Le cinéma français est en deuil. Le Grand « Bebel « nous a quitté !
Ah Zut ! Je ne le savais pas. Il est inoubliable dans 'Un singe en hiver'.
J'espère que où qu'il soit, il amusera la galerie !
Hier soir, j'ai enfin découvert Le Cerveau, de Gérard Oury, avec Bourvil, David Niven et Jean-Paul Belmondo, ce qui m'a permis un petit hommage.
Cette comédie policière devient assez vite loufoque et assez drôle.
Cette comédie policière devient assez vite loufoque et assez drôle.
J'ai enfin vu "Nomadland".
Frances McDormand est toujours aussi touchante, même si elle est ici moins actrice qu'observatrice du monde qui l'entoure. Un film mélancolique et chargé d'émotion, porteur d'un espoir ténu, mais indispensable.
Frances McDormand est toujours aussi touchante, même si elle est ici moins actrice qu'observatrice du monde qui l'entoure. Un film mélancolique et chargé d'émotion, porteur d'un espoir ténu, mais indispensable.
Je viens de revoir Le Professionnel, de Georges Lautner, dans mon hommage sériel à Belmondo.
C’est un classique qui mérite son statut du genre, qui prend un plus de charge émotionnelle.
C’est un classique qui mérite son statut du genre, qui prend un plus de charge émotionnelle.
Pour ceux qui ne l'auraient pas vu (et puis même pour les autres :-), la RTBF passe sur Auvio l'inoubliable "Un singe en hiver" de H. Verneuil, avec un splendide duo Bebel-Gabin servi par Audiard (père).
Je ne garantis pas que le lien soit valide hors de la Belgique https://www.rtbf.be/auvio/categorie/films?id=36
Je ne garantis pas que le lien soit valide hors de la Belgique https://www.rtbf.be/auvio/categorie/films?id=36
Hier soir, j’ai revu le Marginal. Si Belmondo est toujours bien, ce film policier reste assez médiocre et vulgaire.
Je viens de découvrir Un singe en hiver, d’Henri Verneuil. Ces beuveries ne m’ont guère séduit.
Je viens de voir "Les amours d'Anaïs", une superbe étude d'un comportement amoureux très moderne d'une jeune fille un peu fantasque...
Je viens de découvrir Un singe en hiver, d’Henri Verneuil. Ces beuveries ne m’ont guère séduit.
Mon Dieu, non !
C’est un très Grand film.
2 acteurs au sommet, porté par des dialogues cultes…
Un bijou !!!
Les acteurs sont bien, quoique Gabin m'ait toujours agacé, à incarner la beaufitude à la française, et le thème ne m'a guère attiré, Il y a bien des instants drôles et des répliques qui font mouche, mais avaler tout un film là-dessus, j'ai trouvé cela pénible.
Je suis passé à côté.
Le Professionnel, les Tribulations d'un Chinois en Chine et Itinéraire d'un enfant gâté, j'ai beaucoup aimé.
Je suis passé à côté.
Le Professionnel, les Tribulations d'un Chinois en Chine et Itinéraire d'un enfant gâté, j'ai beaucoup aimé.
Vu dimanche "Drive my car" de Hamagushi.
C'est japonais, donc long (3 heures). Les références littéraires oeuvrent en toile de fond : (Tchékov, Beckett) comme des traceurs le long des lignes épurées des sentiments, des questions, du monde extérieur (qui n'est là occasionnellement que pour exprimer la vacuité de ses agitations).
Pas de musique, des voix, des silences où l'épaisseur du temps et la réflexion s'apprécient d'autant, pas de dialogues précipités ni d'artifices.
Je n'ai jamais été déçu par les Japonais. Leurs artistes me paraissent travailler un étage plus haut que les nôtres...
C'est japonais, donc long (3 heures). Les références littéraires oeuvrent en toile de fond : (Tchékov, Beckett) comme des traceurs le long des lignes épurées des sentiments, des questions, du monde extérieur (qui n'est là occasionnellement que pour exprimer la vacuité de ses agitations).
Pas de musique, des voix, des silences où l'épaisseur du temps et la réflexion s'apprécient d'autant, pas de dialogues précipités ni d'artifices.
Je n'ai jamais été déçu par les Japonais. Leurs artistes me paraissent travailler un étage plus haut que les nôtres...
J'ai enfin vu "Nomadland".
Frances McDormand est toujours aussi touchante, même si elle est ici moins actrice qu'observatrice du monde qui l'entoure. Un film mélancolique et chargé d'émotion, porteur d'un espoir ténu, mais indispensable.
Chose faite pour moi aussi, j'en sors. Ca fait du bien de retourner dans une salle de ciné, on était cinq ou six dans la salle donc port du masque pas nécessaire.
J'ai bien aimé, les paysages magnifiques, l'aspect humain sans misérabilisme. J'avais lu un bel article à la sortie, ça expliquait que cet esprit pionnier existe toujours en Amérique, il y a des vieilles dames comme dans le film qui vivent de manière nomade, avec des retraites minimales et des travaux d'appoints.
Ca m'a donné envie de revoir "Into the wild", avec un personnage central incroyablement charismatique et des paysages à couper le souffle.
Hier soir, j'ai découvert A double tour, de Claude Chabrol, avec Jean-Paul Belmondo, ainsi que Bernadette Lafont, notamment. L'adultère et le suspens crescendo dans un contexte intra-familial rendent ce film assez fort, avec une mise en scène assez dynamique.
J'ai appris pendant la Mostra à Venise la mort de Nino Castelnuovo, l'inoubliable interprète chantant de l'amoureux de Catherine Deneuve dans "Les Parapluies de Cherbourg", un de mes films préférés vu à sa srie en 1964, et maintes fois revu.
Extrait du duo avec Deneuve "je ne pourrai jamais vivre sans toi"
Non, je ne pourrai jamais vivre sans toi,
je ne pourrai pas, ne pars pas, j'en mourrai !
Un instant sans toi et je n'existe pas,
mais mon amour, ne me quitte pas.
Mon amour, je t'attendrai toute ma vie,
reste près de moi, reviens, je t'en supplie !
J'ai besoin de toi, je veux vivre pour toi,
oh, mon amour, ne me quitte pas.
chanté par Maurane et Michel Legrand :
https://www.youtube.com/watch?v=DcFH66IyXCU
Extrait du duo avec Deneuve "je ne pourrai jamais vivre sans toi"
Non, je ne pourrai jamais vivre sans toi,
je ne pourrai pas, ne pars pas, j'en mourrai !
Un instant sans toi et je n'existe pas,
mais mon amour, ne me quitte pas.
Mon amour, je t'attendrai toute ma vie,
reste près de moi, reviens, je t'en supplie !
J'ai besoin de toi, je veux vivre pour toi,
oh, mon amour, ne me quitte pas.
chanté par Maurane et Michel Legrand :
https://www.youtube.com/watch?v=DcFH66IyXCU
Je viens de découvrir 100 000 dollars au soleil. C’est assez amusant et avec un assez bon suspense.
Après, je ne raffole pas forcément du style Verneuil.
Après, je ne raffole pas forcément du style Verneuil.
Hier soir, j’ai revu Le Guignolo, de Georges Lautner. Ça ne casse pas quatre pattes à un canard, mais ça reste rigolo.
Je viens de revois A bout de souffle, de Jean-Luc Godard. Belmondo porte le film sur ses épaules, et la scène final relève pertinemment du mythe, mais cette oeuvre me semble relever d'un style superficiel prétentieux qui m'ennuie souvent, ce qui m'arrive souvent chez ce cinéaste.
Mille excuses aux personnes que mon avis peut contrarier.
Mille excuses aux personnes que mon avis peut contrarier.
A voir : le magnifique film d'animation de Florence Miailhe, "La traversée", une histoire de migrants située dans un lieu et un temps indéterminés... L'auteur est une artiste et son film est une véritable enchantement, malgré la dureté du sujet. On peut y emmener les enfants à partir de dix ans. Pas pour les trop jeunes...
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