Avant-hier, je suis allé voir Eugénie Grandet, adaptation par Marc Dugain du roman de Balzac. C'est assez bien fait, une intrigue étant bien distillée, alors que ce monde reste froid, sombre et clos.
Hier soir, j’ai revu le Magnifique, de Philippe de Broca. C’est burlesque et distrayant.
Je viens de revoir Les Tribulations d'un Chinois en Chine, de Philippe de Broca, d'après le roman de Jules Verne. Cette adaptation, riche en rebondissement, est conçue de manière burlesque et athlétique. C'est un bon divertissement.
Hier, je suis allé voir Les Illusions perdues, de Xavier Giannoli, adaptant le roman d'Honoré de Balzavc avec Benjamin Vincent dans le rôle de Rubempré, Cécile de France, Jeanne Balibar et Gérard Depardieu. Le résultat paraît fidèle, réaliste, cruel à souhait.
Je viens de voir DUNE ( adaptation du cultissime roman de Frank Herbert) . Grandiose et fidèle à l’oeuvre.
Hier soir, j'ai revu Pierrot le fou, de Jean-Luc Godard, toujours dans mon cycle Belmondo. Ce film regorge indéniablement d'inventivité et rompt avec l'académisme en cours, mais cette forme de pédantisme superficiel a tendance à m'agacer.
Mon snobisme est logé ailleurs.
Mon snobisme est logé ailleurs.
Je viens de revoir Z, de Costa-Gavras, et cela reste un très grand film.
Hier soir, j'ai revu L'As des as, de Gérard Oury, avec Marie-France Pisier et Jean-Paul Belmondo, en entraineur de boxe empêtré dans l'Allemagne nazie. Ca reste une comédie loufoque mais divertissante.
Je viens de voir DUNE ( adaptation du cultissime roman de Frank Herbert) . Grandiose et fidèle à l’œuvre.
Je suis d'accord et contrairement à la version de David Lynch de 1984 ceux qui n'ont pas lu le livre peuvent y comprendre quelque chose. D'ailleurs, David Lynch, le réalisateur de la précédente version filmée avait renié son œuvre et pour cause : son film qui durait quatre heures à l’origine avait été amputé de la moitié de sa durée par la production. Les passages tronqués avaient été maladroitement remplacés par une voix off réductrice et pompeuse. Résultat, le spectateur était perdu dès les premières minutes du film. Vers la fin, pour respecter la durée standard d’un long-métrage, on avait droit à deux ans de récit résumés en une phrase. C'est dommage car j'aimais bien les acteurs (Kyle McLachlan, Sting, Max von Sydow...) et le visuel complètement différent de la présente version de Villeneuve. Dans la nouvelle version il m'a fallu un peu de temps pour m'habituer aux acteurs, à la photographie plus terne et aux effets spéciaux moins tape-à-l'œil. Mais vivement la suite qui devrait être tournée dès 2022.
Je viens de revoir Paris brûle-t-il ?, de René Clément, sur la menace de destruction de Paris après le débarquement, avec Alain Delon, Bruno Cremer, Jean-Paul Belmondo, Jean-Louis Trintignant, Pierre Vaneck, Kirk Dougloas, Orson Welles, notamment.
Les faits historiques aident naturellement à constituer une narration trépidante, c'est certain, mais cette reconstitution, fort bien documentée, vaut bien son statut de référence.
Les faits historiques aident naturellement à constituer une narration trépidante, c'est certain, mais cette reconstitution, fort bien documentée, vaut bien son statut de référence.
Cette après-midi, j'ai revu Merci pour le chocolat, de Claude Chabrol, avec Isabelle Huppert, Jacques Dutronc, Anna Mouglalis et Mathieu Simonet.
Cette histoire de jalousie supposément meurtrière et de soupçon d'inversions d'enfants à la maternité à leur naissance recrée ce climat si particulier des films du cinéaste, l'angoisse montant progressivement, pour rompre le calme apparent de la bourgeoisie, si paisible au premier abord.
Cette histoire de jalousie supposément meurtrière et de soupçon d'inversions d'enfants à la maternité à leur naissance recrée ce climat si particulier des films du cinéaste, l'angoisse montant progressivement, pour rompre le calme apparent de la bourgeoisie, si paisible au premier abord.
J'ai revu "Eternal sunshine of the spotless mind" de Gondry, avec Kate Winslet et Jim Carey. Je recommande chaudement. J'ai compris des choses qui m'avaient échappées la première fois, enfin je crois, la narration est non linéaire et le début du film prend son sens à la fin du film.
J'ai revu "Eternal sunshine of the spotless mind" de Gondry, avec Kate Winslet et Jim Carey. Je recommande chaudement. J'ai compris des choses qui m'avaient échappées la première fois, enfin je crois, la narration est non linéaire et le début du film prend son sens à la fin du film.
Vu trois fois ! au moins. très bon film
Hier soir, j'ai revu Itinéraire d'un enfant gâté, de Claude Lelouch, film irréel, barré et sensible, dans son genre. Décidément, je l'aime bien.
Hier soir, j'ai revu Flic ou voyou, distrayant, débordant d'énergie et de rebondissements, bien mené.
Je vais pouvoir faire une pause, dans mon cycle Belmondo.
Je vais pouvoir faire une pause, dans mon cycle Belmondo.
Hier soir, j'ai revu Borsalino, de Jacques Deray. Ca canarde à tout va, l'hémoglobine gicle dans tous les sens, dans cette guerre des gangs à Marseille ; bon, cela fait certes plaisir de voir Belmondo et Delon dans le même film, mais l'attrait s'arrête là : on reste loin du chef-d'oeuvre.
Il y a huit jours, j'ai revu la Mort aux trousses, d'Alfred Hitchcock, avec Eva Marie-Saint et Cary Grant, et j'ai revu hier soir, les Enchainés, du même Hitchcock, avec le même Cary Grant, mais avec Ingrid Bergman.
Les deux restent haletants et bien faits, même si ces deux films ont fatalement vieilli.
Les deux restent haletants et bien faits, même si ces deux films ont fatalement vieilli.
Cette après-midi, j'ai revu Un flic, de Jean-Pierre Melville, qui, une fois de plus, a très bien ficelé son polar, avec un suspense très bien mené.
Hier passait mon film culte à la TV, j'ai juste regardé le début car je veux revoir toute la série pendant les congés de fin d'année : Jason Bourne, le premier de la trilogie, celui avec la petite mini cooper rouge. J'ai du le voir trois fois déjà.
Hier, je suis allé voir Madres paralelas ("Mères parallèles"), de Pedro Almodovar. Ce drame croisé, puis mêlé, de deux mères est intéressant, mené avec un assez bon suspense, bien que la trame narrative se laisse quelque peu deviner, avec un écho à La vie est un long fleuve tranquille, d'Etienne Chatilliez, et Merci pour le chocolat, de Vlaude Chabrol.
Je regrette que le cinéaste ait perdu son humour qui lui permettait de mêler les styles au sein de chaque film
Je regrette que le cinéaste ait perdu son humour qui lui permettait de mêler les styles au sein de chaque film
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre