roman de Zafon, quel talent il a de pouvoir écrire une histoire si complexe, si riche, si émouvante. Gracias señor.
Sous la plume de Carlos Ruiz Zafòn
Critique de M. Dolci (, Inscrit le 3 novembre 2015, 25 ans) - 5 novembre 2015
Au début, emporté dans un récit au souffle magique, je m'y suis accroché, puis par la suite, ayant beaucoup de travail à l'école comme à la maison, j'ai perdu le rythme. Enfin... je croyais l'avoir perdu, jusqu'au soir où je repris de là où j'en étais resté. Alors j'ai senti cette sensation, celle que tant de gens recherchent dans le monde de la littérature. Sans le savoir, j'étais devenu Daniel, le personnage principal de l'histoire, et je voyageais à travers la brume, au cœur de Barcelone. Et après l'avoir fini, j'étais tellement bouleversé que mon esprit refusait de quitter ce livre, et cette dernière page ne s'est pas tournée. Peut-être elle ne se tournera jamais.
Ce roman nous parle sous le nom de différentes émotions : l'amour et la haine, la joie et la tristesse, la peur, l'enfance. Un matin, le père de Daniel emmène son fils pour la première fois dans un endroit secret qu'il ne faut révéler à personne. C'est le Cimetière des Livres oubliés. Pour faire partie des membres, le jeune Daniel devra choisir un livre qu'il conservera et protégera. Il découvre l'Ombre du Vent, parmi des milliers d'ouvrages l'entourant. C'est ainsi qu'un désir obsessionnel grandira en lui, celui de retrouver son auteur, Julian Carax. L'enquête soulèvera de la poussière un passé dangereux et mystérieux.
Sous la plume de Carlos Ruiz Zafòn s'écoule une encre noire pleine de couleurs. Jamais je n'ai été autant ébloui par l'écriture d'un auteur que celle de l'Ombre du Vent. C'est si beau, si vrai, si poétique que même si quiconque n'apprécie pas l'histoire, il s'attachera forcément à cette suite de lettres. À tous ceux qui hésitent en relisant les critiques, laissez vos doutes de côté et laissez-vous emporter par cet univers sublime. Je vous garantis qu'il restera pour toujours dans votre bibliothèque, ou pourquoi pas, comme moi, sur votre chevet.
Captivant, bouleversant, fantastique !
Critique de Cristina21 (, Inscrite le 7 décembre 2014, 50 ans) - 6 janvier 2015
L’atmosphère est envoûtante, mystérieuse, parfois sombre. Et malgré ses 668 pages, il n’y a aucune longueur. Le suspense va crescendo. On est porté par cette histoire ensorcelante et bouleversante.
Dès les premières pages, on est happé dans la vie de Daniel dont la vie va être totalement chamboulée par sa recherche sur l’auteur du livre qu’il a choisi dans le cimetière des livres oubliés, ce qui va l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets et le marquer à jamais.
C’est une Histoire magnifique avec un grand H, dans une Barcelone d’après-guerre très visuelle, où s’y mêlent les horreurs, la lâcheté, les peurs, les mensonges, les trahisons, le courage, la joie, le bonheur, l’amitié et l’amour, sur une trame policière et fantastique splendidement écrite et bien ficelée, qui zigzague entre 1933 et 1966.
Vous ne pourrez pas le lâcher tant que vous ne l’aurez pas terminé. C’est un livre qui nous marque et nous prend au cœur une fois la dernière page tournée. On reste bouleversé par tant de sentiments. Il m’a fait monter les larmes aux yeux. Lisez-le, vraiment, sans tarder.p
Le charme désuet des vieilles choses
Critique de Reginalda (lyon, Inscrite le 6 juin 2006, 57 ans) - 6 octobre 2014
Alors comment qualifier cette expérience? Elle fut indéniablement plaisante, car Carlos Ruiz Zafon fait partie de ces écrivains, tels King ou Murakami, qui savent narrer. On sent indéniablement chez lui une grande admiration pour le roman populaire du XIXème siècle, notamment français, à commencer par ceux de Dumas ou "Les Misérables" de Hugo, et sa manière de faire vivre des personnages dans une période historique troublée est tout à fait réussie : sa Barcelone existe, dotée d'une géographie propre.
Toutefois, ce qu'il gagne en vertus narratives, il le perd en originalité, car son "Ombre du vent", avec ses personnages sortis du roman d'aventures – le méchant Fumero, Clara la femme fatale... – et ses revirements de situation – une filiation surprise ! (qu'on devine assez vite en plus) – ne nous propose rien qui n'ait déjà été écrit il y a 150 ans. Enfin, peu importe. Un livre qui se lit avec plaisir, ce n'est déjà pas si mal, et celui-ci a le charme désuet des vieilles choses.
L'écume de la vie
Critique de Alwen (, Inscrit le 18 août 2014, 38 ans) - 18 août 2014
Un bon roman
Critique de Mario-san (, Inscrit le 5 juillet 2014, 45 ans) - 28 juillet 2014
Une oeuvre qui ne finira pas au Cimetière des Livres Oubliés
Critique de Callisthene (Cagnes/mer, Inscrit le 12 juin 2014, 37 ans) - 28 juin 2014
Jamais on ne s’ennuie. Que d'histoires et d'aventures dans ce roman plongée dans la Barcelone des années 30, post guerre civile. Ce roman donne véritablement vit à la ville. On se surprend à aimer se laisser porter par l'histoire comme par le souffle d'un vent saisonnier, reminiscent. On suit les péripéties du jeune Daniel, sa vie, sa quête, ses déceptions, ses joies, ses surprises... sur un fond de mystère où chacun rêve par exemple de pénétrer un jour dans ce fameux "cimetière des livres oubliés".
On passe par toutes les émotions...
Même l'épilogue est fantastique.
Je le garde très précieusement.
Magnifique
Critique de Petit lecteur (, Inscrit le 18 avril 2014, 42 ans) - 19 avril 2014
Du pipi de chat bien "marketé".
Critique de Mémoriel (, Inscrit le 12 avril 2014, 84 ans) - 12 avril 2014
Que de digressions qui rompent l'unité du sujet et épuisent le lecteur vite découragé par cette écriture laxative.
L'ombre exquise du vent
Critique de Lison (, Inscrite le 6 février 2014, 74 ans) - 28 février 2014
J’entre en confiance dans le roman. Il m’a été prêté par un proche grâce à qui j’ai lu de belles œuvres. Le début est touchant mais rapidement, je tique : ce « cimetière des livres oubliés » a un petit côté mystérieux et improbable qui ne me semble pas coller avec le reste. Continuons… bon, le style n’est pas terrible : des comparaisons lourdingues, des descriptions interminables… Ah, Daniel rencontre Clara, une chaste jeune fille aveugle… que l’on retrouve quelques pages plus loin (et il est vrai quelques années plus tard) dans une scène triviale dépassant largement l’érotisme. On passe d’un genre à un autre, c’est un peu déroutant. Hardi petit gars, je continue courageusement. J’ai bien fait : le clochard Fermín, sorti de la rue et de la crasse par Daniel et son père, se révèle être un personnage intéressant aux répliques percutantes. Mais voilà qu’il «pète les plombs» dans sa chambre d’hôtel. Bon. Mais pourquoi ? Et en quoi cette scène est-elle utile au récit ? Je ne sais pas.
Je résume… d’autres passages inutiles… des personnages caricaturaux dont le très méchant inspecteur Fumero. J’ai l’impression que l’auteur a essayé de caser tous les clichés dans ce roman, alors je fais un pari avec moi-même : va-t-il oser ?... Mais oui ! Il a osé ! La voilà, la révélation d'un lien de parenté caché, à ajouter d’ailleurs au catalogue des petites choses superfétatoires puisque n'ayant aucune incidence sur le cours du récit.
Vous dire que j’ai été parfaitement insensible au parcours initiatique d’un adolescent, aux mystères de Barcelone, à la poésie du roman, est superflu, je pense.
La lecture de ce roman m'a plongée dans une grande perplexité : avec son mélange dissonant de genres et ses passages inutiles, il est vraiment inclassable sauf peut-être dans la catégorie des ...cadavres exquis.
Une atmosphère envoutante
Critique de Psychééé (, Inscrite le 16 avril 2012, 36 ans) - 2 janvier 2014
On se plonge facilement dans cette histoire de Barcelone du début du siècle dernier, sur fond de guerre, de livres, d’amour et de trahison. L’atmosphère est pesante, envoûtante, le suspense à son comble. Les personnages mémorables comme l’exécrable inspecteur Fumero ou le drolissime Fermin. La fin est surprenante. A lire !
l'ombre du franquisme
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 10 septembre 2013
« Mon père soupira, en se refugiant derrière ce sourire triste qui accompagnait toute sa vie comme une ombre »
« l’absence de ma mère était pour moi un mirage, un silence hurlant que je n’avais pas encore appris à faire taire à coups de mots »
« j’ai grandi entre les livres, en me faisant des amis invisibles dans les pages qui tombaient en poussière et dont je porte encore l’odeur sur les mains »
Ensuite, le récit prend forme et une histoire à suspense se déroule. Le héros, un adolescent se met en tête de retracer la vie d’un auteur mystérieux, Julian Carax, dont quasi tous les livres ont disparu et dont un énigmatique homme masqué tente de brûler tout ce qui peut rester de lui. Cette quête le conduira à rencontrer une série de personnages étranges qui l’aideront dans sa démarche.
Ce qui m’a frappé au-delà de l’histoire, c’est le propos de l’auteur qu’on découvre entre les lignes : le franquisme et ses horreurs. Les tortures encourues par certains protagonistes, Firmin pour être iconoclaste, l’horloger pour être homosexuel. Si on n’y fait attention, on loupe complètement les dénonciations qu’a voulu en faire l’auteur. C’est très subtil de sa part. Un voisin a été arrêté, torturé et relâché. On ignore pourquoi. Mais si on fait le lien avec l’époque, on se rend compte que ce sont les sbires du franquisme qui ne tolèrent ni le socialisme, ni l’homosexualité. Mais jamais on n’en parle dans l’histoire, c’est au lecteur à faire le lien, s’il veut bien et s’il est attentif.
Ce que je n’ai pas aimé par contre, ce sont tous les lieux communs quand il parle des femmes. C’est d’une banalité effarante. L’auteur a vraiment un problème avec la gent féminine. Au fil des pages, il ne peut s’empêcher d’en parler – en bien quand il décrit leur physique ou en mal quand il parle de leur comportement - apparemment, un sujet qui le préoccupe au plus haut point, qu’il maîtrise mal... et qu'il ne comprend pas.. ;-)
En dessous de mes espérances
Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 48 ans) - 19 août 2013
Une atmosphère de magie noire pour un livre envoûtant...
Critique de Nola Tagada (Paris, Inscrite le 22 octobre 2012, 39 ans) - 23 mai 2013
Je dois dire que ce livre est vraiment étonnant, il vous embarque au fil des pages, l’intrigue est très bien ficelée et bien présente page après page. Vous avez envie de connaître la fameuse histoire de ce livre autant que les héros du bouquin.
Pourquoi autant de mystère autour d’un livre ? Qui est réellement son auteur ? Pourquoi quelqu’un se donne autant de mal pour supprimer cet ouvrage ?
Vous faites partie de la Barcelone de l’après guerre ravagée et détruite par des années de destruction et de corruption et vous êtes à la recherche du moindre indice qui pourrait vous aider à comprendre le mystère de ce fameux livre. Les personnages sont tout aussi originaux que l’histoire. Personnellement je suis une fan inconditionnelle de Firmin, un personnage haut en couleur que l’on découvre au coin d’une rue et qui va croiser la vie de Daniel, le héros. Firmin, c’est un homme complètement fou et intelligent en même temps, le genre de personnage que l’on essaierait de construire pour animer une fiction mais dont on n'arrive jamais à trouver le bon équilibre : ici Firmin est juste parfait ! Fir-min, Fir-min, Fir-min, Viva Firmin ! C’est aussi de belles histoires d’amitiés : jusqu’à quel point serez-vous fidèles à vos amis vous ?
J’ai particulièrement aimé ce bouquin parce qu’au début ce n’était pas gagné ! Les premières pages sont assez lentes, on se sait pas vraiment où l’on va. Je vous invite à vous accrocher sur les 60 premières pages, parce qu’après vous ne pourrez plus le lâcher ! Ce livre c’est un diesel en fait : lent au démarrage mais une fois que vous êtes lancé, vous ne vous arrêtez plus tellement ça marche bien. Il y a de tout : des histoires d’amour, de la science fiction, des mensonges, des trahisons, de la magie, des scènes qui vous feront vibrer et d’autres qui vous horrifieront (vraiment, je ne rigole pas et pourtant je ne suis pas une cho-chotte). Un cocktail complètement réussi : «bonsoir barman, je voudrais un ombre du vent s’il vous plait », si avec ça vous ne passez pas une bonne soirée, je vous paie un verre la prochaine fois !
Lisez-le et si vous le regrettez, je souhaiterais vraiment savoir pourquoi parce que c’est un livre qui a une atmosphère unique qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. J’aime
Magique, envoûtant
Critique de Lalinette (, Inscrite le 15 mai 2013, 60 ans) - 23 mai 2013
bof
Critique de Maclure (, Inscrit le 3 mai 2013, 69 ans) - 3 mai 2013
L'un des meilleurs livres que j'ai lu !
Critique de Redago (, Inscrit le 22 avril 2013, 22 ans) - 22 avril 2013
Je le conseille à lire !!! Daniel est vraiment courageux d'essayer de découvrir le mystère de Julian Carax, et ses recherches lui ont permis de percer le mystère. Chaque page du livre est agréable à lire.!
Poussière de mots
Critique de Heyrike (Eure, Inscrit le 19 septembre 2002, 57 ans) - 2 avril 2013
Un roman très prenant...
Critique de Justine J (, Inscrite le 19 mars 2013, 38 ans) - 19 mars 2013
Magnifique !!
Critique de Bretzel33 (, Inscrit le 14 août 2012, 40 ans) - 17 janvier 2013
L'ambiance, l'intrigue, les personnages, tout est parfait.
A lire absolument !!
rêve burtonien en sépia
Critique de Linbaba (, Inscrit le 25 juillet 2012, 40 ans) - 4 décembre 2012
Mes impressions: un roman absolument magnifique à lire au moins une fois dans sa vie.
Ambiance sombre dans une Barcelone mystique d'après-guerre.
J'ai particulièrement aimé cette romance sublime et tragique qui ne tombe pas dans le mielleux.
Comme d'habitude Carlos a créé des personnages hauts en couleurs.
Et surtout une grande déclaration d'amour aux livres. En effet les livres sont décrits comme de véritables trésors.
Aucun paragraphe inutile. Tout se dévore comme des friandises!
À posséder d'urgence!
Haletant
Critique de Incognito (, Inscrite le 13 septembre 2012, 45 ans) - 13 septembre 2012
L'intrigue est réellement très prenante.
En outre, les thèmes abordés incitent à réfléchir à des questions essentielles.
Prenant du début à la fin...
Critique de Addsc (, Inscrit le 12 juillet 2012, 42 ans) - 25 juillet 2012
Une belle découverte
Critique de Jl16 (, Inscrit le 9 janvier 2011, 33 ans) - 18 juillet 2012
Bref, une belle découverte !
A conseiller
Critique de Fanchic2011 (, Inscrit le 16 juillet 2011, 58 ans) - 5 juin 2012
Mais cette fois-ci, la chimie (pour ne pas dire l’alchimie) de Carlos Ruiz Zafón fonctionne. Dès les premières pages on est embarqué. Pourtant le sujet n’est pas léger, loin s’en faut. À la fin de la 2ème guerre mondiale un petit garçon d’à peine 10 ans, Daniel Sempere, vient de perdre sa mère. Son père, libraire spécialisé dans le commerce de livres anciens, l’emmène dans un lieu caché, connu d’un nombre très limité de personnes : le cimetière des livres oubliés. De ce passage initiatique, il en ressortira avec un livre choisi au hasard, « L'Ombre du vent » écrit par un inconnu, Julian Carax, qu’il n’aura de cesse de rechercher et qui marquera définitivement sa vie.
A mi chemin entre les romans d’horreur de Stephen King (« Christine » : une voiture maléfique aliène le libre arbitre d’un jeune qui en fait l’acquisition, ça ne vous rappelle rien ?) et les romans érudits d’Umberto Eco (« Le Pendule de Foucault » : de jeunes éditeurs et universitaires travaillent sur les Rose-Croix, une secte ésotérique a priori disparue, et se retrouvent pris dans le tourbillon de l’Histoire cachée, ça ne vous rappelle toujours rien ?), il y a du souffle dans cette œuvre, beaucoup de souffle.
Les personnages sont bien campés et l’histoire qui les a façonnés ne nous est dévoilée qu’à la fin. Tout est fait pour nous maintenir en haleine et ça marche. Les personnages secondaires, le père bienveillant mais dépassé par les événements et par l’adolescence de son fils, Fermin Romero de Torres, l’ami fidèle que Daniel a sorti de sa condition de clochard, le terrible policier Francesco Javier Fumero qui n’est pas sans rappeler les pires agents zélés de la Gestapo, l’énigmatique Julian Carax mythe ou réalité sont là, se croisent, entrent en collision, étayent l’histoire.
En bref, je ne me suis pas ennuyé une seconde à la lecture de ce livre que je recommande chaudement.
petite déception!
Critique de Hervé28 (Chartres, Inscrit(e) le 4 septembre 2011, 55 ans) - 15 avril 2012
En revanche, j'ai été séduit par le portrait de Barcelone, véritable héroïne de ce roman, ville sombre, avec ses quartiers glauques, loin de l'image de la Barcelone que je connais.
Bref, un livre qui aurait mérité plus de concision pour accéder aux titres des meilleurs livres de ma bibliothèque.
La littérature, miroir de la vie
Critique de Ravenbac (Reims, Inscrit le 12 novembre 2010, 59 ans) - 27 mars 2012
Daniel dévore le livre et n’a de cesse que de découvrir l’énigmatique Carax mort dans des conditions mystérieuses. Il découvre qu’un individu recherche tous les livres de Carax pour les brûler. Son enquête va raviver des passions, des haines, et déchaîner la furie de l’homme sans visage.
Malgré plus de 630 pages, il n’y a aucune longueur. Le suspense est maîtrisé de bout en bout. L’écriture est souple. « L’ombre du vent » est un beau roman qui parle à chaque lecteur : « Les livres sont des miroirs, et l’on n’y voit que ce qu’on porte en soi-même. »
Merveilleuse histoire
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 29 février 2012
Je dois dire que je n'ai pas du tout été déçu et tant par la structure originale que par le scénario, il s'agit d'une vraie réussite littéraire.
L'auteur tient en haleine le lecteur même si on peut deviner qui se cache derrière une partie du mystère.
Le parallélisme entre deux histoires est une trouvaille et le message philosophique reste présent.
L'auteur restitue une atmosphère glauque d'un Barcelone sous le franquisme mais a le bon goût de terminer son récit sur une fin heureuse.
On y trouve tous les ingrédients d'un grand roman (amour, drame, suspense,...)
Du grand art.
déception
Critique de Gardigor (callian, Inscrit le 27 avril 2011, 47 ans) - 27 février 2012
Malheureusement je vais rejoindre la minorité des personnes qui ne sont jamais entrés dans ce livre.
Je n'ai malheureusement pas pu aller jusqu'au bout, trop lent, trop de longueur, et trop de personnages sans véritable identité pour moi. J'étais loin trop loin de l'histoire, des personnages pour vivre pleinement ce roman pourtant bien écrit.
Je suis passé à côté mais heureusement "critiques libres" m'a fait découvrir d'autres auteurs et surtout d'autres oeuvres plus proches de mes attentes.
Envoûtant !
Critique de Kami (Lille, Inscrit le 16 novembre 2011, 48 ans) - 18 février 2012
Je recommande vivement la lecture de cet excellent roman.
Nouvelle version d’un drame classique
Critique de Isad (, Inscrite le 3 avril 2011, - ans) - 11 février 2012
L’histoire, avec des sentiments profondément ancrés dont les personnages ne veulent se départir comme dans tous les drames, se déroule de 1945 à 1966 dans une Barcelone omniprésente. En toile de fond, la guerre civile montre ses horreurs par intermittences.
IF-0112-3835
A lire si l'on n'a pas trop d'obligations : il ne se lâche plus !
Critique de Pléiades (, Inscrite le 29 janvier 2012, 40 ans) - 30 janvier 2012
L'histoire qui commence avec le cimetière des livres oubliés mêle celle de Daniel et celle de Julian d'une manière magistrale !
Sans oublier les histoires de familles, l'arrière-fond politique, les amours et tout ceci est si bien orchestré ! De plus, ce n'est pas téléphoné ! On se sent porté, les personnages ont une vraie consistance, une vraie personnalité ! C'est très visuel, mais il paraît que Zafón écrit aussi des scénarios.
Cela m'a aussi fait découvrir Barcelone et cette tranche sanglante de l'histoire d'Espagne dont je dois avouer que je n'en avais pas de représentation humaine.
On s'y accroche, on ne le lâche plus !
Barcelone hivernale
Critique de Fabs (, Inscrit le 17 novembre 2011, 40 ans) - 4 janvier 2012
Tourne-pages
Critique de Eoliah (, Inscrite le 27 septembre 2010, 73 ans) - 31 décembre 2011
L'avancée de l'enquête par bonds grâce à des témoins "qui savaient" est un peu artificielle. J'ai bien aimé l'image de cette ville, son atmosphère obscure de froid et de violence, aux anti-podes des clichés dolce vita, sea-sex and sun.
Le personnage du père de Daniel, loin des premiers rôles est très attachant.
l'ombre du vent
Critique de Franzh kicker (Montréal, Inscrit le 8 janvier 2011, 31 ans) - 19 novembre 2011
J'avais acheté ce livre en tenant à le garder, et pour couronner le tout, ma soeur le prête à son amie qui le garde chez elle et donc que je n'ai plus revu depuis.
Un livre très rafraichissant à lire, surtout l'automne ou l'hiver !
Les mystères de Barcelone
Critique de Jmb33 (, Inscrit le 6 novembre 2011, 63 ans) - 6 novembre 2011
sentiment plutôt positif
Critique de Soup34 (, Inscrit le 30 septembre 2007, 44 ans) - 27 octobre 2011
Au final une très belle histoire, qui laisse un bon souvenir malgré quelques passages un peu plus ennuyeux.
Déçue !
Critique de DE GOUGE (Nantes, Inscrite le 30 septembre 2011, 68 ans) - 24 octobre 2011
Le début est fabuleux, je suis envoûtée, littéralement et puis .... voila ! J'ai l'impression de me retrouver dans Eugène SUE : ce ne sont pas les "mystères de Paris", mais les "mystères de Barcelone" .....Avec un côté "Fantôme de l'opéra".
Le manichéisme est terrible : les bons et les méchants et un bon qui devient méchant et redevient bon ..... Des amours contrariées, un intellectuel mendiant, un très méchant policier une reconduction de situations !
Quelques personnages sont attachants, quelques mises en situation crédibles et historiquement intéressantes, et le style de l'ouvrage est superbe !
Dommage, on a l'impression que l'auteur a un énorme potentiel d'écriture et d'imaginaire mal exploité : le côté abracadabrant et l'intrigue qu'on reconstitue très vite...
Je n'aime pas descendre des auteurs quand ils sont honnêtes et j'ai l'impression que c'est le cas de Carlos Ruiz Zafon ...Pourtant ...
Le livre qui marque
Critique de Paloma (, Inscrite le 18 octobre 2011, 44 ans) - 18 octobre 2011
j'ai adoré la narration, ces mystères et par mes origines catalanes j'ai apprécié les petits lieux de Barcelone décrit admirablement !
Un très bon livre que je recommande également.
Une oeuvre enchanteresse
Critique de Elaia (, Inscrite le 15 octobre 2011, 28 ans) - 15 octobre 2011
Pour ma part, je me suis retrouvée captivée par cet univers palpitant, où les fantômes ne font qu'un avec les vivants.
De plus, la vraisemblance des descriptions est frappante, les sentiments comme les sensations évoqués étant presque palpables et nous frappant d'autant plus qu'on les éprouve aussi.
Je n'ai pu m'arrêter de le lire, une fois la première page tournée.
Ce livre a été une révélation pour moi, c'est pourquoi je le recommande très fortement!
Excellent livre
Critique de Krys (France-Suisse, Inscrite le 15 mars 2010, - ans) - 2 septembre 2011
"L'un des pièges de l'enfance est qu'il n'est pas nécessaire de comprendre quelque chose pour le sentir. Et quand la raison devient capable de saisir ce qui se passe autour d'elle, les blessures du coeur sont déjà trop profondes." C.R. ZAFON, l'Ombre du vent.
très bien
Critique de Caracal (Sainte-Maxime, Inscrit le 2 septembre 2011, 60 ans) - 2 septembre 2011
et puis il y a aussi un peu de pagnol, du moins dans certains dialogues: ironie, humour, tendresse...
M. Jean-Jacques Annaud, à votre caméra pour une adaptation ! car on pense aussi un peu à "le nom de la rose", l'érudition en moins...
Un bon roman...
Critique de LaCritiqueuse (, Inscrite le 14 avril 2011, 36 ans) - 10 août 2011
Conclusion : ce n’est pas très léger, mais une fois qu’on est embarqué le plaisir de la lecture est au rendez-vous.
Une histoire dans une histoire
Critique de Pitchou (Morges - Suisse, Inscrite le 8 mai 2010, 35 ans) - 6 août 2011
Conclusion? Lisez le ABSOLUMENT et vous verrez, vous passerez un excellent moment en la compagnie de personnages très différents mais tous aussi intéressants les uns que les autres et vous serez tout déçu de refermer ce roman, tellement on en redemande !
Bonne lecture!
Captivant et dépaysant
Critique de Loranne (, Inscrite le 11 mai 2011, 36 ans) - 1 août 2011
On reste accroché aux pages de Zafon du début à la fin!!!!!
Il me donne vraiment envie de lire ses autres livres, qui apparemment ont des bonnes critiques!!
Merci à CL de me l'avoir fait découvrir
Le fil d'Ariane
Critique de Isis (Chaville, Inscrite le 7 novembre 2010, 79 ans) - 22 juillet 2011
Une adaptation cinématographique de cet ouvrage, en simplifiant quelque peu l'intrigue, serait sûrement la bienvenue !
Je vais certainement m’empresser d’oublier, sitôt refermé, ce livre qui, bien sûr, rejoindra –c’était écrit !–…le fameux Cimetière des Livres Oubliés...
Seule, cette atmosphère mystérieuse sur fond de guerre civile espagnole, admirablement bien rendue avec des personnages et des paysages hauts en couleurs et en noirceur restera présente dans ma mémoire. Et ce n’est peut-être déjà pas si mal !
vraiment bien
Critique de LIZ78 (, Inscrite le 20 juillet 2011, 39 ans) - 20 juillet 2011
Personnellement j'ai découvert Zafon en lisant l'ombre du vent, je l'ai fini hier et j'adhère totalement à son style!!
La narration est très intéressante, avec des histoires qui s'imbriquent les unes dans les autres.
Je n'ai pas ressenti de lourdeurs, j'ai été totalement captivée par l'histoire des différents personnages....
je cours vite acheter ses autres livres, qui, j'espère seront aussi bien!
Bon moment
Critique de Widjet (, Inscrit le 18 juillet 2011, 52 ans) - 18 juillet 2011
W
Lourd, facile et rasoir
Critique de Marimori (Gif-sur-Yvette, Inscrite le 18 juillet 2011, 73 ans) - 18 juillet 2011
Sur des sites comme celui-ci, il est fréquent que les lecteurs enthousiastes laissent immédiatement une critique élogieuse dans la foulée de leur lecture, tandis que ceux qui n'y ont trouvé aucun intérêt se hâtent de l'oublier, d'où l'effet trompeur du nombre de critiques positives.
Dans le cas de l'Ombre du Vent, ce déferlement de louanges a provoqué une fois de plus un effet boule de neige qui m'a incitée à aller voir de plus près ce roman.
Résultat pour moi, et donc peut-être pour d'autres : une perte de temps sur un livre qui n'en vaut vraiment pas la peine.
Clichés, longueurs, effets attendus, rebondissements créés pour meubler, toutes les ficelles sont grosses, l'ensemble est lourd, décousu et ... rasoir!
Malgré toute ma bonne volonté pour essayer d'y trouver quelque chose qui viendrait peut-être au cours de la lecture, j'ai fini par lâcher prise à la moitié de ce pavé lourd comme .... une tartiflette un dimanche soir.
Une histoire intéressante...
Critique de Bouboule15 (, Inscrite le 12 juillet 2011, 35 ans) - 12 juillet 2011
En tout cas j'ai été contente de lire ce livre qui était le premier depuis un petit temps à retenir mon attention. Il m'a poussée à lire d'autres livres de cet auteur et je n'ai pas été déçue!
génial
Critique de Dabe78 (, Inscrit le 12 juillet 2011, 54 ans) - 12 juillet 2011
Magnifique et mystérieux
Critique de Crapaud42 (Saint-etienne, Inscrite le 22 juillet 2008, 45 ans) - 8 juillet 2011
Une dépêche nous arrive à l'instant
Critique de Montélimar (, Inscrit le 22 mai 2011, 29 ans) - 22 mai 2011
De nombreux manifestants se sont rendus devant la tour Eiffel à Paris pour réclamer une suite du livre l'Ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon. Les heurts avec les forces de l'ordre ont été violents mais les portes-paroles de ce mouvement affirment qu'il n'y aura pas de trêve tant qu'une suite ne sera pas publiée =)
Plus qu'un simple roman
Critique de Zeontro (, Inscrit le 30 avril 2011, 36 ans) - 18 mai 2011
Tout a une raison d'être dans ce roman. L'histoire est captivante et elle ne nous laisse pas sans réfléchir. Les thèmes récurrents du livre sont la solitude, la nostalgie, l'amour et la violence. Daniel ne se rappelle plus le visage de sa mère, Fermin porte sur lui les cicatrices d'un passé douloureux et Béa est une fille à qui sa famille n'accorde aucun choix. L'histoire est formidable et les descriptions sont époustouflantes. Les personnages principaux nous font passer de bons moments en leur compagnie, que ce soit à cause d'une des nombreuses et épiques explications de la vie selon Fermin ou à cause d'un Daniel naïf et impressionnable. Ils sont si bien décrits et expliqués par Carlos Ruiz Zafon qu'on s'attache à leurs histoires, leurs peurs et leurs ambitions.
Ce brillant roman a tout pour réussir à vous charmer, une histoire qui se trame dans une ville magique à travers plusieurs époques, des personnages qui nous font réfléchir, rire et grincer des dents et le tout est écrit de belle façon. Ce roman s’impose à vous, que ce soit pour tuer le temps ou pour le simple plaisir de la lecture.
Que dire de plus?
Critique de Florian1981 (, Inscrit le 22 octobre 2010, 43 ans) - 5 mai 2011
Une histoire unique, originale et crédible, des personnages très attachants et hauts en couleur, une intrigue subtilement tissée qui recèle son lot de surprises et de révélations, beaucoup d'émotions et le tout servi par un style des plus agréables.
Chapeau bas M. Zafon, vous nous avez pondu là un chef d'oeuvre!
Un livre à lire, non à dévorer d'urgence!
Le plus beau livre que j'ai lu ...
Critique de Cbarker (, Inscrit le 14 juillet 2009, 58 ans) - 3 avril 2011
l'écho de ces premiers mots que nous croyons avoir laissés derrière nous, nous accompagnent toute notre vie et sculptent dans notre mémoire un palais auquel, tôt ou tard – et peu importe le nombre de livres que nous lisons, combien d'univers nous découvrons –, nous reviendrons un jour. Pour moi, ces pages ensorcelées seront toujours celles que j'ai rencontrées dans les lignes de l'ombre du vent ....
Carlos Ruiz Zafón
Fantastique(s)
Critique de Killing79 (Chamalieres, Inscrit le 28 octobre 2010, 45 ans) - 23 mars 2011
Tout d'abord, avec son "cimetière des livres", son écrivain disparu et son destructeur d'oeuvres, l'auteur nous entraîne dans une histoire irréelle à la limite du fantastique.
Ensuite, la quête de Daniel, voyage initiatique à travers les rues et les recoins de Barcelone, semble accompagnée d'une musique poétique et magique, qui nous berce tout au long de la lecture.
Finalement, un roman indescriptible empli d'imaginaire, tout bonnement...fantastique!
Une petite douceur...
Critique de Patsy80 (, Inscrite le 20 août 2009, 49 ans) - 21 mars 2011
A lire et peut-être relire un jour...
l'ombre du vent
Critique de Kalista (, Inscrite le 5 mars 2011, 64 ans) - 5 mars 2011
un récit passionnant, des personnages attachants, une histoire qu'on n'oublie pas..... de belles citations (L'attente est la rouille de l'âme)..... Bref, un excellent moment de lecture. Un seul regret , je n'avais pas envie que l'histoire s'arrête......
COMME LIRE UN FILM !!
Critique de Minouchka (, Inscrite le 4 mars 2011, 66 ans) - 4 mars 2011
Ça se lit rapidement et la fin est comme un dessert! :)
MINOUCHKA (LAVAL,QC 4 FÉV 2011.52 ANS)
l'ombre du vent
Critique de TETE (, Inscrite le 25 novembre 2010, 42 ans) - 24 février 2011
Très bien !
Critique de Daoud (LYON, Inscrit le 8 février 2011, 49 ans) - 23 février 2011
Bref, un beau roman que je conseille de lire...pour qui désire associer le plaisir de lire une belle écriture avec la narration d'une histoire palpitante !
Magique
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 21 février 2011
5 étoiles, c'est le minimum pour un si beau livre.
Bizarre
Critique de Sasha (, Inscrite le 17 février 2011, 54 ans) - 17 février 2011
Je me lance....
Critique de Léo76 (, Inscrite le 17 février 2011, 40 ans) - 17 février 2011
Allez je me lance.....
Une impression de ''pouvait mieux faire''
Critique de Bobo (, Inscrit le 10 décembre 2009, 65 ans) - 11 février 2011
"Le Cimetière des Livres Oubliés", ce n'est pas banal.
Je me prépare à me régaler.
Et au fur à mesure que je tourne les pages, le soufflé retombe !
On voyage dans un Univers presque à la limite du "Da Vinci code"
Esotérisme et invraisemblance.
Au fil du récit tout se liquéfie et devient franchement ennuyeux.
Vraiment dommage car l'idée de base est excellente et l'auteur aurait pu en tirer meilleur profit.
Il y a des prisons pire que des mots !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 5 février 2011
Barcelone y brille de mille feux !
Les histoires de Julian Carax et de Daniel Sempere s'emboîtent à merveille . Je me suis longtemps demandé s'ils n'étaient pas un et même personnage .
Julian continue à vivre par ( et pour ) Daniel .
Les personnages sont terriblement attachants et tout particulièrement Fermin Romero de Torres - ami fidèle et dévoué de Daniel .
Il y a du " Audiard " dans les réparties de Fermin.
Mais avant tout ; des relations humaines troubles et intenses.
Des histoires de vie qui s'entremêlent sur un fond de guerre civile espagnole.
L'auteur décrit une Barcelone aux multiples facettes ( comme celles de ses personnages )
Le LIVRE comme un " passage " d'une génération à une autre.
Julian " junior " ( le fils de Daniel ) perpétue la mémoire de Carax pour que jamais l'oubli ne triomphe.
Un très , très grand roman.
Quand CL va-t-il permettre d'apposer une sixième étoile ?
"Histoire mélancolique, romantique, bouleversante… "
Critique de Carla1973 (, Inscrite le 31 janvier 2011, 51 ans) - 31 janvier 2011
Histoire mélancolique, romantique, bouleversante…
Je l’ai lu en version espagnole et j’ai adoré la description de l’atmosphère de ma ville natale après la guerre civile. J’ai adoré les personnages tels que Fermin et contrairement aux dires d’autres critiques qui l’ont lu en espagnol, je peux témoigner d’un langage fluide et parfait. J’ai même beaucoup ri avec les expressions de Fermin et son franc parler. Bravo Carlos Ruiz Zafón et je vais commander très vite ses autres ouvrages et essayer de retrouver l’atmosphère de « La sombra del viento »
Parmi mes meilleurs moments passés à lire
Critique de Tommyvercetti (Clermont-Ferrand, Inscrit le 18 décembre 2006, 36 ans) - 21 janvier 2011
Mais pour ce livre-ci, ce fut très différent de tous ceux que j'ai lus entretemps. Dans les cent premières pages, j'ai eu les larmes aux yeux - ou du moins la gorge serrée - deux fois. Une fois de tristesse, et une fois de joie. Et de nombreuses fois par la suite de ma lecture, je me suis surpris à sourire naturellement - pas un rire dû à l'humour, ou à une blague, mais un sourire qui me faisait un instant me sentir bien. Vraiment bien.
Ce n'est probablement donc pas un mensonge que j'ai lu, plusieurs fois, avant de commencer la lecture de l'Ombre du Vent, qui parlait de magie et de beauté. Car j'ai vraiment eu l'impression de lire un livre nouveau, de découvrir à quel point l'emprise de certains autres romans, ou l'abandon qui pouvait s'ensuivre, était léger comparé aux sentiments que m'a procuré celui-ci.
L'histoire se présente comme le récit d'un jeune garçon qui va, à partir d'un coup de foudre pour un livre, chercher à percer les mystères et secrets de l'auteur qui semblent se dresser sur sa route, comme des portes fermées, ou des poupées russes, ainsi qu'il est dit dans le quatrième de couverture. Je ne me souviens pas avoir déjà lu d'adaptation de l'espagnol, donc je ne saurais dire si le style est du au talent de l'auteur, ou s'il est inhérent à la langue traduite, mais c'est un vrai régal, sans que ce soit simple pour autant. C'est toujours plein de poésie, de beauté, tout en gardant sa part de noirceur et de ténèbres lorsque l'histoire s'y prête. Seule chose que j'ai pu lui reprocher, c'est évidemment l'histoire, si nette, précise et parfaite, tellement bien huilée et dont l'éclat de la magie dissimule les accrocs de la réalité et lisse le tout. ça lui enlève de la crédibilité. Mais d'un autre côté, son caractère magique et envoûtant surpasse ce détail, et on la prend pour ce qu'elle est : un conte, une aventure palpitante où on est toujours surpris, où on rit, on pleure, et on a peur. Vraiment une réussite, donc. A lire.
Absolument génial
Critique de Nanoulee (, Inscrite le 7 mai 2009, 49 ans) - 20 janvier 2011
Je n'oublierai jamais ce Barcelone là, et j'ai envie de redécouvrir cette ville mystérieuse. Un récit tout simplement magique, surprenant et tellement bien écrit.
3 jours à être captivée et ne vouloir quitter le livre sous aucun prétexte. Maintenant il va me falloir du temps pour attaquer un nouveau bouquin.
A offrir, à lire, à garder...
Vraiment une belle découverte !
Critique de Mandarine (, Inscrite le 2 juillet 2010, 52 ans) - 16 janvier 2011
Ce livre m'a plu et je suis tout de suite rentrée dans l'atmosphère. L'histoire, je la trouve bien ficelée, et l'originalité de tout faire partir d'un livre est une très bonne idée. L'écriture est pour moi assez fantastique et d'une fluidité assez déconcertante. Et en même temps j'ai eu l'agréable surprise d'apprendre nombre de mots que j'avais oubliés ou encore que je ne connaissais mais alors pas du tout ! Les personnages sont bien construits avec des personnalités fortes pour certains. Des moments de purs plaisirs, d'inquiétude, de rebondissements, d'enquête policière ....
Un vrai régal !
Mystérieuse Barcelone...
Critique de Luluganmo (, Inscrite le 26 septembre 2010, 42 ans) - 9 décembre 2010
A la hauteur des attentes
Critique de John (, Inscrit le 2 novembre 2010, 34 ans) - 9 décembre 2010
L'histoire est très prenante dès le début par cette idée originale du cimetière des livres . En temps que jeune de l'âge de Daniele , on est d'autant plus touché et porté à réfléchir sur nos relations aux autres ie famille , ami et surtout copine
C'est avec regret que l'on ferme le livre.
Critique de Thibaut-l (, Inscrit le 19 novembre 2010, 35 ans) - 28 novembre 2010
The Shadow Of The Wind
Critique de SkylarBlue (, Inscrite le 16 novembre 2010, 34 ans) - 23 novembre 2010
Dès le premier chapitre, je ne pouvais plus le lâcher. Un cimetière des livres oubliés, ça commence fort !
Un style magnifique, une histoire bien ficelée, Daniel si attachant que l'on rencontre enfant et que l'on voit grandir dans les rues de Barcelone, une toile de fond brumeuse et envoûtante, le destin croisé des personnages, les enquêtes qui s'entremêlent et l'histoire qui semble se répéter avec Julian, qui fuit Daniel mais le protège malgré tout et se reconnait inexorablement en lui.
Ce livre ressemble à un roman de la fin du XIXe, il tape en plein dans le romantisme.
Que dire à part que j'ai adoré et que s'il m'a fallu trois nuits pour le finir, c'est parce qu'on m'a forcée à le refermer ?
Zafon est plein de poésie et happe le lecteur dans son monde plein de livres oubliés. Ses personnages sont attachants et inhabituels. C'est un livre d'évasion absolument remarquable, j'ai vu que Zafon avait écrit un autre livre depuis, je vais sans aucun doute le lire et j'espère qu'il sera aussi bon que L'ombre du vent !
Bravo Zafon !
Critique de Marthe (, Inscrite le 19 novembre 2010, 54 ans) - 23 novembre 2010
Excellent
Critique de Rosettesacha (, Inscrite le 2 août 2010, 60 ans) - 30 octobre 2010
Julian Carax et Daniel Sempere... des destins mêlés
Critique de Yasem (Strasbourg, Inscrite le 30 juin 2008, 34 ans) - 19 octobre 2010
Toutefois, j'ai trouvé que certains passages étaient un peu longs, le sommeil l'a souvent emporté.
Mais le livre enfin terminé, je l'ai trouvé globalement plaisant.
Un conte pour enfants
Critique de Lucile (Stockholm, Inscrite le 20 septembre 2010, 36 ans) - 5 octobre 2010
Des personnages irréalistes, une fin archi attendue, une jolie écriture facile à lire, une ambiance brumeuse avec plein de "rebondissements" qui ne surprennent que les personnages eux-mêmes, de coins de ruelles sombres, de méchants-qui-vous-suivent-partout, et de vieux-gentils-que-le-héros-n'oubliera-jamais.
Honnêtement, qui ne s'attendait pas à cette fin?
Je l'ai lu dans la version originale; je commence à penser, au vu des autres critiques, que le traducteur a fait des prouesses...
Mais cela reste un livre pas désagréable à lire les dimanche de pluie.
franchement pas mal
Critique de Jaimeoupas (Saint gratien, Inscrite le 4 octobre 2010, 52 ans) - 4 octobre 2010
C'est bien écrit.......... un roman d'atmosphère
j'ai été captivée par l'intrigue ..
Un dédale énigmatique et superbe
Critique de Moune (, Inscrite le 8 septembre 2010, 54 ans) - 13 septembre 2010
Sur ma lancée craintive, les premières pages ne m'ont pas convaincue mais peut-être n'étais-je pas assez concentrée car c'est un livre qui se mérite !
L'été enfin installé, j'étais plus au calme pour me laisser porter par la magie du texte et elle a opéré ! Les personnages finissent par sembler réels et même si je me suis perdue dans les rues de cette Espagne qui m'est inconnue, cela ne m'a nullement gêné, car j'ai suivi pas à pas Daniel Sempere dans ce dédale énigmatique et sublime.
Je dois d'ailleurs aux dernières pages des retards de sommeil...
Preuve s'il le fallait que certains textes méritent qu'on leur donne véritablement leur chance faisant fi des rumeurs positives ou non !
barcelone de mes amours...
Critique de Jfp (La Selle en Hermoy (Loiret), Inscrit le 21 juin 2009, 76 ans) - 12 septembre 2010
Un livre super
Critique de Clem33 (, Inscrit le 21 août 2010, 28 ans) - 21 août 2010
Tout simplement génial...
Critique de Lunostrale (, Inscrite le 19 août 2010, 58 ans) - 19 août 2010
Enfin terminé !
Critique de Brunodu75 (, Inscrit le 12 août 2010, 59 ans) - 12 août 2010
L'auteur a la main lourde sur les "surprises" (qui n'en sont plus). Dommage, les 2 premiers tiers sont plaisants mais la dernière partie est pesante et inintéressante.
Oh non...
Critique de Valadon (Paris, Inscrite le 6 août 2010, 43 ans) - 6 août 2010
Rarement un livre ne m'est tombé ainsi des mains. Une écriture prétentieuse, affectée, suffisante, des personnages pour lesquels je n'éprouvais aucun attachement, une histoire qui se traine sans jamais nous prendre à bras le corps...
Je n'ai pas trouvé là la moindre poésie. Juste des personnages caricaturaux et un style insupportable.
Dommage car l'idée de ce cimetière des livres oubliés, quelle idée magique !!
Magnifique roman...
Critique de Chahinaj (, Inscrite le 8 juillet 2009, 40 ans) - 4 août 2010
que demander de plus ?...
Un livre comme on aimerait en lire plus souvent
Critique de Nb (Avion, Inscrit le 27 août 2009, 40 ans) - 28 juillet 2010
Malgré sa longueur, le livre se lit très rapidement grâce au style sobre de Carlos Ruiz Zafon. Un peu d'histoire, pas mal de sentiments et beaucoup de mystère, voilà un roman qui sera difficile à oublier.
Captivant, malgré certaines longueurs
Critique de PPG (Strasbourg, Inscrit le 14 septembre 2008, 48 ans) - 27 juillet 2010
Un roman captivant, bien qu'il faille passer le cap des 60 premières pages : on doit en effet s'habituer au style narratif et ses répétitions. Le personnage baroque de Fermin m'était insupportable au départ, puis on s'y habitue. Plus on avance, plus on a du mal à lâcher le livre ; les dernières 100 pages, on finit carrément en apnée pour connaître le dénouement.
Une histoire classique, écrite à "l'ancienne" avec maîtrise. Quelques aspects caricaturaux des personnages qui auraient pu être évités, mais bon, ceci reste quand même un beau roman de vacances qui nous transporte avec délice dans cette ville de Barcelone que j'ai maintenant hâte d'aller visiter.
Bien mais sans plus
Critique de Chouraqui (Paris, Inscrite le 21 juillet 2010, 64 ans) - 22 juillet 2010
Reste que somme toute l'histoire est, elle, assez banale, avec les bons d'un côté et les méchants de l'autre, et que donc le livre reste sur un format assez classique et on voit "l'happy end" arriver de très loin. La plus belle trouvaille de l'auteur étant sans aucun doute le fameux "Cimetière des Livres oubliés"...
C'est un livre bien écrit, sans aucun doute à lire et à découvrir, mais un livre qui ne m'a pas enthousiasmé autant que je l'aurais voulu !
4 étoiles!
Critique de Js75 (, Inscrit le 14 septembre 2009, 41 ans) - 19 juillet 2010
Evasion garantie
Critique de Marsup (, Inscrit le 22 octobre 2009, 48 ans) - 19 juillet 2010
Une écriture fluide mais néanmoins recherchée, une intrigue originale et captivante (même si quelque peu prévisible par moment), de l'émotion... que demander de plus ?
Des heures de pur bonheur !
Un grand merci à l'auteur.
Mystérieusement captivant
Critique de Lady Angel (, Inscrite le 12 juillet 2010, 56 ans) - 12 juillet 2010
Une idée ingénieuse de l'auteur qui se perd malgré tout dans quelques longueurs de style et de descriptions.
Le Bari Gothic semble encore plus sombre et sordide qu'il ne l'est en réalité et l'on a bien du mal à voir Barcelone autrement que comme une prédatrice partagée entre petit peuple et notables.
Peut être est ce plus palpitant encore de lire ce livre quand on a la chance d'avoir visité Barcelone. J'y ai retrouvé toutes les odeurs, les atmosphères, les décors que j'y avais découvert il y a 2 ans avec engouement. Cette ville a quelque chose de magique!
Néanmoins, je me suis un peu perdue dans les histoires croisées des personnages, toutes imbriquées les unes dans les autres mais j'ai voulu savoir ce que devenait Julian à chaque page.
Une atmosphère captivante et dérangeante, un Julian Carax a la présence inoubliable et l'idée moult fois prouvée qu'un livre puisse changer le cours d'une vie...
Un véritable voyage littéraire et fantastique qui excuse certaines longueurs et le fait que l'on se perde souvent dans l'histoire.
Enorme émotion en fermant le livre et le sentiment que Julian Carax me poursuivra longtemps, comme si je me devais de garder précieusement à mon tour ce roman fabuleux de Zafon.
pas mal... mais...
Critique de Noctali (, Inscrite le 9 juillet 2010, 51 ans) - 9 juillet 2010
J'avoue avoir passé un bon moment en le lisant, mais il ne restera pas dans mes "coups de coeur"! L'écriture était asez fluide, la narration ponctuée de notes d'humour, le rythme soutenu... mais à côté de cela, quelques "raccourcis" dans la façon dont sont introduits les personnages (l'exemple de Fermin, trop vite passé du statut de SDF à l'abandon à celui de génie trouve-tout), l'aspect un peu caricatural des personnages principaux... J'aurais aimé aussi être davantage plongée dans l'histoire de la guerre civile espagnole : elle apparait en toile de fond mais ne constitue pas réellement un élément central de l'histoire à mon sens.
Donc avis moyen + pour moi !
Bof...
Critique de Leloo (, Inscrite le 8 juillet 2010, 48 ans) - 9 juillet 2010
Quelle déception! J'en ai entendu et lu tellement de bien, j'en attendais beaucoup! Et je n'ai rien reçu…
L'intrigue est longue et brouillonne, truffée de personnages qui vont et viennent et qui finalement n'apportent aucune utilité à l'histoire principale alors qu'on veut nous le faire croire. J'ai persévéré jusqu'à la fin en me disant que forcément je serai retournée par les derniers rebondissements, et là... toujours rien...
Je suis vraiment restée sur ma faim avec une impression de 'Oui, et alors?' très désagréable, impression d'avoir perdu mon temps aussi. Rien ne m'a transportée dans ce roman, pas même les descriptions de Barcelone présentée grise principalement sous la pluie et sous la neige, ce qui ne me rappelle absolument pas les souvenirs que j'en ai.
Lisez-le si vous n'avez vraiment rien d'autre sous la main, moi je ne comprends pas la position de ce livre dans le top...
Très bon roman
Critique de Nina-39 (, Inscrite le 15 avril 2010, 45 ans) - 23 juin 2010
Bien mais sans plus
Critique de Septularisen (, Inscrit le 7 août 2004, - ans) - 21 juin 2010
Reste que somme toute l'histoire est, elle, assez banale, avec les bons d'un côté et les méchants de l'autre, et que donc le livre reste sur un format assez classique et on voit "l'happy end" arriver de très loin. La plus belle trouvaille de l'auteur étant sans aucun doute le fameux "Cimetière des Livres oubliés"...
C'est un livre bien écrit, sans aucun doute à lire et à découvrir, mais un livre qui ne m'a pas enthousiasmé autant que je l'aurais voulu!
l'ombre du vent
Critique de Song (, Inscrite le 20 juin 2010, 51 ans) - 20 juin 2010
On n'est plus le même avant d'avoir lu ce livre et après. Même si l'histoire peut sembler " à l'eau de rose" et imbriquée comme un meccano, bon, on peut être emporté je pense;! C'est mon cas. Beaucoup de poésie, de profondeur, de reflet de l'âme humaine.
On ne sait pas ce qu'on aurait fait dans ce cas là..... à chacun d'y réfléchir!
La magie du livre
Critique de Frankgth (, Inscrit le 18 juin 2010, 54 ans) - 18 juin 2010
Bien écrit par un auteur dont on sent l'amour des livres, celui ci m'a fait passer un très bon moment.
Sublime, envoûtant
Critique de Nogui (, Inscrit le 11 juin 2010, 36 ans) - 11 juin 2010
Voilà, je l'ai lu presque d'une traite et je n'ai qu'un seul regret, il est fini.
Finie la magie des promenades envoutantes à travers Barcelone en compagnie de Daniel et de ce drôle de Fermin ....
Ce roman vous possède, il fait partie des grands livres qu'on ne peut oublier...
tragique Barcelone .
Critique de Pat (PARIS, Inscrit le 21 mars 2010, 60 ans) - 2 juin 2010
Une double histoire, l'une se passant dans les années cinquante, l'autre dans les années trente .
Avec en fond , la guerre civile Espagnole et les blessures qu'elle a fait naître .
Soufflé au vent
Critique de Avada (, Inscrite le 26 avril 2007, - ans) - 31 mai 2010
Dans un endroit mystérieux
Ajoutez un orphelin de mère
Dans un pays qui sort d'la guerre
Donnez un titre énigmatique
Au roman qu’il aura trouvé
Tournez les pages et constatez
Que c’est celui que vous lisez
Badigeonnez de références
Un peu de Roméo peu de Juliette
Une Pénélope un peu d' Ulysse
Pas de Dante mais une Béatrice
Avec un soupçon de Borges
A la sauce Garcia Marquez
Obtenez une mixture bigarrée
Dont vous pourrez vous rassasier
Poivrez un clochard truculent
Farinez-le d’anticléricalisme
Et d’un soupçon de lyrisme
Ajoutez de passionnés amants
Faites déchoir une famille d'antan
Saupoudrez d’un peu de dictature
Un psychopathe au cœur brisé
Salez franco puis mélangez
Prenez un petit peu de politique
Et un grand morceau de gothique,
De Saragosse à Melmoth
En passant par le diable boiteux
Versez la sauce fantastique
Faites brûler à petit feu
Servez Chaud c’est délicieux
N’attendez pas le soufflé pourrait retomber.
Julian Carax, L'Ombre du Vent
Critique de Oburoni (Waltham Cross, Inscrit le 14 septembre 2008, 41 ans) - 31 mai 2010
C'est ce que va apprendre Daniel, le héros du livre, en partant à la recherche de Julian Carax, écrivain mystérieux que l'un des livres -"L'Ombre du Vent"- hante à l'obsession.
L'Ombre du Vent ?
"C'est une histoire de livres. (...) De livres maudits, de l'homme qui les écrit, d'un personnage qui s'évade des pages d'un roman pour pouvoir le brûler, de trahison et d'amitié perdue. C'est une histoire d'amour, de haine, et des rêves qui vivent dans l'ombre du vent."
Apparemment le premier volet d'une saga que l'auteur prévoit en 4 tomes. On attend la suite !
Déçue...
Critique de MAGGUIL (, Inscrite le 22 février 2008, 44 ans) - 15 mai 2010
Je n'ai pas trouvé beaucoup de sympathie dans les personnages, vraiment je n'ai pas toujours accroché. Il y a des jours où j'engloutissais les pages avec délectation et des jours où je forçais la lecture.
Malgré ça, mon attention a été retenue par ce mystérieux écrivain, je voulais savoir ce qu'il était devenu et puis, il est vrai que le suspens était bien mené. Mais ce que je conserverai le plus dans la lecture de ce livre c'est l'idée du cimetière des livres oubliés.
Fantastique
Critique de Amayelle (Québec, Inscrite le 13 février 2009, 30 ans) - 25 avril 2010
je ne l'ai pas dans ma peau
Critique de Elya (Savoie, Inscrite le 22 février 2009, 34 ans) - 31 mars 2010
Je me souviens vaguement que la psychologie des personnages et le point de vue du narrateur m'avait laissé pantoise.
Le fait que je n'ai gardé finalement que peu de souvenirs de cette lecture, qu'ils soient bons ou mauvais, me conduit à mettre une note moyenne, en attendant de m'y plonger à nouveau, pourquoi pas.
Bien écrit
Critique de Flo29 (, Inscrite le 7 octobre 2009, 52 ans) - 26 mars 2010
C'est bien mené, mais j'ai trouvé l'atmosphère un peu trop sombre, j'aurais aimé un peu plus d'optimisme. En tant que lectrice avisée, j'ai apprécié le style et les métaphores.
Un petit chef d'oeuvre !
Critique de Samba (, Inscrite le 3 mars 2010, 46 ans) - 19 mars 2010
C'est un livre à lire et même à relire !
J'aime bien, mais
Critique de Berpar (, Inscrit le 18 mars 2010, 57 ans) - 18 mars 2010
furieusement magnifique
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 18 mars 2010
C'est un des meilleurs titres que j'ai lu et je n'ai de cesse d'appliquer la technique qui consiste à manger un "sugus" quand tout va mal.
Seul petit reproche, je constate de plus en plus que les traductions espagnoles laissent parfois filer certaine expressions.
Mais ce n'est qu'un détail... La magie des mots rend ce livre vraiment magnifique
Magique, féerique, irréel....
Critique de Clubber14 (Paris, Inscrit le 1 janvier 2010, 44 ans) - 18 mars 2010
A travers une plume incroyable, Zafon, que je ne connaissais absolument pas avant cet ouvrage, m'a fait découvrir tour à tour la Barcelone de la guerre civile espagnole jusqu'à l'après seconde guerre mondiale, mais il m'a surtout fait plonger dans une atmosphère féerique dont nous ne sommes jamais sûr que ce soit un rêve ou la réalité. Deux destins entrecroisés, d'une similitude incroyable mais au dénouement si distinct.
Il est tout simplement impossible de ne pas se poser une infinité de questions après la dernière ligne de ce livre. Pourquoi sommes-nous sur cette Terre? Quel est notre rôle? Comment bien éduquer nos enfants? Comment les aimer sans être trop possessif? Comment réaliser ses rêves tout en gardant les pieds sur Terre?
Pour moi il s'agit d'un véritable roman d'apprentissage, j'y ai retrouvé un peu du Candide de Voltaire mais néanmoins en plus noir. L'écriture incroyable de Zafon (j'en profite pour tirer un immense coup de chapeau au traducteur) nous plonge corps et âme dans dans le récit et chaque personnage a une profondeur incroyable.
Je le conseille vraiment à toutes et à tous, quel que soit votre domaine littéraire de prédilection car le détour en vaut vraiment la chandelle.
Magique!
Critique de Poki (, Inscrite le 1 mars 2010, 50 ans) - 1 mars 2010
Une ombre mystérieuse erre dans les rues de Barcelone...
Critique de Keox (, Inscrit le 24 février 2010, 40 ans) - 1 mars 2010
Par contre, si vous ne l'avez pas lu, je vous conseille de ne pas vous faire spolier l'histoire par des commentaires comme celui de la première critique de "Sahkti" qui maladroitement nous dévoile et nous résume plus de 70% de l'intrigue !!! Je peux comprendre que lorsqu'on a aimé un roman jusqu'à la turgescence (lol), on ne peut pas avoir la langue dans sa poche...
Surprise..!
Critique de Feriial (, Inscrite le 18 février 2010, 33 ans) - 18 février 2010
superbe
Critique de Alexis100980 (, Inscrit le 2 février 2010, 44 ans) - 2 février 2010
un livre inoubliable. A se procurer absolument
Génial
Critique de Sandrine45 (LAILLY EN VAL, Inscrite le 23 janvier 2010, 46 ans) - 23 janvier 2010
Très bien écrit, il se lit très facilement sans aucune longueur. j'ai été complètement absorbée par ce livre qui a su marier intrigue semi-policière et histoire d'amour.
Vraiment un très bon livre!!!
Atmosphère envoutante
Critique de Scarazabou (, Inscrite le 11 janvier 2010, 60 ans) - 12 janvier 2010
Un bon roman... mais un mauvais policier
Critique de Ngc111 (, Inscrit le 9 mai 2008, 38 ans) - 1 janvier 2010
En refermant le livre je me suis aperçu que l'on en ressortait un petit peu indifférent. Le mot est fort mais la fin du livre est quelconque loin du démarrage sobre et presque poétique que j'ai d'ailleurs trouvé très réussi et prometteur.
Par la suite donc cela se gâte un peu. Non pas que le livre soit mauvais mais il perd petit à petit en crédibilité ce qu'il gagne en péripéties. Les twists du récit se devinent très tôt (notamment l'identité du "pyromane") et les connections entre personnages sont parfois poussées jusqu'à l'absurde. Barcelone ne m'a jamais semblé aussi petite tellement les habitants paraissent tous se connaître! Tous les personnages de l'histoire sont reliés d'une manière ou d'une autre. On pourrait y ajouter la grotesque symétrie entre le parcours du narrateur et un personnage important (dont je ne peux dévoiler l'identité), procédé qui ne m'a pas convaincu.
Au final L'ombre du vent est un mauvais policier tellement son intrigue tombe à plat au fil des pages, sans parvenir à instaurer une once de suspense au dénouement.
Mais heureusement ce n'est pas un mauvais livre pour autant. Tout d'abord le récit est dense, un peu grotesque on l'a dit, mais très fouillé, avec une tonne de personnages, d'histoires, de souvenirs qui rendent l'univers du livre très riche. On peut apporter au crédit de l'auteur qu'il ne nous a pas concocté une intrigue légère de roman de gare!
Ensuite l'écriture en elle-même est agréable, le style ne versant là encore pas trop dans la facilité et la légèreté. Certes l'on peut regretter les allusions grivoises et autres histoires scabreuses qui parsèment un peu trop le roman mais finalement leur présence reste soutenable et relativement bien incorporée.
D'ailleurs le livre se lit vite et bien ce qui est bon signe et l'on a quand même envie de le finir, élément prépondérant d'une bon livre.
Il m'en restera de cette lecture que la balance s'incline du côté positif mais que quelques défauts grossiers et un penchant policier un peu manqué l'empêche de figurer parmi mes lectures les plus marquantes.
Sans plus
Critique de MEISATSUKI (, Inscrite le 2 octobre 2009, 48 ans) - 31 décembre 2009
Belle découverte !
Critique de Leliseur (, Inscrit le 10 septembre 2009, 68 ans) - 30 décembre 2009
Bonne année 2010 ! je vous souhaite plein de beaux livres et bonne lecture !
Un effet d'entrainement sans doute ?
Critique de Domimag (, Inscrit le 6 juillet 2007, 67 ans) - 29 décembre 2009
Sans doute bien écrit, racontant une belle histoire, dans une période intéressante mais quel ennui !
J'ai eu du mal à finir.
Inoubliable
Critique de POOKIES (MONTPELLIER, Inscrit le 16 août 2006, 47 ans) - 27 décembre 2009
Roman à ne pas manquer.
Une erreur de jugement
Critique de Hasmik3103 (, Inscrite le 13 novembre 2009, 32 ans) - 13 novembre 2009
"L'Ombre du vent" est agréable à lire, car l'intrigue nous emprisonne tout de suite.
Dans ce roman, l'incipit in medias res nous emporte tout long de l'histoire. Les mystères sont si nombreux, si alléchants qu'on n'a pas la volonté de fermer le livre.
Le style de l'écrivain est fluide, le vocabulaire compréhensible, sans ambiguité. Le point négatif qui désavantage le livre est la présence de descriptions trop longues, qui malgré le style d'écriture, lassent le lecteur.
J'invite les amateurs en manque de suspense à se plonger dans l'univers de Carlos Ruiz Zafon.
Une vie antérieure
Critique de Oussama1090 (, Inscrit le 13 novembre 2009, 32 ans) - 13 novembre 2009
De cette manière, je me suis attaché aux personnages, m'y suis identifié. Ce roman m'a procuré un plaisir inouï, nouveau. On s'attend au moment où l'un des personnages va énoncer les informations auxquelles on s'attendait, et on est bluffé.
Si vous êtes à la recherche d'une oeuvre ordinaire censée vous accrocher par un certain humour ou par une histoire d'amour, c'est trompeur. Ce livre vous lance dans une aventure loin d'être normale. Vous éprouvez le sentiment d'être présent dans l'histoire. Passer de bons et mauvais moments sera inévitables. Ce sera comme une deuxième vie. Je conseille ce livre aux passionnés et aux fanatiques de la réalité.
Ca fait mal aux dents
Critique de Asgard (Liège, Inscrit le 14 juillet 2005, 46 ans) - 12 novembre 2009
Le style ? Je l'ai trouvé assez neutre. On voit les efforts de l'auteur, mais difficile d'y accrocher. Un ensemble de lourdeurs se dégage du roman. Certes, il y a de bon mots, mais cela ne suffit guère à convaincre, que du contraire.
Les personnages ? Caricaturaux au possible ! Les gentils bien gentils, les méchants... ben bien méchants, tiens ! Tout est plein de bons sentiments, tout sucré, tout mieilleux... Ils n'ont aucune profondeur et sont vraiment très creux.
L'histoire ? Intéressante au départ (des livres oubliés, une bibliothèque sans fond, des mystères...), mais je me suis lassé assez vite.
Bref, une très grande déception au vu de toutes les louanges que les critiqueurs avaient laissées sur ce site. Dommage...
Merveilleux
Critique de Cruz (Punaauia, Inscrite le 16 novembre 2008, 33 ans) - 3 novembre 2009
une histoire d'aventure et d'amour
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 31 octobre 2009
Sublime, un régal
Critique de Lasconi (pessac, Inscrit le 4 octobre 2009, 48 ans) - 4 octobre 2009
un livre sombre
Critique de Bishop (, Inscrite le 13 avril 2005, 53 ans) - 12 septembre 2009
Tiens ? Une merveille !
Critique de Alexnoc (Carignan, Inscrite le 6 septembre 2005, 45 ans) - 10 septembre 2009
Et je découvre l'univers poétique et poignant de Daniel, de Fermin et de Julian, je passe du rire (les répliques de Fermin sont fameuses) aux larmes, de la surprise à l'étonnement.
637 pages de pur bonheur, voilà.
Alors ne vous posez pas de questions: foncez vous aussi!!
Sublissime!
Critique de Rouchka1344 (, Inscrite le 31 août 2009, 34 ans) - 6 septembre 2009
C'est LA révélation!! Après l'avoir fini on ne peut plus lire un autre livre pendant plusieurs jours.
Un conseil: Prenez quelques jours de vacances pour pouvoir vous couper du monde et lire du début à la fin ce petit bijou de la littérature espagnole.
Je confirme
Critique de Anna Rose (, Inscrite le 3 octobre 2006, 52 ans) - 24 août 2009
Eblouissant......
Critique de Golfo66 (Perpignan, Inscrit le 19 août 2009, 60 ans) - 19 août 2009
Le vent noir
Critique de Radetsky (, Inscrit le 13 août 2009, 81 ans) - 14 août 2009
Amour, haine et littérature
Critique de Steph-9 (, Inscrite le 15 juin 2009, 34 ans) - 2 août 2009
« Une histoire d’amour, de haine et de rêves qui vivent dans l’ombre du vent »
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 17 juillet 2009
Tout au long de cette lecture, j’ai pensé à Pascal Mercier et à son « Train de nuit pour Lisbonne », le héros de Ruiz Zafon, comme celui de Mercier, découvre, par hasard, un livre qui va complètement chambouler sa vie et même celle de son entourage. Un bouquiniste de Barcelone fait découvrir, à son fils, le cimetière des livres perdus et lui demande, selon la tradition, de choisir un livre dont il aura le plus grand soin. Le héros de Mercier avait lui trouvé un livre par hasard chez un autre bouquiniste, à Berne, qui lui en avait fait cadeau.
Après avoir lu ce roman d’une traite, Daniel, le fils du bouquiniste, veut absolument en connaître l’auteur et la vie qu’il a eue comme le héros de Mercier veut lui aussi partir pour Lisbonne à la rencontre de l’auteur de son livre. Daniel va alors, pas à pas, après moult aventures, péripéties, arias et autres dangers, reconstituer la vie de celui qui a écrit le livre qu’il admire tant et constater que cette vie est étrangement semblable à la sienne. Et si Mercier, profite de l’intrigue qu’il a construite pour s’interroger sur la nature profonde de l’homme, celle que nous ne pouvons pas percevoir, Ruiz Zafon s’évertue lui à bâtir un édifice romanesque d’une grande virtuosité où il faut bien suivre les personnages pour ne pas se tromper entre les deux histoires parallèles qu’il nous livre. Mais, les parallèles ne se rejoignent qu’à l’infini et il n’est pas certain que le maître nous conduise jusque là bas.
Si ce livre est d’une grande virtuosité romanesque c’est aussi, et peut-être avant tout, un formidable de livre sur l’amour et la haine mais surtout sur la haine. J’ai rarement lu un livre où la haine est présente d’une façon si prégnante, où une accumulation de rancœur, de jalousie, d’envie, de frustration inspire un tel sentiment dans une telle démesure. L’action se situe bien sûr à Barcelone avant, pendant et après la guerre d’Espagne et, à cette époque, la haine était largement répandue dans les populations de cette ville que Ruiz Zafon nous montre plus grise, plus froide, plus humide et plus triste que n’importe quelle ville nordique sous la pluie pour accentuer le côté sinistre de son histoire sans doute.
Car cette histoire, c’est aussi le cimetière des amours impossibles, contrariés ou non partagés mais souvent porteurs d’une haine latente, d’un profond désespoir ou d’une blessure incurable. L’amour est aussi à l’origine de la faute qu’il faut expier, souvent de la manière la plus violente, car le diable est très présent dans ce livre même s’il ne les aime pas beaucoup. Il préfère l’autodafé qui permet de détruire l’auteur et le livre en un même geste comme le dictateur détruit ses opposants et leurs écrits pour tuer toute contestation. En revanche, l’amitié est un ciment fort qui permet d’affronter la vie et ses aléas avec moins de risques.
Et, pour revenir vers Mercier qui croit si fortement au hasard, Ruiz Zafon confie, lui aussi, le début de son intrigue au hasard, mais il semble faire quelque peu marche arrière et croire plus en la destinée en inscrivant la vie de son héros dans la trace de celui qu’il recherche en le confiant à un destin bien établi. « … Les hasards sont les cicatrices du destin. Le hasard n’existe pas, … Nous sommes les marionnettes de notre inconscience. ». Sur ce point les deux livres divergent sensiblement, Mercier entreprend une démarche plus philosophie alors que Ruiz Zafon sacrifie plus aux bonnes normes des romans à succès qui exigent le respect de certaines règles qui ne déstabilisent pas trop le lecteur.
Je ferai grâce à Carlos de ces concessions car son livre est comme un opéra de Verdi emporté dans une grande envolée épique qui emmène le lecteur dans un monde de rêves, de fantasmes et d’émotions dont il émerge difficilement. Et, il a un tel amour des livres qu’il traite avec une véritable sensualité, qu’on ne peut que l’aimer. « Je pensais que si j’avais découvert tout un univers dans un seul livre inconnu au sein de cette nécropole infinie, des dizaines de milliers resteraient inexplorés, à jamais oubliés. Je me sentis entouré d’un million de pages abandonnées, d’univers et d’âmes sans maître, qui restaient plongés dans un océan de ténèbres pendant que tout le monde qui palpitait au-dehors perdait la mémoire sans s’en rendre compte, jour après jour, se croyant sage à mesure qu’il oubliait. »
Magique et fantastique !
Critique de Dahv (, Inscrite le 15 juillet 2009, 42 ans) - 15 juillet 2009
Ce livre est destiné aux amoureux de la littérature et surtout à tous ceux qui aiment la littérature pour ce qu'elle leur apporte. Daniel grandit avec L'Ombre du Vent, se transforme en homme, et vit sa vie et fait renaitre Julian Carax. En plus de la poésie, du récit très riche et du suspens qui nous tient en haleine. C'est un de mes romans préférés, un de ces romans qui m'a vraiment marqué et qui m'a aussi aidé à grandir :)
A Lire absolument !
Magnifico!
Critique de Law (Marseille, Inscrite le 17 janvier 2009, 31 ans) - 30 mai 2009
Captivant
Critique de Nicole Khalil (, Inscrite le 29 mai 2009, 47 ans) - 29 mai 2009
un peu mou
Critique de Maxrun (, Inscrit le 23 avril 2009, 45 ans) - 9 mai 2009
Il était une fois… un livre.
Critique de Martell (, Inscrit le 27 février 2004, 61 ans) - 5 mai 2009
En hommage à tous les amoureux de la littérature
Critique de Jefopera (Paris, Inscrit le 9 avril 2009, 60 ans) - 30 avril 2009
Je rejoins la plupart des critiques enthousiastes du site sur les nombreuses qualités de ce Vrai roman, notamment sa construction exemplaire qui en ferait un parfait scenario.
L'ombre du vent est aussi un hommage splendide et émouvant à la littérature, un "tombeau" des amoureux des livres, des bibliophiles et de tous ceux qui croient que c'est la réalité qui imite la littérature et non l'inverse.
magnifique!!
Critique de Cora13000 (, Inscrite le 21 juillet 2008, 37 ans) - 15 avril 2009
De l'art du récit
Critique de Arval (Papeete, Inscrite le 8 mars 2008, 56 ans) - 24 mars 2009
Un livre de genre
Critique de Serguei (, Inscrit le 29 juin 2005, 50 ans) - 15 mars 2009
Dès le début, j'ai eu la certitude d'avoir entre les mains un livre de genre. Mais de quel genre s'agissait-il? Je me suis interrogé tout au long de ma lecture. Dans un premier temps, j'y voyais un livre d'aventures pour la jeunesse recyclé pour adultes (un peu de sexe et de sang et le tour est joué) mais finalement je crois avoir trouvé : c'est un manga. Tout colle : des héros, tel Julian, teintés de romantisme à la japonaise, qu'on imagine très bien la mèche au vent, beaux ténébreux affrontant stoïquement un monde hostile et injuste... Et que dire du théâtre de l’intrigue, ce Barcelone d'opérette avec ses rues noires et ses boutiques obscures? Que dire aussi de ces personnages secondaires, ces méchants grimaçant dans l'ombre, qui semblent prendre la pose dès que l'occasion se présente ou ces belles héroïnes qui passent en quelques pages du statut de vierge immaculée à celui de folle-du-cul? bref, on trouve dans ce roman tout un fatras de clichés littéraires qu'on ne rencontre plus que dans les mangas. Et rien d'autre.
Le pire est peut-être le style de la traduction française, d'un ennui mortel et dépourvu de toute poésie alors que le traducteur visait peut-être au classicisme. J’aimerais comprendre l'espagnol pour lire ce roman dans sa version originale et vérifier s'il n'aurait pas pu être sauvé par son style d'écriture.
Je finis par où j’ai commencé : c’est un livre de genre, il faut sans doute accepter (aimer) les conventions d'intrigue, d’écriture et de structure qui le composent. Parce que je n’y arrive pas, pour moi ce livre est transparent, j’ai l’impression de voir au travers.
Je n'ai hélas pas accroché
Critique de Gab2008 (brest, Inscrite le 8 juin 2008, 45 ans) - 5 mars 2009
L'écriture est très belle, poétique, l'idée intéressante mais ce n'est pas pour moi...
Néanmoins, ce roman se lit facilement....
Excellent!
Critique de Soldatdeplomb4 (Nancy, Inscrit le 28 février 2008, 35 ans) - 1 mars 2009
MAIS Oserais-je déplorer un épilogue à la Disney?
F.A.N.T.A.S.T.I.Q.U.E
Critique de Sosa263 (, Inscrit le 21 février 2009, 45 ans) - 21 février 2009
incroyable!
Critique de Malisainto (, Inscrite le 17 février 2009, 50 ans) - 18 février 2009
Envoûtant
Critique de Annesop91 (, Inscrite le 29 novembre 2007, 39 ans) - 10 février 2009
Je ne rajouterai rien de plus que "magnifique".
du vent rien que du vent...
Critique de Montag (Saint Etienne, Inscrit le 3 février 2009, 37 ans) - 9 février 2009
L'histoire ne m'a pas du tout transportée car trop incroyable sans doute au sens stricte du terme: on n'y croit pas une seconde!! Les personnages manquent cruellement de profondeur psychologique (complètement stéréotypé en fait, je pense surtout à Firmin, le pseudo Don Juan, sans oublier cet homme fantôme qui rode dans Barcelone...question intrigue c'est limite...) , le style de l'écriture est assez bateau et on est très vite lassé par les multiples petites histoires de personnages secondaires qui alourdissent le rythme de l'intrigue principale..
Désolé donc de ne pas pouvoir me joindre au concert d'éloges et; je finirai sur un petit conseil à tous ceux qui veulent lire un bon livre se déroulant à cette période de l'Histoire sans avoir quelque chose de trop NIAIS, tournez vous plutôt vers l'excellent roman de C-J Sansom, Un hiver à Madrid, magnifique fresque historique de l'Espagne franquiste alliant une intrigue passionnante sur fond d'espionnage.
magnifique!
Critique de Yogi (, Inscrite le 12 août 2008, 59 ans) - 4 février 2009
TROUBLANT. DIVIN. EXCELLENT. SUBLIME.
Critique de Pauline3340 (BORDEAUX, Inscrite le 2 août 2008, 56 ans) - 25 janvier 2009
et bien cela c’est produit.. L’ombre du vent de monsieur Carlos Ruiz Zafon devrait passer entre toutes les mains. Je suis sûre que chaque être humain devrait le lire. Je l’ai déjà acheté a ma meilleure amie. Je vais continuer à l offrir. Je viens juste de le terminer, il me manque déjà. après la nuit des temps de René Barjavel je peux dire que depuis 20 ans je n’avais rien lu de plus bouleversant. A vous tous n’hésitez pas à vous le procurer à le transmettre. Il ne doit pas être parmi les livres qu’on oublie dans un cimetière...
De la poésie...
Critique de Miettedelune (, Inscrite le 24 janvier 2009, 35 ans) - 24 janvier 2009
Je le lisais dans le train tous les jours et j'ai bien failli rater mon arrêt plusieurs fois.
Ce livre est à mettre entre toutes les mains, il a vraiment quelque chose de magique...
Génial
Critique de Arnaud (Andenne, Inscrit le 29 novembre 2004, 44 ans) - 6 janvier 2009
Tout "simplement" sublime
Critique de Awély (, Inscrit le 1 janvier 2009, 39 ans) - 1 janvier 2009
Histoire prenante, écriture majestueuse, descriptions fluides et profondes.
Le parallèle entre Daniel et Juliàn est tellement profond que je m'y suis perdu au point de confondre leurs histoires.
J'ai tout simplement adoré.
Le voilà mon livre de chevet !
Critique de El grillo (val d'oise, Inscrit le 4 mai 2008, 51 ans) - 18 décembre 2008
Bon, c'est un peu extrême comme sensation mais c'est un peu ça : on regrette de terminer un roman comme celui ci tellement il emporte loin. Tout a été dit, tout y est : l'amour, l'amitié, la mort, les sentiments, la sexualité, la paternité, l'Histoire... tout ça sur un fond permanent de suspens, d'humour et d'émotion...de plaisir tout simplement.
Et cette écriture... moi qui n'y suis pas toujours sensible, ou qui y vois souvent un moyen lourdingue de l'auteur à tenter de rendre joli ce qui est banal, ici ça prend : les flocons de neiges sont des pellicules de Dieu et moi je mors !!
Je viens de terminer un beau livre, qui à coup sur m'a marqué.
J'adresse un remerciement à Paquerette de me l'avoir offert, je vais continuer la chaine et l'offrir autour de moi afin de faire partager le plaisir que j'ai eu à le parcourir.
Je donne rendez vous à ce roman dans quelques années, j'y reviendrais, pas de doute possible.
ce que j'ai lu de plus beau ces 10 dernières années
Critique de Sylevie (, Inscrite le 10 décembre 2008, 64 ans) - 10 décembre 2008
Merveilleusement bien écrit, captivant, un véritable bijou, incontournable
Sûr Prenant !
Critique de Luange (, Inscrite le 25 novembre 2008, 43 ans) - 25 novembre 2008
histoire de parallèles
Critique de Boboss (, Inscrit le 30 octobre 2008, 48 ans) - 24 novembre 2008
C'est une oeuvre qu'il faut avoir lue.
L'ombre du vent de la littérature sans l'ombre d'un doute !
Critique de Lalige (, Inscrit le 16 novembre 2008, 50 ans) - 16 novembre 2008
émouvant
Critique de Calimero champenois (, Inscrit le 10 juillet 2008, 41 ans) - 14 novembre 2008
beau tragique parfois les qualificatifs me manquent pour dire la joie que j'ai eue en lisant ce livre
merci
Lu il y a longtemps mais....
Critique de Oseille (Bruxelles, Inscrite le 11 novembre 2008, 33 ans) - 11 novembre 2008
Très chouette livre !
Extase littéraire
Critique de Lindy (Toulouse, Inscrite le 28 mai 2006, 46 ans) - 31 octobre 2008
Daniel Sempere, malgré lui va faire ressurgir le destin de Julían Carax, écrivain maudit, en choisissant le dernier exemplaire de son ultime roman parmi les milliers d'ouvrages du cimetière des livres oubliés où son père l'emmena alors qu'il avait 8 ans. Sa propre destinée en sera inextricablement liée.
Des mystères et des rebondissements dignes d’un roman policier, des personnages fabuleux et complexes, une écriture fluide et riche pour une histoire extraordinaire, j’ai été enchantée par l’Ombre du vent, depuis la première jusqu’à la dernière page. A lire et à conseiller sans retenue…
Merci aux lecteurs de critiques libres qui m’ont donné envie de le lire !
Magnifique...
Critique de -Moi- (, Inscrit le 13 mars 2008, 43 ans) - 18 octobre 2008
Magnifique
Critique de GuiGui240888 (GANAC, Inscrit le 3 septembre 2008, 36 ans) - 6 octobre 2008
Consumer sans modération
Critique de Stavroguine (Paris, Inscrit le 4 avril 2008, 40 ans) - 21 septembre 2008
Ensuite, je ne reviendrai pas sur cette histoire de livres et de passions: après 60 critiques, les grands traits en sont connus. Je dirai simplement que ce livre est un véritable page-turner: on n'en décolle pas. Il se lit comme un bon polard, un Dumas ou un Harry Potter, une fois plongé dedans, on en ressort plus jusqu'à la dernière ligne, comme Daniel dévorant un bouquin de Carax.
Le livre n'est pas exempt de reproche: il y a quelques ficelles un peu grosses et les dialogues, par exemple, manquent parfois un peu de naturel... N'empêche que l'ensemble est diablement efficace. On n'est peut-être pas en train s'assister à la naissance d'un Classique, mais on est devant un vrai bon bouquin, qui procure un incroyable plaisir de lecture. Et c'est bien là tout ce qu'on lui demande !
Fabuleux comme la vie
Critique de Falgo (Lentilly, Inscrit le 30 mai 2008, 85 ans) - 12 septembre 2008
J'ajoute, ce que les autres critiques soulignent peu, que cet ouvrage contient des passages d'une étonnante drôlerie. Il ya longtemps que je n'avais pas autant ri en lisant un livre. Ce qui, qualité majeure, ne l'empêche pas d'être en même temps noir et violent.
C'est la vie même.
Fascinant
Critique de AntoineBXL (Bruxelles, Inscrit le 9 août 2008, 45 ans) - 9 septembre 2008
En plus de cette histoire à couper le souffle, j'ai la chance de bien connaître Barcelone. J'ai donc eu le privilège de replacer la narration dans le décor original. Ce fut un bonus très appréciable.
Chapeau bas!
Critique de Paquerette01 (Chambly, Inscrite le 11 juillet 2008, 53 ans) - 29 juillet 2008
Quand on arrive à la fin, il n'y a plus rien à dire!
Trois ans après, j'en ai encore le souffle coupé!
Certainement le plus beau moment de lecture que j'ai pu passer depuis des années.
C'est beau, c'est poétique...
L'histoire est magnifiquement contée. il y a de l'amour, du suspens, une imagination débordante, un univers hors du temps et de l'espace qui nous transporte au fil des pages.
Ce livre est inoubliable.
CHAPEAU BAS!
Top five illico!!
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 17 juillet 2008
Quel voyage!! Cette confusion parfois entre Julian et Daniel (en plus il a les mêmes nom et prénom que mon beau-papa!hihi) m'a fait dévorer le livre en 3 jours pour en savoir la suite, la fin.
D'ailleurs pourquoi les beaux livres comme ceux-là ont-ils une fin? c'est sadique, ça nous laisse sur notre faim, on en veut encore...daniel reviens!!! :)
Fantastique
Critique de Rock30 (Nimes, Inscrit le 6 juillet 2008, 61 ans) - 7 juillet 2008
Je ne peux pas m'empêcher d'y aller de mon petit grain de sel alors que par hasard je tombe à nouveau sur lui.
C'est un livre fantastique, autant par l'histoire que par l'ambiance qui s'en dégage. Moi aussi je le fais lire autour de moi, et j'en suis fier!!
En dehors du temps
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 27 juin 2008
Poésie, sans nul doute, nostalgie, un grand souffle romantique, voilà ce qui caractériserait cet ouvrage.
« Un jour, j’ai entendu un habitué de la librairie de mon père dire que rien ne marque autant un lecteur que le premier livre qui s’ouvre vraiment un chemin jusqu’à son coeur. Ces premières images, l’écho de ces premiers mots que nous croyons avoir laissés derrière nous, nous accompagnent toute notre vie et sculptent dans notre mémoire un palais auquel, tôt ou tard – et peu importe le nombre de livres que nous lisons, combien d’univers nous découvrons – nous reviendrons un jour. Pour moi, ces pages ensorcelées seront toujours celles que j’ai rencontrées dans les galeries du Cimetière des Livres Oubliés. »
Et le premier livre que Daniel, jeune garçon de onze ans, va découvrir d’une manière surréaliste et poétique dans ce « Cimetière des Livres Oubliés », où l’emmène son père, c’est … justement … « l’ombre du vent » d’un dénommé Julian Carax. Et pour sûr qu’il ne va pas l’oublier puisque le roman (celui qu’on a entre les mains !) consistera en une quête éperdue de Daniel, pendant plus de dix ans, sur le pourquoi, le comment de ce livre, et le « qui » de ce Julian Carax.
Une histoire donc, un peu abracadabrantesque, rocambolesque qui pourait n’être que cela mais qui parvient à nous ensorceler, nous envoûter par l’imagination sans bornes de l’auteur, et un style agréable, plutôt exubérant, très « latin ». On est dès lors prisonnier d’un maquis de mots, d’idées, d’images fortes dont abonde la plume de Carlos Ruiz Zafon.
J’ai évoqué « Belle du seigneur » à titre de comparaison. Une autre me parait s’imposer par son côté « histoire étrange » totalement imbibée par une ville : « La Matou » de Yves Beauchemin (pour Montréal, en ce qui le concerne).
« L’ombre du vent » semble universellement appréciée des lecteurs. Peut-être parce que c’est d’abord l’histoire d’un livre, de livres à sauver de la mort, de l’oubli ? C’est qu’il en contient, le Cimetière des Livres Oubliés !
Et si nous avions chacun le nôtre ?
E-X-T-R-A-O-R-D-I-N-A-I-R-E
Critique de Dam (, Inscrit le 16 juin 2008, 44 ans) - 16 juin 2008
L'ombre du vent
Critique de Lxlie (, Inscrite le 25 mai 2008, 46 ans) - 25 mai 2008
Lorsque j'ai commencé ce livre, je ne l'ai plus lâché jusqu'à la fin, et maintenant, je le fais lire autour de moi. Captivant.
un véritable chef d'oeuvre!
Critique de Pixelle (, Inscrite le 22 mai 2008, 34 ans) - 22 mai 2008
Il m'est impossible de qualifier ce roman à sa juste valeur, un mélange de poésie , tendresse et de magie tant le livre est passionnant.
De tous les livres que j'ai lus ( Dieu sait qu'il en a eu..) aucun ne lui arrive à la cheville (et ce n'est pas un euphémisme).Il est mon préféré.
C'est un livre à avoir entre les mains. Le seul regret que j'ai ...c'est de l'avoir fini et de ne rien trouver pour le moment à lire qui pourrait rivaliser avec l'ombre du vent.
Toutefois une question me trotte en tête. Pourquoi ses autres oeuvres (5 autres si je ne m'abuse) ne sont pas traduites du Catalan? L'ombre du Vent a tout de même eu un franc succès ( Toutefois pas autant qu'il le mérite.)...
Et la plume de Carlos Ruiz Zafon est à mon avis magnifique...
Si quelq'uun a la réponse je suis toute ouïe.
Un dernier mot à dire: A lire et à recommander
Une pépite...
Critique de Elizabeth (, Inscrite le 3 avril 2008, 45 ans) - 3 avril 2008
Je recommande ce livre à tous ceux qui sont à la recherche de grandes émotions, d'histoires de vies qui s'entrecoupent ou tout simplement, à tous les amoureux de livres...
L'ombre du vent laissera longtemps son empreinte...
Classique
Critique de Nights (, Inscrit le 21 février 2008, 42 ans) - 2 mars 2008
Brillant
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 47 ans) - 10 février 2008
C'est une merveille.
Je remercie chaleureusement ma mère de me l'avoir conseillé.
Jubilatoire !
Critique de Alma (, Inscrite le 22 novembre 2006, - ans) - 8 janvier 2008
Il pratique aussi habilement le mélange des genres et le décalage humoristique , l’humour venant à point alléger ce que la seule enquête aurait eu de pesant ou ce que certaines situations auraient eu de dramatique .
La saveur du roman tient aussi - paradoxalement- à la présence régulière de clichés . On les attend, on en sourit, c’est la règle dans ce genre de littérature populaire (je ne mets aucune connotation péjorative dans cette expression …)
Mais ce qui confère à l’ouvrage une dimension supplémentaire c’est de lui avoir donné un arrière-plan politique en le situant dans le contexte de l’affrontement entre anarchistes et franquistes et d’avoir fait de la ville de Barcelone non seulement un décor mais un personnage à part entière .
Enfin, ce qui lui donne un « plus » non négligeable, une couleur littéraire, c’est d’avoir placé l’enquête sous le signe du livre : écriture, édition, vente, stockage et situé la scène d’ouverture dans un lieu joliment appelé : Cimetière des Livres .
Un excellent moment de lecture, où alternent émotion, curiosité, angoisse, sourire, pendant lequel je suis restée scotchée au livre, sans conscience du temps qui passait .
Un chef d’œuvre (au sens absolu du terme ) ? Non….mais un chef d’œuvre du genre, certainement
Une perle...
Critique de Manumanu55 (Bruxelles, Inscrit le 17 février 2005, 45 ans) - 13 décembre 2007
L'Ombre du vent
Critique de Clo31 (, Inscrite le 9 septembre 2005, 66 ans) - 27 novembre 2007
Ce sera un de mes cadeaux de Noël.
magnifique, irrésistible !!!
Critique de Dudule (Orléans, Inscrite le 11 mars 2005, - ans) - 20 novembre 2007
C’est vraiment un livre que l’on n'a pas envie de quitter, l’intrigue est prenante et les personnages attachants.
Ce livre est un pur moment de plaisir pour les lecteurs à ne pas manquer.
A lire et à offrir
Magnifique !
Critique de Olivier1180 (Bruxelles, Inscrit le 21 octobre 2007, 53 ans) - 11 novembre 2007
C'est magnifique, j'ai adoré !
Magnifique!!!!!
Critique de Wakayoda (, Inscrite le 12 septembre 2007, 44 ans) - 22 octobre 2007
[...]
Critique de Patanock (Besancon, Inscrit le 10 septembre 2006, 36 ans) - 12 octobre 2007
Ce livre est une merveille, un trésor qui recèle mille merveilles.
L'univers, les contours, le fond, les personnages de ce livre envoutent en une demi seconde.
Est-il besoin de préciser que l'auteur possède des talents de poète ? Des passages sont à couper le souffle.
C'est une merveille. Courez entre ses pages.
Barcelombre
Critique de Jean Meurtrier (Tilff, Inscrit le 19 janvier 2005, 49 ans) - 9 octobre 2007
L’histoire comprend une vague mise en abyme qui la rend quelque peu prévisible mais pas moins captivante (difficile de lâcher le livre malgré l’heure tardive). On note quelques incohérences sur des détails, très nombreux il faut le reconnaître, qui pourraient provenir de la traduction, excellente au demeurant. Le travail n’a pas du être évident avec ce style chargé, baroque tirant sur le rococo, comme en témoignent les dialogues franchement pompeux dans le chef de certains personnages.
Malgré l’abondance de noms de lieux, qui personnellement ne m’évoquent rien, l’atmosphère sombre d’une Barcelone gothique est très palpable, presque oppressante. A la lecture du récit, on en viendrait à se poser la question suivante: la ville de Gaudi souffre-t-elle d’un climat encore plus détestable que le nôtre?
le meilleur
Critique de Maniki (, Inscrite le 20 juillet 2007, 69 ans) - 20 juillet 2007
un vrai bonheur
Critique de Livrophage (Pessoulens, Inscrite le 28 février 2007, 64 ans) - 16 avril 2007
Vivenent le prochain roman de Carlos Ruiz Zafon!
Critique de Nana31 (toulouse, Inscrite le 29 janvier 2006, 55 ans) - 24 mars 2007
Si vous ne l'avez pas lu, N ' HESITEZ-PAS. C'est une merveilleuse histoire, racontée avec talent.
Un labyrinthe qui sent le vieux papier, la poussière et la magie
Critique de Dumboonette (Strasbourg, Inscrite le 14 mars 2007, 39 ans) - 15 mars 2007
Alors que je faisais un court séjour dans la région Catalane, j'ai choisi ce livre de Carlos Ruiz Zafòn parce qu'il paraîssait faire un peu "couleur locale". Effectivement, on retrouve les fameuses Ramblas et la colline de Montjuic entre autres.
Mais c'est Une Barcelone de l'après-guerre civile : On La voit qui cherche à se reconstruire, on La sent vivre car on y croise Daniel Sempere, un enfant qui grandira au fil des pages et qui n'aura de cesse de courir dans Ses rues, de fréquenter Ses cafés, Ses restaurants, et parfois aussi, Ses recoins les plus sombres et les plus lugubres.
Le premier chapitre du livre "Le cimetière des Livres Oubliés" reflète bien le thème récurrent de l'oeuvre : un hymne à la prose et à la lecture.
" Ce lieu est est un mystère, Daniel, un sanctuaire. Chaque livre, chaque volume que tu vois, a une âme. L'âme de celui qui l'a écrit, et l'âme de ceux qui l'ont lu, ont vécu et rêvé avec lui. Chaque fois qu'un livre change de mains, que quelqu'un promène son regard sur ses pages, son esprit grandit et devient plus fort."
Le petit Daniel doit donc choisir un livre au hasard parmis des milliers parce que : "Chaque ouvrage que tu vois ici a été le meilleur ami de quelqu'un. Aujourd'hui, ils n'ont plus que nous, Daniel."
Et le voilà qui choisit "L'Ombre du vent" d'un certain, Julian Carax. Mais qui est-il vraiment ?
Pourquoi n'a-t-on plus aucune trace de lui aujourd'hui ? C'est son amour pour la lecture qui va entraîner Daniel dans une intriguante affaire.
Ce livre est tout simplement envoûtant, tellement prenant que l'on souhaiterait presque ne jamais le terminer.
De belles histoires...
Critique de Poupi (Montpellier, Inscrit le 11 août 2005, 34 ans) - 17 février 2007
J'ai été tout à fait séduit par cette oeuvre, qui nous projette dans le Barcelone des années 30-40-50, avec une intrigue qui tourne autour d'un auteur, et d'un de ses livres, qu'on cherche partout à détruire... En trame de fond, le fantôme de Julian Carax, l'auteur, et de ses proches...
Magistral ,fascinant roman, qui est une bonne pub pour la littérature ibérique ! Je ne manquerai pas de m'y plonger, olé !
Merci chers critiqueurs
Critique de Guigomas (Valenciennes, Inscrit le 1 juillet 2005, 55 ans) - 25 janvier 2007
Et puis cette fable merveilleuse sur le cimetière des livres oubliés, qui ne peut que nous toucher, nous qui fréquentons ce site.
Pour tout cela, je claque les cinq étoiles, ne soyons pas radin.
Les mystères de Barcelone
Critique de Jlc (, Inscrit le 6 décembre 2004, 81 ans) - 20 décembre 2006
J’ai eu le sentiment que ce livre avait été réellement écrit plus pour le plaisir des lecteurs que pour celui de l’auteur, alors que tant d’écrivains d’aujourd’hui ne font que tourner autour de leur petit moi, avec un talent trop souvent minimaliste ou que d’autres utilisent des règles de marketing pour « ficeler » une histoire qui fera vendre. Ici nous sommes loin de tout ça, dans une excellente littérature populaire, c'est-à-dire accessible à tous. Zafon aime raconter des histoires et il le fait très bien. Son livre a un charme fou.
Ainsi parle-t-il admirablement de Barcelone, de cette période de l’après guerre qui avait fait de cette ville heureuse une cité de pluie et de rues désertes, une ville de méfiance et de dénonciations. Une ville où l’existence d’un cimetière des livres oubliés, idée magnifique, serait tout à fait plausible.
Cependant je n’irai pas, comme certains d’entre nous l’ont fait, jusqu’à parler de chef d’œuvre. Quelques personnages sont de simples caricatures qui altèrent la finesse du récit. J’ai trouvé la fin bâclée car trop attendue et un peu convenue. Certaines facilités de style m’ont déçu (« leurs lèvres se joignirent », par exemple). Je sais bien que d’aucuns ont vu dans ce livre un exercice où tous les genres romanesques se côtoient et notamment le roman sentimental, mais enfin !!
Il manque à « L’ombre du vent » ce petit quelque chose, indéfinissable, que l’on ne trouve que chez les très grands écrivains et, en lisant ce roman, je ne pouvais m’empêcher de me demander ce qu’un Munoz Molina, par exemple, en aurait fait. Vaine critique ou supputation stérile, direz-vous, et vous aurez raison. Mais voilà, ce roman est un peu trop bien fait, il y manque une sorte de densité poétique, peut-être aussi d’authenticité et de vraie sincérité, celles qui font les très grands livres.
Un excellent roman, oui ; un chef d’œuvre, non. Mais bien sûr, ce n’est que mon avis.
Du plaisir et des réserves
Critique de Bolcho (Bruxelles, Inscrit le 20 octobre 2001, 76 ans) - 25 novembre 2006
Que demander d’autre ?
Un peu de retenue peut-être ? Un peu de classicisme ?
Mais c’est une question de goût.
Disons tout de même (d’autres l’ont déjà fait ici) que ce long récit met un certain temps avant de nous happer véritablement, avec alors, il faut l’avouer, beaucoup d’efficacité.
On a un peu l’impression qu’il n’y avait pas vraiment de bornes, qu’à partir de chacun des personnages, l’auteur aurait pu tisser sa toile encore plus loin qu’il ne l’a fait.
Je conseille une fois de plus aux distraits de noter les noms de ces personnages au fur et à mesure de leur apparition. Et de ne pas trop hacher la lecture.
Un grand chef d'oeuvre
Critique de Laurent63 (AMBERT, Inscrit le 15 avril 2005, 50 ans) - 20 octobre 2006
Incroyablement passionnant !
Critique de BONNEAU Brice (Paris, Inscrit le 21 mars 2006, 40 ans) - 27 septembre 2006
Bah voilà, je me sens comme ça. Terriblement bien, stone, heureux.
Je ne remercierais jamais assez l'ami qui m'a fait découvrir ce bouquin. Bon, je vous raconte pas l’histoire, c'est déjà fait plus haut. J’ai adoré le style, et oui, je crois que le traducteur a fait un excellent travail, parce qu’on pourrait croire que ça a été initialement écrit en français.
Un bouquin qui parle de bouquins, des aventures qui naissent d’un roman, d’un écrivain, dans une Espagne d’entre deux-guerre, sombre et suintante, funeste, comme plongée dans un brouillard permanent. Julian Carax, Daniel Sempere, Fermin, Pénélope, Beatriz, Tomas, … sont autant de personnages qui nous paraissent presque familiers.
Une histoire d’amour, de non-dits, de haine, de bouquins. Une histoire palpitante, l’enquête d’un petit garçon qui grandit, jusqu’a devenir un homme. Un homme qui ne recule devant rien pour comprendre, remuer le passé, pour tenir une promesse qu’il s’est faite.
J’adore également l’idée du Cimetière des Livres Oubliés, cet endroit que j’imagine magique, chargé de l’âme d’autant d’auteurs, que chaque ouvrage dégagerait. Un lieu ou seraient rassemblés un exemplaire de chaque livre, une arche de Noé littéraire. Je genre de lieu ou j’adorerais me perdre, caresser des livres, divaguer d’un ouvrage à l’autre, pouvoir y passer des journées, des nuits, des semaines, seul, sans autre nourriture que celle de l’esprit.
Là, maintenant, je me sens repu.
J'ai du mal à ouvrir un autre livre...
Critique de Saltamonte (, Inscrite le 9 septembre 2006, 59 ans) - 9 septembre 2006
Bref, pour revenir sur ce merveilleux livre, je me suis littéralement faite happer par, non seulement l'histoire, mais aussi les rues de Barcelone (que j'ai retrouvées et essayer d'imaginer juste après la guerre et pendant les années sombres du Caudillo), mais aussi par le style de Ruiz Zafón, un enchantement !!! Je rends hommage au traducteur, car je suis hispanophone, et il a réussi l'exploit de rendre en français la musique de certaines expressions idiomatiques espagnoles ! Chapeau bas.
Pour terminer, je recommande vivement cette lecture à tous les amoureux de la littérature, et même classique, car il m'a semblé retrouver des accents de Benito Perez Galdos (Tristana), dans Ruiz Zafón.
Et puis l'intrigue, déjà très largement décrite dans les critiques précédentes (je n'y reviens pas, donc !) est à la fois un conte, une quête, un mystère, le tout mêlé de cette foison de sentiments qui nous font être des hommes, tout simplement.
En route pour le bonheur, et pour le rêve !
Une histoire envoûtante
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 30 juillet 2006
Mon sentiment à la fin de la lecture : ai-je été à fond dans l'histoire? Peut-être pas. Pourtant j'ai trouvé l'histoire intéressante, le contexte rendant cette quête de Julian Carax envoûtante. Il ne doit rien manquer dans ce roman, Mr Zafon l'ayant superbement écrit. Cependant, j'ai dû louper quelque chose, car je n'arrive pas à le qualifier de chef-oeuvre comme beaucoup l'ont fait sur CL et sur Amazon. L'intrigue était bien trouvée, l'histoire du cimetière des livres oubliés m'a fait penser que j'aurais aimé me trouver à la place de Daniel (c'est une idée tellement originale) lorsqu'il découvre tous ces livres qui ont besoin d'un propriétaire souhaitant prendre soin de l'un d'eux. Mais je n'ai quand même pas été passionnée au même point que la majorité des lecteurs. Peut-être qu'en lisant les critiques avant, j'avais placé la barre trop haute...
Neige et brouillard, une atmosphère inoubliable
Critique de Valeriane (Seraing, Inscrite le 16 novembre 2005, 45 ans) - 29 juillet 2006
Commence alors un long cheminement qui va durer plus de 10 ans. Parcours initiatique, intrigue brumeuse et mystérieuse. Le lecteur est transporté dans le monde merveilleux des livres, dans des tableaux marqués par l'histoire, dans une atmosphère gothico-romantique. On ne peut que se laisser prendre au jeu de la recherche. Julian Carax prend vie. Le lecteur est pris dans la fiction, qui en devient presque réalité...
De nombreux personnages parcourent ce récit. Au départ, c'est un peu "difficile" de s'y retrouver. Néanmoins, on se familiarise assez vite, au fil des rebondissements, avec tous ces protagonistes. Certains sont très attachants, d'autres complètement détestables, mais il y a aussi ceux qu'il est plus difficile de cerner.
Un roman qu'on n'a pas envie de lâcher, même lorsque la dernière page est tournée, on a du mal à se détacher de cet univers livresque. Un beau moment de lecture. Le côté "historique" apporte son lot de magie et d'étoiles.
l'ombre du vent
Critique de Mireï (, Inscrite le 11 novembre 2005, 73 ans) - 19 juillet 2006
Je le compte parmi les meilleurs que j'ai lus tout comme le maître et marguerite de Makaïl Boulgakov et le jeu des perles de verre de Hermann Hesse.
Un Livre
Critique de Erwan (, Inscrit le 12 décembre 2005, 51 ans) - 25 juin 2006
J'avoue envier les lecteurs qui ont su raconter ce livre. Cependant en lisant les critiques, vous vous apercevrez que chacun a choisi de parler d'un des personnages du roman et non pas du livre en lui-même. Pourquoi, parce que l'histoire ne peut pas se résumer en quelques lignes, mais bien en 600 pages. Certes quelques passages sont à lire en diagonale, mais le charme de ce livre est indéniable. Je ne saurais dire si j'ai aimé, détesté ce livre ou encore si j'y reste insensible. La seule chose que je puisse affirmer c'est que la libraire qui me l'a conseillé a très bien fait son travail et que je vais de ce pas transmettre ce livre à quelqu'un d'autre pour qu'il puisse passer un agréable moment de poésie.
Génial
Critique de N@d (, Inscrite le 27 mai 2006, 62 ans) - 27 mai 2006
Ce livre est captivant, il fait penser aux grandes épopées de cape et d'épées.
Une fois dedans impossible de le lacher. Je voudrais ne l'avoir pas encore lu pour le redécouvrir.
captivant comme un roman de Juliàn Carax...
Critique de Léonora (, Inscrite le 7 avril 2006, 46 ans) - 12 mai 2006
Elle parlait de ce livre comme d'un mystère dont elle était encore captive.
Et c'est précisément là que commence notre histoire, au moment précis où un livre s'ouvre à nous pour nous livrer ses mystères...Ainsi La vie de Daniel prendra forme lorsque son père, libraire spécialiste des livres rares, l'entraîne dans les dédales du cimetière des livres oubliés. C'est dans ce lieu profond et mystique qu'il rencontre un livre qui semblait l'attendre depuis sa naissance et qui scellera son destin. Et Zafon nous soufflera par la suite que " l'art de la lecture est un rituel intime et qu' un livre est un miroir où nous trouvons seulement ce que nous portons déjà en nous, lire c'est engager son esprit et son âme". Le livre que choisit Daniel se nomme L'ombre du vent de Juliàn Carax. Sa lecture lancera Daniel à la poursuite de l'ombre de Juliàn Carax ...
la vie de ce fascinant Juliàn est elle aussi peuplée par les ombres du passé qui le dévorent à petit feu... ces romans aussi se consumment sous la main d'un homme masqué qui a juré de les détruire jusqu'au dernier... Daniel ne saura que bien plus tard que ce livre était son miroir et que l'ombre de Julian mettrait en lumière ses propres traces... Ainsi une toile d'histoires profondes commes des blessures se tissent au dessus de Barcelone écrasée sous le poid de la guerre et de la terreur franquiste... Et vous demeurez son captif et ne voulez plus en sortir, fasciné par le ballet d'intrigues, le jeu des miroirs, l'épaisseur du mystère ,et surtout Juliàn, fascinant... laissez-vous prendre dans la toile... ses formes vous poursuivront encore longtemps après... Zafon est comme Carax, un prestidigitateur... expert dans les jeux d'ombres et de lumière... Ce livre est magique !!!!
"Vive le vent, vive le vent, vive l'Ombre du vent !"
Critique de Magdalili (Bordeaux, Inscrite le 24 décembre 2005, 40 ans) - 11 mai 2006
Chemin faisant, j'ai eu parfois l'impression de me perdre et de faire preuve de nombreuses baisses d'attention... Honte sur moi : j'ai lu ce livre de manière assez décousue. Disons que je n'ai pas été passionnée de bout en bout.
Je dois cependant avouer que les deux cents dernières pages m'ont totalement hypnotisée. Car c'est à ce moment-là que l'opaque brouillard s'éclaircit, que des liens logiques se révèlent. J'ai manifesté tous les symptômes de la lectrice absorbée : haussements de sourcils, yeux écarquillés, bouche bée.
Je ne dirai pas plus que : moi, j'ai bien aimé...
Passions
Critique de Printemps (, Inscrite le 30 avril 2005, 66 ans) - 1 mai 2006
"Béa prétend que l'art de la lecture meurt de mort lente, que c'est un rituel intime, qu'un livre est un miroir où nous trouvons seulement ce que nous portons déjà en nous, que lire est engager son esprit et son âme, des biens qui se font de plus en plus rares." Puisse cet art en toucher plus d'un, et ce livre contribue certainement au plaisir de la lecture, même si, comme Jules, j'ai parfois ressenti des redondances ou des hasards trop programmés. Une très bonne invitation à renouer avec le plaisir de la lecture.
COUP DE COEUR...
Critique de Fleur783 (, Inscrite le 8 décembre 2005, 72 ans) - 13 avril 2006
Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son fils dans un lieu mystérieux du quartier gothique . Le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y "adopter" un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va bouleverser le cours de sa vie, le marquer à jamais, et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures..."
Beau roman, dense et envôutant. Croisement de destins tragiques sous la dictature franquiste. Vous trouverez tout dans ce roman : atmosphère, belle écriture, richesse du vocabulaire, poésie, violence, amour, humour.
Un conseil : ne le commencez pas en début de soirée, car
insomnie garantie.. vous ne le lâcherez pas avant la page 636..
A lire et offrir à tous les amoureux des livres....
Une merveille!!!!!!!
Envoûtant, englobant
Critique de Ald_bzh (Brest, Inscrite le 11 janvier 2005, 46 ans) - 7 avril 2006
J'ai vraiment aimé ce livre que je conseille vivement. L'écriture est très belle, le sujet original et les personnages percutants.
Mais quel bouquin !
Critique de Alphabétix (, Inscrit(e) le 16 mars 2006, - ans) - 20 mars 2006
Dans la Barcelone de l'après guerre civile, un enfant "adopte" un livre qui bouleversera toute sa vie. Il va l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets enterrés dans l'âme de la ville.
Le livre est dominé par deux personnages : le jeune Daniel et le mystérieux Julian Carax, écrivain maudit, dont Daniel a "adopté" le livre. Il tentera de percer le mystère de cet écrivain qui tente de brûler tous les livres qu'il a publiés.
Mais, qu'est-ce qui peut pousser un homme à tenter d'effacer son existence et toutes ses manifestations ? L'amour, la peur, le désespoir ?
Cherchez la réponse, vous y aurez tant de plaisir.
Un chef-d'oeuvre qui change un être !
Critique de Kyzaré (Santeny, Inscrite le 20 février 2006, 37 ans) - 20 février 2006
Réjouissons-nous, cet auteur nous ravira probablement d'autres best-seller à la hauteur de celui-ci !!!! En attendant, je vous conseille de vous régaler à la lecture de cette histoire palpitante et parsemée de rebondissements exceptionnels parce qu'inattendus ...
Et si ce sont les frissons, les sourires et les larmes qui montent aux yeux que vous attendez, vous serez ravis de vous apercevoir que les personnages de L'ombre du vent nous offrent tous ces petits bonheurs !!!
Pour finir, l'auteur mène son chef-d'oeuvre de façon exemplaire !!! Lisez-le, aucune déception ne vous attend au tournant !
Magnifique
Critique de Maria-rosa (Liège, Inscrite le 18 mai 2004, 69 ans) - 7 février 2006
Je tiens à remercier ici Jules et Sahkti pour leurs critiques que j'apprécie tout spécialement et qui ont contribué à élargir mes choix de lecture.
la magie des secrets
Critique de Nothingman (Marche-en- Famenne, Inscrit le 21 août 2002, 44 ans) - 28 novembre 2005
Une lecture magique que l'on ne peut que conseiller!
Captivant
Critique de Batman (Donnery, Inscrit le 4 août 2005, 37 ans) - 4 août 2005
Merci à Carlos Ruiz Zafón de nous avoir fait un très beau romant.
Très bon livre !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 17 juillet 2005
Derrière toute cette intrigue, assez complexe il faut le reconnaître, construite en escaliers, nous avons une ville en toile de fond : Barcelone. L’auteur nous fait percevoir jusqu’à sa respiration et ses effluves.
Mais il est d’autres toiles de fond : le livre, la haine et l’amour. Les trois se déchaînent tout au long de ce merveilleux roman et atteignent au paroxysme. Les trois nous valent aussi des phrases plus belles les unes que les autres.
L’amour de Julian pour Pénélope, celui de Daniel pour Clara d’abord, pour Béa après, celui de Nuria Montfort pour Julian et pourquoi pas celui de Fermin pour Daniel et pour Bernarda.
Et n’oublions pas celle de Fumero pour Pénélope.
La haine réciproque de Fermin pour Fumero et celle de Fumero pour Julian. La haine de Fumero pour sa mère et toute l’espèce humaine.
De là, nous passons à une autre toile de fond que les Espagnols sont bien loin d’oublier, celle de la guerre civile et de la dictature de Franco qui va s’ensuivre. Nous verrons ce qu’était ce régime au niveau de l’arbitraire le plus complet et de l’ouverture d’esprit à son temps.
Le style de Zafon est très beau et très efficace aussi. S’il devait poursuivre à écrire des romans, il marquerait la littérature espagnole de son temps mais écrire des scenarii pour Hollywood est bien souvent un exercice dangereux pour un écrivain.
Le destin joue un grand rôle dans ce livre et l’homme, une fois engagé, ne semble plus pouvoir lui échapper. L’auteur ne manque d’ailleurs pas d’insister souvent sur la question de savoir si un être a le droit de remuer des choses anciennes sous prétexte qu’il veut une réponse à ses questions. Ce faisant il déchaîne parfois d’anciennes passions étouffées par le temps et il ne sait quelles seront les conséquences de ce qu’il fait.
Je ne vois qu’un seul petit reproche à faire à ce livre : il arrive que certaines choses se devinent trop vite et d’autres semblent invraisemblables tellement il faut de hasards accumulés pour y aboutir. C’est le cas du fameux stylo qui aurait appartenu à Victor Hugo.
La réponse à un élément important du livre me semble aussi un peu facile, mais je n’en dirai pas plus sous peine de trop dévoiler.
De tout ceci, ma conclusion est que ce livre est vraiment à lire car il vous apportera une certaine vision de la vie, des gens, d’un pays, d’une ville et d’une époque. Un très bon livre !
Captivant!
Critique de FéeClo (Brabant wallon, Inscrite le 12 février 2004, 48 ans) - 13 juin 2005
On ne s'imagine pas, en le commençant, qu'il va nous mener ainsi dans une énigme aussi forte. Il y a des moments vraiment poignants, des suspens qui nous tiennent en haleine, et de l'amour souvent destructeur...
Je confirme donc toutes les autres critiques: lisez-le!
La pasión
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 31 mai 2005
Éblouie par l'écriture...
Critique de FranBlan (Montréal, Québec, Inscrite le 28 août 2004, 82 ans) - 4 mai 2005
Mais, je fus aussi très tôt déroutée par toutes ces histoires imbriquées les unes dans les autres, un nouveau personnage..., une nouvelle histoire!
Le récit est en perpétuel équilibre entre le récit fantastique et le suspense policier, énigme où les mystères s'emboîtent mais où la solution se laisse deviner bien tôt.
Mais j'avoue avoir été entièrement subjuguée par le talent de l'auteur, la richesse du vocabulaire et l'hommage rendu à la littérature.
Corne d’abondance
Critique de Saint-Germain-des-Prés (Liernu, Inscrite le 1 avril 2001, 56 ans) - 9 février 2005
Il donne le ton dès la première page. Daniel n’a alors que onze ans et parle du décès de sa mère. « Six ans après, l’absence de ma mère était toujours pour moi un mirage, un silence hurlant que je n’avais pas encore appris à faire taire à coups de mots. »
Et puis il y a de l’humour aussi : « Les gens caquettent à qui mieux mieux. L’homme ne descend pas du singe, il descend de la poule. »
Mais surtout, surtout, ce livre parle d’émotions. Toute la gamme y figure ! Amour, haine, jalousie, beauté, amitié, simplicité, découverte, peur, mystère, initiation, toutes ces choses sont traduites en subtiles émotions.
Faites comme moi, achetez-le, offrez-le : plaisir garanti !
Un roman archétype
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 23 novembre 2004
Un roman d'atmosphère avant tout, qui oscille entre brume et clarté. Fait de secrets et d'amertume, d'amour, d'émotions qui ne s'embarrassent pas de demi-mesure.
"L'ombre du vent" est réellement un roman captivant. L'écriture est imagée, lumineuse. Son histoire s'inspire de ce qui, au fond, se cache en tout lecteur: le goût du rêve.
Des livres "maudits", des personnages au passé nébuleux, des amours impossibles, des secrets enfouis que l'on découvre à tâtons. Des éléments qui, malgré un très léger goût de déjà lu font de ce roman une délectation, un lieu qui fait envie et où l'aime aime se réfugier.
Une lecture à vivre absolument.
une merveille!
Critique de Bréhec (paris, Inscrit le 21 novembre 2004, 66 ans) - 21 novembre 2004
L'art DES récitS dans LE récit...
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 14 novembre 2004
Un très bon livre avec un suspens qui ne faiblit pas, mêlant il est vrai différents genres mais tous avec bonheur.
A ne commencer que lorsqu'on a du temps devant soi, sous peine de manque de sommeil assuré !!....
Une quête magique et poétique
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 2 août 2004
En choisissant "L'ombre du vent" de Julian Carax, il s'embarque dans une quête dangereuse et passionnante dans le Barcelone de l'après-guerre à la recherche de cet écrivain qui l'a ému et dont le passé semble si mystérieux.
Un magnifique roman qui mêle aventures, histoire, amour, amitié mais aussi haine et vengeance. Sous sa plume, le romancier fait revivre la ville de Barcelone avec poésie et magie. On imagine les lieux, il nous font rêver, on voudrait y être... Sans parler de sa maîtrise de la narration, du suspense, des surprises et des mystères dont les voiles se lèvent peu à peu pour notre plus grand plaisir.
Ce roman me rappelle un peu les romans du début du siècle passé, aussi palpitant et rocambolesque mais beaucoup plus moderne. Je pense que ce sera un des plus beaux livres que j'aurais dévoré cette année.
C'est de plus un véritable hommage aux livres, mais aussi à la passion et l'obsession que ceux-ci exercent sur certains. Un hommage également à tous ces livres qui disparaissent un jour, sans personne pour les lire et qui sait, atterrissent peut-être au cimetière des livres oubliés...
Magique!
Critique de Isabe (Montréal, Inscrite le 14 juillet 2004, 49 ans) - 15 juillet 2004
À l'arrière du livre, on fait une comparaison avec le Fantôme de l'opéra. J'ai donc lu ce dernier, cherchant à retrouver la même magie. Mais non... j'avais l'impression d'être en peine d'amour et de chercher quelque consolation auprès d'amants ressemblant à mon ex. :-)
Belle réussite que ce roman!
Belle littérature !
Critique de THYSBE (, Inscrite le 10 avril 2004, 67 ans) - 18 mai 2004
C'est incroyable qu'il n'ait pas une meilleure (ou seulement une) place dans les vitrines des libraires.
Sublissime !
Critique de Florence (Grenoble, Inscrite le 13 mai 2004, 49 ans) - 13 mai 2004
Ce roman m'a donné le sentiment d’être un enfant qui vient de découvrir le pouvoir enchanteur de la lecture.
Il m'a fait songé aux livres de Paul Auster, avec ses histoires en poupées russes, ses coïncidences jamais gratuites, mais avec un aspect plus romanesque.
La dernière page tournée, je n'avais qu'une envie : reprendre le roman au début !
Beaucoup trop court ;-)
très bien, mais...
Critique de Islea (, Inscrite le 10 mai 2004, 56 ans) - 12 mai 2004
On n'a pas envie de l'écouter (enfin plutôt de le lire!)
Mis à part cela, j'ai beaucoup aimé, une belle histoire d'amour en fin de compte!
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