Je termine la relecture de "Voyage au bout de la nuit " de Céline. Nouvelle admiration du style mais que de misère, de colère !Même impact après 40 ans!
Je m'en vais vite lire le dernier livre de Georges Picard pour me promener sur les routes de France en compagnie de Thoreau et m'aérer un peu.
A+
Je m'en vais vite lire le dernier livre de Georges Picard pour me promener sur les routes de France en compagnie de Thoreau et m'aérer un peu.
A+
Je termine à l'instant (me suis levée tôt pour lire, je lis si peu en semaine cette année...) Kokoro de Delphine Roux, livre que m'a prêté DBZ.
Quel beau livre, sobre et raffiné, très japonisant alors que l'auteure est bien française!
J'ai commencé La vie heureuse de Sénèque dans la foulée.
J'ai beaucoup aimé ce petit texte très sobre, très élégant qu'on croirait écrit par un, ou une, Japonais.
Histoire de varier le menu, outre le premier tome de la trilogie d'Amitav Ghosh (que je devrais achever bientôt), j'ai commencé la lecture d'un recueil de poèmes de Ko Un qui a pour titre 'The Three Way Tavern'. Il s'agit d'une sélection de poèmes tirés d'ouvrages publiés au cours des années 1990. Parmi ceux-ci, 20 poèmes proviennent de 'Qu'est-ce? Poèmes Zen', un recueil qui nous a été présenté par Septularisen.
Oblomov d'Ivan Gontcharov
Je commence un gros polar chinois : "La concession française" de Xiao Bai après avoir refermé un recueil d'aphorismes d'André Stas: "Demain, on phrase gratis !", j'ai un fait une faute dans le titre de ma critique et je ne sais pas la corriger, je vais lancer un SOS à Ludmilla.
Je termine à l'instant (me suis levée tôt pour lire, je lis si peu en semaine cette année...) Kokoro de Delphine Roux, livre que m'a prêté DBZ.
Quel beau livre, sobre et raffiné, très japonisant alors que l'auteure est bien française!
J'ai commencé La vie heureuse de Sénèque dans la foulée.
J'ai beaucoup aimé ce petit texte très sobre, très élégant qu'on croirait écrit par un, ou une, Japonais.
Mais oui!!
Rappelle toi j'avais même écrit ici (flemme de rechercher) que j'allais bientôt commencer un livre japonais que tu m'avais prêté, alors qu'il n'est pas du tout japonais!
Mais c'est écrit de manière sobre, dépouillée, raffinée, presque pudiquement. C'est complètement japonais dans l'âme; oui. Incroyable!
Actuellement, je me balade souvent entre la Chine, la Corée et le Japon et je trouve un réel plaisir au contact de ces littératures.
J'ai terminé San Miguel de T.C. Boyle (très belle critique de Myrco), lecture plaisante et romanesque.
J'ai terminé Morphine, d'un auteur polonais, qui se passe à Varsovie au début de la guerre. Bien aimé mais je le relis car j'étais trop fatigué la première fois :-)
J'ai lu quelques autres (petit) livres. Mais par contre je ne parviens plus à m'atteler aux critiques, c'est dommage surtout quand ce sont de petites maisons d'éditions (Cristophe Luquin, Aden, ..).
Je vais reprendre le prix après ce w-e.
J'ai terminé Morphine, d'un auteur polonais, qui se passe à Varsovie au début de la guerre. Bien aimé mais je le relis car j'étais trop fatigué la première fois :-)
J'ai lu quelques autres (petit) livres. Mais par contre je ne parviens plus à m'atteler aux critiques, c'est dommage surtout quand ce sont de petites maisons d'éditions (Cristophe Luquin, Aden, ..).
Je vais reprendre le prix après ce w-e.
Je lis Bétibou pour le Prix CL, j'ai du retard dans mes lectures, je ne sais plus où poser les yeux.
Oblomov me fait penser à Alexandre le bienheureux dans le film interprété par Noiret.
A cette différence près qu'il n'est pas si heureux que ça, que vivre couché ne semble pas être un choix délibéré de vie, mais "l'état normal".
En tout cas toute cette inertie et ce brassage d'air m'amuse.
A cette différence près qu'il n'est pas si heureux que ça, que vivre couché ne semble pas être un choix délibéré de vie, mais "l'état normal".
En tout cas toute cette inertie et ce brassage d'air m'amuse.
Oblomov me fait penser à Alexandre le bienheureux dans le film interprété par Noiret.Pour moi un vrai grand livre.
A cette différence près qu'il n'est pas si heureux que ça, que vivre couché ne semble pas être un choix délibéré de vie, mais "l'état normal".
En tout cas toute cette inertie et ce brassage d'air m'amuse.
Oblomov me fait penser à Alexandre le bienheureux dans le film interprété par Noiret.
A cette différence près qu'il n'est pas si heureux que ça, que vivre couché ne semble pas être un choix délibéré de vie, mais "l'état normal".
En tout cas toute cette inertie et ce brassage d'air m'amuse.
Pour moi un vrai grand livre.
Le début m'avait plus qu'enthousiasmé : j'étais pris dans ce maelstrom immobile. La suite (le long flash-back puis l'histoire d'amour, l'opposition entre la figure romantique d'Oblomov et son ami capitaliste) avait fini par m'ennuyer. Tu nous diras !
J'en suis au début, à l'enthousiasme, donc :-)
D'ailleurs je repars m'allonger, c'est communicatif toute cette procrastination.
D'ailleurs je repars m'allonger, c'est communicatif toute cette procrastination.
Je lis "Tess d'Urberville" de Thomas Hardy, une belle lecture.
Je lis aussi "La supplication : Tchernobyl, chronique du monde après l'apocalypse" de Svetlana Alexievitch, un livre dont le ton lancinant m'irrite souvent mais à lire absolument.
Je lis aussi "La supplication : Tchernobyl, chronique du monde après l'apocalypse" de Svetlana Alexievitch, un livre dont le ton lancinant m'irrite souvent mais à lire absolument.
Je lis aussi "La supplication : Tchernobyl, chronique du monde après l'apocalypse" de Svetlana Alexievitch, un livre dont le ton lancinant m'irrite souvent mais à lire absolument.
Il y a effectivement un ton particulier que l'on peut qualifier de lancinant, mais ne trouve tu pas justement que cela participe de l'unité du livre, en fait un objet littéraire qui sonne comme un chœur de victimes ?
Je m'amuse toujours autant dans Oblomov, je trouve quand même très fort d'écrire sur des choses....qui ne se passent pas!
Les sempiternels atermoiements, cette lettre qui ne s'écrit jamais, Oblomov qui essaie de nous faire croire qu'il est débordé!!! Zakhar qui fait tout tomber, un énorme brassage d'air, et ça c'est difficile à écrire.
J'en suis au rêve d'Oblomov, pas forcément très loin, encore -p150- mais Stavro parlait de deux parties, moi j'en vois quatre (?)
Il est vrai que je me demande si ça peut tenir le rythme et la route sur le long terme.
Les sempiternels atermoiements, cette lettre qui ne s'écrit jamais, Oblomov qui essaie de nous faire croire qu'il est débordé!!! Zakhar qui fait tout tomber, un énorme brassage d'air, et ça c'est difficile à écrire.
J'en suis au rêve d'Oblomov, pas forcément très loin, encore -p150- mais Stavro parlait de deux parties, moi j'en vois quatre (?)
Il est vrai que je me demande si ça peut tenir le rythme et la route sur le long terme.
Je m'amuse toujours autant dans Oblomov, je trouve quand même très fort d'écrire sur des choses....qui ne se passent pas!
Les sempiternels atermoiements, cette lettre qui ne s'écrit jamais, Oblomov qui essaie de nous faire croire qu'il est débordé!!! Zakhar qui fait tout tomber, un énorme brassage d'air, et ça c'est difficile à écrire.
J'en suis au rêve d'Oblomov, pas forcément très loin, encore -p150- mais Stavro parlait de deux parties, moi j'en vois quatre (?)
Il est vrai que je me demande si ça peut tenir le rythme et la route sur le long terme.
Je ne parlais pas de "vraies" parties, dans le sens découpage du roman en Partie I, Partie II. J'opposais plutôt une partie que j'avais trouvé virevoltante (celle que tu évoques dans ton message), et la suite qui m'avait plus ennuyé.
Moi je ne me suis pas du tout ennuyé, dans Oblomov. J'ai bien aimé aussi l'"histoire d'amour".
Alors il me tarde de savoir vers lequel de vous deux mon avis se rangera ;-)
(Même si ce n'est pas pour ça que je lis le livre, hein, faut pas exagérer non plus).
Et puis d'ailleurs pourquoi "histoire d'amour" avec des guillemets? Oh et puis non tiens, chut finalement.
(Même si ce n'est pas pour ça que je lis le livre, hein, faut pas exagérer non plus).
Et puis d'ailleurs pourquoi "histoire d'amour" avec des guillemets? Oh et puis non tiens, chut finalement.
Je lis aussi "La supplication : Tchernobyl, chronique du monde après l'apocalypse" de Svetlana Alexievitch, un livre dont le ton lancinant m'irrite souvent mais à lire absolument.
Il y a effectivement un ton particulier que l'on peut qualifier de lancinant, mais ne trouve tu pas justement que cela participe de l'unité du livre, en fait un objet littéraire qui sonne comme un chœur de victimes ?
Je suis incapable de lire ce livre uniquement tellement il est déprimant. Je lis "Tess" en parallèle pour me changer les idées. Tous ces témoignages, c'est affreux ! Par contre, le côté humain est intéressant. Tchernobyl est une catastrophe horrible et me remplit d'angoisse quant à l'avenir de l'humanité.
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