Jai vu "I am thinking about ending thinks" sur Netflix. https://www.youtube.com/watch?v=cDTg62vsV4U
J'ai rien compris, ensuite j'ai lu des revues sur internet et j'ai compris un peu. Peut-etre pas plus mal de lire avant de le regarder, ou alors le regarder une deuxième fois avec les explications en tete :-). C'est un film qui ne laissera pas indifférent, je le recommande fortement à celui qui n'a pas peur d'etre pris au dépourvu.
Le titre en Francais est : Je veux juste en finir. Le réalisteur, Charlie Kaufman, a aussi fait "Eternal Sunshine of the Spotless mind" qui est un chef-d'oeuvre
Vu l’année dernière, j’ai adoré !
Hier soir, j'ai découvert Le Livre des solutions. L'idée est intéressante et touchante ; toutefois, je n'ai pas accroché.
Je viens de revoir Troie, et ça m’a toujours autant enthousiasmé.
Je viens de revoir Léon Morin, prêtre, de Jean-Pierre Melville. C’est assez austère mais mystérieux et intéressant.
Vu hier soir sur Arte "Une vie cachée" de Terrence Malick. Film profond et très émouvant, sur le destin d'un paysan autrichien qui refuse d'être enrôlé dans l'armée allemande et consent à en payer le prix, jusqu'au sacrifice. Le film est lent, lyrique avec une voix off très présente comme dans tous les films de Malick. La nature est également très présente, avec des images sublimes, comme un refuge d'harmonie opposé à la folie furieuse des hommes. J'ai parfois songé au Sacrifice de Tarkvoski et suis un peu sidéré que certains, lors de sa diffusion à Cannes, en 2019, n'y aient vu qu'un catalogue de bondieuseries...
Je l'ai regardé aussi. Le personnage a réellement existé et a même été béatifié sous Benoît XVI. Je suppose que cela a pu projeter un certain éclairage sur le film et influer sur sa réception. Mais même si on n'adhère pas à la réflexion et au côté mystique du film, celui ci vaut par la magnificence des images qu'elles soient en extérieur ou en intérieur (l'art du clair obscur notamment)...
Vu ce week-end une petite sucrerie anglaise du début des années 60 : "La Rolls-Royce jaune" d'Anthony Asquith, film à sketches avec une distribution de rêve : Rex Harrison et Jeanne Moreau dans la première partie, Shirley Mc Laine, George C.Scott et Alain Delon dans la deuxième, et Ingrid Bergman et Omar Sharif dans la troisième partie ! Et comme personnage principal, une flamboyante Rolls jaune...
Je l'ai regardé aussi. Le personnage a réellement existé et a même été béatifié sous Benoît XVI. Je suppose que cela a pu projeter un certain éclairage sur le film et influer sur sa réception. Mais même si on n'adhère pas à la réflexion et au côté mystique du film, celui ci vaut par la magnificence des images qu'elles soient en extérieur ou en intérieur (l'art du clair obscur notamment)...
Enormement aimé ce film tres profond ! Interprétation remarquable en plus de la qualité de la réalisation avec oui du clair obscur magnifique ! La longueur, la lenteur ne me gêne pas dans les films à la réflexion profonde..
Par contre celui d'hier "le goût de la cerise" même tres bien filmé ne m'a pas plu...je n'ai aimé que les dialogues (si on peut dire...) avec le taxidermiste turc...
Hier soir, j’ai découvert Tout nous sépare, de Thierry Klifa avec Catherine Deneuve, Diane Kruger et Bicolas Duvauchelle.
C’est passablement glauque mais intéressant psychologiquement.
C’est passablement glauque mais intéressant psychologiquement.
J'ai regardé Bohemian Rapsody, le film sur Freddi Mercury et le groupe Queen. C'est très bien, l'acteur qui joue Mercury est parfait pour le role. Le film se termine avec le concert à Wembley pour la famine en Ethiopie, chaque groupe invité avait droit à vingt minute et Queen a livré une prestation qui est devenue légendaire. A voir sur youtube d'ailleurs, on ne s'en lasse pas : https://www.youtube.com/watch?v=_9pfbgpYDsk
Il avait déjà le sida à ce moment,
Il avait déjà le sida à ce moment,
Je viens de revoir L’aventure, c’est l’aventure, de Claude Lelouch, et ça le divertit toujours autant.
Hier soir, j’ai découvert La Dixième victime, un film italien avec Ursula Andress et Marcelo Mastroianni. Un jeu est instauré pour réguler les pulsions en autorisant à tuer, par tirage au sort. Le personnage a gagné neuf fois et est désigné comme tueuse. Une dixième victoire lui donne droit à un gros gain. Sa victime désignée est le personnage de Marcello Mastroianni. Mais l’issue est inattendue et drolatique.
C’est divertissant mais n’a rien d’inoubliable.
C’est divertissant mais n’a rien d’inoubliable.
Hier soir, j'ai revu La Vérité, d'Henri-Georges Clouzot, avec Brigitte Bardot, Sami Frey, Charles Vanel et Marie-José Nat. Ce polar axé autour d'une audience de procès mérite bien son statut de classique.
Hier soir, j'ai fini par découvrir Le Coeur des hommes, de Marc Esposito, 21 ans après sa sortie. Cette comédie est vaguement drôle, mais surtout fardée de clichés assez lourds. Ça détend, mais ça ne va plus loin.
Hier soir, j'ai découvert Amants, réalisé par Nicole Garcia, avec Stacy Martin, Pierre Niney et Benoït Magimel. Deux amants invitent un ami à une soirée et ce dernier meurt d'une overdose. Luiest habitué à dealer, si bien qu'il décide de partir dans une île de l'océan indien. Par hasard, suite à son mariage, elle le retrouve, et ils finissent par renouer. Une fois tous les trois installés à Genève, le mari comprend qu'il y a anguille sous roche.
Froid et distancié, ce film est bien mené, la tension montant crescendo. Il est intéressant.
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Froid et distancié, ce film est bien mené, la tension montant crescendo. Il est intéressant.
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Je viens de découvrir Grande cuisine.
Cette comédie policière sur la gastronomie est drôle et divertissante.
Cette comédie policière sur la gastronomie est drôle et divertissante.
Hier soir, j'ai revu Beaucoup de bruit pour rien, de Kenneth Branagh, d'après la pièce de Shakespeare. C'est toujours aussi frais, enjoué, passant du rire aux larmes et inversement. J'aime beaucoup.
Vu hier soir sur Arte "Une vie cachée" de Terrence Malick. Film profond et très émouvant, sur le destin d'un paysan autrichien qui refuse d'être enrôlé dans l'armée allemande et consent à en payer le prix, jusqu'au sacrifice. Le film est lent, lyrique avec une voix off très présente comme dans tous les films de Malick. La nature est également très présente, avec des images sublimes, comme un refuge d'harmonie opposé à la folie furieuse des hommes. J'ai parfois songé au Sacrifice de Tarkvoski et suis un peu sidéré que certains, lors de sa diffusion à Cannes, en 2019, n'y aient vu qu'un catalogue de bondieuseries...
Je l'avais repéré mais j'hésitais à le regarder du fait de sa durée...
Hier soir, j'ai revu Le Temps des secrets, de Christophe Barratier, d'après Marcel Pagnol. Ce monde est bien restitué, dans sa joliesse, sa candeur. Ça (me) fait du bien.
Je viens de découvrir Love Actually. Cette comédie est divertissante et fraîche.
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