arguments de Jules dans le message initial de ce filA savoir : si on n'aime pas Malraux, c'est qu'on n'aime ni Stendhal ni Proust ni Voltaire ni Diderot ni Corneille ni Racine ni la Princesse de Clèves mais qu'on aime Lévy, Musso et Sarkozy. Je caricature à peine...
???
Même remarque que Provis: où sont les arguments de Jefopera ?
Même remarque que Provis: où sont les arguments de Jefopera ?
Les voici les arguments :
"Allez, je ne peux pas résister au plaisir de prendre le contrepied d'un concert louangeur aussi curieux qu'excessif.
Mais qui lit encore cette prose ampoulée, prétentieuse, ce dégoulinis de logorrhée indigeste ? C'est épais, confus, soporifique et daté. Tout droit sorti du cerveau grand-guignolesque qui commit le discours inoubliable de ridicule au Panthéon devant les cendres de Jean Moulin.
Il faudrait quand même rappeler que cet amphigouri a dégoûté des classes entières de la littérature."
Jefopera (Saint-Denis, Inscrit le 9 avril 2009, 46 ans) - 7 décembre 2010
"Le discours inoubliable"...me reste en travers de la gorge, c'est l'homme de la Guerre d'Espagne et des Brigades Internationales qui est réduit à un pantin pérorant sur la mort, la torture, le courage d'une colonne de jeunes hommes traquée par les SS et les collabos, le sacrifice de soi pour la liberté,...certes tout cela est ridicule et nous apprend beaucoup sur "La Condition Humaine"! Son style, sa finalité,sa véracité...! Qu'il relise le discours et oublies les trémolos du grand fantaisiste il en mesurera peut être la profondeur et l'émotion !
Ici l'homme Malraux est disqualifié, son oeuvre est à gerber et quand il veut incarner une des plus grandes tragédies de notre histoire c'est en pitre au nez rouge qu'il le fait : voilà quels sont les arguments résumés du Môssieur.
Cette critique ne devrait pas avoir sa place ici : c'est du niveau P.Sebatien "beauf qui fait tourner les serviettes ou le petit bonhomme en mousse...!" qui avait en son temps bouleversé les gardiens du temple de CL.
Un crachat n'a jamais tenu lieu de critique...on le fait simplement disparaître...car il y a bien d'autres commentaires plus intéressants : Jules, Tistou, Veneziano, Lucien, Millepages...
Pour finir un extrait...:
"Entre, avec le peuple né de l'ombre et disparu avec elle - nos frères dans l'ordre de la Nuit... Commémorant l'anniversaire de la Libération de Paris, je disais : « Ecoute ce soir, jeunesse de mon pays, ces cloches d'anniversaire qui sonneront comme celles d'il y a quatorze ans. Puisses-tu, cette fois, les entendre : elles vont sonner pour toi. »
"L'hommage d'aujourd'hui n'appelle que le chant qui va s'élever maintenant, ce Chant des partisans que j'ai entendu murmurer comme un chant de complicité, puis psalmodier dans le brouillard des Vosges et les bois d'Alsace, mêlé au cri perdu des moutons des tabors, quand les bazookas de Corrèze avançaient à la rencontre des chars de Rundstedt lancés de nouveau contre Strasbourg. Ecoute aujourd'hui, jeunesse de France, ce qui fut pour nous le Chant du Malheur. C'est la marche funèbre des cendres que voici. A côté de celles de Carnot avec les soldats de l'an II, de celles de Victor Hugo avec les Misérables, de celles de Jaurès veillées par la Justice, qu'elles reposent avec leur long cortège d'ombres défigurées. Aujourd'hui, jeunesse, puisses-tu penser à cet homme comme tu aurais approché tes mains de sa pauvre face informe du dernier jour, de ses lèvres qui n'avaient pas parlé ; ce jour-là, elle était le visage de la France..."
(19 décembre 1964.)
"Entre, avec le peuple né de l'ombre et disparu avec elle - nos frères dans l'ordre de la Nuit... Commémorant l'anniversaire de la Libération de Paris, je disais : « Ecoute ce soir, jeunesse de mon pays, ces cloches d'anniversaire qui sonneront comme celles d'il y a quatorze ans. Puisses-tu, cette fois, les entendre : elles vont sonner pour toi. »
"L'hommage d'aujourd'hui n'appelle que le chant qui va s'élever maintenant, ce Chant des partisans que j'ai entendu murmurer comme un chant de complicité, puis psalmodier dans le brouillard des Vosges et les bois d'Alsace, mêlé au cri perdu des moutons des tabors, quand les bazookas de Corrèze avançaient à la rencontre des chars de Rundstedt lancés de nouveau contre Strasbourg. Ecoute aujourd'hui, jeunesse de France, ce qui fut pour nous le Chant du Malheur. C'est la marche funèbre des cendres que voici. A côté de celles de Carnot avec les soldats de l'an II, de celles de Victor Hugo avec les Misérables, de celles de Jaurès veillées par la Justice, qu'elles reposent avec leur long cortège d'ombres défigurées. Aujourd'hui, jeunesse, puisses-tu penser à cet homme comme tu aurais approché tes mains de sa pauvre face informe du dernier jour, de ses lèvres qui n'avaient pas parlé ; ce jour-là, elle était le visage de la France..."
(19 décembre 1964.)
C'est sûrement plus une réaction épidermique qu'une critique. Jefopera confond l'homme et l'œuvre, c'est à coup sûr abusif ; je me demande si ce n'est pas aussi ce que fait Jules et avec lui tous ceux qui portent le talent littéraire de Malraux au pinacle. Car enfin, ouvert au hasard : "Il devinait qu'il flattait sa vanité, et qu'elle attendait de son abandon de plus précieux hommages ; et ne devinait pas qu'elle en attendait surtout l'apparition soudaine de la part d'enfance de cet homme impérieux ; qu'elle était sa maîtresse pour qu'il finît par l'aimer." (p. 117 en Folio) Ce qui est dit n'est pas sans finesse, mais que c'est laborieux !
En revanche le discours a de la gueule, oui.
Merci Feint pour votre soutien bienvenu dans cette polémique qui commence à m'amuser.
Je n'aime ni le bonhomme ni sa prose, je crois qu'on l'a bien compris ; bon, je ne pense pas non plus que ce site est le lieu pour se lancer dans une critique littéraire universitaire. C'est plutôt un lieu d'échanges, d'humeurs, de réactions affectives, épidermiques, ce qui n'interdit certes pas des développements plus savants, mais le "style" du Web me semble devoir privilégier la spontanéité à la lourdeur.
Le billet de monsieur Jules illustre bien la qualité de la pensée de son auteur : visiblement dans l'incapacité de répondre sur le fond (à savoir le style emphatique et épais de Malraux, qui prive le lecteur de tout plaisir), il accuse un auteur qu'il ne connait pas, pêle-mêle de détester Voltaire, Proust et Stendhal, d'aimer Lévy et Musso et d'être un suppôt de Sarko.
Quand on n'a pas d'arguments sur un texte, on attaque l'auteur, c'est vieux comme tout et ca sent bon sa dialectique du siècle passé. On a vu ce que cela a donné.
Fulminer des anathèmes contre un inconnu, gratuitement, on a aussi vu ce que cela avait donné.
Si je me suis un peu laissé aller dans la critique de la prose de Malraux, je n'ai jamais attaqué son laborieux zélateur. Et là, du coup, je me dis que celui-ci est indigne de son maître à penser, car si ce dernier était médiocre écrivain, je n'en démors pas, il a au moins, au cours de l'histoire, montré un courage auquel, par honnêteté intellectuelle, je ne peux que rendre hommage.
Je n'aime ni le bonhomme ni sa prose, je crois qu'on l'a bien compris ; bon, je ne pense pas non plus que ce site est le lieu pour se lancer dans une critique littéraire universitaire. C'est plutôt un lieu d'échanges, d'humeurs, de réactions affectives, épidermiques, ce qui n'interdit certes pas des développements plus savants, mais le "style" du Web me semble devoir privilégier la spontanéité à la lourdeur.
Le billet de monsieur Jules illustre bien la qualité de la pensée de son auteur : visiblement dans l'incapacité de répondre sur le fond (à savoir le style emphatique et épais de Malraux, qui prive le lecteur de tout plaisir), il accuse un auteur qu'il ne connait pas, pêle-mêle de détester Voltaire, Proust et Stendhal, d'aimer Lévy et Musso et d'être un suppôt de Sarko.
Quand on n'a pas d'arguments sur un texte, on attaque l'auteur, c'est vieux comme tout et ca sent bon sa dialectique du siècle passé. On a vu ce que cela a donné.
Fulminer des anathèmes contre un inconnu, gratuitement, on a aussi vu ce que cela avait donné.
Si je me suis un peu laissé aller dans la critique de la prose de Malraux, je n'ai jamais attaqué son laborieux zélateur. Et là, du coup, je me dis que celui-ci est indigne de son maître à penser, car si ce dernier était médiocre écrivain, je n'en démors pas, il a au moins, au cours de l'histoire, montré un courage auquel, par honnêteté intellectuelle, je ne peux que rendre hommage.
Ce que je crois, c'est que Jules n'imaginait pas qu'on puisse aimer la littérature et ne pas aimer Malraux. Sa réaction est celle qu'on a face à un iconoclaste, parce que Malraux est devenu une icône et qu'il croyait cette religion partagée. En réalité, il y a beaucoup d'amateurs de littérature qui n'aiment pas Malraux (en tout cas j'en connais quelques-uns), c'est comme ça, et qui la plupart du temps ne prennent pas celui de l'écrire sur internet. En même temps, c'est bien Critiques Libres, ici ?
Zampano, où le chantre d'une pensée unique, d'une vision du monde et des choses uniques (la sienne, bien entendu), l'inaptitude à la tolérance et le refuge dans l'agressivité quand on ose penser autrement ("se tromper" en langage Zampanien).
Je vous laisse juger sur pièce, avec cette délicate critique (du livre "l'obscenité démocratique" de Régis Debray), extraite des deux avis impérissables que Zampano laisse à la postérité sur ce site :
"
T'as rien compris...
"L'Obscénité démocratique", c'est un regard critique et acéré sur notre époque où l'obsession de l'instant et l'horizon de la rentabilité immédiate détruisent les fondements de la cité.
Au commencement, une critique de l'« illusion théâtrale» et de la société du spectacle qui forme le coeur de la vulgate contemporaine: celle-ci, avertit Debray, n'aboutit qu'à la délégitimation du principe même de représentation.
A partir de là, tout devient possible.
Et la politique «devient le tout-à-l'ego d'un pays en proie aux tyrannies de l'Audimat, de l'émotif et de l'intime».
Et Debray d'en appeler à un programme de sursaut républicain
Cette critique est nulle.
Sarkozyste le Gryphon ? Ca expliquerait bien des choses !
"
Retrouvez cette insulte caractérisée dans son contexte :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18348
Et après ce genre de prose subtile, Zampano ose encore écrire dans le présent forum "Un crachat n'a jamais tenu lieu de critique"... Mmmh, délicieuse pensée unique du faites ce que je dis mais pas ce que je fais...
Pour rappel, voici ce qui est écrit au dessus du cadre dans lequel on peut écrire sa critique :
"Nous ne publierons pas les critiques qui sont une attaque personnelle envers un autre critiqueur ou envers la critique réalisée par un autre critiqueur."
Je vous laisse juger sur pièce, avec cette délicate critique (du livre "l'obscenité démocratique" de Régis Debray), extraite des deux avis impérissables que Zampano laisse à la postérité sur ce site :
"
T'as rien compris...
"L'Obscénité démocratique", c'est un regard critique et acéré sur notre époque où l'obsession de l'instant et l'horizon de la rentabilité immédiate détruisent les fondements de la cité.
Au commencement, une critique de l'« illusion théâtrale» et de la société du spectacle qui forme le coeur de la vulgate contemporaine: celle-ci, avertit Debray, n'aboutit qu'à la délégitimation du principe même de représentation.
A partir de là, tout devient possible.
Et la politique «devient le tout-à-l'ego d'un pays en proie aux tyrannies de l'Audimat, de l'émotif et de l'intime».
Et Debray d'en appeler à un programme de sursaut républicain
Cette critique est nulle.
Sarkozyste le Gryphon ? Ca expliquerait bien des choses !
"
Retrouvez cette insulte caractérisée dans son contexte :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18348
Et après ce genre de prose subtile, Zampano ose encore écrire dans le présent forum "Un crachat n'a jamais tenu lieu de critique"... Mmmh, délicieuse pensée unique du faites ce que je dis mais pas ce que je fais...
Pour rappel, voici ce qui est écrit au dessus du cadre dans lequel on peut écrire sa critique :
"Nous ne publierons pas les critiques qui sont une attaque personnelle envers un autre critiqueur ou envers la critique réalisée par un autre critiqueur."
Ce que je crois, c'est que Jules n'imaginait pas qu'on puisse aimer la littérature et ne pas aimer Malraux. Sa réaction est celle qu'on a face à un iconoclaste, parce que Malraux est devenu une icône et qu'il croyait cette religion partagée.
Je ne suis pas sûr qu'on puisse aimer la littérature et égrener un chapelet d'auteurs que les gens de qualité se doivent d'idolâtrer.
Merci, Gnome et Palorel pour ces indispensables mises au point...
La prose de Zampano, insupportable de médiocrité, de prétention et d'intolérance semble toute droit sortie d'un obscur bulletin stalinien des années 50.....
La prose de Zampano, insupportable de médiocrité, de prétention et d'intolérance semble toute droit sortie d'un obscur bulletin stalinien des années 50.....
Nous ne publierons pas les critiques qui sont une attaque personnelle envers un autre critiqueur ou envers la critique réalisée par un autre critiqueur."
Merci, Gnome et Palorel pour ces indispensables mises au point...
La prose de Zampano, insupportable de médiocrité, de prétention et d'intolérance semble toute droit sortie d'un obscur bulletin stalinien des années 50.....
Zampano, en t’installant sur le site il y a six mois, tu as fait le bon choix.
Mais tu dois savoir que Critique Libre est LIBRE avec les conséquences que ça comporte.
Ça veut dire qu’il est ouvert à toutes les critiques et que la critique de Jéfopera n’a pas lieu d’être supprimée.
Si ta critique sur le livre de Patrick Sébastien a été supprimée c’est qu’elle était injurieuse pour ceux qui ont apprécié son livre.
De plus, tu n’avais pas lu le livre et tu confondais l’œuvre et l’auteur – comme tu le fais encore dans ton dernier post :
« c'est du niveau P.Sebatien "beauf qui fait tourner les serviettes ou le petit bonhomme en mousse...!" qui avait en son temps bouleversé les gardiens du temple de CL. » (dixit Zampano).
Au lieu d’ironiser sur « les gardiens du temple de CL », fais leur confiance, ils font bien leur boulot et, ce qui ne gâche rien, ils le font bénévolement.
Mais tu dois savoir que Critique Libre est LIBRE avec les conséquences que ça comporte.
Ça veut dire qu’il est ouvert à toutes les critiques et que la critique de Jéfopera n’a pas lieu d’être supprimée.
Si ta critique sur le livre de Patrick Sébastien a été supprimée c’est qu’elle était injurieuse pour ceux qui ont apprécié son livre.
De plus, tu n’avais pas lu le livre et tu confondais l’œuvre et l’auteur – comme tu le fais encore dans ton dernier post :
« c'est du niveau P.Sebatien "beauf qui fait tourner les serviettes ou le petit bonhomme en mousse...!" qui avait en son temps bouleversé les gardiens du temple de CL. » (dixit Zampano).
Au lieu d’ironiser sur « les gardiens du temple de CL », fais leur confiance, ils font bien leur boulot et, ce qui ne gâche rien, ils le font bénévolement.
Il est aussi évident que des insultes de ce niveau ne devraient pas avoir cours sur CL…
La prose de Zampano, insupportable de médiocrité, de prétention et d'intolérance semble toute droit sortie d'un obscur bulletin stalinien des années 50.....
Je ne comprends plus rien : est-ce que Zampano a critiqué Jefopera ? Zampano est pourtant le premier à s'insurger contre les "bien-pensants" qui s'offusquent des coups de gueule (cfr sa critique sur Sébastien transformée en forum).
Je n'ai rien contre les coup de gueule, surtout quand ils sont bien écrit comme celui de Jefopera. Ceci-dit, quand on se donne la peine d'argumenter c'est mieux. CL ambitionne plus que d'être un lieu d'échange épidermique et coup de gueule (le web ne se limite pas nécessairement à ça !!).
Je n'ai rien contre les coup de gueule, surtout quand ils sont bien écrit comme celui de Jefopera. Ceci-dit, quand on se donne la peine d'argumenter c'est mieux. CL ambitionne plus que d'être un lieu d'échange épidermique et coup de gueule (le web ne se limite pas nécessairement à ça !!).
Allez, je sonne la fin de la récré et de la bagarre !
Juste pour dire à Saint Jean Baptiste que je suis heureux de le retrouver après le petit mot sympa et intéressant qu'il avait mis sur mon blog à propose de la tête de .... Saint jean Baptiste !
Juste pour dire à Saint Jean Baptiste que je suis heureux de le retrouver après le petit mot sympa et intéressant qu'il avait mis sur mon blog à propose de la tête de .... Saint jean Baptiste !
Polémique stérile en effet dans laquelle Jefopera n'a pas pu donner le moindre argument sur le soi-disant style ampoulé de Malraux. Quand on est pas capable d'apprécier un auteur on passe son chemin et on épargne à tout le monde ses avis bouffis de suffisances et recyclant de vieux poncifs... Question d'élégance...
Je n'ai plus prêté d'attention à ce qui a suivi mon intervention.
Feint, je suis assez étonné par la tienne. Je ne mattandait pas à cela de la part d'un homme comme toi.
Je n'ai jamais voulu dire que si on n'aimait pas Malraux on n'aimait pas la littérature. Je n'arrive pas à lire Proust, est ce que pour cela je n'aime pas la littérature ? Certains n'aiment pas Céline, n'aiment-ils pas la littérature ? Ais-je dis cela ?
J'ai seulement voulu dire que s'il fallait ignorer tous les auteurs au style "daté" on en supprimerait pas mal de bons. Qui écrit encore comme Yourcenar ou Montherlant aujourd'hui ?
Pour être franc, qu'est ce que cela peut me foutre (voilà un style non "daté" ) que Jefopera aime ou non Malraux ?... Je trouve simplement que la virulence de sa critique et son mépris est presque une attaque contre tous ceux qui ont aimé ce livre. C'est tout ! Ou en tout cas c'est ainsi que je l'ai ressenti.
Je n'ai pas dit non plus qu'il ne leur restait que la possibilité de lire Levy ou Musso.
J'ai simplement pris acte de sa prise de position qui disait qu'à choisir il préférait lire Levy ou Musso. C'est son droit et le sens de ce que j'écrivais était de lui souhaiter tout le plaisir qu'il attendait de ces auteurs.
Pour le reste cette affaire ne m'intéresse vraiment plus ! J'ai mon opinion, il a la sienne, et si elle le rend heureux tant mieux pour lui. La mienne me plaît. Et qu'il en pense ce qu'il veut.
Feint, je suis assez étonné par la tienne. Je ne mattandait pas à cela de la part d'un homme comme toi.
Je n'ai jamais voulu dire que si on n'aimait pas Malraux on n'aimait pas la littérature. Je n'arrive pas à lire Proust, est ce que pour cela je n'aime pas la littérature ? Certains n'aiment pas Céline, n'aiment-ils pas la littérature ? Ais-je dis cela ?
J'ai seulement voulu dire que s'il fallait ignorer tous les auteurs au style "daté" on en supprimerait pas mal de bons. Qui écrit encore comme Yourcenar ou Montherlant aujourd'hui ?
Pour être franc, qu'est ce que cela peut me foutre (voilà un style non "daté" ) que Jefopera aime ou non Malraux ?... Je trouve simplement que la virulence de sa critique et son mépris est presque une attaque contre tous ceux qui ont aimé ce livre. C'est tout ! Ou en tout cas c'est ainsi que je l'ai ressenti.
Je n'ai pas dit non plus qu'il ne leur restait que la possibilité de lire Levy ou Musso.
J'ai simplement pris acte de sa prise de position qui disait qu'à choisir il préférait lire Levy ou Musso. C'est son droit et le sens de ce que j'écrivais était de lui souhaiter tout le plaisir qu'il attendait de ces auteurs.
Pour le reste cette affaire ne m'intéresse vraiment plus ! J'ai mon opinion, il a la sienne, et si elle le rend heureux tant mieux pour lui. La mienne me plaît. Et qu'il en pense ce qu'il veut.
Je n'ai plus prêté d'attention à ce qui a suivi mon intervention.C'est très simple : j'ai été choqué par ton premier message (sans doute un peu comme tu as été choqué par la critique de Jefopéra). Relis-toi. Comme j'ai de sérieux doutes sur le talent littéraire de Malraux, je me suis senti concerné.
Feint, je suis assez étonné par la tienne. Je ne mattandait pas à cela de la part d'un homme comme toi.
Je pense que l'un des intérêts de ce site est de ne pas forcément répéter les opinions qui nous été transmises dès lors que nous ne les partageons pas. En d'autres termes, je reconnais à quiconque le droit de dire que la réputation de tel auteur est surfaite.
La littérature du XXe siècle est trop proche de nous pour qu'il soit facile de faire abstraction de l'auteur quand on lit l'œuvre. (C'est même parfois vrai pour des auteurs anciens : il y a des gens qui n'aiment pas Rousseau pour toutes sortes de mauvaises raisons.) Personnellement, j'ai plus de facilité pour ça parce que les auteurs ne m'intéressent pas ; il n'y a que les textes qui m'intéressent, les œuvres. Et l'écriture de Malraux me paraît indigente (relativement à sa réputation, évidemment).
Et quand tu lances un pavé dans la mare, c'est bien aussi de venir voir un peu plus vite tous ceux que tu as éclaboussés.
Décidément, j'ai de plus en plus de mal à comprendre le fonctionnement de ces forums. Je supporte aussi de plus en plus mal le mépris et la suffisance de certains qui, acculés dans leurs retranchements ne savent manier que l'insulte. Je dis bien l'insulte! Car on peut avoir des coups de gueule, voire des coups de sang, faire de l'ironie , de l'humour , ou être caustique, mais l'insulte n'est que la pratique des faibles à bouts d'arguments. Et on a même atteint le point machin (je ne me rappelle plus le nom que connait bien Bolcho) avec l'insulte suprême de stalinien! Ce sont à peu près les mêmes qui s'associent d'ailleurs au fur et à mesure des forums.
Et c'est là que moi aussi je ne comprends pas Feint. Car si je trouve son dernier message bien argumenté et je comprends très bien son point de vue, je n'arrive pas à comprendre qu'il puisse justifier ou trouver comme argumentée la critique de Jefopéra qui effectivement n'en est pas une. On peut ne pas être d'accord avec la position de Jules concernant certaines affirmations mais on est loin des jugements à l'emporte-pièces de Jefopéra et Gnome sur certains livres alors qu'ils font par ailleurs d'excellentes critiques sur les livres qu'ils ont aimés. Cela devient d'ailleurs un problème; ne peut-on critiquer un livre que l'on n'a pas aimé sans insulter. Toute opinion nécessite un minimum d'argument; la critique de Zampano sur le livre de Régis Debray était argumenté, il y avait peut être un mot de trop c'est tout. Mais se retrouver à lire des mots haineux comme "La prose de Zampano, insupportable de médiocrité, de prétention et d'intolérance semble toute droit sortie d'un obscur bulletin stalinien des années 50....." est indigne de ce site.
Et c'est là que moi aussi je ne comprends pas Feint. Car si je trouve son dernier message bien argumenté et je comprends très bien son point de vue, je n'arrive pas à comprendre qu'il puisse justifier ou trouver comme argumentée la critique de Jefopéra qui effectivement n'en est pas une. On peut ne pas être d'accord avec la position de Jules concernant certaines affirmations mais on est loin des jugements à l'emporte-pièces de Jefopéra et Gnome sur certains livres alors qu'ils font par ailleurs d'excellentes critiques sur les livres qu'ils ont aimés. Cela devient d'ailleurs un problème; ne peut-on critiquer un livre que l'on n'a pas aimé sans insulter. Toute opinion nécessite un minimum d'argument; la critique de Zampano sur le livre de Régis Debray était argumenté, il y avait peut être un mot de trop c'est tout. Mais se retrouver à lire des mots haineux comme "La prose de Zampano, insupportable de médiocrité, de prétention et d'intolérance semble toute droit sortie d'un obscur bulletin stalinien des années 50....." est indigne de ce site.
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