Oui beau programme Sissi surtout "La Mort à Venise" qui est un chef-d'oeuvre incontestable et incontesté sans parler du film inoubliable avec cet acteur prodigieux (dont je ne me souviens plus du nom...) qui fait vivre le personnage principal avec une justesse renversante.
Dik Bogard.
Dirk Bogarde, Sissi, Dirk Bogarde
Mais oui, bien sûr, Dirk Bogarde, comme je dis mal les choses,....:-) (c'est vrai! Je dis mal les choses)
Je suis dans la dernière partie du livre et j'ai fait la connaissance d'un personnage truculent répondant au nom de Peeperkorn. Il bouleverse la vie bien organisée du sanatorium d'une façon assez percutante d'autant plus qu'il est le compagnon de voyage de...
Merci Merrybelle et DBZ, j'ai noté.
Merci Merrybelle et DBZ, j'ai noté.
Je lis de Baba Taher, poète persan du Moyen-âge, "Quatre-vingt-dix-neuf leçons d'amour", une suite de quatrains.
Un exemple (trad. Neiy Khan, éd. de la Reyne de Coupe, 1996):
Si mon cœur est ma Bien-aimée, qui est-Elle ?
Si ma Bien-aimée est mon cœur, comment La nommer ?
Cœur et Bien-aimée ensemble j'ai tellement mêlé
Que je ne distingue cœur et Bien-aimée.
Un exemple (trad. Neiy Khan, éd. de la Reyne de Coupe, 1996):
Si mon cœur est ma Bien-aimée, qui est-Elle ?
Si ma Bien-aimée est mon cœur, comment La nommer ?
Cœur et Bien-aimée ensemble j'ai tellement mêlé
Que je ne distingue cœur et Bien-aimée.
Correctif (un mot oublié) :
Si mon cœur est ma Bien-aimée, qui est-Elle ?
Si ma Bien-aimée est mon cœur, comment La nommer ?
Cœur et Bien-aimée ensemble j'ai tellement mêlé
Que je ne distingue plus cœur et Bien-aimée.
Si mon cœur est ma Bien-aimée, qui est-Elle ?
Si ma Bien-aimée est mon cœur, comment La nommer ?
Cœur et Bien-aimée ensemble j'ai tellement mêlé
Que je ne distingue plus cœur et Bien-aimée.
Après "La métamorphose d'un crabe", je commence "Comment apprendre à aimer" de Yukiko Motoya, à mon âge est-ce bien raisonnable ?
Après "La métamorphose d'un crabe", je commence "Comment apprendre à aimer" de Yukiko Motoya, à mon âge est-ce bien raisonnable ?
Il n'est jamais trop tard DBZ;-)
Après un copieux bain d'histoire du nord de l'Inde (River of Fire), je viens de commencer 'Train to Pakistan' de Khushwant Singh, un roman qui se déroule dans l'état du Pendjab à l'époque de la partition (1947).
J'ai terminé "La Montagne Magique" de Mann. Sans être un livre parfait, il renferme des passages extrêmement beaux donc, il vaut la peine de se taper les pages plus ennuyeuses. La fin surtout est d'une rare beauté.
Ensuite, j'ai lu "Ma Mère" de Richard Ford, un court livre dans lequel Ford raconte sa relation avec sa mère surtout suite à la mort de son père qui était tout pour elle. Un beau livre intéressant en ce qu'il décrit bien la vie de l'après-guerre aux USA.
Je viens de terminer "Le Flutiste Invisible" de Philippe Labro et j'ai bien aimé ces trois nouvelles, très différentes les unes des autres et renfermant un fort élément de hasard fort salutaire heureusement.
Ensuite, j'ai lu "Ma Mère" de Richard Ford, un court livre dans lequel Ford raconte sa relation avec sa mère surtout suite à la mort de son père qui était tout pour elle. Un beau livre intéressant en ce qu'il décrit bien la vie de l'après-guerre aux USA.
Je viens de terminer "Le Flutiste Invisible" de Philippe Labro et j'ai bien aimé ces trois nouvelles, très différentes les unes des autres et renfermant un fort élément de hasard fort salutaire heureusement.
Le Lys dans la vallée de Balzac. Un bain de classique de temps à autre, ça revigore (surtout quand c'est choisi).
Je me ballade en ce moment du côté de l'Asie: après avoir lu Meurtre et Méditation, un policier qui se passe dans le Bangkok contemporain, me voici dans La fille du ciel, de Isabelle Lacamp, au temps de la Chine du dixième siècle, puis j'attaquerai Terre des oublis de Du'o'ng Thu Hu'o'ng (auteur vietnamienne).
Je me ballade en ce moment du côté de l'Asie: après avoir lu Meurtre et Méditation, un policier qui se passe dans le Bangkok contemporain, me voici dans La fille du ciel, de Isabelle Lacamp, au temps de la Chine du dixième siècle, puis j'attaquerai Terre des oublis de Du'o'ng Thu Hu'o'ng (auteur vietnamienne).
Ah !..."Terre des oublis" un très beau livre Fanou. Je te souhaite un beau moment de lecture !
Le Lys dans la vallée de Balzac. Un bain de classique de temps à autre, ça revigore (surtout quand c'est choisi).Tiens, tu me donnes l'envie de le reprendre et, cette fois-ci, je vais essayer de le terminer. Je l'avais commencé... oh ! quand j'avais ton âge... Maintenant, j'ai peut-être un peu plus de patience. On verra. Comme tu dis, un peu de classique, ça fait du bien !
Je termine d'abord l'Anabase de Xénophon, le récit d'un officier grec d'il y a 2400 ans, fabuleusement passionnant. J'ai lu de lui Le Banquet et je lirai après La République de Sparte et La République d'Athènes. C'est incroyablement intéressant.
Et puis je dois terminer Jésuites de Jean Lacouture : intéressant, instructif, édifiant mais parfois un peu longuet, un peu poussif.
Je devrais aussi terminer La guerre de Trente Ans que je n'ai pas eu le temps de finir à cause de l'Euro-football.
L'été c'est fait pour lire, n'est-il pas...
Une nouvelle traduction du livre de Mann signée Claire de Oliveira sera disponible sous peu chez Fayard :
"Le mérite de mon prédécesseur a été de s'atteler à cette tâche ardue, probablement dans l'urgence, et, sans disposer des moyens d'information actuels, de transmettre ce roman à toute une génération, puis à la suivante. Il reste que son texte était lacunaire et imprécis, d'un style souvent maniériste et compassé, sans parler des omissions, des inexactitudes et des édulcorations. Le déficit le plus gênant concernait sans doute l'humour, en grande partie perdu. Toute la question était de savoir comment et dans quelle proportion introduire de la nouveauté. Moderniser certes, mais pas à outrance. Une retraduction doit donner envie au public actuel, savoir intéresser la jeune génération à une oeuvre emblématique de notre temps quoique encore méconnue." Claire de Oliveira
Il sera intéressant de le relire éventuellement dans cette nouvelle traduction.
il est annoncé sous Kindle mais point en papier. Je vais attendre un peu, pas grave j'ai du stock de quoi tenir...... des années.
Il paraît que Le Tournant écrit autobiographique de son fils Klaus Mann est à lire.
Je viens de voir que la correspondance entre Zweig et Klaus Mann va être prochainement disponible en poche et les articles sont très positifs. Hop dans ma Liste A Acheter (après la PAL, la LAL voici la LAA).
Ah !..."Terre des oublis" un très beau livre Fanou. Je te souhaite un beau moment de lecture !
J'avais lu de Du'o'ng Thu Hu'o'ng "Myosotis" que j'avais bien aimé et l'autre jour je tombe sur "Terre des oublis" dans une ressourcerie où on peut prendre des objets gratuitement. Je n'ai pas hésité !, d'autant plus qu'effectivement les critiques sur CL sont plutôt très bonnes. Je vous dirai ce qu'il en est pour moi !
Je n'avais pas partagé mes lectures depuis longtemps. Les livres de la sélection mis à part, j'ai fait de jolies lectures.
- Le passage du diable de Fine, livre pour adolescent, gothique, fantastique. Ce n'est pas mon genre de lecture et pourtant je me suis régalée à le lire, une intrigue qui tient de bout en bout et nous tient en haleine.
- 7 années de bonheur de Etgar Keret
ces années sont celles où il fut en même temps père et fils
Les récits de sa vie quotidienne se succèdent , la brutalité de la vie en Israël ("Ce que ça peut être flippant, les attentats terroristes, dit l'infirmière fluette à sa collègue plus âgée. Tu veux un chewing?" )
Des récits entre émotions et sourires , parce que, diable, l'homme ne manque ni d'imagination, ni d'humour, ni d'autodérision et il en faut pour vivre.
- Bye bye Elvis de De Mulder : les chapîtres consacrés au King sont intéressants et nous donne à voir un angle inédit de l'homme (du coup la bio d'Elvis est remontée de plusieur rangs dans ma pile à lire). En revanche la partie contemporaine m'a moins marquée et est beaucoup plus faible de mon point de vue et amoindrit l'intérêt pour le livre. J'avais hâte de retrouver les chapîtres consacrés à Elvis.
- Le poids des secrets de Shimazaki : j'ai beaucoup aimé cette pentalogie (voilà un mot que je n'utilise pas souvent :) ).
Un personnage différent pour chaque récit d'une centaine de pages. Et au fur et à mesure les pièces du puzzle de cette histoire familiale sur plusieurs générations se mettent en place, le fond historique est partie prenante dans ces récits.
Et là apparaît la grâce de l'écriture nippone qui bien qu'épurée tisse les liens familiaux et le contexte historique.
Mon préféré de la série est Tsubame (camelia). BIen qu'indépendants, il est souhaitable de les lire à la suite .
Il est à noter que l'auteure écrit en français et aurait choisi cette option pour maîtriser notre langue.
- Fairyland de Alyssia Abott : plusieurs années après la mort de son père, poète homosexuel mort du Sida, Alyssia décide de lire ses journaux.
Après avoir mis à mal la légende familiale : " A la mort de ma mère, mon père fou de chagrin est devenu homosexuel", nous voilà plongés dans le San Francisco des années 70.
Entrecoupé parfois de planches de dessin de son père, d'extraits du journal et de lettres, le récit d'Alyssia Abott décrit une enfance qui ne fut pas des plus communes, ni des plus faciles à vivre et à assumer vis à vis des tiers, sous un fond d'années de lutte pour la reconnaissance des droits des homosexuels puis des années Sida.
Le récit est ponctué d'humour et l'auteur ne se donne pas le beau rôle (mais comment aurait elle pu faire autrement à 20 ans ?).
On retient de ce livre, outre le contexte historique, l'amour profond d'un père pour sa fille, lui qui n'a pas choisi de devenir père mais n'a jamais envisagé de la confier à un membre de la famille et a tout fait pour qu'elle se réalise.
- Je termine Les promesses de l'aube de Gary
Ce n'est pas le grand livre que l'on m'avait promis. Néanmoins j'aime sa construction, ses aller retour vers le futur dans la première partie. Il me reste la 3e partie à lire.
Quelle mère dévoratrice de la personnalité du fils ! (tout le contraire du père d'Alyssia)
- Le passage du diable de Fine, livre pour adolescent, gothique, fantastique. Ce n'est pas mon genre de lecture et pourtant je me suis régalée à le lire, une intrigue qui tient de bout en bout et nous tient en haleine.
- 7 années de bonheur de Etgar Keret
ces années sont celles où il fut en même temps père et fils
Les récits de sa vie quotidienne se succèdent , la brutalité de la vie en Israël ("Ce que ça peut être flippant, les attentats terroristes, dit l'infirmière fluette à sa collègue plus âgée. Tu veux un chewing?" )
Des récits entre émotions et sourires , parce que, diable, l'homme ne manque ni d'imagination, ni d'humour, ni d'autodérision et il en faut pour vivre.
- Bye bye Elvis de De Mulder : les chapîtres consacrés au King sont intéressants et nous donne à voir un angle inédit de l'homme (du coup la bio d'Elvis est remontée de plusieur rangs dans ma pile à lire). En revanche la partie contemporaine m'a moins marquée et est beaucoup plus faible de mon point de vue et amoindrit l'intérêt pour le livre. J'avais hâte de retrouver les chapîtres consacrés à Elvis.
- Le poids des secrets de Shimazaki : j'ai beaucoup aimé cette pentalogie (voilà un mot que je n'utilise pas souvent :) ).
Un personnage différent pour chaque récit d'une centaine de pages. Et au fur et à mesure les pièces du puzzle de cette histoire familiale sur plusieurs générations se mettent en place, le fond historique est partie prenante dans ces récits.
Et là apparaît la grâce de l'écriture nippone qui bien qu'épurée tisse les liens familiaux et le contexte historique.
Mon préféré de la série est Tsubame (camelia). BIen qu'indépendants, il est souhaitable de les lire à la suite .
Il est à noter que l'auteure écrit en français et aurait choisi cette option pour maîtriser notre langue.
- Fairyland de Alyssia Abott : plusieurs années après la mort de son père, poète homosexuel mort du Sida, Alyssia décide de lire ses journaux.
Après avoir mis à mal la légende familiale : " A la mort de ma mère, mon père fou de chagrin est devenu homosexuel", nous voilà plongés dans le San Francisco des années 70.
Entrecoupé parfois de planches de dessin de son père, d'extraits du journal et de lettres, le récit d'Alyssia Abott décrit une enfance qui ne fut pas des plus communes, ni des plus faciles à vivre et à assumer vis à vis des tiers, sous un fond d'années de lutte pour la reconnaissance des droits des homosexuels puis des années Sida.
Le récit est ponctué d'humour et l'auteur ne se donne pas le beau rôle (mais comment aurait elle pu faire autrement à 20 ans ?).
On retient de ce livre, outre le contexte historique, l'amour profond d'un père pour sa fille, lui qui n'a pas choisi de devenir père mais n'a jamais envisagé de la confier à un membre de la famille et a tout fait pour qu'elle se réalise.
- Je termine Les promesses de l'aube de Gary
Ce n'est pas le grand livre que l'on m'avait promis. Néanmoins j'aime sa construction, ses aller retour vers le futur dans la première partie. Il me reste la 3e partie à lire.
Quelle mère dévoratrice de la personnalité du fils ! (tout le contraire du père d'Alyssia)
Après "La métamorphose d'un crabe", je commence "Comment apprendre à aimer" de Yukiko Motoya, à mon âge est-ce bien raisonnable ?
Il n'est jamais trop tard DBZ;-)
Ce n'est peut-être pas raisonnable mais ça peut toujours être utile.
Je me ballade en ce moment du côté de l'Asie: après avoir lu Meurtre et Méditation, un policier qui se passe dans le Bangkok contemporain, me voici dans La fille du ciel, de Isabelle Lacamp, au temps de la Chine du dixième siècle, puis j'attaquerai Terre des oublis de Du'o'ng Thu Hu'o'ng (auteur vietnamienne).
J'ai bien aimé le livre de Duong Thu Huong que j'ai lu mais dont j'ai oublié le titre.
Moi, je navigue un peu du côté du Japon, après le livre de Yukiko Motoya, je commence La jardin arc-en-ciel d'Ito Ogawa mais avant j'ai lu "Bonneville" de Laurent Saulnier
Je n'avais pas partagé mes lectures depuis longtemps. Les livres de la sélection mis à part, j'ai fait de jolies lectures.
Belles lectures Space !
Le Lys dans la vallée de Balzac. Un bain de classique de temps à autre, ça revigore (surtout quand c'est choisi).
Tiens, tu me donnes l'envie de le reprendre et, cette fois-ci, je vais essayer de le terminer. Je l'avais commencé... oh! quand j'avais ton âge... Maintenant, j'ai peut-être un peu plus de patience. On verra. Comme tu dis, un peu de classique, ça fait du bien!
Patience pour supporter le platonique de leur relation? C'est drôle, alors que cela m'avait mis hors de moi dans La Porte étroite de Gide, ici j'ai lu sans remous, avec un intérêt assez poli, quelques frissons. Plutôt du plaisir, mais qui tient aussi beaucoup au plaisir du retour dans le passé, avec le cirque de la Restauration.
Je n'avais pas partagé mes lectures depuis longtemps. Les livres de la sélection mis à part, j'ai fait de jolies lectures.
Belles lectures Space !
Chuis pas Space ! ^^
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