J’ai terminé la longue anthologie des Mémoires de Saint-Simon. J’en d’ailleurs fait une critique principale sur ce site. Vous y retrouverez dessus tout ce que je pense sur ces Mémoires, qui sont exceptionnelles en leur genre, tant par la richesse et l’étendue de ce qu’elles rapportent que par sa qualité littéraire. Je le dis tout net : Saint-Simon est l’un des meilleurs écrivains que la France ait produit. Son livre et son œuvre, je le place dans mon trio de tête, après Proust et Céline. Je suis désolé, Claude-Lévi Strauss, tu n’as absolument pas démérité avec ton « Tristes Tropiques » qui a fait vibrer mon cœur comme peu d’écrivains l’ont su faire, mais la roue de mes lectures tourne et il faut parfois laisser sa place à d’autres plus talentueux encore que je découvre après toi, aussi rares soient-ils. Entre donc ici, Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, dans mon Panthéon personnel !
Après cela, j’ai voulu me reposer d’une longue lecture par une lecture plus courte, bien plus courte : Inconnu à cette adresse, de Kathrine Kressmann Taylor. J’avais déjà remarqué son très bon placement dans le top des livres, 17ème actuellement. Et un jour, je le découvre à vendre sur de petites étagères de livres, sur la rue, contre une vitrine d’une petite librairie-papeterie de la rue Caulaincourt, 18ème arrdt de Paris. 2€50. Je me suis souvenu de son classement flatteur sur CL. Alors je l’ai acheté. Et je l’ai lu d’une traite, à la pause déjeuner de mon travail quelques jours après, tant par la minceur du livre que par l’intérêt toujours grandissant de cet échange épistolaire peu banal. La fin est édifiante. Du grand art ! Je comprends que cette nouvelle ait provoqué autant d’admiration et d’enthousiasme. Son classement sur CL est donc bien justifié !
Maintenant, je suis passé sur un roman de science-fiction, Janus, d’Alastair Reynolds. De cet auteur, l’une des valeurs sûres de la SF moderne, j’avais déjà adoré « L’espace de la révélation » et « Chasm City – La Cité du Gouffre », des chefs-d’œuvre du genre, je vous en assure ! Là, avec Janus, l’histoire est efficace, prenante, bien construite. Mais la barre avec les deux premiers cités est déjà bien haute et il n’est pas toujours facile pour un auteur de conserver pour tous les livres qu’il écrit le même degré d’excellence partout. Je trouve surtout que l’auteur s’est hélas dépouillé de son style personnel qui m’avait alors emballé, sombre et gothique, pour en adopter un autre, plus universel et accessible à tous, mais moins marquant. Peut-être est-ce le projet du livre qui fait ça. Ca reste toujours d’une excellente facture et on suit les aventures de Bella et Svetlana sur Janus avec un intérêt qui ne se relâche pas, mais… on n’y sent pas la différence qui en ferait un chef d’œuvre. A suivre donc, je ne l'ai pas encore terminé, environ 250 pages encore. La différence se fera peut-être là.
Après cela, j’ai voulu me reposer d’une longue lecture par une lecture plus courte, bien plus courte : Inconnu à cette adresse, de Kathrine Kressmann Taylor. J’avais déjà remarqué son très bon placement dans le top des livres, 17ème actuellement. Et un jour, je le découvre à vendre sur de petites étagères de livres, sur la rue, contre une vitrine d’une petite librairie-papeterie de la rue Caulaincourt, 18ème arrdt de Paris. 2€50. Je me suis souvenu de son classement flatteur sur CL. Alors je l’ai acheté. Et je l’ai lu d’une traite, à la pause déjeuner de mon travail quelques jours après, tant par la minceur du livre que par l’intérêt toujours grandissant de cet échange épistolaire peu banal. La fin est édifiante. Du grand art ! Je comprends que cette nouvelle ait provoqué autant d’admiration et d’enthousiasme. Son classement sur CL est donc bien justifié !
Maintenant, je suis passé sur un roman de science-fiction, Janus, d’Alastair Reynolds. De cet auteur, l’une des valeurs sûres de la SF moderne, j’avais déjà adoré « L’espace de la révélation » et « Chasm City – La Cité du Gouffre », des chefs-d’œuvre du genre, je vous en assure ! Là, avec Janus, l’histoire est efficace, prenante, bien construite. Mais la barre avec les deux premiers cités est déjà bien haute et il n’est pas toujours facile pour un auteur de conserver pour tous les livres qu’il écrit le même degré d’excellence partout. Je trouve surtout que l’auteur s’est hélas dépouillé de son style personnel qui m’avait alors emballé, sombre et gothique, pour en adopter un autre, plus universel et accessible à tous, mais moins marquant. Peut-être est-ce le projet du livre qui fait ça. Ca reste toujours d’une excellente facture et on suit les aventures de Bella et Svetlana sur Janus avec un intérêt qui ne se relâche pas, mais… on n’y sent pas la différence qui en ferait un chef d’œuvre. A suivre donc, je ne l'ai pas encore terminé, environ 250 pages encore. La différence se fera peut-être là.
Bonjour Débézed
Suite a votre message sur la Corée , je viens d'ajouter ce livre a CL , l'avez vous lu ? .
Rescapé du camp 14 Poche – 4 avril 2013
de Blaine HARDEN (Auteur), Pierre RIGOULOT (Postface), Dominique LETELLIER (Traduction
Je viens de le terminer , de la a en faire une critique , vu le niveau de ce que j'ai déjà lu sur ce forum , je vais attendre un peu avant de me lancer , le niveau est très haut .
a vous lire ......
Je viens de le terminer, c'est un très bon roman et je partage l'avis d'Oé qui pense que Hwang Sok-Yong sera le futur Nobel asiatique. J'avais déjà lu un autre livre de lui qui m'avait fort emballé.
Pierre Rigoulot a aussi signé la postface du livre de Bandi que je viens de lre et de commenter.
Bonjour Débézed
Suite a votre message sur la Corée , je viens d'ajouter ce livre a CL , l'avez vous lu ? .
Rescapé du camp 14 Poche – 4 avril 2013
de Blaine HARDEN (Auteur), Pierre RIGOULOT (Postface), Dominique LETELLIER (Traduction
Je viens de le terminer , de la a en faire une critique , vu le niveau de ce que j'ai déjà lu sur ce forum , je vais attendre un peu avant de me lancer , le niveau est très haut .
a vous lire ......
Mais il n'y a pas de 'niveau' Chtimi, il y a 'Libres' dans 'Critiques Libres' et ça vaut pour tout le monde. A te lire!
Je viens de le terminer, c'est un très bon roman et je partage l'avis d'Oé qui pense que Hwang Sok-Yong sera le futur Nobel asiatique. J'avais déjà lu un autre livre de lui qui m'avait fort emballé.
Euh...Excuse-moi DBZ, mais je n'ai rien compris là (peut-être que je fatigue). Tu nous parles du dernier HWANG ou du livre auquel Chtimi fait référence ?
Je viens de le terminer , de la a en faire une critique , vu le niveau de ce que j'ai déjà lu sur ce forum , je vais attendre un peu avant de me lancer , le niveau est très haut .
Sois à l'aise Chtimi et ne sois pas timide! Ou as tu vu qu'il n'y avait que des critiques de haut niveau ici ? Parle-nous de ce livre tout simplement comme tu en as envie et nous lirons ton avis avec intérêt.
Où et non Ou
Mycro
j'ai envoyé ma critique ........
j'ai envoyé ma critique ........
Mycro
j'ai envoyé ma critique ........
Eh bien tu vois...tu n'avais pas lieu de faire des complexes; il n'y a que le premier pas qui coûte!
Très intéressant ce témoignage même si certains points peuvent être sujets à caution. Grâce à toi, j'ai lu sur Internet la polémique autour de ce livre.
Magnifique critique (quel enthousiasme !) aussi de Cedelor pour les mémoires de Saint-Simon, voila un livre pour mes prochaines vacances
Et sinon, je lis : un essai-variations intitulé "More" de D. Charneux, un essai sur le voyage de J-P Outers, je relis un autre essai de J-P Outers sur la Chine, je lis Morphine (grace à la critique de Shan Ze), je lis un court roman intitulé "La maladie" (éd. C. Luquin) et pour me préparer à un concert ce soir je lis un ouvrage assez savant sur les passions de Bach.
Chaque livre à sa place, je garde Morphine (roman plus ardu) pour les moments les mieux propices, j'alterne les autres (qui sont tous de petits ouvrages).
Du pain sur la planche..
Chaque livre à sa place, je garde Morphine (roman plus ardu) pour les moments les mieux propices, j'alterne les autres (qui sont tous de petits ouvrages).
Du pain sur la planche..
Bouvard et Pécuchet, de Flaubert.
Jubilatoire.
Jubilatoire.
Bouvard et Pécuchet, de Flaubert.Chef d'oeuvre.
Jubilatoire.
J'ai enchaîné d'excellentes lectures bien que douloureuses sur le thème de l'enfance maltraitée, mal aimée, violentée, malmenée par l'Histoire, perdue.
Pur hasard dans le choix des livres.
Plumes, styles, en français ou traduits, continents différents, temps présents ou passés, toutes m'ont remuée, interpelée, enrichie d'une façon ou d'une autre. Pourtant peu d'espérance dans ces histoires à l'exception des novellas de Le Clezio. Lecture qui m'a rappelé combien j'aime son écriture.
Cette suite a débuté par Carthage de Oates, poursuivie par Tempête de Le Clezio, L'exercice de la médecine de Seksik (qui rejoint par le thème de l'exil sur 3 générations, la lecture récente de Singer), Délivrances de Toni Morrison.
J'ai enchaîné par La Maladroite de Seurat, un coup de poignard pour chaque paragraphe lu, au bord de la nausée. Sur ce thème, l'auteur trouve le ton et la distance justes mais quelle douleur, quelle impuissance. Le plus terrible est de réaliser que cette enfant n'est pas qu'un personnage de fiction et cela rend la lecture encore plus glaçante.
Et enfin "Je vous écrit dans le noir" de J.L. Seigle. Lecture sur les conseils de la bibliothécaire que j'ai pris du bout des doigts et que je ne regrette pas. Auteur qui se met dans la peau de cette femme pour demander le pardon, qui parle de son histoire mais aussi de ses espoirs et ses rêves et qui lui rend toute son humanité. J'ai beaucoup aimé la construction du récit à la première personne entouré d'un avant-propos et d'un épilogue.
Et à part ça, me direz vous.
Une lecture captivante. Celle de "Ciel d'acier" de Michel Moutot qui raconte à travers les époques l'histoire des Mohawks à travers 4 générations. Mohawks qui ont la réputation (fausse) de ne pas souffrir du vertige et qui sont employés pour cette raison pour la construction ( déconstruction) des gratte ciel, ponts, chantiers dangereux qui ont fait (défaits) l'Amérique.
On suit John LaLiberté dit Cat, témoin de l'attentat du 11 septembre, à la recherche de survivants, son père, mort lors de la construction des tours,
Allers retours entre le passé et le présent, on asiste à la tragédie du pont de Quebec, on apprend plein de détails sur le 11/9 (l'auteur journaliste à l'AFP a couvert l'événement).
Livre très documenté et jamais ennuyeux.
Un vrai plaisir de lecture.
Pas très jojo, non plus.Et maintenant ?
J'ai bien le dernier Heller "Peindre, pêcher et laisser mourir" ainsi que le Amis "L'intérêt de l'enfant" Mais quelque chose me dit que je gagnerai en cherchant une lecture plus réjouissante, histoire de varier les plaisirs.
Pur hasard dans le choix des livres.
Plumes, styles, en français ou traduits, continents différents, temps présents ou passés, toutes m'ont remuée, interpelée, enrichie d'une façon ou d'une autre. Pourtant peu d'espérance dans ces histoires à l'exception des novellas de Le Clezio. Lecture qui m'a rappelé combien j'aime son écriture.
Cette suite a débuté par Carthage de Oates, poursuivie par Tempête de Le Clezio, L'exercice de la médecine de Seksik (qui rejoint par le thème de l'exil sur 3 générations, la lecture récente de Singer), Délivrances de Toni Morrison.
J'ai enchaîné par La Maladroite de Seurat, un coup de poignard pour chaque paragraphe lu, au bord de la nausée. Sur ce thème, l'auteur trouve le ton et la distance justes mais quelle douleur, quelle impuissance. Le plus terrible est de réaliser que cette enfant n'est pas qu'un personnage de fiction et cela rend la lecture encore plus glaçante.
Et enfin "Je vous écrit dans le noir" de J.L. Seigle. Lecture sur les conseils de la bibliothécaire que j'ai pris du bout des doigts et que je ne regrette pas. Auteur qui se met dans la peau de cette femme pour demander le pardon, qui parle de son histoire mais aussi de ses espoirs et ses rêves et qui lui rend toute son humanité. J'ai beaucoup aimé la construction du récit à la première personne entouré d'un avant-propos et d'un épilogue.
Et à part ça, me direz vous.
Une lecture captivante. Celle de "Ciel d'acier" de Michel Moutot qui raconte à travers les époques l'histoire des Mohawks à travers 4 générations. Mohawks qui ont la réputation (fausse) de ne pas souffrir du vertige et qui sont employés pour cette raison pour la construction ( déconstruction) des gratte ciel, ponts, chantiers dangereux qui ont fait (défaits) l'Amérique.
On suit John LaLiberté dit Cat, témoin de l'attentat du 11 septembre, à la recherche de survivants, son père, mort lors de la construction des tours,
Allers retours entre le passé et le présent, on asiste à la tragédie du pont de Quebec, on apprend plein de détails sur le 11/9 (l'auteur journaliste à l'AFP a couvert l'événement).
Livre très documenté et jamais ennuyeux.
Un vrai plaisir de lecture.
Pas très jojo, non plus.Et maintenant ?
J'ai bien le dernier Heller "Peindre, pêcher et laisser mourir" ainsi que le Amis "L'intérêt de l'enfant" Mais quelque chose me dit que je gagnerai en cherchant une lecture plus réjouissante, histoire de varier les plaisirs.
J'ai interrompu ma lecture du Norddahl après la première partie. Cela se veut une dénonciation de la persistance d'un terreau xénophobe qui alimente la poussée des mouvements d'extrême droite notamment en Europe du Nord. C'est brillant mais en même temps, je trouve qu'il pousse le bouchon parfois un peu loin dans l'amalgame et la provocation. Bref, j'ai souvent été agacée. De plus, la relation amoureuse triangulaire autour de laquelle s'articule son roman ne suscite pas vraiment mon intérêt.
Du coup, je lis "La supplication" de Svetlana Alexievitch , à partir de témoignages de survivants de Tchernobyl recueillis dix ans après les évènements. Je trouve qu'on devrait tous avoir lu çà...car demain cela risque encore de nous arriver et ils (les autorités) nous mentiront comme ils nous ont déjà menti.
Je reprendrai ma lecture de "Illska" après, avec la deuxième partie qui risque d'être plus consensuelle sur ce qui s'est passé en Lituanie en 1941.
En te lisant je me dis que ne pas avoir mis la main sur Illska est un bien (pour le moment).
Quant à La Supplication, je me souviens en avoir commencé la lecture il y a plusieurs années et l'avoir interrompue (trop éprouvant).
Ce livre avait été recommandé par Polac à l'époque. Il en avait parlé avec beaucoup d'émotions dans la voix.
Je viens de le terminer, c'est un très bon roman et je partage l'avis d'Oé qui pense que Hwang Sok-Yong sera le futur Nobel asiatique. J'avais déjà lu un autre livre de lui qui m'avait fort emballé.
Euh...Excuse-moi DBZ, mais je n'ai rien compris là (peut-être que je fatigue). Tu nous parles du dernier HWANG ou du livre auquel Chtimi fait référence ?
Excuse, j'aurais dû couper le mail de référence, je ne parle que de Hwang, j'ai traversé une phase coréenne.
Bouvard et Pécuchet, de Flaubert.
Jubilatoire.
Tiens, je l'ai acheté la semaine dernière après l'avoir pioché dans les mêmes bacs d'occasion de la librairie de la rue Caulaincourt dont parlait Cedelor. Bacs souvent bien pourvus et lieu étrange puisque c'est en effet une librairie-papeterie, endroit ou je n'achète en général jamais de livres : c'est comme un boucher-boulanger, mais qui, outre ces bacs, propose une sélection littéraire assez pointue, beaucoup d'essais et même dans le fond de la boutique quelques vieux livres pour ceux que ça intéresse.
En te lisant je me dis que ne pas avoir mis la main sur Illska est un bien (pour le moment).
C'est peut-être un bien tout court;-)J'irai jusqu'au bout mais je regrette finalement de m'être engagée dans cette lecture que je ne trouve pas du tout à la hauteur des critiques dithyrambiques que j'avais lues à son sujet!
J'ai lu entre temps un petit texte qui vaut la peine sur le plan de l'écriture: "Sauf les fleurs" de Nicolas Clément (bien que cela me laisse un petit goût d'artificiel, mais cela demande seconde lecture).
Quant à La Supplication, je me souviens en avoir commencé la lecture il y a plusieurs années et l'avoir interrompue (trop éprouvant).
Ce livre avait été recommandé par Polac à l'époque. Il en avait parlé avec beaucoup d'émotions dans la voix.
Les deux témoignages les plus durs ont été placés respectivement en "Prologue" et en "Conclusion" de l'ouvrage.
Le premier est la voix de la femme d'un des tous premiers pompiers appelés sur les lieux comme s'il s'agissait d'un incendie ordinaire. C'est en effet terrible et en même temps un magnifique témoignage d'amour ( je pense que cela toucherait Sissi). Je crois que si on passe ces pages-là, on peut poursuivre...mais ce serait dommage de les occulter.
Je viens de le terminer, c'est un très bon roman et je partage l'avis d'Oé qui pense que Hwang Sok-Yong sera le futur Nobel asiatique.
Faudra qu'il "passe sur le corps" du poète Ko UN alors...
Les deux témoignages les plus durs ont été placés respectivement en "Prologue" et en "Conclusion" de l'ouvrage.
Le premier est la voix de la femme d'un des tous premiers pompiers appelés sur les lieux comme s'il s'agissait d'un incendie ordinaire. C'est en effet terrible et en même temps un magnifique témoignage d'amour ( je pense que cela toucherait Sissi). Je crois que si on passe ces pages-là, on peut poursuivre...mais ce serait dommage de les occulter.
Oui, le premier témoignage de la femme du pompier qui survit 14 jours à "l'incendie" et qui se retrouve ensuite elle même irradiée est absolument boulversant...
Il me revenait en tête à chaque fois que je lisais ou disais quelque chose de ce livre. J'en parle d'ailleurs dans ma critique...
Myrco à raison ici, le livre est vraiment, mais vraiment à lire!...
Je viens de le terminer, c'est un très bon roman et je partage l'avis d'Oé qui pense que Hwang Sok-Yong sera le futur Nobel asiatique.
Faudra qu'il "passe sur le corps" du poète Ko UN alors...
:-)))
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