J'ai aussi un mois chargé, je suis désolée du peu de commentaires faits ! Le livre se prêterait presque à une proposition d'exercice : écrire un texte du point de vue d'un personnage, soit l'un de ceux qui a déjà son chapitre, soit quelqu'un qui apparaît sans avoir sa voix propre. Le texte pourrait être beaucoup plus court qu'un chapitre évidemment ! Est-ce que ce type de prolongation intéresserait certains ou certaines d'entre vous ?
C'est une jolie idée Lobe mais lpour moi le style de Maryse Condé est trop spécial pour qu'on puisse s'immiscer dans ces vies et les rendre credibles...
J'avance doucement
Mira est la seule à avoir 2 chapitres, un au début, un vers la fin.
Mira est la seule à avoir 2 chapitres, un au début, un vers la fin.
@ SJB
Contente d'avoir pu quelque peu infléchir ton jugement...
@Myrco
C’est le plaisir des lectures en commun.
Mais, comme tu dis : ces lectures dites communes manquent singulièrement d’échanges et c’est bien triste.
C'est parce que le calendrier est flou. Il y a un très grand battement dans les délais donnés pour lire l'ouvrage et à la vitesse où ça se lit ... Il faudrait, je pense, donner des délais intermédiaires pour des quantités de chapitres déterminés ?
C'est parce que le calendrier est flou. Il y a un très grand battement dans les délais donnés pour lire l'ouvrage et à la vitesse où ça se lit ... Il faudrait, je pense, donner des délais intermédiaires pour des quantités de chapitres déterminés ?
C'est certain que cela ne peut jouer que dans le mauvais sens. J'avais d'ailleurs déjà essayé d'attirer l'attention là-dessus. Il ne faut pas bloquer les commentaires dès lors qu'une date de départ est fixée et opter pour un calendrier plus resserré de façon à être plus synchro et effectivement s'obliger à commenter par blocs définis à l'avance...comme nous pratiquions avant.
Ceci dit, j'ai terminé.
Bonne idée, pour la prochaine session on ira en 4 morceaux au lieu de 2.
L’idée est d’écrire un texte pour s’amuser.
C'est une jolie idée Lobe mais lpour moi le style de Maryse Condé est trop spécial pour qu'on puisse s'immiscer dans ces vies et les rendre credibles...
C'est une jolie idée Lobe mais lpour moi le style de Maryse Condé est trop spécial pour qu'on puisse s'immiscer dans ces vies et les rendre credibles...
L’idée est d’écrire un texte pour s’amuser.
S'amuser à quoi ?
Avec l'exo Bonain on s'etait bien amusé parce qu'on partait de nos textes...là soit il faut s'immiscer dans l'univers de Maryse Condé et de la Guadeloupe pour approfondir ou developper certains portraits, ce qui me paraît impossible pour la vraisemblance, soit se positionner de l'Exterieur comme regard étranger ce qui me semble un tour de force bien difficile à manipuler. Mais Lobe pourrait nous en dire un peu plus ? :-)
C'est une jolie idée Lobe mais lpour moi le style de Maryse Condé est trop spécial pour qu'on puisse s'immiscer dans ces vies et les rendre credibles...
L’idée est d’écrire un texte pour s’amuser.
S'amuser à quoi ?
Avec l'exo Bonain on s'etait bien amusé parce qu'on partait de nos textes...là soit il faut s'immiscer dans l'univers de Maryse Condé et de la Guadeloupe pour approfondir ou developper certains portraits, ce qui me paraît impossible pour la vraisemblance, soit se positionner de l'Exterieur comme regard étranger ce qui me semble un tour de force bien difficile à manipuler. Mais Lobe pourrait nous en dire un peu plus ? :-)
Sur un autre fil peut-être ?
J'aurais aimé qu'on en revienne au livre, objet de fil.
de Ce fil.
C'était une idée en l'air, et à peine esquissée - ce n'est effectivement pas son lieu, si je me prends le temps de l'étoffer, alors je reviendrai sur un fil dédié de Vos Ecrits.
Fini
Et on ne saura jamais qui était vraiment Francis Sancher ni pourquoi ou comment il est mort...
Je n'ai pas été "prise" dans ce livre...
Et on ne saura jamais qui était vraiment Francis Sancher ni pourquoi ou comment il est mort...
Je n'ai pas été "prise" dans ce livre...
Meme chose pour moi Ludmilla, et j'avais posé la question dans un autre forum sans avoir de réponses (https://critiqueslibres.com/i.php/forum/…). Je ne sais pas à quoi ca tient que parfois je suis pris par un roman, parfois non.
Beaucoup de gens disent ici que le livre est poétique, qu'il évoque la nature de là bas, .. mais chez moi pas. Et pourtant le sujet m'intéresse, mon meilleur ami a passé cinq ans on Guadaloupe, et une amie (qui était son amie à l'époque) y est toujours. Je regrette de ne pas avoir été les visiter. Le seul trait qui correspond à ce qu'il me disait c'est le racisme, les blancs sont supérieurs la bas..
Beaucoup de gens disent ici que le livre est poétique, qu'il évoque la nature de là bas, .. mais chez moi pas. Et pourtant le sujet m'intéresse, mon meilleur ami a passé cinq ans on Guadaloupe, et une amie (qui était son amie à l'époque) y est toujours. Je regrette de ne pas avoir été les visiter. Le seul trait qui correspond à ce qu'il me disait c'est le racisme, les blancs sont supérieurs la bas..
Moi aussi ce livre m’a plutôt déçu et ce n’est offenser personne que de le dire. J’aurais voulu connaître la Guadeloupe et son mode vie sans que ce soit nécessairement un roman de terroir. J’ai trouvé que les personnages n’étaient pas très crédibles et que la construction du livre est trop simpliste pour faire un grand roman.
J’ai pensé que j’avais lu trop vite. Je viens de relire attentivement « Émile-Étienne l’historien ». je trouve le style touffu, pas très clair. Je me demande si l’autrice ne parle pas de sa propre expérience d’écrivaine. J’ai encore relu le suivant « Xantippe » qui m’avait paru mieux que les autres ; je relis ce passage : « Un jour j’ai débouché d’un chemin et des arbres m’ont hélé pour me donner de l’ombrage. J’ai obéi et je me suis rencogné dans la touffeur retrouvée de leurs aisselles. Je me suis garrotté avec des lianes. J’ai suffoqué de bonheur. Dès que le soleil avait commencé son voyage de l’autre côté du monde et que la noirceur pesait de son poids sur toutes choses, je descendais au fin fond de la ravine. Caché sous les roches, je devenais cheval à diable pour écouter la chanson de l’eau ». On peut trouver ça poétique mais, personnellement, je trouve que c’est du pittoresque de pacotille. Tous les goûts…
J’ai pensé que j’avais lu trop vite. Je viens de relire attentivement « Émile-Étienne l’historien ». je trouve le style touffu, pas très clair. Je me demande si l’autrice ne parle pas de sa propre expérience d’écrivaine. J’ai encore relu le suivant « Xantippe » qui m’avait paru mieux que les autres ; je relis ce passage : « Un jour j’ai débouché d’un chemin et des arbres m’ont hélé pour me donner de l’ombrage. J’ai obéi et je me suis rencogné dans la touffeur retrouvée de leurs aisselles. Je me suis garrotté avec des lianes. J’ai suffoqué de bonheur. Dès que le soleil avait commencé son voyage de l’autre côté du monde et que la noirceur pesait de son poids sur toutes choses, je descendais au fin fond de la ravine. Caché sous les roches, je devenais cheval à diable pour écouter la chanson de l’eau ». On peut trouver ça poétique mais, personnellement, je trouve que c’est du pittoresque de pacotille. Tous les goûts…
ce passage : « Un jour j’ai débouché d’un chemin et des arbres m’ont hélé pour me donner de l’ombrage. J’ai obéi et je me suis rencogné dans la touffeur retrouvée de leurs aisselles. Je me suis garrotté avec des lianes. J’ai suffoqué de bonheur. Dès que le soleil avait commencé son voyage de l’autre côté du monde et que la noirceur pesait de son poids sur toutes choses, je descendais au fin fond de la ravine. Caché sous les roches, je devenais cheval à diable pour écouter la chanson de l’eau ».En tout cas c'est une bonne idée de recopier quelques passages, je suis prêt à en lire d'autres. (Ça me fait penser que je n'ai jamais croisé de "cheval à diable" - mais peut-être n'y en a-t-il pas en Martinique.)
En tout cas je viens de lire plusieurs biographies sur Maryse Condé et j'ai une admiration sans borne pour cette femme en tant que telle et en tant qu'ecrivaine ! Je me suis rendue compte aussi qu'on la retrouvait dans cette traversee de la Mangrove et dans les personnages. Quelles vies eĺle à vécues, que d'épreuves, de courage, de volonté. On l'a retrouve dans Francis Sancher aux personnalités multiples comme elle de par sa naissance, sa négritude, son origine dans la bourgeoisie des "grands nègres"( Les grandes familles riches du village) , son amour du francais et son besoin de comprendre d'où elle vient en allant au sein de l'Afrique pour mieux devouvrir ce qu'à été l'esclavage... cette maladie héréditaire dont elle était affectée comme celle de Francis Sancher...Elle a vécu à Petit Bourg dans la Mangrocve pensant y retrouver son véritable lieu de paix et d'origine mais elle a été déçue même si elle a toujours chérie la Guadeloupe. Elle a été une militante ,engagée et journaliste comme Lucien Evariste . Référence aussi à sa maman une des première institutrices de la Guadeloupe au caractère autoritaire et intransigeant comme Leocardie Timothée . Et sur sa vie de femme aux desirs et aux grossesses éprouvantes comme la première alors qu'elle a eté abandonnee dés la naissance de l'enfant, comme ĺe sera Mira...
Elle a eu le courage et le talent de réunir tous ces aspects dans toutes ces vies ,de façons approfondies et humaines, l'histoire de Francis Sancher étant un fil conducteur sans aucun autre intérêt que de nous faire découvrir un visage de la Guadeloupe par un lieu La Mangrove et la diversité complexe de ses habitants.
Et écrire que la construction du livre est "simpliste" et que c'est du "pittoresque de pacotille" !!! Je ne veux pas être méchante mais comme j'en ai envie !!
Un livre ce n'est pas seulement une petite histoire avec un début et une fin, ça c'est réducteur :-))
Pour moi fini la lecture commune, pardon Benjamin et j'apprécie ta démarche mais il n'y a rien à faire contre la mauvaise foi ...
A vrai dire ça me gâche tout
Elle a eu le courage et le talent de réunir tous ces aspects dans toutes ces vies ,de façons approfondies et humaines, l'histoire de Francis Sancher étant un fil conducteur sans aucun autre intérêt que de nous faire découvrir un visage de la Guadeloupe par un lieu La Mangrove et la diversité complexe de ses habitants.
Et écrire que la construction du livre est "simpliste" et que c'est du "pittoresque de pacotille" !!! Je ne veux pas être méchante mais comme j'en ai envie !!
Un livre ce n'est pas seulement une petite histoire avec un début et une fin, ça c'est réducteur :-))
Pour moi fini la lecture commune, pardon Benjamin et j'apprécie ta démarche mais il n'y a rien à faire contre la mauvaise foi ...
A vrai dire ça me gâche tout
Dommage que la plupart des participants n'aient pas apprécié ce livre même si je conçois tout à fait qu'on puisse pour diverses raisons ne pas entrer dans un roman.
Mais comme Piero je suis heurtée par des formulations du type "pittoresque de pacotille". Je ne veux pas entrer en polémique avec toi SJB mais je me suis bien rendue compte en lisant souvent tes critiques ( dont j'apprécie en général le ton par ailleurs) que nous n'avions pas du tout les mêmes attentes en matière de littérature. Je ne crois pas trahir ton sentiment en disant que selon toi le style doit se faire oublier. Je suis aux antipodes de cela!
Dire que la prose de Maryse Condé ne te touche pas, c'est ton droit...de là à porter de tels jugements dévalorisants voir presque insultants, je trouve cela tellement injuste !!
Personnellement j'ai beaucoup aimé la lire. Indépendamment du dépaysement que procurent beaucoup d'expressions décalées par rapport à notre langue de métropole, j'ai goûté cette prose souvent imagée, la manière dont elle personnifie les éléments par exemple...Je trouve très beau le passage que tu cites, d'une poésie sensuelle selon moi qui exprime très bien la symbiose du personnage avec la nature.
Je reviendrai un peu plus tard sur le fond qui , avec un peu de recul, me suggère quelques remarques.
Mais comme Piero je suis heurtée par des formulations du type "pittoresque de pacotille". Je ne veux pas entrer en polémique avec toi SJB mais je me suis bien rendue compte en lisant souvent tes critiques ( dont j'apprécie en général le ton par ailleurs) que nous n'avions pas du tout les mêmes attentes en matière de littérature. Je ne crois pas trahir ton sentiment en disant que selon toi le style doit se faire oublier. Je suis aux antipodes de cela!
Dire que la prose de Maryse Condé ne te touche pas, c'est ton droit...de là à porter de tels jugements dévalorisants voir presque insultants, je trouve cela tellement injuste !!
Personnellement j'ai beaucoup aimé la lire. Indépendamment du dépaysement que procurent beaucoup d'expressions décalées par rapport à notre langue de métropole, j'ai goûté cette prose souvent imagée, la manière dont elle personnifie les éléments par exemple...Je trouve très beau le passage que tu cites, d'une poésie sensuelle selon moi qui exprime très bien la symbiose du personnage avec la nature.
Je reviendrai un peu plus tard sur le fond qui , avec un peu de recul, me suggère quelques remarques.
Vous avez aussi le droit de ne pas être d'accord entre vous, hein, heureusement !
Vous avez aussi le droit de ne pas être d'accord entre vous, hein, heureusement !
Si c'était seulement une question de desaccord !!:-(
Le désavantage des romans choral lorsque l’on saute une semaine de lecture est que l’on revient complètement désorienté!
Maintenant arrivé au chapitre Lucien Évariste. Si au départ, je voyais beaucoup de couleurs dans ce livre, plus j’avance, plus cela est sombre.
« On ne traverse pas la mangrove. On s’empale sur les racines des palétuviers. On s’enterre et on étouffe dans la boue saumâtre. »
A ce point, je me demande si Maryse Condé aime ses personnages malgré leurs défauts, ou elle veut les exposer dans toute leur méchanceté?
Bien que tout le roman tourne autour de Francis Sancher, on sait très peu sur lui. Parfois on parle de lui comme un sage. Myrco écrit « comme un être passif, apeuré, un enfant (faisant écho à ce qu'en disait Moïse) en somme vulnérable. »
Il y’a assurément plus à part faire des conquêtes sexuelles? Peut-être à la fin le mystère s’éclaircit?
@Lobe qui a écrit : j'ai trouvé artificiel mais pas désagréable cette façon de conclure les chapitres de chaque personnage pour souligner la façon dont la mort de F. marque pour elle/lui un nouveau départ.
Moi aussi, j’ai remarqué!
@Pieronnelle, merci pour cette liaison entre la biographie de Maryse Condé et le livre. Très intéressant!
Je peux comprendre que lorsque l’on aime un écrivain, il est choquant de lire que d’autres ne partagent pas notre avis. J’ai froissé plusieurs amants de Kundera car moi ce n’est pas ma tasse de thé! Et un écrivain connu m’a déjà contacté après une critique mitigée ici de son bouquin à la rentrée.
SJB trouve que le style de ce livre est médiocre et « kitch », moi je le trouve joli et lumineux comme toi. Saule et Ludmilla n’ont pas accrochés non plus. Dommage qu’ils n’aient pas pu vivre les mêmes émotions que nous! Il n’y a pas d’obligation de consensus.
Avec Myrco, vous avez défendus et parler de ce bouquin de manière admirable, au-delà des attentes que l’on peut espérer dans un club de lecture.
P.S. Koudoux a terminé la première le 24 janvier, hmmm, je suis curieux de lire son appréciation.
Maintenant arrivé au chapitre Lucien Évariste. Si au départ, je voyais beaucoup de couleurs dans ce livre, plus j’avance, plus cela est sombre.
« On ne traverse pas la mangrove. On s’empale sur les racines des palétuviers. On s’enterre et on étouffe dans la boue saumâtre. »
A ce point, je me demande si Maryse Condé aime ses personnages malgré leurs défauts, ou elle veut les exposer dans toute leur méchanceté?
Bien que tout le roman tourne autour de Francis Sancher, on sait très peu sur lui. Parfois on parle de lui comme un sage. Myrco écrit « comme un être passif, apeuré, un enfant (faisant écho à ce qu'en disait Moïse) en somme vulnérable. »
Il y’a assurément plus à part faire des conquêtes sexuelles? Peut-être à la fin le mystère s’éclaircit?
@Lobe qui a écrit : j'ai trouvé artificiel mais pas désagréable cette façon de conclure les chapitres de chaque personnage pour souligner la façon dont la mort de F. marque pour elle/lui un nouveau départ.
Moi aussi, j’ai remarqué!
@Pieronnelle, merci pour cette liaison entre la biographie de Maryse Condé et le livre. Très intéressant!
Je peux comprendre que lorsque l’on aime un écrivain, il est choquant de lire que d’autres ne partagent pas notre avis. J’ai froissé plusieurs amants de Kundera car moi ce n’est pas ma tasse de thé! Et un écrivain connu m’a déjà contacté après une critique mitigée ici de son bouquin à la rentrée.
SJB trouve que le style de ce livre est médiocre et « kitch », moi je le trouve joli et lumineux comme toi. Saule et Ludmilla n’ont pas accrochés non plus. Dommage qu’ils n’aient pas pu vivre les mêmes émotions que nous! Il n’y a pas d’obligation de consensus.
Avec Myrco, vous avez défendus et parler de ce bouquin de manière admirable, au-delà des attentes que l’on peut espérer dans un club de lecture.
P.S. Koudoux a terminé la première le 24 janvier, hmmm, je suis curieux de lire son appréciation.
SJB trouve que le style de ce livre est médiocre et « kitch », moi je le trouve joli et lumineux comme toi. Saule et Ludmilla n’ont pas accrochés non plus. Dommage qu’ils n’aient pas pu vivre les mêmes émotions que nous! Il n’y a pas d’obligation de consensus.
Avec Myrco, vous avez défendus et parler de ce bouquin de manière admirable, au-delà des attentes que l’on peut espérer dans un club de lecture.
C'est ce qui fait l'intérêt des lectures communes.
Piero, je ne doute pas un instant que Maryse Condé est une très grande autrice, en plus d'une personnalité remarquable. C'est d'autant plus vexant pour moi d'etre passé à coté.
J'en revient à la question qui me taraude, pourquoi est-ce qu'un style d'écriture plait à certain et pas à d'autre ? Je me souviens avoir donné un livre de JP Toussaint à un ami et il trouvait ca inintéressant, alors que je pensais lui donner une perle ! Meme chose pour William Cliff (en l'occurence c'était à SJB, qui a dit : "il ne se passe rien" :-)).
Bref j'ai beaucoup aimé vous lire toi et Myrco sur votre ressenti de ce livre, c'est exactement pour ca que je participe aux lectures communes, ce serait dommage que toi à l'inverse ca te décourage !
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