Et voilà, j'ai pas quoté, ça n'a aucun sens, bref...
Je lis "La lettre à Helga" pour le prix CL. J'en suis à la moitié du livre et j'aime bien même si le personnage principal est parfois agaçant et le ton du récit un tantinet morne.
"Morose", je dirais plutôt.
Oui c'est un peu morne, morose, mais ça colle parfaitement avec l'intention du livre, je trouve, et puis avec l'Islande profonde.
J'ai pour ma part adoré ce livre, au delà de l'histoire d'amour contrarié, il y a cette ode à la nature, à un pays.
Bon, Stavro, ça t'avait pas fait rire, alors, ce qui m'a fait tant rire moi dans "Le nez" (Gogol)?
Oui c'est un peu morne, morose, mais ça colle parfaitement avec l'intention du livre, je trouve, et puis avec l'Islande profonde.
J'ai pour ma part adoré ce livre, au delà de l'histoire d'amour contrarié, il y a cette ode à la nature, à un pays.
Bon, Stavro, ça t'avait pas fait rire, alors, ce qui m'a fait tant rire moi dans "Le nez" (Gogol)?
Programme à venir (mais je ne sais pas encore si ce sera le bon ordre):
- "Le dernier arbre" de Tim Gautreaux
- "La pirouette" d'Edouardo Halfon
deux titres glanés au cours des pré-sélections pour le prix C.L.
- toujours le "Murtoriu" de Biancarelli que je n'ai jamais repris et dont la présence sur mes listes commence à m'agacer!
- "Illska,le mal" de Norddahl.
Programme alléchant, 3 sont sur mes étagères. Quant à Illska, il sera lu très prochainement puisque je le récupère à la mediathèque la semaine prochaine.
Je n'ai pas lu La pirouette mais je te recommande chaudement le boxeur polonais.
Lecture intense en ce début d'année, J'ai lu "le concerto pour la main morte" de Bleys, écrivain voyageur, qui n'a pas été sélectionné cette année pour le prix.
J'ai beaucoup aimé ce livre, mi-roman, mi-fable qui nous emmène en Sibérie, nous parle de musique et de départs.
A mi-chemin du conte aussi "Petit Piment" de Mabanckou, histoire d'un orphelin, de sa vie à l'orphelinat aux rues de Pointe-Noire. En arrière-plan, la politique, la corruption, les crimes, les femmes, la pauvreté et les bandes d'enfants livrés à eux-mêmes. Et cerise sur le gâteau, Mabanckou termine dans une pirouette. Un petit régal.
Je commence Carthage, mon premier Oates. Je vous laisse, 600 pages m'attendent.
Bien que je me sois ennuyé en lisant le dernier livre de Jean Casault sur le thème des ovnis et des extraterrestres, je vais maintenant lire la quadrilogie sur l'odyssée de l'espace d'Arthur C. Clarck, encore en lien avec le même sujet. Ah ! Mais, je suis indomptable.
Oups... J'ai fais une faute dans le nom de famille de l'auteur. Il s'agit de Clarke, pas de Clarck, comme je l'avais écris plus haut.
"Les Moujiks" de Tchekhov.
Je suis maintenant rendu au deuxième tome de "L'odyssée de l'espace" d'Arthur C. Clarke.
Je lis et je relis le journal d'un curé de campagne de Bernanos, c'est un livre que je trouve extraordinaire, ça me prend complètement. Au début du roman, quand il compare sa paroisse à une pauvre bête couchée dans la pluie et qui se délite à cause de l'ennui, c'est vraiment grandiose. Certains discours (du curé de Torcy) sont parfois un peu incompréhensibles, mais ça ne dérange pas.
Je lis aussi un essai de Rosa Montario sur Marie Currie, pas mal du tout.
J'ai arrêté les Thilbault, ça demande trop de temps et je le reprendrai pendant des prochaines vacances.
Je lis aussi un essai de Rosa Montario sur Marie Currie, pas mal du tout.
J'ai arrêté les Thilbault, ça demande trop de temps et je le reprendrai pendant des prochaines vacances.
Ode maritime, de Pessoa.
Ode maritime, de Pessoa.
Tiens, c'est marrant, moi, c'est Le Marin du même Pessoa que je viens juste de lire, et je peux déjà affirmer que je serais bien étonné que ce ne soit pas déjà ma meilleure lecture de 2016. Un "poème dramatique" (ou un drame poétique ?) absolument magnifique. J'y reviendrai si j'ai le temps (mais j'en manque de façon dramatique) ici ou sur mon blog.
Ode maritime, de Pessoa.Mais est-ce le même ? Avec Pessoa...
Tiens, c'est marrant, moi, c'est Le Marin du même Pessoa
Ode maritime, de Pessoa.
Tiens, c'est marrant, moi, c'est Le Marin du même Pessoa
Mais est-ce le même ? Avec Pessoa...
Non, moi je lis Alvaro de Campos ;-)
Ode maritime, de Pessoa.
Tiens, c'est marrant, moi, c'est Le Marin du même Pessoa
Mais est-ce le même ? Avec Pessoa...
D'après la fiche de Provisette sur Ode Maritime, je n'ai pas l'impression. Mais je n'ai pas lu Ode maritime, alors... En tout cas, c'est extraordinaire, Le Marin. Un drame poétique, donc, rédigé comme une pièce de théâtre faite pour être lue et non jouée et qui met en scène une morte et trois veilleuses, dont la deuxième parle, entre autres choses, des rêves d'un marin. Ça fait 65 pages (préface et version portugaise sur les pages de gauche inclues), mais c'est un très grand texte.
Ode maritime, de Pessoa.
Tiens, c'est marrant, moi, c'est Le Marin du même Pessoa
Mais est-ce le même ? Avec Pessoa...
Non, moi je lis Alvaro de Campos ;-)
Oui, oui, c'est lui!
Un de ses nombreux alter ego, doubles, un de ceux qui lui permet ici d'extravertir certaines choses peu dicibles sinon pour lui.
Enfin, Pessoa et ses multiples personnalités, c'est cela pour moi: exprimer l'indicible profondément enfoui, des fantasmes inassouvis, les êtres multiples blanc et noir qui est en chacun mais celé.
Qui SONT!
Moi je contemple l'océan avec lui.
Très beau, Ode maritime...
Je viens de terminer un débat intéressant sur la vérité et le mensonge, dans un huis clos tropical dans "Il est minuit monsieur K" de Patrice Franceschi.
J'ai presque fini un petit objet littéraire de Bruno Fern : ""L'air de rin". 2tonnant, une vraie performance littéraire, une variation sur deux vers de deux poèmes.
Et après, je vais lire : Les demeurées de Jeanne Benameur (du fonds Sissi).
J'ai presque fini un petit objet littéraire de Bruno Fern : ""L'air de rin". 2tonnant, une vraie performance littéraire, une variation sur deux vers de deux poèmes.
Et après, je vais lire : Les demeurées de Jeanne Benameur (du fonds Sissi).
Je termine bientôt "Le dernier arbre" de Tim Gautreaux. Je ne sais pas si l'on peut dire de lui qu'il est le "Conrad des bayous" comme paraît-il le nomment ses pairs, mais une chose est sûre: cela faisait longtemps que je ne m'étais pas ennuyée une seule seconde comme çà a été le cas avec ce livre!
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