Je suis dans les "Star Wars" écrit par Timthy Zahn, livres connus aussi sous le nom de "Cycle de Thrawn", du nom du méchant. J'ai eu un peu de ma là à rentrer dedans, mais franchement c'est pas mal, je comprends le regret de certains fans que les nouveaux films ne se soient pas basés sur ce cycle, il y a de beaux moments de bravoure.
Après le formidable "Fraudeur", j'ai pris l'air avec "Courir" de Jean Echenoz évoquant le grand athlète Zatopek.
Mais j'ai aussi pris l'air avec l'armée française en déroute dans "Manuscrits de guerre" de Julien Gracq.
A+
Mais j'ai aussi pris l'air avec l'armée française en déroute dans "Manuscrits de guerre" de Julien Gracq.
A+
Je suis en train de lire le quatrième tome des Sauvages, par Sabri Louatah.
Après le formidable "Fraudeur", j'ai pris l'air avec "Courir" de Jean Echenoz évoquant le grand athlète Zatopek.Ah oui, j'ai bien aimé Courir aussi.
Lorenzaccio de Musset: comme je ne suis pas assez concentrée pour en faire une lecture "impliquée", j'aime bien mais je sais que je pourrais aimer plus.
La virgule devrait être déplacée devant le "mais" pour rendre ma phrase plus sensée.
Eve de Péguy...flamboyant.
Portrait d'un inconnu, de Sarraute que je découvre avec ce livre et qui me fait diablement penser à Gombrowicz (un narrateur pervers et un alter ego, des boucles, des apartés où l'on se perd, des obsessions troublantes, et même jusqu'au style). Une belle surprise donc - je ne pensais pas aimer en ouvrant le livre.
Après avoir lu et critiqué 2061 : Odyssée trois d'Arthur C. Clarke, il me reste à lire 3001 : L'odyssée finale du même auteur. Mais, avant de clore cette saga, je vais lire Rencontres du troisième type, la novélisation du film de Steven Spielberg.
J'ai lu quelques pages d'un livre d'Arturo Perez-Reverte mais j'ai abandonné car ce n'est pas une écriture assez intéressante.
Je lis un recueil de nouvelles de Lermontov intitulé "Un héros de notre temps".
Je lis un recueil de nouvelles de Lermontov intitulé "Un héros de notre temps".
Depuis le temps qu'il traîne sur ma pile, j'ai enfin ouvert Le Central.
Je continue à lire Virginia Woolf, il me reste deux romans : Orlando et Les vagues, et j'aurais achevé les deux volumes de Pléiade, où les traductions sont, pour l'instant, impeccables. Cet immense écrivain me donne la sensation physique de lire avec tout mon corps, et pas seulement avec ma tête. Parallèlement, je lis aussi ses œuvres critiques, où elle se révèle une lectrice subtile : "Essais", "Entre les livres", "Elles", "Les fruits étranges et brillants de l'art", "L'art du roman", etc. nous font pénétrer dans le laboratoire de l'écrivain qui fut, par ailleurs, aussi éditrice et femme d'exception.
Aussi bien dans ses romans que dans ses essais, leur lecture me renforce l'impression de pénétrer au plus profond de moi, joie incomparable que je n'ai eu, en littérature, qu'avec d'autres femmes écrivains : Yourcenar, Duras, Ernaux... Plus rarement avec des hommes, et avec une moindre intensité : Dostoïevski, Giono...
Aussi bien dans ses romans que dans ses essais, leur lecture me renforce l'impression de pénétrer au plus profond de moi, joie incomparable que je n'ai eu, en littérature, qu'avec d'autres femmes écrivains : Yourcenar, Duras, Ernaux... Plus rarement avec des hommes, et avec une moindre intensité : Dostoïevski, Giono...
Aussi bien dans ses romans que dans ses essais, leur lecture me renforce l'impression de pénétrer au plus profond de moi, joie incomparable que je n'ai eu, en littérature, qu'avec d'autres femmes écrivains : Yourcenar, Duras, Ernaux... Plus rarement avec des hommes, et avec une moindre intensité : Dostoïevski, Giono...
...Comme quoi. Pour ma part, peu de femmes parviennent à m'intéresser en littérature (sans doute aussi par ce que je m'intéresse plus à la littérature "classique" et qu'on trouve assez peu de femmes dans les lettres avant le XXe s.). Dans les écrivains contemporains, Marguerite Yourcenar fait cependant exception et fait partie de mon Panthéon personnel.
Après une longue pause en compagnie de l'imposant et magnifique Louis XI de Jean Favier, je reprends Kafka dans la Pléiade avec une relecture du Procès.
Force est de constater que le récit a perdu un peu de sa force entre ma première lecture qui remonte à 20 ans et aujourd'hui. La découverte de Kafka a mes 18 ans avait été une telle claque que j'ai dû un peu "cristalliser"...
Je reprends la lecture interrompue du Norddahl "Illska le mal"; plutôt déconcertant ce livre et je ne sais pas encore qu'en penser...
Toujours pas d'écho en provenance de Merrybelle?
Toujours pas d'écho en provenance de Merrybelle?
Depuis le temps qu'il traîne sur ma pile, j'ai enfin ouvert Le Central.
Et il traînera dans ton sac le WE prochain?
Je suis en train de me rendre compte que le prix critiques libres allonge énormément ma pile de livres à lire, en effet, après avoir terminé "Silo Origine" (le tome 2 de Silo lu dans le cadre du prix CL), je fais une pause avant d'attaquer le tome 3.
De ce fait je viens d'attaquer un autre livre de Elif Shafak (aussi proposée par le prix CL) "L'architecte du sultan" qui n'a strictement rien à voir avec "crime d'honneur" mais me semble très prometteur.
De ce fait je viens d'attaquer un autre livre de Elif Shafak (aussi proposée par le prix CL) "L'architecte du sultan" qui n'a strictement rien à voir avec "crime d'honneur" mais me semble très prometteur.
Je suis plongé dans une relecture de Crime et chatiment, ça se lit très vite. J'ai été bête, je n'ai acheté que le premier tome dans la traduction de Marcowitz, je vais tomber à court.
J'aime bien relire des livres, je vais essayer d'alterner avec les nouvelles lectures. J'ai envie de relire les livres de delillo en particulier.
J'aime bien relire des livres, je vais essayer d'alterner avec les nouvelles lectures. J'ai envie de relire les livres de delillo en particulier.
Un pied dans Lorenzaccio, l'autre dans L'Invention de la solitude (Paul Auster), le troisième dans Proses pour saluer l'absence (Claude Louis-Combet). Je vais essayer de me rassembler et d'en finir un des trois aujourd'hui.
Je reprends la lecture interrompue du Norddahl "Illska le mal"; plutôt déconcertant ce livre et je ne sais pas encore qu'en penser...
Toujours pas d'écho en provenance de Merrybelle?
Je ne viens plus que rarement par ici...
Je ne peux te donner mon point de vue, le mediabus n'a pas mis la main sur le livre pourtant disponible et les autres exemplaires sont empruntés.
Après Oates et Carthage que j'ai adoré, j'ai commencé Les poissons n'ont pas de pied de Steffanson, guidée par les bonnes critiques et non par le titre qui ne me paraît pas accrocheur.
J'ai été éblouie par les premières pages mais j'ai interromu sa lecture. Trop fatiguée par mes journées, je n'arrivais à lire que quelques pages avant de sombrer dans le sommeil. Or il ne mérite pas ce traitement et demande de la concentration. Je vais attendre pour le lire.
Il faut que je trouve un livre qui me passionne maintenant.
Je poursuis ma lecture de Lermontov ensuite ce sera "Le Don Paisible" qui m'attend depuis un certain temps... ;-)
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